Crazyhead; Chewing Gum 2016




Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !


Crazyhead

Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.

On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.


Chewing Gum

Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.

Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.




Crazyhead et Chewing Gum, deux séries british déjantées.

Crazyhead; Chewing Gum 2016




Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !


Crazyhead

Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.

On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.


Chewing Gum

Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.

Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.







Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


INSTANT CINOCHE • Turbo Kid (2015).




Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


Lectures Janvier 2017

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article sur des livres. Aujourd'hui, je vous parle de mes trois dernières lectures, une que j'ai lu fin 2016 et les deux autres début janvier. Pour info, mon objectif de cette année est de lire 20+ livres, souhaitez-moi bonne chance!


La Mort en Tête de Sire Cédric.
Le duo d’enquêteurs Eva Svärta / Alexandre Vauvert est en bien mauvaise posture... Ils traquent sans relâche les tueurs psychopathes, mais cette fois ce sont eux les proies d’un criminel sadique... Tout commence en banlieue parisienne, la séance d’exorcisme d’un enfant de huit ans a tourné au drame. Eva Svärta, policière à la Brigade criminelle, enceinte de quatre mois, se rend sur les lieux. Est-ce un accident ? Comment est vraiment mort cet enfant ? Sur place, la policière rencontre Dorian Barbarossa. Un journaliste à sensation qui vit depuis des années avec une balle de calibre 22 dans le crâne. Eva Svärta ne se doute pas encore de la descente aux enfers qui l’attend…

Sire Cédric est un de mes auteurs préférés (et en plus, il me suit sur Twitter héhé) et ces romans sont fabuleux. Un mélange parfait entre thriller, horreur et surnaturel. Malgré que tout ses romans tournent autour des 700 pages, la lecture est à chaque fois fluide et rapide. Il est tout simplement difficile de reposer ses romans une fois qu'on a commencé à les lire. Dans La Mort en Tête, on retrouve son duo de choc qu'on retrouve dans la majorité de ses romans, le commandant Alexandre Vauvert et la policière Eva Svarta. Malheureusement, je ne vais pas vraiment pouvoir vous en raconter trop sur les personnages de peur de vous spoiler les autres romans. Concernant l'intrigue, comme toujours, c'est puissant et ça vous donnera la chair du poule, c'est bien écrit et c'est palpitant, vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer. Je vous conseille vraiment les romans de Sire Cédric, il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé.


Paper Girls, vol. 1 de Brian K. Vaughan.
In the early hours after Halloween of 1988, four 12-year-old newspaper delivery girls uncover the most important story of all time. Suburban drama and otherworldly mysteries collide in this smash-hit series about nostalgia, first jobs, and the last days of childhood.

Difficile de vraiment juger en ayant seulement lu le premier volume mais j'ai quand même beaucoup aimé ce roman graphique. C'est un peu fouillis car tout se passe très vite dès le début mais c'est très prometteur et ça promet d'être intriguant. De plus, l'histoire se passe dans les années 80 et contient donc quelques références que j'ai apprécié. Le seul reproche que je pourrais faire est que, à mon avis, les filles ne sont pas vraiment dépeintes comme des ados de 12 ans, j'avais plutôt l'impression de suivre des adolescente de 15-16 ans de la manière dont elle sont dessiné mais aussi dans leur façon de parler mais rien de bien dérangeant. On reste un peu sur sa faim étant donné que c'est une lecture rapide mais j'ai vraiment hâte de lire le deuxième volume. J'ai beaucoup aimé les illustrations faites par Cliff Chiang ainsi que la palette de couleurs qui varie entre le rose, le bleu et le violet.


An Author's Odyssey de Chris Colfer
In the highly anticipated continuation of the Land of Stories series, Conner learns that the only place to fight the Masked Man's literary army is inside his own short stories! When the twins and their friends enter worlds crafted from Conner's imagination, finding allies no one else could have ever dreamed of, the race begins to put an end to the Masked Man's reign of terror. Can the twins finally restore peace in the fairy tale world? 

