Hey you guys! Après deux mois d’absence, je suis heureuse de pouvoir vous dire qu'aujourd'hui est un nouveau départ pour le blog. En effet, après avoir beaucoup réfléchi, j'ai décidé qu'il était temps de changer le nom du blog et d'en profiter pour prendre un nom de domaine. Après deux ans et quelques mois de blogging, je trouvais que Whispers of Jules ne me correspondait plus vraiment mais aussi qu'il ne correspondait pas assez au contenu du blog. Après avoir envisagé plusieurs noms, je me suis décidée sur Le Rewind Club (oui oui, je me suis carrément inspiré de The Breakfast Club). A part ces petits changements, rien ne change sur le blog, le contenu reste le même, il faudrait me passer sur le corps pour que j'arrête d'écrire sur la pop culture.
Une autre nouveauté sera une newsletter qui sera envoyé chaque week-end, où je proposerais un récapitulatif des articles de la semaine, un ancien article à redécouvrir, un livre que je vous recommanderai, etc. Je pense que tout ceci aurait pu être mis en place plus tôt mais les études, les transports m'ont juste mis dans un état de fatigue épouvantable, en conséquence, le week-end, j'avais juste envie de dormir et l'envie de bosser sur le blog n'était pas vraiment là. J'ai aussi changé le template, que j'ai ensuite pu modifier convenablement grâce à mon cours de web design. J'espère vraiment que le nouveau nom et le design vous plaisent et on se retrouve lundi pour un nouvel article


Whispers of Jules devient Le Rewind Club.

Hey you guys! Après deux mois d’absence, je suis heureuse de pouvoir vous dire qu'aujourd'hui est un nouveau départ pour le blog. En effet, après avoir beaucoup réfléchi, j'ai décidé qu'il était temps de changer le nom du blog et d'en profiter pour prendre un nom de domaine. Après deux ans et quelques mois de blogging, je trouvais que Whispers of Jules ne me correspondait plus vraiment mais aussi qu'il ne correspondait pas assez au contenu du blog. Après avoir envisagé plusieurs noms, je me suis décidée sur Le Rewind Club (oui oui, je me suis carrément inspiré de The Breakfast Club). A part ces petits changements, rien ne change sur le blog, le contenu reste le même, il faudrait me passer sur le corps pour que j'arrête d'écrire sur la pop culture.
Une autre nouveauté sera une newsletter qui sera envoyé chaque week-end, où je proposerais un récapitulatif des articles de la semaine, un ancien article à redécouvrir, un livre que je vous recommanderai, etc. Je pense que tout ceci aurait pu être mis en place plus tôt mais les études, les transports m'ont juste mis dans un état de fatigue épouvantable, en conséquence, le week-end, j'avais juste envie de dormir et l'envie de bosser sur le blog n'était pas vraiment là. J'ai aussi changé le template, que j'ai ensuite pu modifier convenablement grâce à mon cours de web design. J'espère vraiment que le nouveau nom et le design vous plaisent et on se retrouve lundi pour un nouvel article


weird science 1985





Une Créature de Rêve ou WEIRD SCIENCE en V.O est un teen-movie de science fiction humoristique réalisé par John Hughes en 1985. On y suit Gary Wallace et Wyatt Donnelly, deux adolescents mal-aimés qui sont rejetés dans leur lycée. Un soir, alors qu'ils regardent le film Frankenstein, Gary a l'idée de créer une femme virtuelle parfaite à l'aide du super ordinateur sophistiqué de Wyatt et d'une poupée Barbie. A cause d'une surcharge électrique, la femme prend finalement vie. Les deux garçons la prénomme Lisa. Lisa est pourvu de super-pouvoirs et va s'en servir pour embarquer les garçons dans de folles péripéties.

Le mythe de Frankenstein revisité à la sauce teenager

Alors, ce qui va suivre va surement vous paraître bizarre et contradictoire, car bien que j'ai apprécié WEIRD SCIENCE, je trouve qu'il n'est pas vraiment à la hauteur des autres films de Hughes - il n'est clairement pas dans la même lancé que The Breakfast Club. En bref, le fait est que le film en lui-même est bien mais en tant que film de John Hughes, on pourrait s'attendre à bien mieux, notamment en ce qui concerne le développement et la complexité des personnages. John Hughes qui habituellement casse les clichés sur les ados, ici, il n'en est rien et le film finit donc par manquer de profondeur. Pourtant, on comprend plutôt vite qu'avec ce film, John Hughes a peut-être voulu faire quelque chose de plus loufoque, léger et divertissant.

On retrouve Micheal Anthony Hall que j'avais adoré dans The Breakfast Club en tant que Brian mais que je n'avais pas vraiment adoré dans Sixteen Candles en tant que Ted le Fermier. Dans Weird Science, il interprète Gary, un ado marginal obsédé sur les bords. Je trouve qu'il s'en sort vraiment bien dans ce rôle toute en extravagance, ça change de son interprétation dans The Breakfast Club. Le personnage de Wyatt, incarné par Ilan Mitchell-Smith qui a depuis quitté le monde du cinéma, est moins extravagant que Gary et plus sensible. Je dirais qu'il y a peut-être plus de recherches dans ce personnage peu sûr de lui qui a peur de s’opposer à son bully de frère qui ne cesse de le tourmenter. Cela dit, les deux incarnent un bon duo qui aurait été intéressant de voir dans d'autres films. Le personnage de Lisa, incarnée par la mannequin/actrice Kelly LeBrock, est intéressant, on pourrait penser au début qu'elle ne va servir qu'à assouvir les besoins sexuels des deux adolescents - rendant tous ceci très sexiste -  mais il n'en est rien, elle va les pousser à s'assumer et à avoir confiance en eux - mais ça reste quand même très sexiste par moment.

Weird Science

L'histoire n'est pas très recherchée mais offres des scènes vraiment comiques et déjantées devenues cultes. La fin du film donne tout de même un semblant de morale - s'assumer et avoir confiance en soi - mais je trouve que ça marche moins bien comparé aux autres films de Hughes. Un point qui me gène et me dérange un peu pour un film de John Hughes, c'est les nombreuses références sur le sexe, les allusions de relations sexuelles entre Lisa et les protagonistes alors que Gary et Wyatt ont 15 ans et Lisa est censé en avoir 23 - pas très moral tout ça. On n'a pas du tout la même sensibilité que dans The Breakfast Club, Pretty in Pink ou même Ferris Bueller's Day Off mais bizarrement, ça n’empêche pas de s'attacher à ces drôles de personnages.

❝ - Gary?... By the way, why are wearing bras on our heads? 
Ceremonial.

Si vous êtes du début de la génération Y, vous connaissez sans doute la série des années 90, Code Lisa qui est tiré du film. On peut d'ailleurs dire que la série à surpassé le film car elle a plutôt bien marché avec ses cinq saisons. Je n'ai jamais regardé cette série car elle a été diffusé à partir de 1995 en France - mon année de naissance donc - mais ma grande sœur était à fond, elle trouvait la série géniale et vraiment originale pour l'époque et les acteurs étaient, selon elle, supers - d'ailleurs, les producteurs les ont bien choisi car physiquement, ils ressemblent un peu à Anthony Michael Hall et Ilan Mitchell-Smith. D'ailleurs, ce n'est pas le premier teen-movie des années 80 à être plus tard adapté en série télévisée mais ça, je vous en reparlerais dans un futur article Jules Rewinds

Weird Science


Alors, on regarde ou pas ?

