Nowhere Boys

Netflix est toujours (ou presque) une solution à mon ennui. Alors que je ne savais pas quoi regarder, j'ai vu une annonce sur mon Netflix comme quoi la saison 3 de Nowhere Boys avait été ajouté à leur répertoire. Je ne connaissais pas du tout cette série mais le synopsis m'intriguait et me tentait beaucoup. Je n'aurais jamais imaginé que cette petite série australienne assez underrated me plaise autant. 
Bremin, une petite ville en Australie. Lors d’une sortie découverte avec le lycée, Felix le gothique, Andy l’intello solitaire, Sam le beau gosse populaire et Jake le sportif se perdent en forêt. Incapables de retrouver leur chemin, les ados sont contraints de passer la nuit dans les bois. Lorsqu’ils reviennent enfin chez eux, le lendemain, leur famille ne les reconnait plus. Que s’est-il passé dans cette forêt cette nuit-là ? Entre incompréhension et stupeur, les quatre lycéens décident de mener leur propre enquête…

Je ne nous vous révèle rien d'important en vous disant que les garçons ont été transporté dans un univers parallèle quasi identique à leur monde mis à part qu'ils n'ont aucune existence dans cet univers, ils n'auront donc pas la malchance de croiser leurs doubles. On va donc voir les personnages essayer de comprendre pourquoi et comment ils ont pu atterrir dans cet autre monde tout en essayant de survivre alors qu'ils n'ont nul part où aller.

Il est difficile de parler de cette série sans trop révéler des éléments importants de l'intrigue car Nowhere Boys prend une tournure assez inattendue qu'on n'aurait pas soupçonné. En effet, cette série m'a vraiment surprise et je ne m'attendais pas du tout à la direction prise par la série. J'avais vraiment peur que ce soit un peu trop jeunesse à mon gout mais j'ai vraiment été captivé par Nowhere Boys. J'ai également apprécié le format, une saison compte 12 épisodes de 25 minutes environ. Le rythme est donc rapide, ce qui permet à la série de tenir en haleine et d’avoir cette envie d'enchaîner les épisodes pour connaitre le fin mot de l'histoire.

Nowhere Boys

Parlons un peu des personnages. Le premier personnage qu'on nous présente est Félix, le marginal gothique métaleux - bonjour le cliché - qui semble être un peu invisible dans sa famille et passer derrière son frère et pour cause, son petit frère Oscar est paraplégique - les causes de l’accident ayant provoqué l'handicap d'Oscar seront révélées plus tard dans la saison. Il y a ensuite Andy, d'origine asiatique, l'intello du groupe, plutôt peureux et qui adore les sciences. On a ensuite les stars du lycée avec Sam et Jake. Sam est le skateur cool un peu idiot tandis que Jake est le sportif du lycée qui a tendance à martyriser plus faible que lui. Au départ, ce petit groupe, à cause de leur différences, a du mal à s'entendre. Au fil des épisodes, on va les voir s'entraider et mettre de coté leurs différences mais surtout surpasser le cliché qui les définit. Contre tout attente, cette série nous livre des personnages sympathiques et attachants avec de jeunes acteurs qui savent jouer et rendre leurs personnages convaincants.

Bien évidemment, la série n'est pas sans défaut. Les effets spéciaux de la série ne sont pas extraordinairement bien fait mais ça reste correcte pour une petite série fantastique pour ados. Certains de nos personnages principaux font parfois preuve d'idiotie, d’entêtement et de manque de réflexions, on leur donnera l'excuse d'être des ados en quête de soi car ils apprennent de leurs erreurs. Je dirais également qu'il y a un manque de diversité, il n'y a que trois personnages interprétés par des femmes qui ont une certaine importance dans la série. La série manque parfois de profondeur mais c'est une série destinée aux ados donc je peux comprendre que le ton reste léger.

Au final, Nowhere Boys est une série simple à comprendre, fun et divertissante que j'ai beaucoup apprécié, à tel point que quand j'ai terminé les deux saisons et que j'ai regardé le film qui clôture les aventures de nos personnages, j'ai eu ce sentiment de manque, l'univers et les personnages me manquaient vraiment. La saison 2 est dans la même ligné que la première saison, par contre, je trouve que le film tiré de la série est un peu bâclé par rapport aux deux premières saisons. Une troisième saison a vu le jour mais le casting est complètement différents et je n'ai pas réussi à dépasser le deuxième épisode. En conclusion, je vous conseille de regarder les deux premières saisons et même si le film est un peu moyen, je vous le conseille également si vous voulez connaitre la fin de la storyline des personnages.



