Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





BOOK REVIEW • All the Bright Places de Jennifer Niven.









Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





pop culture sites web


Dans cet article, on va parler de sites Internet mais pas n'importe lesquels. Des sites internet spécialisés dans le fabuleux et extraordinaire univers de la pop culture, je dis OUI et encore OUI. Etant une grande fan de pop culture, je me devais de vous parler de ces 3 sites, qui deviennent très vite addictif (mais, c'est une bonne addiction).



MES SITES FAVORIS - pop culture édition.

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Dans cet article, on va parler de sites Internet mais pas n'importe lesquels. Des sites internet spécialisés dans le fabuleux et extraordinaire univers de la pop culture, je dis OUI et encore OUI. Etant une grande fan de pop culture, je me devais de vous parler de ces 3 sites, qui deviennent très vite addictif (mais, c'est une bonne addiction).



The Lost Boys (1987).
The Lost Boys (Génération Perdue en VF) est une comédie horrifique réalisée par Joel Schumacher en 1987. Regroupant une bonne brochette d'acteurs fétiches des années 80, ce film raconte l’histoire de deux frères, Michael et Sam qui viennent d’emménager avec leur mère chez leur grand-père en Californie. Michael, l'ainé, tombe sous le charme d'une mystérieuse jeune fille faisant partie d'un groupe de motards tout aussi mystérieux. Quant à Sam, il fait la connaissance de deux frères, Edgar et Alan Frog, tenant un magasin de comics et qui mette en garde Sam contre les vampires qui peuplent la ville de Santa Carla. Tout ça sans compter la transformation graduelle de Michael en une créature de la nuit. Ils vont donc devoir trouver le chef des vampire et le tuer pour permettre à Michael de redevenir humain...


Un film avec de vrais vampires

The Lost Boys est un bon film de vampires. Ici, les vampires sont cruels et n'ont aucun remords à attaquer des personnes innocentes et en toute honnêteté, c'est comme ça que j'aime les vampires. Les vampires dans ce film sont plus dans le style "Buffy contre les vampires", d'ailleurs, le vampire interprété par Kieffer Sutherland dans The Lost Boys me fait étrangement pensé à Spike dans le style vampire motard à la chevelure peroxydée - je me demande même si Joss Whedon ne se serait pas inspiré de quelques éléments de ce film pour créer Buffy contre les vampires, vous pouvez d'ailleurs lire un article en anglais qui le prouve ici. Bref, vous l'aurez compris, dans ce film, on a des vampires sanguinaire mais qui ont de la gueule.
You'd better get yourself a garlic t-shirt, buddy, or it's your funeral.- Edgar Frog
Mais bien sûr, que serez des vampires sans nos héros humains pour les affronter. Dans ces rôles, nous avons Corey Feldman (Bagou dans les Goonies), Corey Haim (Lucas dans le film éponyme) et Jamison Newlander (qui, en 29 ans de carrière, n'a joué quand dans ce film et ses suites). Ici, c'est le tout premier films des Two Coreys ensemble et on comprend pourquoi ils ont fait un bon bout de leur carrière ensemble tant il y a de l'alchimie entre eux. Les deux sont excellent dans leur rôle, Corey H. dans le rôle du nouveau qui débarque dans une ville infesté de vampires mais qui gèrent plutôt bien la chose et Corey F. dans le rôle du mec qui, malgré son jeune age, gère avec son frère un magasin de comics mais qui est aussi une sorte de vampire hunter. Mais de toute façon, tous les acteurs de ce film sont excellents, Kiefer Sutherland fait un travail sublime dans le rôle de David, le leader du groupe de vampires, il dégage tellement de charme tout en étant effrayant - ouai, Kiefer était, à mon gout, carrément canon durant les années 80. Il y aussi des acteurs que vous connaissez sûrement tels que Dianne Wiest (Peg Boggs dans Edward aux Mains d'Argent) et Edward Herrmann (le grand-père de Rory dans Gilmore Girls).