Au final, WEIRD SCIENCE, malgré les critiques mitigés qu'il a pu recevoir, est quand même devenu un film culte. Au premier abord, le film était une déception car je m'attendais à un film dans la même ligné que The Breakfast Club mais avec le temps, j'ai commencé à vraiment apprécier ce film que je considère aujourd'hui comme culte. Weird Science reste un film drôle avec des personnages complètement loufoques


BACK TO THE EIGHTIES • Weird Science (1985).

weird science 1985





Une Créature de Rêve ou WEIRD SCIENCE en V.O est un teen-movie de science fiction humoristique réalisé par John Hughes en 1985. On y suit Gary Wallace et Wyatt Donnelly, deux adolescents mal-aimés qui sont rejetés dans leur lycée. Un soir, alors qu'ils regardent le film Frankenstein, Gary a l'idée de créer une femme virtuelle parfaite à l'aide du super ordinateur sophistiqué de Wyatt et d'une poupée Barbie. A cause d'une surcharge électrique, la femme prend finalement vie. Les deux garçons la prénomme Lisa. Lisa est pourvu de super-pouvoirs et va s'en servir pour embarquer les garçons dans de folles péripéties.

Le mythe de Frankenstein revisité à la sauce teenager

Alors, ce qui va suivre va surement vous paraître bizarre et contradictoire, car bien que j'ai apprécié WEIRD SCIENCE, je trouve qu'il n'est pas vraiment à la hauteur des autres films de Hughes - il n'est clairement pas dans la même lancé que The Breakfast Club. En bref, le fait est que le film en lui-même est bien mais en tant que film de John Hughes, on pourrait s'attendre à bien mieux, notamment en ce qui concerne le développement et la complexité des personnages. John Hughes qui habituellement casse les clichés sur les ados, ici, il n'en est rien et le film finit donc par manquer de profondeur. Pourtant, on comprend plutôt vite qu'avec ce film, John Hughes a peut-être voulu faire quelque chose de plus loufoque, léger et divertissant.

On retrouve Micheal Anthony Hall que j'avais adoré dans The Breakfast Club en tant que Brian mais que je n'avais pas vraiment adoré dans Sixteen Candles en tant que Ted le Fermier. Dans Weird Science, il interprète Gary, un ado marginal obsédé sur les bords. Je trouve qu'il s'en sort vraiment bien dans ce rôle toute en extravagance, ça change de son interprétation dans The Breakfast Club. Le personnage de Wyatt, incarné par Ilan Mitchell-Smith qui a depuis quitté le monde du cinéma, est moins extravagant que Gary et plus sensible. Je dirais qu'il y a peut-être plus de recherches dans ce personnage peu sûr de lui qui a peur de s’opposer à son bully de frère qui ne cesse de le tourmenter. Cela dit, les deux incarnent un bon duo qui aurait été intéressant de voir dans d'autres films. Le personnage de Lisa, incarnée par la mannequin/actrice Kelly LeBrock, est intéressant, on pourrait penser au début qu'elle ne va servir qu'à assouvir les besoins sexuels des deux adolescents - rendant tous ceci très sexiste -  mais il n'en est rien, elle va les pousser à s'assumer et à avoir confiance en eux - mais ça reste quand même très sexiste par moment.

Weird Science

L'histoire n'est pas très recherchée mais offres des scènes vraiment comiques et déjantées devenues cultes. La fin du film donne tout de même un semblant de morale - s'assumer et avoir confiance en soi - mais je trouve que ça marche moins bien comparé aux autres films de Hughes. Un point qui me gène et me dérange un peu pour un film de John Hughes, c'est les nombreuses références sur le sexe, les allusions de relations sexuelles entre Lisa et les protagonistes alors que Gary et Wyatt ont 15 ans et Lisa est censé en avoir 23 - pas très moral tout ça. On n'a pas du tout la même sensibilité que dans The Breakfast Club, Pretty in Pink ou même Ferris Bueller's Day Off mais bizarrement, ça n’empêche pas de s'attacher à ces drôles de personnages.

❝ - Gary?... By the way, why are wearing bras on our heads? 
Ceremonial.

Si vous êtes du début de la génération Y, vous connaissez sans doute la série des années 90, Code Lisa qui est tiré du film. On peut d'ailleurs dire que la série à surpassé le film car elle a plutôt bien marché avec ses cinq saisons. Je n'ai jamais regardé cette série car elle a été diffusé à partir de 1995 en France - mon année de naissance donc - mais ma grande sœur était à fond, elle trouvait la série géniale et vraiment originale pour l'époque et les acteurs étaient, selon elle, supers - d'ailleurs, les producteurs les ont bien choisi car physiquement, ils ressemblent un peu à Anthony Michael Hall et Ilan Mitchell-Smith. D'ailleurs, ce n'est pas le premier teen-movie des années 80 à être plus tard adapté en série télévisée mais ça, je vous en reparlerais dans un futur article Jules Rewinds

Weird Science


Alors, on regarde ou pas ?

Au final, WEIRD SCIENCE, malgré les critiques mitigés qu'il a pu recevoir, est quand même devenu un film culte. Au premier abord, le film était une déception car je m'attendais à un film dans la même ligné que The Breakfast Club mais avec le temps, j'ai commencé à vraiment apprécier ce film que je considère aujourd'hui comme culte. Weird Science reste un film drôle avec des personnages complètement loufoques




Dernièrement, je me suis mise à regarder des vidéos Youtube d'un genre différent, plus axé sur la culture, histoire de me cultiver un peu et d'enrichir mes connaissances. Aujourd'hui, je vais donc vous présenter trois chaînes Youtube que j'aime beaucoup et que je souhaite vous faire découvrir.


NOTA BENE - émission d'Histoire 
Si vous voulez enrichir votre culture sur l'Histoire, cette émission crée et géré par Benjamin est  très enrichissante. Le but de ses vidéos est bien évidemment de nous faire découvrir l'Histoire sans pour autant que cela soit compliqué et barbant et c'est tout bonnement passionnant, il arrive vraiment à me captiver et j'aime particulièrement ses vidéos Mythes et Légendes, étant très intéressée moi-même par les mythologies. 

GINGER FORCE - émission culture 
Sur sa chaîne, Ginger Force proposent deux types d'émissions: Un pavé dans la mare qui aborde des thèmes sur le féminisme et Adaptation qui compare des œuvres écrites à leurs adaptations cinématographiques. C'est cette dernière émission que j'adore regarder, elles me permettent de redécouvrir des œuvres sous un autre angle vu que pour la plupart d'entre elles, je n'étais pas au courant qu'elles étaient tiré d'un roman. Du coup, je vous conseille ses vidéos qui sont très sympas à visionner. 

RETOUR VERS LA CULTURE - émission de cinéma 
Retour vers la Culture est une chaîne plutôt récente qui proposent des analyses/critiques de films. Les vidéos sont simples, bien faites et donnent clairement envie de visionner les films qu'ils - Lucien, le créateur de l’émission, pratiquement toujours accompagné de ses potes Maxime et Alexandre - analysent, d'ailleurs, ça me fait penser que je dois vraiment aller regarder Taxi Driver - ouai, je l'ai jamais vu, la honte, je sais... 




Connaissiez-vous ces chaines? Avez-vous des chaînes axées culture (hors booktube) à me conseiller ?




