Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


Stranger Things, la nouvelle série Netflix: un mix entre Les Goonies, E.T et Poltergeist.

Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.



INSTANT CINOCHE • FANBOYS de Kyle Newman (2009).

Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.






Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.


Bouquins et Pop Culture.




Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.


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