Nowhere Boys, une série jeunesse australienne sous-estimée.

Nowhere Boys

Netflix est toujours (ou presque) une solution à mon ennui. Alors que je ne savais pas quoi regarder, j'ai vu une annonce sur mon Netflix comme quoi la saison 3 de Nowhere Boys avait été ajouté à leur répertoire. Je ne connaissais pas du tout cette série mais le synopsis m'intriguait et me tentait beaucoup. Je n'aurais jamais imaginé que cette petite série australienne assez underrated me plaise autant. 
Bremin, une petite ville en Australie. Lors d’une sortie découverte avec le lycée, Felix le gothique, Andy l’intello solitaire, Sam le beau gosse populaire et Jake le sportif se perdent en forêt. Incapables de retrouver leur chemin, les ados sont contraints de passer la nuit dans les bois. Lorsqu’ils reviennent enfin chez eux, le lendemain, leur famille ne les reconnait plus. Que s’est-il passé dans cette forêt cette nuit-là ? Entre incompréhension et stupeur, les quatre lycéens décident de mener leur propre enquête…

Je ne nous vous révèle rien d'important en vous disant que les garçons ont été transporté dans un univers parallèle quasi identique à leur monde mis à part qu'ils n'ont aucune existence dans cet univers, ils n'auront donc pas la malchance de croiser leurs doubles. On va donc voir les personnages essayer de comprendre pourquoi et comment ils ont pu atterrir dans cet autre monde tout en essayant de survivre alors qu'ils n'ont nul part où aller.

Il est difficile de parler de cette série sans trop révéler des éléments importants de l'intrigue car Nowhere Boys prend une tournure assez inattendue qu'on n'aurait pas soupçonné. En effet, cette série m'a vraiment surprise et je ne m'attendais pas du tout à la direction prise par la série. J'avais vraiment peur que ce soit un peu trop jeunesse à mon gout mais j'ai vraiment été captivé par Nowhere Boys. J'ai également apprécié le format, une saison compte 12 épisodes de 25 minutes environ. Le rythme est donc rapide, ce qui permet à la série de tenir en haleine et d’avoir cette envie d'enchaîner les épisodes pour connaitre le fin mot de l'histoire.

Nowhere Boys

Parlons un peu des personnages. Le premier personnage qu'on nous présente est Félix, le marginal gothique métaleux - bonjour le cliché - qui semble être un peu invisible dans sa famille et passer derrière son frère et pour cause, son petit frère Oscar est paraplégique - les causes de l’accident ayant provoqué l'handicap d'Oscar seront révélées plus tard dans la saison. Il y a ensuite Andy, d'origine asiatique, l'intello du groupe, plutôt peureux et qui adore les sciences. On a ensuite les stars du lycée avec Sam et Jake. Sam est le skateur cool un peu idiot tandis que Jake est le sportif du lycée qui a tendance à martyriser plus faible que lui. Au départ, ce petit groupe, à cause de leur différences, a du mal à s'entendre. Au fil des épisodes, on va les voir s'entraider et mettre de coté leurs différences mais surtout surpasser le cliché qui les définit. Contre tout attente, cette série nous livre des personnages sympathiques et attachants avec de jeunes acteurs qui savent jouer et rendre leurs personnages convaincants.

Bien évidemment, la série n'est pas sans défaut. Les effets spéciaux de la série ne sont pas extraordinairement bien fait mais ça reste correcte pour une petite série fantastique pour ados. Certains de nos personnages principaux font parfois preuve d'idiotie, d’entêtement et de manque de réflexions, on leur donnera l'excuse d'être des ados en quête de soi car ils apprennent de leurs erreurs. Je dirais également qu'il y a un manque de diversité, il n'y a que trois personnages interprétés par des femmes qui ont une certaine importance dans la série. La série manque parfois de profondeur mais c'est une série destinée aux ados donc je peux comprendre que le ton reste léger.