Youtube et Culture • mes youtubeurs favoris #1



Dernièrement, je me suis mise à regarder des vidéos Youtube d'un genre différent, plus axé sur la culture, histoire de me cultiver un peu et d'enrichir mes connaissances. Aujourd'hui, je vais donc vous présenter trois chaînes Youtube que j'aime beaucoup et que je souhaite vous faire découvrir.


NOTA BENE - émission d'Histoire 
Si vous voulez enrichir votre culture sur l'Histoire, cette émission crée et géré par Benjamin est  très enrichissante. Le but de ses vidéos est bien évidemment de nous faire découvrir l'Histoire sans pour autant que cela soit compliqué et barbant et c'est tout bonnement passionnant, il arrive vraiment à me captiver et j'aime particulièrement ses vidéos Mythes et Légendes, étant très intéressée moi-même par les mythologies. 

GINGER FORCE - émission culture 
Sur sa chaîne, Ginger Force proposent deux types d'émissions: Un pavé dans la mare qui aborde des thèmes sur le féminisme et Adaptation qui compare des œuvres écrites à leurs adaptations cinématographiques. C'est cette dernière émission que j'adore regarder, elles me permettent de redécouvrir des œuvres sous un autre angle vu que pour la plupart d'entre elles, je n'étais pas au courant qu'elles étaient tiré d'un roman. Du coup, je vous conseille ses vidéos qui sont très sympas à visionner. 

RETOUR VERS LA CULTURE - émission de cinéma 
Retour vers la Culture est une chaîne plutôt récente qui proposent des analyses/critiques de films. Les vidéos sont simples, bien faites et donnent clairement envie de visionner les films qu'ils - Lucien, le créateur de l’émission, pratiquement toujours accompagné de ses potes Maxime et Alexandre - analysent, d'ailleurs, ça me fait penser que je dois vraiment aller regarder Taxi Driver - ouai, je l'ai jamais vu, la honte, je sais... 




Connaissiez-vous ces chaines? Avez-vous des chaînes axées culture (hors booktube) à me conseiller ?




Carry On Rainbow Rowell



Simon Snow est le Chosen One, l’élu dont de nombreuses prophéties l’ont prédestiné à être le plus grand Mage du monde et celui qui mettra fin à la menace qu’est le Insidious Humdrum, un être ressemblant trait pour trait à Simon quand il avait 11 ans et qui fait disparaître la magie. Simon entame alors sa dernière année à la Watford School of Magicks, y retrouvant Penelope, sa meilleure amie et Agatha sa petite amie, qui n’a pas vu durant tout l’été. Mais tout ne se passe pas comme Simon l’avait prévu, le directeur de l’école, le Mage, veut l’éloigner de l’école pour sa sécurité, Agatha rompt avec lui et son ennemi de toujours et aussi colocataire de chambre, Baz, qu'il suspecte d'être un vampire, est porté disparu et cela rend fou Simon de ne pas savoir où il se trouve, soupçonnant qu’il est quelque part en train de comploter contre lui. Bref, la dernière année de Simon ne sera pas de tout repos.

Énorme coup de cœur pour ce livre, jusqu’au point où je peux dire que je suis tombée amoureuse de ce livre. Je ne pensais pas que Carry On allait autant me chambouler et me plaire que ça. Bien que l’histoire ne soit pas tant extraordinaire que ça, ce sont les personnages qui apportent énormément au roman. Rainbow Rowell a vraiment un don pour créer des personnages incroyables aux personnalités diverses. Simon Snow, le personnage principal, le Chosen One, est adorable, il est naïf, gentil attentionné, humble et courageux, bref, un personnage auquel il est facile de s’attacher. Penelope, sa meilleure amie, c’est un peu la Hermione du roman, intelligente et un brin têtue. Ensuite, il y a Baz, l’ennemi de Simon mais aussi son roommate depuis 7 ans. Baz est incroyable, il est beaucoup plus profond que laisse présager le début du roman. Il peut paraître comme quelqu'un de hautain mais c'est tout le contraire, il a un coté assez sensible qui rend le personnage très humain. J'ai adoré lire les chapitres de son POV (point of view - point de vue). Pendant leur 7 années de scolarisation et de cohabitation, Simon et Baz n’ont pas arrêté d’essayer de se tuer. Pourtant, cette dernière année va tout changer et la relation entre Baz et Simon va évoluer et leur animosité mutuelle va peu à peu s’atténuer au fil de l'histoire. [SPOILER: il est impossible de faire une book review de ce livre sans parler de cette belle histoire d'amour que vont vivre Baz et Simon. Elle est plus au moins attendue au fil de la lecture mais elle surprend quand même quand le moment du premier baiser arrive. J'ai adoré la relation de Simon et Baz, on pourrait dire qu'elle n'est absolument pas probable mais au fond, si, un peu dans le style Ron-Hermione mais avec un degré plus fort vu que nos deux personnages de base se foutent sur la gueule depuis des années mais surtout car Baz éprouve des sentiments pour Simon depuis sa deuxième année et d'après ma propre compréhension de la lecture, je pense que Simon avait lui aussi des sentiments pour Baz sans s'en rendre compte. Je les ai trouvé tellement mignon dans leurs moments d'intimité qu'on envie ce qu'ils ont et bon, j’adore les histoires d'amour LGBT, et implantées dans un récit fantastique, c'est encore mieux.] Je ne vais pas m'attarder sur Agatha, car quand bien même c’est un personnage plus ou moins intéressant, je n’ai pas du tout accroché à sa personnalité, bien qu’en tout honnêteté, elle a quand même sa place dans l’histoire et n’est pas un personnage si inutile que ça, elle apporte une touche en plus, un point de vue différent aux événements qui vont se dérouler dans le roman.

L’intrigue est plutôt lente au début, mais pas le lent qui gonfle, si vous voyez ce que je veux dire. Rainbow prend juste le temps de bien mettre en place l’histoire et les personnages car Carry On est censé être en quelque sorte le dernier tome d’une saga - c’est comme si on avait juste eu le droit au dernier Harry Potter, on n'aurait rien compris - donc c’est compréhensible qu’elle prenne le temps de situer l’histoire. Après, l’action et le suspense se font de plus en plus présent et il est extrêmement difficile de relâcher le bouquin avant de connaitre le fin mot de l’histoire. J'ai apprécié la vision du Chosen One de Rainbow Rowell, Simon accepte son rôle et fait ce qu'on lui demande de faire sans broncher mais il ne comprend pas vraiment ce statut et n'en veut pas forcement. Ce que j’ai aussi adoré dans ce livre, c’est l’humour employé par les personnages, en particulier par Simon et Baz, c’est tellement rafraîchissant et ça fait du bien d'avoir des sourires amusés durant une lecture.

Bon, je vais en parler, car c’est évident, ce livre vous fera rappeler l’univers d’Harry Potter, de part l’école de magie, le statut de Chosen One et orphelin de Simon - comme Harry Potter-, Penelope la meilleure amie brillante –Hermione-, Baz le nemesis –Draco- et le Humdrum, l’ultime ennemi – Voldemort – ainsi que Le Mage, le directeur de l’école incarnant une image de mentor – Dumbledore. Mais honnêtement, ça s’arrête là car mis à part Penelope qui ressemble beaucoup à Hermione, les autres personnages ont des personnalités vraiment différente des personnages créé par J.K. Rowling. 

Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai bijou de fantasy mais surtout une belle histoire qui met en scène des personnages incroyablement bien écrit. Je ne peux que vous le conseiller, car je pense que c’est un roman qui devrait plaire à la majorité d’entre vous, même si vous n’êtes pas fan de roman fantastique.



BOOK REVIEW • Carry On de Rainbow Rowell.

Carry On Rainbow Rowell



Simon Snow est le Chosen One, l’élu dont de nombreuses prophéties l’ont prédestiné à être le plus grand Mage du monde et celui qui mettra fin à la menace qu’est le Insidious Humdrum, un être ressemblant trait pour trait à Simon quand il avait 11 ans et qui fait disparaître la magie. Simon entame alors sa dernière année à la Watford School of Magicks, y retrouvant Penelope, sa meilleure amie et Agatha sa petite amie, qui n’a pas vu durant tout l’été. Mais tout ne se passe pas comme Simon l’avait prévu, le directeur de l’école, le Mage, veut l’éloigner de l’école pour sa sécurité, Agatha rompt avec lui et son ennemi de toujours et aussi colocataire de chambre, Baz, qu'il suspecte d'être un vampire, est porté disparu et cela rend fou Simon de ne pas savoir où il se trouve, soupçonnant qu’il est quelque part en train de comploter contre lui. Bref, la dernière année de Simon ne sera pas de tout repos.

Énorme coup de cœur pour ce livre, jusqu’au point où je peux dire que je suis tombée amoureuse de ce livre. Je ne pensais pas que Carry On allait autant me chambouler et me plaire que ça. Bien que l’histoire ne soit pas tant extraordinaire que ça, ce sont les personnages qui apportent énormément au roman. Rainbow Rowell a vraiment un don pour créer des personnages incroyables aux personnalités diverses. Simon Snow, le personnage principal, le Chosen One, est adorable, il est naïf, gentil attentionné, humble et courageux, bref, un personnage auquel il est facile de s’attacher. Penelope, sa meilleure amie, c’est un peu la Hermione du roman, intelligente et un brin têtue. Ensuite, il y a Baz, l’ennemi de Simon mais aussi son roommate depuis 7 ans. Baz est incroyable, il est beaucoup plus profond que laisse présager le début du roman. Il peut paraître comme quelqu'un de hautain mais c'est tout le contraire, il a un coté assez sensible qui rend le personnage très humain. J'ai adoré lire les chapitres de son POV (point of view - point de vue). Pendant leur 7 années de scolarisation et de cohabitation, Simon et Baz n’ont pas arrêté d’essayer de se tuer. Pourtant, cette dernière année va tout changer et la relation entre Baz et Simon va évoluer et leur animosité mutuelle va peu à peu s’atténuer au fil de l'histoire. [SPOILER: il est impossible de faire une book review de ce livre sans parler de cette belle histoire d'amour que vont vivre Baz et Simon. Elle est plus au moins attendue au fil de la lecture mais elle surprend quand même quand le moment du premier baiser arrive. J'ai adoré la relation de Simon et Baz, on pourrait dire qu'elle n'est absolument pas probable mais au fond, si, un peu dans le style Ron-Hermione mais avec un degré plus fort vu que nos deux personnages de base se foutent sur la gueule depuis des années mais surtout car Baz éprouve des sentiments pour Simon depuis sa deuxième année et d'après ma propre compréhension de la lecture, je pense que Simon avait lui aussi des sentiments pour Baz sans s'en rendre compte. Je les ai trouvé tellement mignon dans leurs moments d'intimité qu'on envie ce qu'ils ont et bon, j’adore les histoires d'amour LGBT, et implantées dans un récit fantastique, c'est encore mieux.] Je ne vais pas m'attarder sur Agatha, car quand bien même c’est un personnage plus ou moins intéressant, je n’ai pas du tout accroché à sa personnalité, bien qu’en tout honnêteté, elle a quand même sa place dans l’histoire et n’est pas un personnage si inutile que ça, elle apporte une touche en plus, un point de vue différent aux événements qui vont se dérouler dans le roman.

L’intrigue est plutôt lente au début, mais pas le lent qui gonfle, si vous voyez ce que je veux dire. Rainbow prend juste le temps de bien mettre en place l’histoire et les personnages car Carry On est censé être en quelque sorte le dernier tome d’une saga - c’est comme si on avait juste eu le droit au dernier Harry Potter, on n'aurait rien compris - donc c’est compréhensible qu’elle prenne le temps de situer l’histoire. Après, l’action et le suspense se font de plus en plus présent et il est extrêmement difficile de relâcher le bouquin avant de connaitre le fin mot de l’histoire. J'ai apprécié la vision du Chosen One de Rainbow Rowell, Simon accepte son rôle et fait ce qu'on lui demande de faire sans broncher mais il ne comprend pas vraiment ce statut et n'en veut pas forcement. Ce que j’ai aussi adoré dans ce livre, c’est l’humour employé par les personnages, en particulier par Simon et Baz, c’est tellement rafraîchissant et ça fait du bien d'avoir des sourires amusés durant une lecture.

Bon, je vais en parler, car c’est évident, ce livre vous fera rappeler l’univers d’Harry Potter, de part l’école de magie, le statut de Chosen One et orphelin de Simon - comme Harry Potter-, Penelope la meilleure amie brillante –Hermione-, Baz le nemesis –Draco- et le Humdrum, l’ultime ennemi – Voldemort – ainsi que Le Mage, le directeur de l’école incarnant une image de mentor – Dumbledore. Mais honnêtement, ça s’arrête là car mis à part Penelope qui ressemble beaucoup à Hermione, les autres personnages ont des personnalités vraiment différente des personnages créé par J.K. Rowling. 

Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai bijou de fantasy mais surtout une belle histoire qui met en scène des personnages incroyablement bien écrit. Je ne peux que vous le conseiller, car je pense que c’est un roman qui devrait plaire à la majorité d’entre vous, même si vous n’êtes pas fan de roman fantastique.



Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


Stranger Things, la nouvelle série Netflix: un mix entre Les Goonies, E.T et Poltergeist.

Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.



INSTANT CINOCHE • FANBOYS de Kyle Newman (2009).

Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.






Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.


Bouquins et Pop Culture.




Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.










Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





BOOK REVIEW • All the Bright Places de Jennifer Niven.









Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





pop culture sites web


Dans cet article, on va parler de sites Internet mais pas n'importe lesquels. Des sites internet spécialisés dans le fabuleux et extraordinaire univers de la pop culture, je dis OUI et encore OUI. Etant une grande fan de pop culture, je me devais de vous parler de ces 3 sites, qui deviennent très vite addictif (mais, c'est une bonne addiction).



MES SITES FAVORIS - pop culture édition.

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Dans cet article, on va parler de sites Internet mais pas n'importe lesquels. Des sites internet spécialisés dans le fabuleux et extraordinaire univers de la pop culture, je dis OUI et encore OUI. Etant une grande fan de pop culture, je me devais de vous parler de ces 3 sites, qui deviennent très vite addictif (mais, c'est une bonne addiction).



The Lost Boys (1987).
The Lost Boys (Génération Perdue en VF) est une comédie horrifique réalisée par Joel Schumacher en 1987. Regroupant une bonne brochette d'acteurs fétiches des années 80, ce film raconte l’histoire de deux frères, Michael et Sam qui viennent d’emménager avec leur mère chez leur grand-père en Californie. Michael, l'ainé, tombe sous le charme d'une mystérieuse jeune fille faisant partie d'un groupe de motards tout aussi mystérieux. Quant à Sam, il fait la connaissance de deux frères, Edgar et Alan Frog, tenant un magasin de comics et qui mette en garde Sam contre les vampires qui peuplent la ville de Santa Carla. Tout ça sans compter la transformation graduelle de Michael en une créature de la nuit. Ils vont donc devoir trouver le chef des vampire et le tuer pour permettre à Michael de redevenir humain...


