weird science 1985





Une Créature de Rêve ou WEIRD SCIENCE en V.O est un teen-movie de science fiction humoristique réalisé par John Hughes en 1985. On y suit Gary Wallace et Wyatt Donnelly, deux adolescents mal-aimés qui sont rejetés dans leur lycée. Un soir, alors qu'ils regardent le film Frankenstein, Gary a l'idée de créer une femme virtuelle parfaite à l'aide du super ordinateur sophistiqué de Wyatt et d'une poupée Barbie. A cause d'une surcharge électrique, la femme prend finalement vie. Les deux garçons la prénomme Lisa. Lisa est pourvu de super-pouvoirs et va s'en servir pour embarquer les garçons dans de folles péripéties.

Le mythe de Frankenstein revisité à la sauce teenager

Alors, ce qui va suivre va surement vous paraître bizarre et contradictoire, car bien que j'ai apprécié WEIRD SCIENCE, je trouve qu'il n'est pas vraiment à la hauteur des autres films de Hughes - il n'est clairement pas dans la même lancé que The Breakfast Club. En bref, le fait est que le film en lui-même est bien mais en tant que film de John Hughes, on pourrait s'attendre à bien mieux, notamment en ce qui concerne le développement et la complexité des personnages. John Hughes qui habituellement casse les clichés sur les ados, ici, il n'en est rien et le film finit donc par manquer de profondeur. Pourtant, on comprend plutôt vite qu'avec ce film, John Hughes a peut-être voulu faire quelque chose de plus loufoque, léger et divertissant.

On retrouve Micheal Anthony Hall que j'avais adoré dans The Breakfast Club en tant que Brian mais que je n'avais pas vraiment adoré dans Sixteen Candles en tant que Ted le Fermier. Dans Weird Science, il interprète Gary, un ado marginal obsédé sur les bords. Je trouve qu'il s'en sort vraiment bien dans ce rôle toute en extravagance, ça change de son interprétation dans The Breakfast Club. Le personnage de Wyatt, incarné par Ilan Mitchell-Smith qui a depuis quitté le monde du cinéma, est moins extravagant que Gary et plus sensible. Je dirais qu'il y a peut-être plus de recherches dans ce personnage peu sûr de lui qui a peur de s’opposer à son bully de frère qui ne cesse de le tourmenter. Cela dit, les deux incarnent un bon duo qui aurait été intéressant de voir dans d'autres films. Le personnage de Lisa, incarnée par la mannequin/actrice Kelly LeBrock, est intéressant, on pourrait penser au début qu'elle ne va servir qu'à assouvir les besoins sexuels des deux adolescents - rendant tous ceci très sexiste -  mais il n'en est rien, elle va les pousser à s'assumer et à avoir confiance en eux - mais ça reste quand même très sexiste par moment.

Weird Science

L'histoire n'est pas très recherchée mais offres des scènes vraiment comiques et déjantées devenues cultes. La fin du film donne tout de même un semblant de morale - s'assumer et avoir confiance en soi - mais je trouve que ça marche moins bien comparé aux autres films de Hughes. Un point qui me gène et me dérange un peu pour un film de John Hughes, c'est les nombreuses références sur le sexe, les allusions de relations sexuelles entre Lisa et les protagonistes alors que Gary et Wyatt ont 15 ans et Lisa est censé en avoir 23 - pas très moral tout ça. On n'a pas du tout la même sensibilité que dans The Breakfast Club, Pretty in Pink ou même Ferris Bueller's Day Off mais bizarrement, ça n’empêche pas de s'attacher à ces drôles de personnages.

❝ - Gary?... By the way, why are wearing bras on our heads? 
Ceremonial.

Si vous êtes du début de la génération Y, vous connaissez sans doute la série des années 90, Code Lisa qui est tiré du film. On peut d'ailleurs dire que la série à surpassé le film car elle a plutôt bien marché avec ses cinq saisons. Je n'ai jamais regardé cette série car elle a été diffusé à partir de 1995 en France - mon année de naissance donc - mais ma grande sœur était à fond, elle trouvait la série géniale et vraiment originale pour l'époque et les acteurs étaient, selon elle, supers - d'ailleurs, les producteurs les ont bien choisi car physiquement, ils ressemblent un peu à Anthony Michael Hall et Ilan Mitchell-Smith. D'ailleurs, ce n'est pas le premier teen-movie des années 80 à être plus tard adapté en série télévisée mais ça, je vous en reparlerais dans un futur article Jules Rewinds

Weird Science


Alors, on regarde ou pas ?