The Lost Boys (1987).
Concernant l'intrigue, elle est plutôt bien menée. En soit, l'histoire n'est pas extrêmement originale mais ce n'est pas vraiment le but du film à mon avis. Le film reste mémorable surtout grâce à nos trois jeunes chasseurs de vampires (et aussi car c'est le premier film de The Two Coreys) et selon moi, ils sont vraiment le symbole du film et on s'attache particulièrement à ces personnages car ils apportent la touche comique du film. Concernant les vampires, le maquillage est vraiment bien fait pour l'époque et ça a plutôt bien vieilli à mon gout. Contre toute attente, vers la fin, le film devient gore par moment mais par contre, je pense que c'est censé être le gore à outrance qui finit par nous faire rire. Sinon, j'adore le titre du film, il est tellement ingénieux, ce clin d’œil à Peter Pan et aux garçons perdus qui ne veulent pas grandir et qui ne grandissent pas du tout, comme les vampires qui restent jeunes éternellement.

Alors, on regarde ou pas ?

Bref, The Lost Boys est un film délirant, sombre et vraiment sympathique à regarder et qui reste un des meilleurs films du genre des années 80 mais qui a surtout permis, à l'époque, de moderniser l'image du vampire.

petite note: des suites ont été réalisées, je ne les ai pas regardé mais je sais d'avance qu'elles sont loin d'égaler le premier film.



BACK TO THE EIGHTIES • The Lost Boys (1987).

The Lost Boys (1987).
The Lost Boys (Génération Perdue en VF) est une comédie horrifique réalisée par Joel Schumacher en 1987. Regroupant une bonne brochette d'acteurs fétiches des années 80, ce film raconte l’histoire de deux frères, Michael et Sam qui viennent d’emménager avec leur mère chez leur grand-père en Californie. Michael, l'ainé, tombe sous le charme d'une mystérieuse jeune fille faisant partie d'un groupe de motards tout aussi mystérieux. Quant à Sam, il fait la connaissance de deux frères, Edgar et Alan Frog, tenant un magasin de comics et qui mette en garde Sam contre les vampires qui peuplent la ville de Santa Carla. Tout ça sans compter la transformation graduelle de Michael en une créature de la nuit. Ils vont donc devoir trouver le chef des vampire et le tuer pour permettre à Michael de redevenir humain...


Un film avec de vrais vampires

The Lost Boys est un bon film de vampires. Ici, les vampires sont cruels et n'ont aucun remords à attaquer des personnes innocentes et en toute honnêteté, c'est comme ça que j'aime les vampires. Les vampires dans ce film sont plus dans le style "Buffy contre les vampires", d'ailleurs, le vampire interprété par Kieffer Sutherland dans The Lost Boys me fait étrangement pensé à Spike dans le style vampire motard à la chevelure peroxydée - je me demande même si Joss Whedon ne se serait pas inspiré de quelques éléments de ce film pour créer Buffy contre les vampires, vous pouvez d'ailleurs lire un article en anglais qui le prouve ici. Bref, vous l'aurez compris, dans ce film, on a des vampires sanguinaire mais qui ont de la gueule.
You'd better get yourself a garlic t-shirt, buddy, or it's your funeral.- Edgar Frog
Mais bien sûr, que serez des vampires sans nos héros humains pour les affronter. Dans ces rôles, nous avons Corey Feldman (Bagou dans les Goonies), Corey Haim (Lucas dans le film éponyme) et Jamison Newlander (qui, en 29 ans de carrière, n'a joué quand dans ce film et ses suites). Ici, c'est le tout premier films des Two Coreys ensemble et on comprend pourquoi ils ont fait un bon bout de leur carrière ensemble tant il y a de l'alchimie entre eux. Les deux sont excellent dans leur rôle, Corey H. dans le rôle du nouveau qui débarque dans une ville infesté de vampires mais qui gèrent plutôt bien la chose et Corey F. dans le rôle du mec qui, malgré son jeune age, gère avec son frère un magasin de comics mais qui est aussi une sorte de vampire hunter. Mais de toute façon, tous les acteurs de ce film sont excellents, Kiefer Sutherland fait un travail sublime dans le rôle de David, le leader du groupe de vampires, il dégage tellement de charme tout en étant effrayant - ouai, Kiefer était, à mon gout, carrément canon durant les années 80. Il y aussi des acteurs que vous connaissez sûrement tels que Dianne Wiest (Peg Boggs dans Edward aux Mains d'Argent) et Edward Herrmann (le grand-père de Rory dans Gilmore Girls).