Un film avec de vrais vampires

The Lost Boys est un bon film de vampires. Ici, les vampires sont cruels et n'ont aucun remords à attaquer des personnes innocentes et en toute honnêteté, c'est comme ça que j'aime les vampires. Les vampires dans ce film sont plus dans le style "Buffy contre les vampires", d'ailleurs, le vampire interprété par Kieffer Sutherland dans The Lost Boys me fait étrangement pensé à Spike dans le style vampire motard à la chevelure peroxydée - je me demande même si Joss Whedon ne se serait pas inspiré de quelques éléments de ce film pour créer Buffy contre les vampires, vous pouvez d'ailleurs lire un article en anglais qui le prouve ici. Bref, vous l'aurez compris, dans ce film, on a des vampires sanguinaire mais qui ont de la gueule.
You'd better get yourself a garlic t-shirt, buddy, or it's your funeral.- Edgar Frog
Mais bien sûr, que serez des vampires sans nos héros humains pour les affronter. Dans ces rôles, nous avons Corey Feldman (Bagou dans les Goonies), Corey Haim (Lucas dans le film éponyme) et Jamison Newlander (qui, en 29 ans de carrière, n'a joué quand dans ce film et ses suites). Ici, c'est le tout premier films des Two Coreys ensemble et on comprend pourquoi ils ont fait un bon bout de leur carrière ensemble tant il y a de l'alchimie entre eux. Les deux sont excellent dans leur rôle, Corey H. dans le rôle du nouveau qui débarque dans une ville infesté de vampires mais qui gèrent plutôt bien la chose et Corey F. dans le rôle du mec qui, malgré son jeune age, gère avec son frère un magasin de comics mais qui est aussi une sorte de vampire hunter. Mais de toute façon, tous les acteurs de ce film sont excellents, Kiefer Sutherland fait un travail sublime dans le rôle de David, le leader du groupe de vampires, il dégage tellement de charme tout en étant effrayant - ouai, Kiefer était, à mon gout, carrément canon durant les années 80. Il y aussi des acteurs que vous connaissez sûrement tels que Dianne Wiest (Peg Boggs dans Edward aux Mains d'Argent) et Edward Herrmann (le grand-père de Rory dans Gilmore Girls).

The Lost Boys (1987).
Concernant l'intrigue, elle est plutôt bien menée. En soit, l'histoire n'est pas extrêmement originale mais ce n'est pas vraiment le but du film à mon avis. Le film reste mémorable surtout grâce à nos trois jeunes chasseurs de vampires (et aussi car c'est le premier film de The Two Coreys) et selon moi, ils sont vraiment le symbole du film et on s'attache particulièrement à ces personnages car ils apportent la touche comique du film. Concernant les vampires, le maquillage est vraiment bien fait pour l'époque et ça a plutôt bien vieilli à mon gout. Contre toute attente, vers la fin, le film devient gore par moment mais par contre, je pense que c'est censé être le gore à outrance qui finit par nous faire rire. Sinon, j'adore le titre du film, il est tellement ingénieux, ce clin d’œil à Peter Pan et aux garçons perdus qui ne veulent pas grandir et qui ne grandissent pas du tout, comme les vampires qui restent jeunes éternellement.

Alors, on regarde ou pas ?

Bref, The Lost Boys est un film délirant, sombre et vraiment sympathique à regarder et qui reste un des meilleurs films du genre des années 80 mais qui a surtout permis, à l'époque, de moderniser l'image du vampire.

petite note: des suites ont été réalisées, je ne les ai pas regardé mais je sais d'avance qu'elles sont loin d'égaler le premier film.



BACK TO THE EIGHTIES • The Lost Boys (1987).

The Lost Boys (1987).
The Lost Boys (Génération Perdue en VF) est une comédie horrifique réalisée par Joel Schumacher en 1987. Regroupant une bonne brochette d'acteurs fétiches des années 80, ce film raconte l’histoire de deux frères, Michael et Sam qui viennent d’emménager avec leur mère chez leur grand-père en Californie. Michael, l'ainé, tombe sous le charme d'une mystérieuse jeune fille faisant partie d'un groupe de motards tout aussi mystérieux. Quant à Sam, il fait la connaissance de deux frères, Edgar et Alan Frog, tenant un magasin de comics et qui mette en garde Sam contre les vampires qui peuplent la ville de Santa Carla. Tout ça sans compter la transformation graduelle de Michael en une créature de la nuit. Ils vont donc devoir trouver le chef des vampire et le tuer pour permettre à Michael de redevenir humain...


Un film avec de vrais vampires

The Lost Boys est un bon film de vampires. Ici, les vampires sont cruels et n'ont aucun remords à attaquer des personnes innocentes et en toute honnêteté, c'est comme ça que j'aime les vampires. Les vampires dans ce film sont plus dans le style "Buffy contre les vampires", d'ailleurs, le vampire interprété par Kieffer Sutherland dans The Lost Boys me fait étrangement pensé à Spike dans le style vampire motard à la chevelure peroxydée - je me demande même si Joss Whedon ne se serait pas inspiré de quelques éléments de ce film pour créer Buffy contre les vampires, vous pouvez d'ailleurs lire un article en anglais qui le prouve ici. Bref, vous l'aurez compris, dans ce film, on a des vampires sanguinaire mais qui ont de la gueule.
You'd better get yourself a garlic t-shirt, buddy, or it's your funeral.- Edgar Frog
Mais bien sûr, que serez des vampires sans nos héros humains pour les affronter. Dans ces rôles, nous avons Corey Feldman (Bagou dans les Goonies), Corey Haim (Lucas dans le film éponyme) et Jamison Newlander (qui, en 29 ans de carrière, n'a joué quand dans ce film et ses suites). Ici, c'est le tout premier films des Two Coreys ensemble et on comprend pourquoi ils ont fait un bon bout de leur carrière ensemble tant il y a de l'alchimie entre eux. Les deux sont excellent dans leur rôle, Corey H. dans le rôle du nouveau qui débarque dans une ville infesté de vampires mais qui gèrent plutôt bien la chose et Corey F. dans le rôle du mec qui, malgré son jeune age, gère avec son frère un magasin de comics mais qui est aussi une sorte de vampire hunter. Mais de toute façon, tous les acteurs de ce film sont excellents, Kiefer Sutherland fait un travail sublime dans le rôle de David, le leader du groupe de vampires, il dégage tellement de charme tout en étant effrayant - ouai, Kiefer était, à mon gout, carrément canon durant les années 80. Il y aussi des acteurs que vous connaissez sûrement tels que Dianne Wiest (Peg Boggs dans Edward aux Mains d'Argent) et Edward Herrmann (le grand-père de Rory dans Gilmore Girls).