J'aime beaucoup la saga The Land of Stories. A chaque fois que je me replonge dans cet univers, je ne peux m'empêcher de penser aux Disney ou à Once Upon a Time. J'avais adoré les 4 premiers tomes mais avec ce cinquième livre, j'ai été un peu déçue. Pourtant, l'histoire était prometteuse car cette fois-ci, Conner et Alex allaient voyager dans les propres nouvelles écrites par Conner. J'ai trouvé que certains passages traînaient en longueur et n'étaient pas forcement utile à l'intrigue, notamment une toute petite partie concernant le Book Huggers complètement inutile à l'histoire et une complète perte de temps. Le tout manque d'action, la preuve étant que j'ai mis une bonne semaine pour le finir contrairement aux autres tomes que je finissais en quelques jours. Seule la fin du roman rattrape le tout selon moi. J'ai quand même mis 4,5/5 au roman, surement par plaisir d'avoir retrouvé les jumeaux Bailey et leurs amis de The Land of Stories.



Et vous, quelles sont vos dernières lectures ? Que livre êtes-vous actuellement en train de lire ? Quel est votre objectif de livre à lire cette année ?



Mes dernières lectures.

Lectures Janvier 2017

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article sur des livres. Aujourd'hui, je vous parle de mes trois dernières lectures, une que j'ai lu fin 2016 et les deux autres début janvier. Pour info, mon objectif de cette année est de lire 20+ livres, souhaitez-moi bonne chance!


La Mort en Tête de Sire Cédric.
Le duo d’enquêteurs Eva Svärta / Alexandre Vauvert est en bien mauvaise posture... Ils traquent sans relâche les tueurs psychopathes, mais cette fois ce sont eux les proies d’un criminel sadique... Tout commence en banlieue parisienne, la séance d’exorcisme d’un enfant de huit ans a tourné au drame. Eva Svärta, policière à la Brigade criminelle, enceinte de quatre mois, se rend sur les lieux. Est-ce un accident ? Comment est vraiment mort cet enfant ? Sur place, la policière rencontre Dorian Barbarossa. Un journaliste à sensation qui vit depuis des années avec une balle de calibre 22 dans le crâne. Eva Svärta ne se doute pas encore de la descente aux enfers qui l’attend…

Sire Cédric est un de mes auteurs préférés (et en plus, il me suit sur Twitter héhé) et ces romans sont fabuleux. Un mélange parfait entre thriller, horreur et surnaturel. Malgré que tout ses romans tournent autour des 700 pages, la lecture est à chaque fois fluide et rapide. Il est tout simplement difficile de reposer ses romans une fois qu'on a commencé à les lire. Dans La Mort en Tête, on retrouve son duo de choc qu'on retrouve dans la majorité de ses romans, le commandant Alexandre Vauvert et la policière Eva Svarta. Malheureusement, je ne vais pas vraiment pouvoir vous en raconter trop sur les personnages de peur de vous spoiler les autres romans. Concernant l'intrigue, comme toujours, c'est puissant et ça vous donnera la chair du poule, c'est bien écrit et c'est palpitant, vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer. Je vous conseille vraiment les romans de Sire Cédric, il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé.


Paper Girls, vol. 1 de Brian K. Vaughan.
In the early hours after Halloween of 1988, four 12-year-old newspaper delivery girls uncover the most important story of all time. Suburban drama and otherworldly mysteries collide in this smash-hit series about nostalgia, first jobs, and the last days of childhood.

Difficile de vraiment juger en ayant seulement lu le premier volume mais j'ai quand même beaucoup aimé ce roman graphique. C'est un peu fouillis car tout se passe très vite dès le début mais c'est très prometteur et ça promet d'être intriguant. De plus, l'histoire se passe dans les années 80 et contient donc quelques références que j'ai apprécié. Le seul reproche que je pourrais faire est que, à mon avis, les filles ne sont pas vraiment dépeintes comme des ados de 12 ans, j'avais plutôt l'impression de suivre des adolescente de 15-16 ans de la manière dont elle sont dessiné mais aussi dans leur façon de parler mais rien de bien dérangeant. On reste un peu sur sa faim étant donné que c'est une lecture rapide mais j'ai vraiment hâte de lire le deuxième volume. J'ai beaucoup aimé les illustrations faites par Cliff Chiang ainsi que la palette de couleurs qui varie entre le rose, le bleu et le violet.


An Author's Odyssey de Chris Colfer
In the highly anticipated continuation of the Land of Stories series, Conner learns that the only place to fight the Masked Man's literary army is inside his own short stories! When the twins and their friends enter worlds crafted from Conner's imagination, finding allies no one else could have ever dreamed of, the race begins to put an end to the Masked Man's reign of terror. Can the twins finally restore peace in the fairy tale world? 

J'aime beaucoup la saga The Land of Stories. A chaque fois que je me replonge dans cet univers, je ne peux m'empêcher de penser aux Disney ou à Once Upon a Time. J'avais adoré les 4 premiers tomes mais avec ce cinquième livre, j'ai été un peu déçue. Pourtant, l'histoire était prometteuse car cette fois-ci, Conner et Alex allaient voyager dans les propres nouvelles écrites par Conner. J'ai trouvé que certains passages traînaient en longueur et n'étaient pas forcement utile à l'intrigue, notamment une toute petite partie concernant le Book Huggers complètement inutile à l'histoire et une complète perte de temps. Le tout manque d'action, la preuve étant que j'ai mis une bonne semaine pour le finir contrairement aux autres tomes que je finissais en quelques jours. Seule la fin du roman rattrape le tout selon moi. J'ai quand même mis 4,5/5 au roman, surement par plaisir d'avoir retrouvé les jumeaux Bailey et leurs amis de The Land of Stories.



Et vous, quelles sont vos dernières lectures ? Que livre êtes-vous actuellement en train de lire ? Quel est votre objectif de livre à lire cette année ?



forêt de vin, duo, musique, suédois
Forêt de Vin est un duo suédois de Stockholm dont les chansons ont une influence très 80s. C'est un duo assez mystérieux et je n'ai pas pu trouver beaucoup d'informations sur eux, je vais donc vous parler de leur musique. La première chanson que j'ai entendu d'eux était It's Christmas, que j'ai trouvée par hasard sur la merveilleuse chaîne YouTube de NewRetroWave qui est spécialisé dans la diffusion de chansons d’aujourd’hui avec un son de synthé très 80's, et je suis juste tombée amoureuse de cette chanson. On retrouve vraiment ce son distinctif du synthétiseur et à l'écoute, on a vraiment l'impression d'écouter une chanson de Noël qui aurait été produite durant les années 80 et je trouve ça vraiment époustouflant. A travers leurs chansons, on ressent vraiment leur passion pour cette musique typique des années 80 tellement le son est juste et je ne pouvais qu'adorer. En toute honnêteté, j'écoute Forêt de Vin depuis une semaine en boucle et je ne m'en lasse pas, coup de cœur également pour les chansons Another Dimension et Hold the Night. Pour le moment, le duo a en tout produit cinq chansons qui sont disponible sur leur Soundcloud et sur la chaîne de NewRetroWave. J'espère que cette découverte musicale vous aura plu autant qu'à moi.

It's supposed to sound like the songs the record company forgot to release 30 years ago.









MONTE LE SON • Forêt de Vin.

forêt de vin, duo, musique, suédois
Forêt de Vin est un duo suédois de Stockholm dont les chansons ont une influence très 80s. C'est un duo assez mystérieux et je n'ai pas pu trouver beaucoup d'informations sur eux, je vais donc vous parler de leur musique. La première chanson que j'ai entendu d'eux était It's Christmas, que j'ai trouvée par hasard sur la merveilleuse chaîne YouTube de NewRetroWave qui est spécialisé dans la diffusion de chansons d’aujourd’hui avec un son de synthé très 80's, et je suis juste tombée amoureuse de cette chanson. On retrouve vraiment ce son distinctif du synthétiseur et à l'écoute, on a vraiment l'impression d'écouter une chanson de Noël qui aurait été produite durant les années 80 et je trouve ça vraiment époustouflant. A travers leurs chansons, on ressent vraiment leur passion pour cette musique typique des années 80 tellement le son est juste et je ne pouvais qu'adorer. En toute honnêteté, j'écoute Forêt de Vin depuis une semaine en boucle et je ne m'en lasse pas, coup de cœur également pour les chansons Another Dimension et Hold the Night. Pour le moment, le duo a en tout produit cinq chansons qui sont disponible sur leur Soundcloud et sur la chaîne de NewRetroWave. J'espère que cette découverte musicale vous aura plu autant qu'à moi.