The Lost Boys (1987).
Concernant l'intrigue, elle est plutôt bien menée. En soit, l'histoire n'est pas extrêmement originale mais ce n'est pas vraiment le but du film à mon avis. Le film reste mémorable surtout grâce à nos trois jeunes chasseurs de vampires (et aussi car c'est le premier film de The Two Coreys) et selon moi, ils sont vraiment le symbole du film et on s'attache particulièrement à ces personnages car ils apportent la touche comique du film. Concernant les vampires, le maquillage est vraiment bien fait pour l'époque et ça a plutôt bien vieilli à mon gout. Contre toute attente, vers la fin, le film devient gore par moment mais par contre, je pense que c'est censé être le gore à outrance qui finit par nous faire rire. Sinon, j'adore le titre du film, il est tellement ingénieux, ce clin d’œil à Peter Pan et aux garçons perdus qui ne veulent pas grandir et qui ne grandissent pas du tout, comme les vampires qui restent jeunes éternellement.

Alors, on regarde ou pas ?

Bref, The Lost Boys est un film délirant, sombre et vraiment sympathique à regarder et qui reste un des meilleurs films du genre des années 80 mais qui a surtout permis, à l'époque, de moderniser l'image du vampire.

petite note: des suites ont été réalisées, je ne les ai pas regardé mais je sais d'avance qu'elles sont loin d'égaler le premier film.



The Magicians

The Magicians est une série télévisée américaine diffusée depuis fin 2015, basée sur le roman du même nom écrit par Lev Grossman. L'histoire est à propos de Quentin Coldwater, un étudiant fan de Fillory and Further, une série de livres de fantasy - qui vous fera sans doute rappeler l'univers de Narnia. Un jour, Quentin est recruté à l'Université Brakebills, une institution secrète spécialisée dans la magie. Il y fera la rencontre d'Eliot, Margo, Penny et Alice. Mais peu de temps après la rentrée, un magicien maléfique appelé The Beast fait irruption dans la vie de nos héros et veut tout anéantir pour avoir le pouvoir absolu et seulement eux auront le pouvoir de l'arrêter.



Cette série, j’ai tout de suite accroché à l’univers. C'est censé être un mélange entre Harry Potter et Narnia et bien qu'il y a quelques similitudes, ça reste tout de même très éloigné de ces deux univers. The Magicians est une série assez sombre avec de nombreuses thématiques: la dépression, la dépendance (notamment à la magie et à l'alcool), l'amour, etc. La pratique de la magie dans The Magicians est intéressante et inédite. Elle ressemble un peu à des maths ou à une langue qu’il faudrait apprendre. Elle se pratique avec les mains avec une multitude d'enchaînements de gestes. D'ailleurs, les acteurs ont dû apprendre le finger tutting, une sorte de danse qui s’utilise avec les mains. Je trouve que ça rend la pratique de la magie encore plus hypnotisante.




Au premier abord, on pourrait penser que les personnages sont des personnages aux personnalités clichées mais ces clichés sont vite brisés au fil des épisodes. Le personnage de Quentin est intéressant car bien qu’il soit le personnage principal, tout ne tourne pas autour de lui, il ne porte pas l’image du Chosen One à laquelle on s’attend forcement. Quentin est un garçon lambda, qu’on adore mais qui nous agace parfois, bref, un personnage très humain auquel je me suis énormément identifié. Quant à Julia, la meilleure amie de Quentin qui s'est vu refusé l'admission à Brakebills, j’adore son personnage, on explore plusieurs facettes de sa personnalité, de sa fragilité à sa grande force de caractère. Penny est aussi un personnage qui j’apprécie beaucoup, il me fait un peu penser à Bender de The Breakfast Club pour son coté je-m'en-foutiste et je déteste tout le monde mais en fait je me soucis des gens. Bon, des fois, il m’agace aussi à cause de son caractère à la con mais c’est ça qui est bien avec les personnages de cette série, ils nous font ressentir une multitude de sentiments à leurs égards. Alice, c’est carrément la Hermione du groupe. C’est la plus intelligente et c’est celle qui pratique le mieux la magie. J’ai du mal à apprécier ce personnage que je trouve un peu plat, j’espère que sa personnalité sera plus exploité dans la deuxième saison. On a aussi Eliot - qui me fait d'ailleurs pensé au personnage de Dorian Gray -  et Margot, les débauchés de la bande qui, au fil des épisodes, se révèlent plus profond que l'on aurait pu penser. 