Au final, WEIRD SCIENCE, malgré les critiques mitigés qu'il a pu recevoir, est quand même devenu un film culte. Au premier abord, le film était une déception car je m'attendais à un film dans la même ligné que The Breakfast Club mais avec le temps, j'ai commencé à vraiment apprécier ce film que je considère aujourd'hui comme culte. Weird Science reste un film drôle avec des personnages complètement loufoques


BACK TO THE EIGHTIES • Weird Science (1985).

weird science 1985





Une Créature de Rêve ou WEIRD SCIENCE en V.O est un teen-movie de science fiction humoristique réalisé par John Hughes en 1985. On y suit Gary Wallace et Wyatt Donnelly, deux adolescents mal-aimés qui sont rejetés dans leur lycée. Un soir, alors qu'ils regardent le film Frankenstein, Gary a l'idée de créer une femme virtuelle parfaite à l'aide du super ordinateur sophistiqué de Wyatt et d'une poupée Barbie. A cause d'une surcharge électrique, la femme prend finalement vie. Les deux garçons la prénomme Lisa. Lisa est pourvu de super-pouvoirs et va s'en servir pour embarquer les garçons dans de folles péripéties.

Le mythe de Frankenstein revisité à la sauce teenager

Alors, ce qui va suivre va surement vous paraître bizarre et contradictoire, car bien que j'ai apprécié WEIRD SCIENCE, je trouve qu'il n'est pas vraiment à la hauteur des autres films de Hughes - il n'est clairement pas dans la même lancé que The Breakfast Club. En bref, le fait est que le film en lui-même est bien mais en tant que film de John Hughes, on pourrait s'attendre à bien mieux, notamment en ce qui concerne le développement et la complexité des personnages. John Hughes qui habituellement casse les clichés sur les ados, ici, il n'en est rien et le film finit donc par manquer de profondeur. Pourtant, on comprend plutôt vite qu'avec ce film, John Hughes a peut-être voulu faire quelque chose de plus loufoque, léger et divertissant.

On retrouve Micheal Anthony Hall que j'avais adoré dans The Breakfast Club en tant que Brian mais que je n'avais pas vraiment adoré dans Sixteen Candles en tant que Ted le Fermier. Dans Weird Science, il interprète Gary, un ado marginal obsédé sur les bords. Je trouve qu'il s'en sort vraiment bien dans ce rôle toute en extravagance, ça change de son interprétation dans The Breakfast Club. Le personnage de Wyatt, incarné par Ilan Mitchell-Smith qui a depuis quitté le monde du cinéma, est moins extravagant que Gary et plus sensible. Je dirais qu'il y a peut-être plus de recherches dans ce personnage peu sûr de lui qui a peur de s’opposer à son bully de frère qui ne cesse de le tourmenter. Cela dit, les deux incarnent un bon duo qui aurait été intéressant de voir dans d'autres films. Le personnage de Lisa, incarnée par la mannequin/actrice Kelly LeBrock, est intéressant, on pourrait penser au début qu'elle ne va servir qu'à assouvir les besoins sexuels des deux adolescents - rendant tous ceci très sexiste -  mais il n'en est rien, elle va les pousser à s'assumer et à avoir confiance en eux - mais ça reste quand même très sexiste par moment.

Weird Science

L'histoire n'est pas très recherchée mais offres des scènes vraiment comiques et déjantées devenues cultes. La fin du film donne tout de même un semblant de morale - s'assumer et avoir confiance en soi - mais je trouve que ça marche moins bien comparé aux autres films de Hughes. Un point qui me gène et me dérange un peu pour un film de John Hughes, c'est les nombreuses références sur le sexe, les allusions de relations sexuelles entre Lisa et les protagonistes alors que Gary et Wyatt ont 15 ans et Lisa est censé en avoir 23 - pas très moral tout ça. On n'a pas du tout la même sensibilité que dans The Breakfast Club, Pretty in Pink ou même Ferris Bueller's Day Off mais bizarrement, ça n’empêche pas de s'attacher à ces drôles de personnages.

❝ - Gary?... By the way, why are wearing bras on our heads? 
Ceremonial.

Si vous êtes du début de la génération Y, vous connaissez sans doute la série des années 90, Code Lisa qui est tiré du film. On peut d'ailleurs dire que la série à surpassé le film car elle a plutôt bien marché avec ses cinq saisons. Je n'ai jamais regardé cette série car elle a été diffusé à partir de 1995 en France - mon année de naissance donc - mais ma grande sœur était à fond, elle trouvait la série géniale et vraiment originale pour l'époque et les acteurs étaient, selon elle, supers - d'ailleurs, les producteurs les ont bien choisi car physiquement, ils ressemblent un peu à Anthony Michael Hall et Ilan Mitchell-Smith. D'ailleurs, ce n'est pas le premier teen-movie des années 80 à être plus tard adapté en série télévisée mais ça, je vous en reparlerais dans un futur article Jules Rewinds

Weird Science


Alors, on regarde ou pas ?