It's supposed to sound like the songs the record company forgot to release 30 years ago.









The Karate Kid film 1984





THE KARATE KID (ou le Moment de Vérité en VF) est un film américain sorti en 1984, réalisé par John G. Avildsen et c'est le premier film d'une trilogie. Dans ce film, on suit Daniel LaRusso, adolescent de 16 ans qui vient juste d’emménager à Reseda en Californie avec sa mère.  Un soir, il rencontre Ali pour qui il craque instantanément, mais arrivent une bande de jeunes motards, menée par Johnny, l'ex petit ami d'Ali, qui aborde brutalement cette dernière. Daniel tente de s'interposer mais reçoit raclé de la part de Johnny, qui fait du karaté. Se faisant tabasser de nombreuses fois, Daniel veut pouvoir se défendre et décide d'apprendre le karaté. Mr Miyagi, l'homme de la maintenance semble être un expert dans l'art du karaté et accepte donc de le lui enseigner, mais sa manière d'enseigner s'avère particulière. 



Je tiens à commencer par dire que j'ai vu le remake de 2010, celui avec Jaden Smith et Jackie Chan avant ce film et du coup, ça m'a un peu "gâché" mon plaisir car la trame de l'histoire est quasi identique - même s'il est question de kung-fu dans ce remake et non de karaté - mais cela ne m'a pas empêché d’adorer ce film.

The Karate Kid, plus une histoire d'amitié qu'un film sur l'art du karaté ?

Parlons d'abord des personnages. Ralph Macchio interprète Daniel LaRusso, un adolescent de 16 ans (alors qu'il en avait 22 lors du tournage, je sais, impossible à croire avec ce minois de bébé). Il vient juste d’emménager avec sa mère et se fait des ennemis dès son premier jour, Johnny et sa bande, tout simplement car Daniel a craqué sur Ali, qui s'avère être l'ex de Johnny. Macchio fait du bon boulot dans ce film (et dans les autres, car je me suis regardé la trilogie en trois jours) et du coup, je peux vous dire que son personnage a une bonne évolution, il apprend et grandit au fur et à mesure des trois films. C'est un personnage sympathique et charmant. Le plus important est que son personnage reste crédible. Quand Daniel fait du karaté, pour ma part, je le trouve vraiment moyen, il n'est pas parfait mais le fait qu'il ne devienne pas ce super karatéka rend son personnage plus authentique. Mais je vous avouerai que j'ai vraiment vu le talent de Ralph Macchio en trouvant sur Youtube plusieurs vidéos mise en ligne par le réalisateur himself qui regroupe le rehearsal movie. Pratique peu répandu, le réalisateur à tout simplement filmé l'entière répétition du film et on peut voir cette répétition comme une première version du film avec des scènes ne se trouvant pas dans le montage final. et dans ce rehearsal movie, Ralph Macchio est encore plus convaincant quand dans le film itself. Si vous regardez le film et que vous l'avez bien aimé, je vous conseille de regarder ces vidéos - ici.

The Karate Kid (1984).

Ensuite il y a Mr Miyagi, interprété par Pat Morita qui a rendu son personnage incroyable, un homme très posé, qui pense avec philosophie mais qui se permet des blagues plutôt sympathique de temps en temps. Ce que j'ai beaucoup apprécié dans le film, c'est l'amitié entre Daniel et Mr Miyagi, qui me fait penser à l'amitié entre Marty et Doc de Retour vers le Futur. Comme le dis le personnage de Daniel dans le troisième film, Mr Miyagi est son mentor mais aussi son meilleur ami. Je trouve ce genre d'amitié très agréable et qu'on retrouve dans des films que j'aime beaucoup tel, comme je le disais, Retour vers le Futur ainsi que Coeurs Perdus en Atlandide. Mr Miyagi ne fait pas qu'apprendre le karaté à Daniel mais il l’éduque et le transforme. Les scènes d'entrainement sont le pilier de l'amitié naissante entre Daniel et Mr Miyagi. Je ne vous spoile pas car c'est prévisible, on sait d'avance que Daniel va gagné le tournoi de karaté et on pourrait penser que la fin est bâclé et c'est là qu'on se rend compte que Daniel apprenant le karaté pour gagner le tournoi n'est pas le sujet du film mais bien l'amitié entre le mentor et son élève ainsi que son histoire avec Ali.
Lesson not just karate only. Lesson for whole life. Whole life have a balance. Everything be better. Understand? ❞ - Mr. Miyagi

Une histoire d'amour qui ne convainc pas...