Niveau technique, contrairement à ce qu'on pourrait imaginé pour une série, les effets spéciaux sont plutôt bon - on est loin de l'atrocité de ceux de Once Upon a Time. Il y a un peu de gore dans cette série mais rien de bien méchant, si j'arrive à le supporter, vous y arriverez aussi. Concernant l'intrigue, l'histoire se passe un peu trop rapidement mais ce n'est pas dérangeant à mon goût. En conclusion, je trouve que c'est une très bonne série avec un univers sombre et intéressant et des tas de personnages tous différents des uns des autres qu'on apprécie plus ou moins, il me tarde donc de voir la seconde saison qui arrivera en 2017.





SERIES JUNKIE • The Magicians.

The Magicians

The Magicians est une série télévisée américaine diffusée depuis fin 2015, basée sur le roman du même nom écrit par Lev Grossman. L'histoire est à propos de Quentin Coldwater, un étudiant fan de Fillory and Further, une série de livres de fantasy - qui vous fera sans doute rappeler l'univers de Narnia. Un jour, Quentin est recruté à l'Université Brakebills, une institution secrète spécialisée dans la magie. Il y fera la rencontre d'Eliot, Margo, Penny et Alice. Mais peu de temps après la rentrée, un magicien maléfique appelé The Beast fait irruption dans la vie de nos héros et veut tout anéantir pour avoir le pouvoir absolu et seulement eux auront le pouvoir de l'arrêter.



Cette série, j’ai tout de suite accroché à l’univers. C'est censé être un mélange entre Harry Potter et Narnia et bien qu'il y a quelques similitudes, ça reste tout de même très éloigné de ces deux univers. The Magicians est une série assez sombre avec de nombreuses thématiques: la dépression, la dépendance (notamment à la magie et à l'alcool), l'amour, etc. La pratique de la magie dans The Magicians est intéressante et inédite. Elle ressemble un peu à des maths ou à une langue qu’il faudrait apprendre. Elle se pratique avec les mains avec une multitude d'enchaînements de gestes. D'ailleurs, les acteurs ont dû apprendre le finger tutting, une sorte de danse qui s’utilise avec les mains. Je trouve que ça rend la pratique de la magie encore plus hypnotisante.




Au premier abord, on pourrait penser que les personnages sont des personnages aux personnalités clichées mais ces clichés sont vite brisés au fil des épisodes. Le personnage de Quentin est intéressant car bien qu’il soit le personnage principal, tout ne tourne pas autour de lui, il ne porte pas l’image du Chosen One à laquelle on s’attend forcement. Quentin est un garçon lambda, qu’on adore mais qui nous agace parfois, bref, un personnage très humain auquel je me suis énormément identifié. Quant à Julia, la meilleure amie de Quentin qui s'est vu refusé l'admission à Brakebills, j’adore son personnage, on explore plusieurs facettes de sa personnalité, de sa fragilité à sa grande force de caractère. Penny est aussi un personnage qui j’apprécie beaucoup, il me fait un peu penser à Bender de The Breakfast Club pour son coté je-m'en-foutiste et je déteste tout le monde mais en fait je me soucis des gens. Bon, des fois, il m’agace aussi à cause de son caractère à la con mais c’est ça qui est bien avec les personnages de cette série, ils nous font ressentir une multitude de sentiments à leurs égards. Alice, c’est carrément la Hermione du groupe. C’est la plus intelligente et c’est celle qui pratique le mieux la magie. J’ai du mal à apprécier ce personnage que je trouve un peu plat, j’espère que sa personnalité sera plus exploité dans la deuxième saison. On a aussi Eliot - qui me fait d'ailleurs pensé au personnage de Dorian Gray -  et Margot, les débauchés de la bande qui, au fil des épisodes, se révèlent plus profond que l'on aurait pu penser. 




Niveau technique, contrairement à ce qu'on pourrait imaginé pour une série, les effets spéciaux sont plutôt bon - on est loin de l'atrocité de ceux de Once Upon a Time. Il y a un peu de gore dans cette série mais rien de bien méchant, si j'arrive à le supporter, vous y arriverez aussi. Concernant l'intrigue, l'histoire se passe un peu trop rapidement mais ce n'est pas dérangeant à mon goût. En conclusion, je trouve que c'est une très bonne série avec un univers sombre et intéressant et des tas de personnages tous différents des uns des autres qu'on apprécie plus ou moins, il me tarde donc de voir la seconde saison qui arrivera en 2017.





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