Au final, WEIRD SCIENCE, malgré les critiques mitigés qu'il a pu recevoir, est quand même devenu un film culte. Au premier abord, le film était une déception car je m'attendais à un film dans la même ligné que The Breakfast Club mais avec le temps, j'ai commencé à vraiment apprécier ce film que je considère aujourd'hui comme culte. Weird Science reste un film drôle avec des personnages complètement loufoques




Dernièrement, je me suis mise à regarder des vidéos Youtube d'un genre différent, plus axé sur la culture, histoire de me cultiver un peu et d'enrichir mes connaissances. Aujourd'hui, je vais donc vous présenter trois chaînes Youtube que j'aime beaucoup et que je souhaite vous faire découvrir.


NOTA BENE - émission d'Histoire 
Si vous voulez enrichir votre culture sur l'Histoire, cette émission crée et géré par Benjamin est  très enrichissante. Le but de ses vidéos est bien évidemment de nous faire découvrir l'Histoire sans pour autant que cela soit compliqué et barbant et c'est tout bonnement passionnant, il arrive vraiment à me captiver et j'aime particulièrement ses vidéos Mythes et Légendes, étant très intéressée moi-même par les mythologies. 

GINGER FORCE - émission culture 
Sur sa chaîne, Ginger Force proposent deux types d'émissions: Un pavé dans la mare qui aborde des thèmes sur le féminisme et Adaptation qui compare des œuvres écrites à leurs adaptations cinématographiques. C'est cette dernière émission que j'adore regarder, elles me permettent de redécouvrir des œuvres sous un autre angle vu que pour la plupart d'entre elles, je n'étais pas au courant qu'elles étaient tiré d'un roman. Du coup, je vous conseille ses vidéos qui sont très sympas à visionner. 

RETOUR VERS LA CULTURE - émission de cinéma 
Retour vers la Culture est une chaîne plutôt récente qui proposent des analyses/critiques de films. Les vidéos sont simples, bien faites et donnent clairement envie de visionner les films qu'ils - Lucien, le créateur de l’émission, pratiquement toujours accompagné de ses potes Maxime et Alexandre - analysent, d'ailleurs, ça me fait penser que je dois vraiment aller regarder Taxi Driver - ouai, je l'ai jamais vu, la honte, je sais... 




Connaissiez-vous ces chaines? Avez-vous des chaînes axées culture (hors booktube) à me conseiller ?




Youtube et Culture • mes youtubeurs favoris #1



Dernièrement, je me suis mise à regarder des vidéos Youtube d'un genre différent, plus axé sur la culture, histoire de me cultiver un peu et d'enrichir mes connaissances. Aujourd'hui, je vais donc vous présenter trois chaînes Youtube que j'aime beaucoup et que je souhaite vous faire découvrir.


NOTA BENE - émission d'Histoire 
Si vous voulez enrichir votre culture sur l'Histoire, cette émission crée et géré par Benjamin est  très enrichissante. Le but de ses vidéos est bien évidemment de nous faire découvrir l'Histoire sans pour autant que cela soit compliqué et barbant et c'est tout bonnement passionnant, il arrive vraiment à me captiver et j'aime particulièrement ses vidéos Mythes et Légendes, étant très intéressée moi-même par les mythologies. 

GINGER FORCE - émission culture 
Sur sa chaîne, Ginger Force proposent deux types d'émissions: Un pavé dans la mare qui aborde des thèmes sur le féminisme et Adaptation qui compare des œuvres écrites à leurs adaptations cinématographiques. C'est cette dernière émission que j'adore regarder, elles me permettent de redécouvrir des œuvres sous un autre angle vu que pour la plupart d'entre elles, je n'étais pas au courant qu'elles étaient tiré d'un roman. Du coup, je vous conseille ses vidéos qui sont très sympas à visionner. 

RETOUR VERS LA CULTURE - émission de cinéma 
Retour vers la Culture est une chaîne plutôt récente qui proposent des analyses/critiques de films. Les vidéos sont simples, bien faites et donnent clairement envie de visionner les films qu'ils - Lucien, le créateur de l’émission, pratiquement toujours accompagné de ses potes Maxime et Alexandre - analysent, d'ailleurs, ça me fait penser que je dois vraiment aller regarder Taxi Driver - ouai, je l'ai jamais vu, la honte, je sais... 




