Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.




MOVIE BATTLE • Qui est le meilleur Peter Pan?

Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.








L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







BOOK REVIEW • Keeper of the Lost Cities de Shannon Messenger.





L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.




CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.

Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.

Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".







ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !


BACK TO THE EIGHTIES • Ferris Bueller's Day Off (1986).

ferris bueller's day off 1986


FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.

Un teen-movie pas comme les autres

Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur  – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.

“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller

Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.



Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.

Un film qui en inspira d'autres

C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!



Alors, on regarde ou pas ?

Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !




THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


INSTANT CINOCHE • The Spectacular Now (2013).



THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


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