L'HISTOIRE
Replay est un roman de science-fiction écrit par l’auteur américain Ken Grimwood. Sorti en 1986, le roman gagne deux ans plus tard le prix de Best Novel aux World Fantasy Awards. Ce roman nous conte l’histoire de Jeff, un quarantenaire qui a une vie plutôt médiocre, avec son mariage qui bat de l’aile. Alors que Jeff meurt subitement d’une crise cardiaque, il se retrouve dans sa vieille chambre d’étudiant, en 1963, alors seulement âgé de 18 ans. Pensant vivre un rêve étrange, il se rend compte en explorant la ville d’Atlanta que tout ceci est bien réel. Jeff a alors la chance de pouvoir tout revivre et qui plus est, en mieux.


CE QUE J'EN AI PENSÉ
Jeff est un personnage intéressant, il n’est pas parfait et les choix qu’il va faire sont humains, qu’ils soient bons ou mauvais. Comme tout humain, il va bien sûr avoir de l’idée de se servir de ses connaissances sur le futur pour changer son propre avenir et ne pas faire les mêmes erreurs. Il décide alors de gagner de l’argent grâce à des paris sportifs – Marty Mcfly aura en quelque sorte la même idée bien que c’est surtout Biff Tannen qui en fera usage grâce à l’Almanach des Sports dans Retour Vers le Futur II sorti en 1989  – et bien sûr, il commence à s’enrichir et à avoir la belle vie. Mais, qui dit changements des événements dit conséquences. Je m’arrête ici pour ne pas vous spoiler…

Ce livre est un vrai petit bijou. On va au-delà du banal voyage dans le temps et on nous emmène beaucoup plus loin – je suis donc totalement conquise. Ici, c’est toute une rétrospective du genre humain et des choix qui s’offrent à nous et des décisions qui s’en suivent devant cette situation. J’ai beaucoup apprécié que malgré le thème du livre, l’histoire reste réaliste dans le sens où si ces événements devaient vraiment arrivé à quelqu’un, ça se passerait probablement comme ça. Attention, je pense spoiler un peu à partir d’ici mais rien qui ne gâche vraiment la lecture. Jeff ne va pas revivre qu’une fois cette période-ci de sa vie mais plusieurs fois, il va donc appeler ce phénomène « replay ». Il va donc vivre ses replays de manière différente : tantôt une vie débauché, tantôt une vie posée, Jeff va avoir la chance – ou la malédiction –  de vivre une multitude de vies mais, pour ma part, je trouve que parfois, il n’en fait pas bien usage. En effet, je trouve qu’il aurait plus faire beaucoup plus de ce qu’il fait dans le roman, il reste selon moi dans la restreinte mais je dis seulement ça car si j’avais été à sa place, j’aurais fait tellement plus.

Mis à part ce petit détail "négatif", ce roman est vraiment excellent et fait dorénavant parti de mes romans préférés que je relirais surement dans l’avenir et je ne peux que vous le conseiller. Je m’en veux d’ailleurs un peu de l’avoir lu en français (la couverture est selon moi beaucoup jolie dans cette version que dans la version anglaise) mais je pense quand même me le procurer en VO. Bref un véritable coup de cœur qu’il me tarde de relire. 






BOOK REVIEW • REPLAY de Ken Grimwood.


L'HISTOIRE
Replay est un roman de science-fiction écrit par l’auteur américain Ken Grimwood. Sorti en 1986, le roman gagne deux ans plus tard le prix de Best Novel aux World Fantasy Awards. Ce roman nous conte l’histoire de Jeff, un quarantenaire qui a une vie plutôt médiocre, avec son mariage qui bat de l’aile. Alors que Jeff meurt subitement d’une crise cardiaque, il se retrouve dans sa vieille chambre d’étudiant, en 1963, alors seulement âgé de 18 ans. Pensant vivre un rêve étrange, il se rend compte en explorant la ville d’Atlanta que tout ceci est bien réel. Jeff a alors la chance de pouvoir tout revivre et qui plus est, en mieux.


CE QUE J'EN AI PENSÉ
Jeff est un personnage intéressant, il n’est pas parfait et les choix qu’il va faire sont humains, qu’ils soient bons ou mauvais. Comme tout humain, il va bien sûr avoir de l’idée de se servir de ses connaissances sur le futur pour changer son propre avenir et ne pas faire les mêmes erreurs. Il décide alors de gagner de l’argent grâce à des paris sportifs – Marty Mcfly aura en quelque sorte la même idée bien que c’est surtout Biff Tannen qui en fera usage grâce à l’Almanach des Sports dans Retour Vers le Futur II sorti en 1989  – et bien sûr, il commence à s’enrichir et à avoir la belle vie. Mais, qui dit changements des événements dit conséquences. Je m’arrête ici pour ne pas vous spoiler…

Ce livre est un vrai petit bijou. On va au-delà du banal voyage dans le temps et on nous emmène beaucoup plus loin – je suis donc totalement conquise. Ici, c’est toute une rétrospective du genre humain et des choix qui s’offrent à nous et des décisions qui s’en suivent devant cette situation. J’ai beaucoup apprécié que malgré le thème du livre, l’histoire reste réaliste dans le sens où si ces événements devaient vraiment arrivé à quelqu’un, ça se passerait probablement comme ça. Attention, je pense spoiler un peu à partir d’ici mais rien qui ne gâche vraiment la lecture. Jeff ne va pas revivre qu’une fois cette période-ci de sa vie mais plusieurs fois, il va donc appeler ce phénomène « replay ». Il va donc vivre ses replays de manière différente : tantôt une vie débauché, tantôt une vie posée, Jeff va avoir la chance – ou la malédiction –  de vivre une multitude de vies mais, pour ma part, je trouve que parfois, il n’en fait pas bien usage. En effet, je trouve qu’il aurait plus faire beaucoup plus de ce qu’il fait dans le roman, il reste selon moi dans la restreinte mais je dis seulement ça car si j’avais été à sa place, j’aurais fait tellement plus.

Mis à part ce petit détail "négatif", ce roman est vraiment excellent et fait dorénavant parti de mes romans préférés que je relirais surement dans l’avenir et je ne peux que vous le conseiller. Je m’en veux d’ailleurs un peu de l’avoir lu en français (la couverture est selon moi beaucoup jolie dans cette version que dans la version anglaise) mais je pense quand même me le procurer en VO. Bref un véritable coup de cœur qu’il me tarde de relire. 






Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.




MOVIE BATTLE • Qui est le meilleur Peter Pan?

Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.








L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







BOOK REVIEW • Keeper of the Lost Cities de Shannon Messenger.





L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







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