Au final, Nowhere Boys est une série simple à comprendre, fun et divertissante que j'ai beaucoup apprécié, à tel point que quand j'ai terminé les deux saisons et que j'ai regardé le film qui clôture les aventures de nos personnages, j'ai eu ce sentiment de manque, l'univers et les personnages me manquaient vraiment. La saison 2 est dans la même ligné que la première saison, par contre, je trouve que le film tiré de la série est un peu bâclé par rapport aux deux premières saisons. Une troisième saison a vu le jour mais le casting est complètement différents et je n'ai pas réussi à dépasser le deuxième épisode. En conclusion, je vous conseille de regarder les deux premières saisons et même si le film est un peu moyen, je vous le conseille également si vous voulez connaitre la fin de la storyline des personnages.



Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article Séries TV & Nostalgie. Dans cet article, on va parler de trois séries qui étaient diffusées sur TF1 le samedi après-midi, bien qu'à des années différentes : Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.



Xena la Guerrière (1995-2001)
Produite par Sam Raimi et spin-off de la série Hercule (1995-1999), Xena la Guerrière est une série culte et épique qui a bercé mon enfance. Mélange d'aventure, de fantastique, de mythologie, mais aussi parfois de comédie, Xena la Guerrière est le genre de série assez unique qui est assez difficile de décrire. La série se passe dans la Grèce Antique mais les nombreuses aventures de Xena la mèneront également dans d'autres contrées comme la Chine ou l'Egypte. Avant que la série ne commence, Xena est une ancienne chef de guerre qui était très redoutable et qui tuait sans remords. Pourtant, Xena abandonne son ancienne vie pour entamer une quête de rédemption. Elle fera la connaissance de Gabrielle, une jeune fille de fermier. C'est d'ailleurs ce personnage qui a la plus grande évolution, passant d'une jeune femme naïve à une guerrière sans peur. J'aimais aussi beaucoup le personnage de Joxer, incarné par le frère de Sam Raimi, Ted Raimi. Il était l'élément comique et léger de la série. J'aimerais bien regarder à nouveau la série dans son intégralité car j'ai dû louper quelques épisodes même je pense avoir regarder la bonne majorité de la série lorsque qu'elle était diffusée sur SyFy il y a quelques années, mais cette série compte six saisons composées chacune de 22 épisodes de 45 minutes donc clairement, ce n'est pas une priorité mais j'aimerais bien découvrir cette série en version originale car apparemment, la version français gomme beaucoup l’ambiguïté présente entre Xena et Gabrielle - d'ailleurs, il faut savoir que cette série était devenue très populaire dans la communauté gay. — Voir le générique 

Invisible Man (2000-2002)
Invisible Man est une petite série sans prétention qui semble être un peu tombée dans l'oubli. Ceci peut être justifié par le fait que la série n'ait duré que deux ans. Invisible Man réinvente le mythe de l'homme invisible popularisé par le roman d' H. G. Wells. La série suit Damien (Darien en VO) Fawkes, un cambrioleur qui se fait arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Condamné à perpétuité, il accepte de passer un accord avec le gouvernement afin de servir de cobaye: on lui implante alors une glande dans le cerveau qui lui permet de devenir invisible. Des lors, il travaillera pour une agence gouvernementale avec son équipier/chaperon Bobby Hobbes. Cette série était vraiment bien, il y avait de l'action mais aussi des éléments de comédie. Les personnages étaient attachants, j’appréciais beaucoup le duo Damien/Bobby et honnêtement, pouvoir devenir invisible, c'est vraiment cool. Je dois vous avouer que je ne me souviens plus vraiment comment la deuxième saison se termine mais j'ai encore quelques souvenirs de cette série qui reste une de mes séries d'enfance préférées. — Voir le génerique