The Lost Boys (1987).
Concernant l'intrigue, elle est plutôt bien menée. En soit, l'histoire n'est pas extrêmement originale mais ce n'est pas vraiment le but du film à mon avis. Le film reste mémorable surtout grâce à nos trois jeunes chasseurs de vampires (et aussi car c'est le premier film de The Two Coreys) et selon moi, ils sont vraiment le symbole du film et on s'attache particulièrement à ces personnages car ils apportent la touche comique du film. Concernant les vampires, le maquillage est vraiment bien fait pour l'époque et ça a plutôt bien vieilli à mon gout. Contre toute attente, vers la fin, le film devient gore par moment mais par contre, je pense que c'est censé être le gore à outrance qui finit par nous faire rire. Sinon, j'adore le titre du film, il est tellement ingénieux, ce clin d’œil à Peter Pan et aux garçons perdus qui ne veulent pas grandir et qui ne grandissent pas du tout, comme les vampires qui restent jeunes éternellement.

Alors, on regarde ou pas ?

Bref, The Lost Boys est un film délirant, sombre et vraiment sympathique à regarder et qui reste un des meilleurs films du genre des années 80 mais qui a surtout permis, à l'époque, de moderniser l'image du vampire.

petite note: des suites ont été réalisées, je ne les ai pas regardé mais je sais d'avance qu'elles sont loin d'égaler le premier film.



The Magicians

The Magicians est une série télévisée américaine diffusée depuis fin 2015, basée sur le roman du même nom écrit par Lev Grossman. L'histoire est à propos de Quentin Coldwater, un étudiant fan de Fillory and Further, une série de livres de fantasy - qui vous fera sans doute rappeler l'univers de Narnia. Un jour, Quentin est recruté à l'Université Brakebills, une institution secrète spécialisée dans la magie. Il y fera la rencontre d'Eliot, Margo, Penny et Alice. Mais peu de temps après la rentrée, un magicien maléfique appelé The Beast fait irruption dans la vie de nos héros et veut tout anéantir pour avoir le pouvoir absolu et seulement eux auront le pouvoir de l'arrêter.



Cette série, j’ai tout de suite accroché à l’univers. C'est censé être un mélange entre Harry Potter et Narnia et bien qu'il y a quelques similitudes, ça reste tout de même très éloigné de ces deux univers. The Magicians est une série assez sombre avec de nombreuses thématiques: la dépression, la dépendance (notamment à la magie et à l'alcool), l'amour, etc. La pratique de la magie dans The Magicians est intéressante et inédite. Elle ressemble un peu à des maths ou à une langue qu’il faudrait apprendre. Elle se pratique avec les mains avec une multitude d'enchaînements de gestes. D'ailleurs, les acteurs ont dû apprendre le finger tutting, une sorte de danse qui s’utilise avec les mains. Je trouve que ça rend la pratique de la magie encore plus hypnotisante.




Au premier abord, on pourrait penser que les personnages sont des personnages aux personnalités clichées mais ces clichés sont vite brisés au fil des épisodes. Le personnage de Quentin est intéressant car bien qu’il soit le personnage principal, tout ne tourne pas autour de lui, il ne porte pas l’image du Chosen One à laquelle on s’attend forcement. Quentin est un garçon lambda, qu’on adore mais qui nous agace parfois, bref, un personnage très humain auquel je me suis énormément identifié. Quant à Julia, la meilleure amie de Quentin qui s'est vu refusé l'admission à Brakebills, j’adore son personnage, on explore plusieurs facettes de sa personnalité, de sa fragilité à sa grande force de caractère. Penny est aussi un personnage qui j’apprécie beaucoup, il me fait un peu penser à Bender de The Breakfast Club pour son coté je-m'en-foutiste et je déteste tout le monde mais en fait je me soucis des gens. Bon, des fois, il m’agace aussi à cause de son caractère à la con mais c’est ça qui est bien avec les personnages de cette série, ils nous font ressentir une multitude de sentiments à leurs égards. Alice, c’est carrément la Hermione du groupe. C’est la plus intelligente et c’est celle qui pratique le mieux la magie. J’ai du mal à apprécier ce personnage que je trouve un peu plat, j’espère que sa personnalité sera plus exploité dans la deuxième saison. On a aussi Eliot - qui me fait d'ailleurs pensé au personnage de Dorian Gray -  et Margot, les débauchés de la bande qui, au fil des épisodes, se révèlent plus profond que l'on aurait pu penser. 




Niveau technique, contrairement à ce qu'on pourrait imaginé pour une série, les effets spéciaux sont plutôt bon - on est loin de l'atrocité de ceux de Once Upon a Time. Il y a un peu de gore dans cette série mais rien de bien méchant, si j'arrive à le supporter, vous y arriverez aussi. Concernant l'intrigue, l'histoire se passe un peu trop rapidement mais ce n'est pas dérangeant à mon goût. En conclusion, je trouve que c'est une très bonne série avec un univers sombre et intéressant et des tas de personnages tous différents des uns des autres qu'on apprécie plus ou moins, il me tarde donc de voir la seconde saison qui arrivera en 2017.





SERIES JUNKIE • The Magicians.

The Magicians

The Magicians est une série télévisée américaine diffusée depuis fin 2015, basée sur le roman du même nom écrit par Lev Grossman. L'histoire est à propos de Quentin Coldwater, un étudiant fan de Fillory and Further, une série de livres de fantasy - qui vous fera sans doute rappeler l'univers de Narnia. Un jour, Quentin est recruté à l'Université Brakebills, une institution secrète spécialisée dans la magie. Il y fera la rencontre d'Eliot, Margo, Penny et Alice. Mais peu de temps après la rentrée, un magicien maléfique appelé The Beast fait irruption dans la vie de nos héros et veut tout anéantir pour avoir le pouvoir absolu et seulement eux auront le pouvoir de l'arrêter.



Cette série, j’ai tout de suite accroché à l’univers. C'est censé être un mélange entre Harry Potter et Narnia et bien qu'il y a quelques similitudes, ça reste tout de même très éloigné de ces deux univers. The Magicians est une série assez sombre avec de nombreuses thématiques: la dépression, la dépendance (notamment à la magie et à l'alcool), l'amour, etc. La pratique de la magie dans The Magicians est intéressante et inédite. Elle ressemble un peu à des maths ou à une langue qu’il faudrait apprendre. Elle se pratique avec les mains avec une multitude d'enchaînements de gestes. D'ailleurs, les acteurs ont dû apprendre le finger tutting, une sorte de danse qui s’utilise avec les mains. Je trouve que ça rend la pratique de la magie encore plus hypnotisante.




Au premier abord, on pourrait penser que les personnages sont des personnages aux personnalités clichées mais ces clichés sont vite brisés au fil des épisodes. Le personnage de Quentin est intéressant car bien qu’il soit le personnage principal, tout ne tourne pas autour de lui, il ne porte pas l’image du Chosen One à laquelle on s’attend forcement. Quentin est un garçon lambda, qu’on adore mais qui nous agace parfois, bref, un personnage très humain auquel je me suis énormément identifié. Quant à Julia, la meilleure amie de Quentin qui s'est vu refusé l'admission à Brakebills, j’adore son personnage, on explore plusieurs facettes de sa personnalité, de sa fragilité à sa grande force de caractère. Penny est aussi un personnage qui j’apprécie beaucoup, il me fait un peu penser à Bender de The Breakfast Club pour son coté je-m'en-foutiste et je déteste tout le monde mais en fait je me soucis des gens. Bon, des fois, il m’agace aussi à cause de son caractère à la con mais c’est ça qui est bien avec les personnages de cette série, ils nous font ressentir une multitude de sentiments à leurs égards. Alice, c’est carrément la Hermione du groupe. C’est la plus intelligente et c’est celle qui pratique le mieux la magie. J’ai du mal à apprécier ce personnage que je trouve un peu plat, j’espère que sa personnalité sera plus exploité dans la deuxième saison. On a aussi Eliot - qui me fait d'ailleurs pensé au personnage de Dorian Gray -  et Margot, les débauchés de la bande qui, au fil des épisodes, se révèlent plus profond que l'on aurait pu penser. 