C'est là qu'il y a un hic pour moi. L'histoire d'amour dans THE KARATE KID entre Daniel et Ali est plutôt banale et peu profonde. Ali et Daniel craque l'un pour l'autre dès que leurs regards se croisent. C'est bien le genre d'histoire "d'amour" qui n'apporte rien à un film. Bien qu'on sente une alchimie entre les deux acteurs, ça ne fonctionne pas. Elisabeth Shue, qui interprète Ali, est dans la même ligné que son personnage de Jennifer dans Retour vers le Futur: inutile et sans aucun intérêt (bon, elle a quand même plus de caractère que Jennifer). Et ceci est renforcé par la suite, je ne vous spoile pas vraiment, car Elisabeth Shue n'ayant pas voulu ré-interrompre ses études pour le deuxième film, son personnage n’apparaît donc pas, et on apprend dès les premières minutes du second film qu'Ali a laissé tombé Daniel pour un joueur de foot de UCLA. Bref, preuve que c'était pas le grand amour.

The Karate Kid (1984).

Alors, on regarde ou pas ?

Vous l'aurez compris, à part l'histoire d'amour, j'ai tout adoré dans ce film et je me demande pourquoi je n'ai pas regardé THE KARATE KID plus tôt (Merci Netflix). Concernant les suites, elles aussi disponibles sur Netflix, elles restent mois bien que le premier film mais regardables car elles reprennent le même pattern du premier film, il n'y a donc aucune surprise. Je pense que c'est le genre de film culte qui peut (doit?) plaire à tout le monde et malgré que le film dure quand même deux heures, vous passerez sûrement un agréable moment devant THE KARATE KID.



BACK TO THE EIGHTIES • The Karate Kid (1984).

The Karate Kid film 1984





THE KARATE KID (ou le Moment de Vérité en VF) est un film américain sorti en 1984, réalisé par John G. Avildsen et c'est le premier film d'une trilogie. Dans ce film, on suit Daniel LaRusso, adolescent de 16 ans qui vient juste d’emménager à Reseda en Californie avec sa mère.  Un soir, il rencontre Ali pour qui il craque instantanément, mais arrivent une bande de jeunes motards, menée par Johnny, l'ex petit ami d'Ali, qui aborde brutalement cette dernière. Daniel tente de s'interposer mais reçoit raclé de la part de Johnny, qui fait du karaté. Se faisant tabasser de nombreuses fois, Daniel veut pouvoir se défendre et décide d'apprendre le karaté. Mr Miyagi, l'homme de la maintenance semble être un expert dans l'art du karaté et accepte donc de le lui enseigner, mais sa manière d'enseigner s'avère particulière. 



Je tiens à commencer par dire que j'ai vu le remake de 2010, celui avec Jaden Smith et Jackie Chan avant ce film et du coup, ça m'a un peu "gâché" mon plaisir car la trame de l'histoire est quasi identique - même s'il est question de kung-fu dans ce remake et non de karaté - mais cela ne m'a pas empêché d’adorer ce film.

The Karate Kid, plus une histoire d'amitié qu'un film sur l'art du karaté ?