Ghost Whisperer (2005-2010)
Nombreux sont mes samedis après-midi passés devant Ghost Whisperer. On y découvre une jeune femme, Mélinda Gordon, fraîchement mariée, qui a la capacité de voir les fantômes depuis son enfance, don qu'elle tient de sa grand-mère. Dans chaque épisode, Mélinda va aider un fantôme à rejoindre l'autre coté en l'aidant à finir ses unfinished business. Au fur et à mesure des saisons, une mythologie plus complexe se construit autour du don de Mélinda, notamment dans les deux dernières saisons. Je suis d'ailleurs moins fan de la cinquième-dernière saison qui commence avec un bond dans le futur et où Melinda et Jim réincarné vivent avec leur fils de sept ans, Aiden et alors que j'ai quand même pas mal de souvenirs concernant les premières saisons, j'ai presque tout oublié de la dernière et je me rappelle avoir eu moins d'entrain à la regarder par rapport aux autres. Sinon, j'aimais vraiment l'esthétique de la série avec ses couleurs chaudes, ce qui contrastait avec le coté plus sombre de la série et de son thème car même si ce n'est pas montré de façon effrayante dans la série, il y a plus joyeux que de pouvoir voir des fantômes. J'aimais aussi beaucoup l'aspect chaleureux de la ville de Grandview - probablement car c'était le même backlot (décor de cinéma extérieur permanent) que la ville fictive de Hill Valley dans Retour vers le Futur. Bref, Ghost Whisperer reste une très bonne série qui s'est malheureusement un peu essoufflée à la fin mais je ne ratais pas un seul épisode. — Voir le générique


Et vous, regardiez-vous ces séries ?


Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article Séries TV & Nostalgie. Dans cet article, on va parler de trois séries qui étaient diffusées sur TF1 le samedi après-midi, bien qu'à des années différentes : Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.



Xena la Guerrière (1995-2001)
Produite par Sam Raimi et spin-off de la série Hercule (1995-1999), Xena la Guerrière est une série culte et épique qui a bercé mon enfance. Mélange d'aventure, de fantastique, de mythologie, mais aussi parfois de comédie, Xena la Guerrière est le genre de série assez unique qui est assez difficile de décrire. La série se passe dans la Grèce Antique mais les nombreuses aventures de Xena la mèneront également dans d'autres contrées comme la Chine ou l'Egypte. Avant que la série ne commence, Xena est une ancienne chef de guerre qui était très redoutable et qui tuait sans remords. Pourtant, Xena abandonne son ancienne vie pour entamer une quête de rédemption. Elle fera la connaissance de Gabrielle, une jeune fille de fermier. C'est d'ailleurs ce personnage qui a la plus grande évolution, passant d'une jeune femme naïve à une guerrière sans peur. J'aimais aussi beaucoup le personnage de Joxer, incarné par le frère de Sam Raimi, Ted Raimi. Il était l'élément comique et léger de la série. J'aimerais bien regarder à nouveau la série dans son intégralité car j'ai dû louper quelques épisodes même je pense avoir regarder la bonne majorité de la série lorsque qu'elle était diffusée sur SyFy il y a quelques années, mais cette série compte six saisons composées chacune de 22 épisodes de 45 minutes donc clairement, ce n'est pas une priorité mais j'aimerais bien découvrir cette série en version originale car apparemment, la version français gomme beaucoup l’ambiguïté présente entre Xena et Gabrielle - d'ailleurs, il faut savoir que cette série était devenue très populaire dans la communauté gay. — Voir le générique 

Invisible Man (2000-2002)
Invisible Man est une petite série sans prétention qui semble être un peu tombée dans l'oubli. Ceci peut être justifié par le fait que la série n'ait duré que deux ans. Invisible Man réinvente le mythe de l'homme invisible popularisé par le roman d' H. G. Wells. La série suit Damien (Darien en VO) Fawkes, un cambrioleur qui se fait arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Condamné à perpétuité, il accepte de passer un accord avec le gouvernement afin de servir de cobaye: on lui implante alors une glande dans le cerveau qui lui permet de devenir invisible. Des lors, il travaillera pour une agence gouvernementale avec son équipier/chaperon Bobby Hobbes. Cette série était vraiment bien, il y avait de l'action mais aussi des éléments de comédie. Les personnages étaient attachants, j’appréciais beaucoup le duo Damien/Bobby et honnêtement, pouvoir devenir invisible, c'est vraiment cool. Je dois vous avouer que je ne me souviens plus vraiment comment la deuxième saison se termine mais j'ai encore quelques souvenirs de cette série qui reste une de mes séries d'enfance préférées. — Voir le génerique