Niveau technique, contrairement à ce qu'on pourrait imaginé pour une série, les effets spéciaux sont plutôt bon - on est loin de l'atrocité de ceux de Once Upon a Time. Il y a un peu de gore dans cette série mais rien de bien méchant, si j'arrive à le supporter, vous y arriverez aussi. Concernant l'intrigue, l'histoire se passe un peu trop rapidement mais ce n'est pas dérangeant à mon goût. En conclusion, je trouve que c'est une très bonne série avec un univers sombre et intéressant et des tas de personnages tous différents des uns des autres qu'on apprécie plus ou moins, il me tarde donc de voir la seconde saison qui arrivera en 2017.







Apres une longue absence d'Internet, je reviens avec un petit book haul certes, mais deux des trois livres sont des pavés. Je vous présente ces œuvres, assez ancienne pour la plupart. C'est parti!



Carry On de Rainbow Rowell
Simon Snow is the worst Chosen One who’s ever been chosen.
That’s what his roommate, Baz, says. And Baz might be evil and a vampire and a complete git, but he’s probably right. Half the time, Simon can’t even make his wand work, and the other half, he sets something on fire. His mentor’s avoiding him, his girlfriend broke up with him, and there’s a magic-eating monster running around wearing Simon’s face. Baz would be having a field day with all this, if he were here—it’s their last year at the Watford School of Magicks, and Simon’s infuriating nemesis didn’t even bother to show up. Carry On is a ghost story, a love story, and a mystery. It has just as much kissing and talking as you'd expect from a Rainbow Rowell story — but far, far more monsters.

Avec ce livre, Rainbow Rowell nous offre en quelque sorte le fameux roman qui a inspiré Cath de son roman Fangirl à écrire de la fanfiction. En gros, ce livre fantasy s'inspire d'Harry Potter avec l'auteur qui donne son point du vue sur le "thème" du Chosen One. J'ai lu divers avis, certaines personnes regrettant la trop forte influence d'Harry Potter et d'autres qui ont tout simplement adoré. J'ai hâte de le commencer pour m'en faire mon propre avis.



The Time Machine de H.G. Wells
Chilling, prophetic and hugely influential, The Time Machine sees a Victorian scientist propel himself into the year 802,701 AD, where he is delighted to find that suffering has been replaced by beauty and contentment in the form of the Eloi, an elfin species descended from man. But he soon realizes that they are simply remnants of a once-great culture - now weak and living in terror of the sinister Morlocks lurking in the deep tunnels, who threaten his very return home. H. G. Wells defined much of modern science fiction with this 1895 tale of time travel, which questions humanity, society, and our place on Earth.

Un CLASSIQUE de la science-fiction et étant une fan du thème du voyage dans le temps, il me fallait à tout prix me procurer ce roman. On peut dire que c'est grâce à H.G Wells qu'a vu le jour des tas d'histoires sur le voyage dans le temps.  L'histoire est plutôt simple: un scientifique invente une machine à voyager dans le temps et qui l'utilise bien évidemment et qui nous raconte ensuite l'aventure qu'il a vécu dans le futur. Le livre est court et devrait se lire rapidement.



Dune de Frank Herbert
Set in the far future amidst a sprawling feudal interstellar empire where planetary dynasties are controlled by noble houses that owe an allegiance to the imperial House Corrino, Dune tells the story of young Paul Atreides (the heir apparent to Duke Leto Atreides and heir of House Atreides) as he and his family accept control of the desert planet Arrakis, the only source of the 'spice' melange, the most important and valuable substance in the cosmos. The story explores the complex, multi-layered interactions of politics, religion, ecology, technology, and human emotion as the forces of the empire confront each other for control of Arrakis.

Un autre classique de la science-fiction qui, d’après Wikipedia, est le roman sci-fi le plus vendu au monde. Publié en 1965, il est considéré comme le prédécesseur de grands classiques de science-fiction tels que Star Wars ou Ender's Game. L'histoire est tellement vaste et complexe que j'ai du me renseigner pour en détails sur Wikipédia pour savoir quel était le synopsis du roman mais ça a vraiment l'air sensationnel. 




De ces trois livres, lequel vous tente le plus ?






BOOK HAUL #3 | Fantasy & Sci-fi.



Apres une longue absence d'Internet, je reviens avec un petit book haul certes, mais deux des trois livres sont des pavés. Je vous présente ces œuvres, assez ancienne pour la plupart. C'est parti!



Carry On de Rainbow Rowell
Simon Snow is the worst Chosen One who’s ever been chosen.
That’s what his roommate, Baz, says. And Baz might be evil and a vampire and a complete git, but he’s probably right. Half the time, Simon can’t even make his wand work, and the other half, he sets something on fire. His mentor’s avoiding him, his girlfriend broke up with him, and there’s a magic-eating monster running around wearing Simon’s face. Baz would be having a field day with all this, if he were here—it’s their last year at the Watford School of Magicks, and Simon’s infuriating nemesis didn’t even bother to show up. Carry On is a ghost story, a love story, and a mystery. It has just as much kissing and talking as you'd expect from a Rainbow Rowell story — but far, far more monsters.

Avec ce livre, Rainbow Rowell nous offre en quelque sorte le fameux roman qui a inspiré Cath de son roman Fangirl à écrire de la fanfiction. En gros, ce livre fantasy s'inspire d'Harry Potter avec l'auteur qui donne son point du vue sur le "thème" du Chosen One. J'ai lu divers avis, certaines personnes regrettant la trop forte influence d'Harry Potter et d'autres qui ont tout simplement adoré. J'ai hâte de le commencer pour m'en faire mon propre avis.



The Time Machine de H.G. Wells
Chilling, prophetic and hugely influential, The Time Machine sees a Victorian scientist propel himself into the year 802,701 AD, where he is delighted to find that suffering has been replaced by beauty and contentment in the form of the Eloi, an elfin species descended from man. But he soon realizes that they are simply remnants of a once-great culture - now weak and living in terror of the sinister Morlocks lurking in the deep tunnels, who threaten his very return home. H. G. Wells defined much of modern science fiction with this 1895 tale of time travel, which questions humanity, society, and our place on Earth.

Un CLASSIQUE de la science-fiction et étant une fan du thème du voyage dans le temps, il me fallait à tout prix me procurer ce roman. On peut dire que c'est grâce à H.G Wells qu'a vu le jour des tas d'histoires sur le voyage dans le temps.  L'histoire est plutôt simple: un scientifique invente une machine à voyager dans le temps et qui l'utilise bien évidemment et qui nous raconte ensuite l'aventure qu'il a vécu dans le futur. Le livre est court et devrait se lire rapidement.



Dune de Frank Herbert
Set in the far future amidst a sprawling feudal interstellar empire where planetary dynasties are controlled by noble houses that owe an allegiance to the imperial House Corrino, Dune tells the story of young Paul Atreides (the heir apparent to Duke Leto Atreides and heir of House Atreides) as he and his family accept control of the desert planet Arrakis, the only source of the 'spice' melange, the most important and valuable substance in the cosmos. The story explores the complex, multi-layered interactions of politics, religion, ecology, technology, and human emotion as the forces of the empire confront each other for control of Arrakis.