Parlons d'abord des personnages. Ralph Macchio interprète Daniel LaRusso, un adolescent de 16 ans (alors qu'il en avait 22 lors du tournage, je sais, impossible à croire avec ce minois de bébé). Il vient juste d’emménager avec sa mère et se fait des ennemis dès son premier jour, Johnny et sa bande, tout simplement car Daniel a craqué sur Ali, qui s'avère être l'ex de Johnny. Macchio fait du bon boulot dans ce film (et dans les autres, car je me suis regardé la trilogie en trois jours) et du coup, je peux vous dire que son personnage a une bonne évolution, il apprend et grandit au fur et à mesure des trois films. C'est un personnage sympathique et charmant. Le plus important est que son personnage reste crédible. Quand Daniel fait du karaté, pour ma part, je le trouve vraiment moyen, il n'est pas parfait mais le fait qu'il ne devienne pas ce super karatéka rend son personnage plus authentique. Mais je vous avouerai que j'ai vraiment vu le talent de Ralph Macchio en trouvant sur Youtube plusieurs vidéos mise en ligne par le réalisateur himself qui regroupe le rehearsal movie. Pratique peu répandu, le réalisateur à tout simplement filmé l'entière répétition du film et on peut voir cette répétition comme une première version du film avec des scènes ne se trouvant pas dans le montage final. et dans ce rehearsal movie, Ralph Macchio est encore plus convaincant quand dans le film itself. Si vous regardez le film et que vous l'avez bien aimé, je vous conseille de regarder ces vidéos - ici.

The Karate Kid (1984).

Ensuite il y a Mr Miyagi, interprété par Pat Morita qui a rendu son personnage incroyable, un homme très posé, qui pense avec philosophie mais qui se permet des blagues plutôt sympathique de temps en temps. Ce que j'ai beaucoup apprécié dans le film, c'est l'amitié entre Daniel et Mr Miyagi, qui me fait penser à l'amitié entre Marty et Doc de Retour vers le Futur. Comme le dis le personnage de Daniel dans le troisième film, Mr Miyagi est son mentor mais aussi son meilleur ami. Je trouve ce genre d'amitié très agréable et qu'on retrouve dans des films que j'aime beaucoup tel, comme je le disais, Retour vers le Futur ainsi que Coeurs Perdus en Atlandide. Mr Miyagi ne fait pas qu'apprendre le karaté à Daniel mais il l’éduque et le transforme. Les scènes d'entrainement sont le pilier de l'amitié naissante entre Daniel et Mr Miyagi. Je ne vous spoile pas car c'est prévisible, on sait d'avance que Daniel va gagné le tournoi de karaté et on pourrait penser que la fin est bâclé et c'est là qu'on se rend compte que Daniel apprenant le karaté pour gagner le tournoi n'est pas le sujet du film mais bien l'amitié entre le mentor et son élève ainsi que son histoire avec Ali.
Lesson not just karate only. Lesson for whole life. Whole life have a balance. Everything be better. Understand? ❞ - Mr. Miyagi

Une histoire d'amour qui ne convainc pas...

C'est là qu'il y a un hic pour moi. L'histoire d'amour dans THE KARATE KID entre Daniel et Ali est plutôt banale et peu profonde. Ali et Daniel craque l'un pour l'autre dès que leurs regards se croisent. C'est bien le genre d'histoire "d'amour" qui n'apporte rien à un film. Bien qu'on sente une alchimie entre les deux acteurs, ça ne fonctionne pas. Elisabeth Shue, qui interprète Ali, est dans la même ligné que son personnage de Jennifer dans Retour vers le Futur: inutile et sans aucun intérêt (bon, elle a quand même plus de caractère que Jennifer). Et ceci est renforcé par la suite, je ne vous spoile pas vraiment, car Elisabeth Shue n'ayant pas voulu ré-interrompre ses études pour le deuxième film, son personnage n’apparaît donc pas, et on apprend dès les premières minutes du second film qu'Ali a laissé tombé Daniel pour un joueur de foot de UCLA. Bref, preuve que c'était pas le grand amour.

The Karate Kid (1984).

Alors, on regarde ou pas ?

Vous l'aurez compris, à part l'histoire d'amour, j'ai tout adoré dans ce film et je me demande pourquoi je n'ai pas regardé THE KARATE KID plus tôt (Merci Netflix). Concernant les suites, elles aussi disponibles sur Netflix, elles restent mois bien que le premier film mais regardables car elles reprennent le même pattern du premier film, il n'y a donc aucune surprise. Je pense que c'est le genre de film culte qui peut (doit?) plaire à tout le monde et malgré que le film dure quand même deux heures, vous passerez sûrement un agréable moment devant THE KARATE KID.



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