Ghost Whisperer (2005-2010)
Nombreux sont mes samedis après-midi passés devant Ghost Whisperer. On y découvre une jeune femme, Mélinda Gordon, fraîchement mariée, qui a la capacité de voir les fantômes depuis son enfance, don qu'elle tient de sa grand-mère. Dans chaque épisode, Mélinda va aider un fantôme à rejoindre l'autre coté en l'aidant à finir ses unfinished business. Au fur et à mesure des saisons, une mythologie plus complexe se construit autour du don de Mélinda, notamment dans les deux dernières saisons. Je suis d'ailleurs moins fan de la cinquième-dernière saison qui commence avec un bond dans le futur et où Melinda et Jim réincarné vivent avec leur fils de sept ans, Aiden et alors que j'ai quand même pas mal de souvenirs concernant les premières saisons, j'ai presque tout oublié de la dernière et je me rappelle avoir eu moins d'entrain à la regarder par rapport aux autres. Sinon, j'aimais vraiment l'esthétique de la série avec ses couleurs chaudes, ce qui contrastait avec le coté plus sombre de la série et de son thème car même si ce n'est pas montré de façon effrayante dans la série, il y a plus joyeux que de pouvoir voir des fantômes. J'aimais aussi beaucoup l'aspect chaleureux de la ville de Grandview - probablement car c'était le même backlot (décor de cinéma extérieur permanent) que la ville fictive de Hill Valley dans Retour vers le Futur. Bref, Ghost Whisperer reste une très bonne série qui s'est malheureusement un peu essoufflée à la fin mais je ne ratais pas un seul épisode. — Voir le générique


Et vous, regardiez-vous ces séries ?


Je continue ma vaste aventure dans le visionnage de teen-movies des années 80. Je suis encore loin d'avoir tout vu mais je vais essayer de rattraper mon retard cette année en regardant le plus de films de cette merveilleuse décennie. Aujourd'hui, je vous propose un teen-movie avec John Cusack, sorti en 1985: BETTER OFF DEAD (ou Gagner ou mourir en VF). Réalisé par Savage Steve Holland en 1985, le film suit Lane (John Cusack), un adolescent qui a deux passions: le ski et sa petite amie qu'il fréquente depuis 6 mois, Beth. Cependant, son monde s'écroule quand il est rejeté du groupe de ski de son lycée et que Beth le largue pour un élève plus populaire. Lane ne pense alors qu'à une chose: se suicider.

Je ne vais pas tergiverser et je préfère vous le dire toute suite: je n'ai pas du tout apprécié ce film. Il ne se passe pas grand chose dans BETTER OFF DEAD, la narration est très lente et malgré quelques scènes qui font sourire, je n'ai pas réellement ri pendant le visionnage. J'aurais voulu ressentir de l'empathie pour Lane, car je comprends sa situation. Il a été rejeté par la fille qu'il aime, on peut tous s'identifier à ça et pourtant, je n'ai pas réussi à sympathiser avec lui, avec aucun des personnages d'ailleurs. Ce film est complètement absurde et se veut absurde ainsi que caricatural et cartoonesque et alors que ça pourrait marcher pour certains, ça n'a pas fonctionné avec moi et je me suis ennuyé pendant tout le film, que je me suis forcée à regarder jusqu'au bout. Lane fait des pseudo-tentative de suicides qui échouent à chaque fois. Ces scènes sont mal exécutées et donnent l'impression d'avoir pour seul but de combler le vide du film.

Il faut attendre la moitié du film pour voir Lane sympathiser avec Monique, une élève française d'un programme d'échange (joué par Diane Franklin, une actrice/mannequin américaine, qui d'ailleurs, parle français avec un gros accent américain, ce qui rend la chose peu crédible et je ne comprends clairement pas ce choix, autant choisir une actrice qui parle français mais au final, ça correspond avec le coté absurde du long-métrage). Je n'ai pas vraiment non plus accroché avec ce "couple", bien que les deux personnages soient mignons ensemble, je n'ai pas cru en leur amitié/romance et leur histoire était prévisible dès l'apparition du personnage de Monique. Cependant, je dois avouer que cette partie du film où ils passent du temps ensemble était plus divertissante et dynamique que la très longue partie où il ne se passe quasiment rien.




J'aimerais également vous parler de deux petits sub-plots dont est constitué BETTER OFF DEAD. Le premier est sur le petit frère de Lane, Badger, un surdoué de 8 ans qui ne parle pas, mais qui arrive à construire des lasers et à attirer et séduire des femmes légères. Il y a également un gag autour du livreur de journaux réclamant les deux dollars impayés par la famille de Lane. On se demande bien d'où sortent ces deux histoires complètement puériles et inutiles qui ne servent qu'a combler un vide.

Il y a longtemps eu une rumeur comme quoi John Cuscak détestait ce film, mais il a plus tard clarifié qu'il ne détestait pas le film, mais qu'il n'avait pas vraiment d'atomes crochus avec l'histoire. Je partage la même opinion que lui et je ne pense pas que je regarderai BETTER OFF DEAD une seconde fois. Il est honnête de dire que je m'attendais à beaucoup mieux du film, devenu culte avec les années, et bien avec moi, ça n'a pas accroché. Je vous invite tout de même à regarder le film pour vous en faire votre propre opinion. 



Better off Dead, un teen-movie cartoonesque décevant.

Je continue ma vaste aventure dans le visionnage de teen-movies des années 80. Je suis encore loin d'avoir tout vu mais je vais essayer de rattraper mon retard cette année en regardant le plus de films de cette merveilleuse décennie. Aujourd'hui, je vous propose un teen-movie avec John Cusack, sorti en 1985: BETTER OFF DEAD (ou Gagner ou mourir en VF). Réalisé par Savage Steve Holland en 1985, le film suit Lane (John Cusack), un adolescent qui a deux passions: le ski et sa petite amie qu'il fréquente depuis 6 mois, Beth. Cependant, son monde s'écroule quand il est rejeté du groupe de ski de son lycée et que Beth le largue pour un élève plus populaire. Lane ne pense alors qu'à une chose: se suicider.

Je ne vais pas tergiverser et je préfère vous le dire toute suite: je n'ai pas du tout apprécié ce film. Il ne se passe pas grand chose dans BETTER OFF DEAD, la narration est très lente et malgré quelques scènes qui font sourire, je n'ai pas réellement ri pendant le visionnage. J'aurais voulu ressentir de l'empathie pour Lane, car je comprends sa situation. Il a été rejeté par la fille qu'il aime, on peut tous s'identifier à ça et pourtant, je n'ai pas réussi à sympathiser avec lui, avec aucun des personnages d'ailleurs. Ce film est complètement absurde et se veut absurde ainsi que caricatural et cartoonesque et alors que ça pourrait marcher pour certains, ça n'a pas fonctionné avec moi et je me suis ennuyé pendant tout le film, que je me suis forcée à regarder jusqu'au bout. Lane fait des pseudo-tentative de suicides qui échouent à chaque fois. Ces scènes sont mal exécutées et donnent l'impression d'avoir pour seul but de combler le vide du film.

Il faut attendre la moitié du film pour voir Lane sympathiser avec Monique, une élève française d'un programme d'échange (joué par Diane Franklin, une actrice/mannequin américaine, qui d'ailleurs, parle français avec un gros accent américain, ce qui rend la chose peu crédible et je ne comprends clairement pas ce choix, autant choisir une actrice qui parle français mais au final, ça correspond avec le coté absurde du long-métrage). Je n'ai pas vraiment non plus accroché avec ce "couple", bien que les deux personnages soient mignons ensemble, je n'ai pas cru en leur amitié/romance et leur histoire était prévisible dès l'apparition du personnage de Monique. Cependant, je dois avouer que cette partie du film où ils passent du temps ensemble était plus divertissante et dynamique que la très longue partie où il ne se passe quasiment rien.




J'aimerais également vous parler de deux petits sub-plots dont est constitué BETTER OFF DEAD. Le premier est sur le petit frère de Lane, Badger, un surdoué de 8 ans qui ne parle pas, mais qui arrive à construire des lasers et à attirer et séduire des femmes légères. Il y a également un gag autour du livreur de journaux réclamant les deux dollars impayés par la famille de Lane. On se demande bien d'où sortent ces deux histoires complètement puériles et inutiles qui ne servent qu'a combler un vide.

Il y a longtemps eu une rumeur comme quoi John Cuscak détestait ce film, mais il a plus tard clarifié qu'il ne détestait pas le film, mais qu'il n'avait pas vraiment d'atomes crochus avec l'histoire. Je partage la même opinion que lui et je ne pense pas que je regarderai BETTER OFF DEAD une seconde fois. Il est honnête de dire que je m'attendais à beaucoup mieux du film, devenu culte avec les années, et bien avec moi, ça n'a pas accroché. Je vous invite tout de même à regarder le film pour vous en faire votre propre opinion. 



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