Un autre classique de la science-fiction qui, d’après Wikipedia, est le roman sci-fi le plus vendu au monde. Publié en 1965, il est considéré comme le prédécesseur de grands classiques de science-fiction tels que Star Wars ou Ender's Game. L'histoire est tellement vaste et complexe que j'ai du me renseigner pour en détails sur Wikipédia pour savoir quel était le synopsis du roman mais ça a vraiment l'air sensationnel. 




De ces trois livres, lequel vous tente le plus ?







L'HISTOIRE
Replay est un roman de science-fiction écrit par l’auteur américain Ken Grimwood. Sorti en 1986, le roman gagne deux ans plus tard le prix de Best Novel aux World Fantasy Awards. Ce roman nous conte l’histoire de Jeff, un quarantenaire qui a une vie plutôt médiocre, avec son mariage qui bat de l’aile. Alors que Jeff meurt subitement d’une crise cardiaque, il se retrouve dans sa vieille chambre d’étudiant, en 1963, alors seulement âgé de 18 ans. Pensant vivre un rêve étrange, il se rend compte en explorant la ville d’Atlanta que tout ceci est bien réel. Jeff a alors la chance de pouvoir tout revivre et qui plus est, en mieux.


CE QUE J'EN AI PENSÉ
Jeff est un personnage intéressant, il n’est pas parfait et les choix qu’il va faire sont humains, qu’ils soient bons ou mauvais. Comme tout humain, il va bien sûr avoir de l’idée de se servir de ses connaissances sur le futur pour changer son propre avenir et ne pas faire les mêmes erreurs. Il décide alors de gagner de l’argent grâce à des paris sportifs – Marty Mcfly aura en quelque sorte la même idée bien que c’est surtout Biff Tannen qui en fera usage grâce à l’Almanach des Sports dans Retour Vers le Futur II sorti en 1989  – et bien sûr, il commence à s’enrichir et à avoir la belle vie. Mais, qui dit changements des événements dit conséquences. Je m’arrête ici pour ne pas vous spoiler…

Ce livre est un vrai petit bijou. On va au-delà du banal voyage dans le temps et on nous emmène beaucoup plus loin – je suis donc totalement conquise. Ici, c’est toute une rétrospective du genre humain et des choix qui s’offrent à nous et des décisions qui s’en suivent devant cette situation. J’ai beaucoup apprécié que malgré le thème du livre, l’histoire reste réaliste dans le sens où si ces événements devaient vraiment arrivé à quelqu’un, ça se passerait probablement comme ça. Attention, je pense spoiler un peu à partir d’ici mais rien qui ne gâche vraiment la lecture. Jeff ne va pas revivre qu’une fois cette période-ci de sa vie mais plusieurs fois, il va donc appeler ce phénomène « replay ». Il va donc vivre ses replays de manière différente : tantôt une vie débauché, tantôt une vie posée, Jeff va avoir la chance – ou la malédiction –  de vivre une multitude de vies mais, pour ma part, je trouve que parfois, il n’en fait pas bien usage. En effet, je trouve qu’il aurait plus faire beaucoup plus de ce qu’il fait dans le roman, il reste selon moi dans la restreinte mais je dis seulement ça car si j’avais été à sa place, j’aurais fait tellement plus.

Mis à part ce petit détail "négatif", ce roman est vraiment excellent et fait dorénavant parti de mes romans préférés que je relirais surement dans l’avenir et je ne peux que vous le conseiller. Je m’en veux d’ailleurs un peu de l’avoir lu en français (la couverture est selon moi beaucoup jolie dans cette version que dans la version anglaise) mais je pense quand même me le procurer en VO. Bref un véritable coup de cœur qu’il me tarde de relire. 






BOOK REVIEW • REPLAY de Ken Grimwood.


L'HISTOIRE
Replay est un roman de science-fiction écrit par l’auteur américain Ken Grimwood. Sorti en 1986, le roman gagne deux ans plus tard le prix de Best Novel aux World Fantasy Awards. Ce roman nous conte l’histoire de Jeff, un quarantenaire qui a une vie plutôt médiocre, avec son mariage qui bat de l’aile. Alors que Jeff meurt subitement d’une crise cardiaque, il se retrouve dans sa vieille chambre d’étudiant, en 1963, alors seulement âgé de 18 ans. Pensant vivre un rêve étrange, il se rend compte en explorant la ville d’Atlanta que tout ceci est bien réel. Jeff a alors la chance de pouvoir tout revivre et qui plus est, en mieux.


CE QUE J'EN AI PENSÉ
Jeff est un personnage intéressant, il n’est pas parfait et les choix qu’il va faire sont humains, qu’ils soient bons ou mauvais. Comme tout humain, il va bien sûr avoir de l’idée de se servir de ses connaissances sur le futur pour changer son propre avenir et ne pas faire les mêmes erreurs. Il décide alors de gagner de l’argent grâce à des paris sportifs – Marty Mcfly aura en quelque sorte la même idée bien que c’est surtout Biff Tannen qui en fera usage grâce à l’Almanach des Sports dans Retour Vers le Futur II sorti en 1989  – et bien sûr, il commence à s’enrichir et à avoir la belle vie. Mais, qui dit changements des événements dit conséquences. Je m’arrête ici pour ne pas vous spoiler…

Ce livre est un vrai petit bijou. On va au-delà du banal voyage dans le temps et on nous emmène beaucoup plus loin – je suis donc totalement conquise. Ici, c’est toute une rétrospective du genre humain et des choix qui s’offrent à nous et des décisions qui s’en suivent devant cette situation. J’ai beaucoup apprécié que malgré le thème du livre, l’histoire reste réaliste dans le sens où si ces événements devaient vraiment arrivé à quelqu’un, ça se passerait probablement comme ça. Attention, je pense spoiler un peu à partir d’ici mais rien qui ne gâche vraiment la lecture. Jeff ne va pas revivre qu’une fois cette période-ci de sa vie mais plusieurs fois, il va donc appeler ce phénomène « replay ». Il va donc vivre ses replays de manière différente : tantôt une vie débauché, tantôt une vie posée, Jeff va avoir la chance – ou la malédiction –  de vivre une multitude de vies mais, pour ma part, je trouve que parfois, il n’en fait pas bien usage. En effet, je trouve qu’il aurait plus faire beaucoup plus de ce qu’il fait dans le roman, il reste selon moi dans la restreinte mais je dis seulement ça car si j’avais été à sa place, j’aurais fait tellement plus.

Mis à part ce petit détail "négatif", ce roman est vraiment excellent et fait dorénavant parti de mes romans préférés que je relirais surement dans l’avenir et je ne peux que vous le conseiller. Je m’en veux d’ailleurs un peu de l’avoir lu en français (la couverture est selon moi beaucoup jolie dans cette version que dans la version anglaise) mais je pense quand même me le procurer en VO. Bref un véritable coup de cœur qu’il me tarde de relire. 






Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.




MOVIE BATTLE • Qui est le meilleur Peter Pan?

Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.








L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







BOOK REVIEW • Keeper of the Lost Cities de Shannon Messenger.





L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !


BACK TO THE EIGHTIES • Ferris Bueller's Day Off (1986).

ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !




THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


INSTANT CINOCHE • The Spectacular Now (2013).



THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


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