Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Séries TV & Nostalgie : La Trilogie du Samedi
Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
Court-métrage, le tournage et la post-prod.
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION