ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !


BACK TO THE EIGHTIES • Ferris Bueller's Day Off (1986).

ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !




THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


INSTANT CINOCHE • The Spectacular Now (2013).



THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


Last Action Hero 1993




Last Action Hero est un film américain réalisé par John McTiernan en 1993. Le héros de l'histoire est un jeune adolescent cinéphile, Danny Mannigan, qui est fan d'une série de films d'action, Jack Slater, mettant en scène l'acteur Arnold Schwarzenegger. Un soir, la veille de l'avant-première mondiale de Jack Slater IV, Nick, le gérant du cinéma, donne à Danny un ticket d'or magique que le grand magicien Harry Houdini lui avait offert. Le film commence mais quelques minutes plus tard, Danny se retrouve comme par magie dans le film, dans la voiture de Jack Slater. Grace à Danny qui a vu les premières minutes du film, il va aider Jack Slater à résoudre le meurtre de son cousin.



Franchement, qui n'a jamais rêver de pouvoir entrer dans un film et de vivre des aventures avec nos héros préférés ?! Je plaide coupable car même maintenant, il m'arrive d'imaginer ça. Ce film mélange parfaitement le genre de la comédie et de l'action et Arnold fait un travail extraordinaire dans ce film car, en effet, il fait de l'autodérision en faisant indirectement des références à tous les héros de films d'actions qu'il a pu incarner et de toutes ses fameuses répliques – notamment le fameux I'll be back. J'aime beaucoup aussi le personnage de Danny incarné par Austin O'Brien, c'est un adolescent lambda qui préfère regarder des films plutôt que d'aller en cours. Il apporte le coté frais et jeune du film. C'est son personnage qui rend le personnage de Schwarzenegger plus humain alors qu'il n'était au début qu'un personnage de film qui suivait le script. Austin O'Brien et Arnold Schwarzenegger forme un duo atypique mais qui fonctionne, qui n'est pas sans rapeller le duo que Schwarzenegger incarnait avec Edward Furlong dans Terminator 2, sorti un an auparavant.

❝Well I'm sorry to disappoint you but you're gonna live to enjoy all the glorious fruits life has got to offer - acne, shaving, premature ejaculation... and your first divorce.❞ - Jack Slater

Last Action Hero (1993)

Un des passages les plus intéressant dans le film est le moment où Jack Slater se rend avec Danny dans le vrai monde. Il va être désorienté et va en quelque sorte perdre son identité: il sait désormais qu'il n'est qu'un personnage de film et en entrant dans le monde réel, il perd tous les avantages que les films d'action pouvaient lui procurer. En effet, il ressent maintenant la douleur, ceci pour montrer le coté irréaliste des films d'action où le héro saute de cinq mètres et s'en sort miraculeusement indemne. Le plus dur pour Jack sera quand il sera confronté à son vrai lui, c'est-à-dire l'acteur Arnold Schwarzenegger. On a donc cette dimension intéressante de l'acteur Arnold Schwarzenegger qui joue son propre rôle dans le film – de manière drôle et auto-dérisoire – mais aussi celui de Jack Slater. Je ne comprends pas pourquoi ce film n'a pas reçu de bonnes critiques à sa sortie car on ne s'ennuie pas quand on regarde ce film, on s'attache aux personnages et c'est agréable de voir Schwarzenegger dans un rôle comique et je trouve qu'il est vraiment bon dans ce genre de rôle comme dans La Course au Jouet ou Un flic à la maternelle.


Alors, on regarde ou pas ?
Last Action Hero est un film culte qui parodie avec excellente et avec humour les blockbusters d'action et en ce qui me concerne, je ne me lasse jamais de le regarder donc je ne peux que vous le conseiller.



J'espère que ce premier article Back to the Nineties vous aura plu !




BACK TO THE NINETIES • Last Action Hero (1993).

Last Action Hero 1993




Last Action Hero est un film américain réalisé par John McTiernan en 1993. Le héros de l'histoire est un jeune adolescent cinéphile, Danny Mannigan, qui est fan d'une série de films d'action, Jack Slater, mettant en scène l'acteur Arnold Schwarzenegger. Un soir, la veille de l'avant-première mondiale de Jack Slater IV, Nick, le gérant du cinéma, donne à Danny un ticket d'or magique que le grand magicien Harry Houdini lui avait offert. Le film commence mais quelques minutes plus tard, Danny se retrouve comme par magie dans le film, dans la voiture de Jack Slater. Grace à Danny qui a vu les premières minutes du film, il va aider Jack Slater à résoudre le meurtre de son cousin.



Franchement, qui n'a jamais rêver de pouvoir entrer dans un film et de vivre des aventures avec nos héros préférés ?! Je plaide coupable car même maintenant, il m'arrive d'imaginer ça. Ce film mélange parfaitement le genre de la comédie et de l'action et Arnold fait un travail extraordinaire dans ce film car, en effet, il fait de l'autodérision en faisant indirectement des références à tous les héros de films d'actions qu'il a pu incarner et de toutes ses fameuses répliques – notamment le fameux I'll be back. J'aime beaucoup aussi le personnage de Danny incarné par Austin O'Brien, c'est un adolescent lambda qui préfère regarder des films plutôt que d'aller en cours. Il apporte le coté frais et jeune du film. C'est son personnage qui rend le personnage de Schwarzenegger plus humain alors qu'il n'était au début qu'un personnage de film qui suivait le script. Austin O'Brien et Arnold Schwarzenegger forme un duo atypique mais qui fonctionne, qui n'est pas sans rapeller le duo que Schwarzenegger incarnait avec Edward Furlong dans Terminator 2, sorti un an auparavant.

❝Well I'm sorry to disappoint you but you're gonna live to enjoy all the glorious fruits life has got to offer - acne, shaving, premature ejaculation... and your first divorce.❞ - Jack Slater

Last Action Hero (1993)

Un des passages les plus intéressant dans le film est le moment où Jack Slater se rend avec Danny dans le vrai monde. Il va être désorienté et va en quelque sorte perdre son identité: il sait désormais qu'il n'est qu'un personnage de film et en entrant dans le monde réel, il perd tous les avantages que les films d'action pouvaient lui procurer. En effet, il ressent maintenant la douleur, ceci pour montrer le coté irréaliste des films d'action où le héro saute de cinq mètres et s'en sort miraculeusement indemne. Le plus dur pour Jack sera quand il sera confronté à son vrai lui, c'est-à-dire l'acteur Arnold Schwarzenegger. On a donc cette dimension intéressante de l'acteur Arnold Schwarzenegger qui joue son propre rôle dans le film – de manière drôle et auto-dérisoire – mais aussi celui de Jack Slater. Je ne comprends pas pourquoi ce film n'a pas reçu de bonnes critiques à sa sortie car on ne s'ennuie pas quand on regarde ce film, on s'attache aux personnages et c'est agréable de voir Schwarzenegger dans un rôle comique et je trouve qu'il est vraiment bon dans ce genre de rôle comme dans La Course au Jouet ou Un flic à la maternelle.


Alors, on regarde ou pas ?
Last Action Hero est un film culte qui parodie avec excellente et avec humour les blockbusters d'action et en ce qui me concerne, je ne me lasse jamais de le regarder donc je ne peux que vous le conseiller.



J'espère que ce premier article Back to the Nineties vous aura plu !





Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.

Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.

Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.

Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.

En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.

Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.



Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?



PAUSE CAFÉ • Regarder en VF, la honte ?


Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.

Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.

Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.

Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.

En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.

Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.



Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?



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