Connaissiez-vous ces chaines? Avez-vous des chaînes axées culture (hors booktube) à me conseiller ?




Carry On Rainbow Rowell



Simon Snow est le Chosen One, l’élu dont de nombreuses prophéties l’ont prédestiné à être le plus grand Mage du monde et celui qui mettra fin à la menace qu’est le Insidious Humdrum, un être ressemblant trait pour trait à Simon quand il avait 11 ans et qui fait disparaître la magie. Simon entame alors sa dernière année à la Watford School of Magicks, y retrouvant Penelope, sa meilleure amie et Agatha sa petite amie, qui n’a pas vu durant tout l’été. Mais tout ne se passe pas comme Simon l’avait prévu, le directeur de l’école, le Mage, veut l’éloigner de l’école pour sa sécurité, Agatha rompt avec lui et son ennemi de toujours et aussi colocataire de chambre, Baz, qu'il suspecte d'être un vampire, est porté disparu et cela rend fou Simon de ne pas savoir où il se trouve, soupçonnant qu’il est quelque part en train de comploter contre lui. Bref, la dernière année de Simon ne sera pas de tout repos.

Énorme coup de cœur pour ce livre, jusqu’au point où je peux dire que je suis tombée amoureuse de ce livre. Je ne pensais pas que Carry On allait autant me chambouler et me plaire que ça. Bien que l’histoire ne soit pas tant extraordinaire que ça, ce sont les personnages qui apportent énormément au roman. Rainbow Rowell a vraiment un don pour créer des personnages incroyables aux personnalités diverses. Simon Snow, le personnage principal, le Chosen One, est adorable, il est naïf, gentil attentionné, humble et courageux, bref, un personnage auquel il est facile de s’attacher. Penelope, sa meilleure amie, c’est un peu la Hermione du roman, intelligente et un brin têtue. Ensuite, il y a Baz, l’ennemi de Simon mais aussi son roommate depuis 7 ans. Baz est incroyable, il est beaucoup plus profond que laisse présager le début du roman. Il peut paraître comme quelqu'un de hautain mais c'est tout le contraire, il a un coté assez sensible qui rend le personnage très humain. J'ai adoré lire les chapitres de son POV (point of view - point de vue). Pendant leur 7 années de scolarisation et de cohabitation, Simon et Baz n’ont pas arrêté d’essayer de se tuer. Pourtant, cette dernière année va tout changer et la relation entre Baz et Simon va évoluer et leur animosité mutuelle va peu à peu s’atténuer au fil de l'histoire. [SPOILER: il est impossible de faire une book review de ce livre sans parler de cette belle histoire d'amour que vont vivre Baz et Simon. Elle est plus au moins attendue au fil de la lecture mais elle surprend quand même quand le moment du premier baiser arrive. J'ai adoré la relation de Simon et Baz, on pourrait dire qu'elle n'est absolument pas probable mais au fond, si, un peu dans le style Ron-Hermione mais avec un degré plus fort vu que nos deux personnages de base se foutent sur la gueule depuis des années mais surtout car Baz éprouve des sentiments pour Simon depuis sa deuxième année et d'après ma propre compréhension de la lecture, je pense que Simon avait lui aussi des sentiments pour Baz sans s'en rendre compte. Je les ai trouvé tellement mignon dans leurs moments d'intimité qu'on envie ce qu'ils ont et bon, j’adore les histoires d'amour LGBT, et implantées dans un récit fantastique, c'est encore mieux.] Je ne vais pas m'attarder sur Agatha, car quand bien même c’est un personnage plus ou moins intéressant, je n’ai pas du tout accroché à sa personnalité, bien qu’en tout honnêteté, elle a quand même sa place dans l’histoire et n’est pas un personnage si inutile que ça, elle apporte une touche en plus, un point de vue différent aux événements qui vont se dérouler dans le roman.

L’intrigue est plutôt lente au début, mais pas le lent qui gonfle, si vous voyez ce que je veux dire. Rainbow prend juste le temps de bien mettre en place l’histoire et les personnages car Carry On est censé être en quelque sorte le dernier tome d’une saga - c’est comme si on avait juste eu le droit au dernier Harry Potter, on n'aurait rien compris - donc c’est compréhensible qu’elle prenne le temps de situer l’histoire. Après, l’action et le suspense se font de plus en plus présent et il est extrêmement difficile de relâcher le bouquin avant de connaitre le fin mot de l’histoire. J'ai apprécié la vision du Chosen One de Rainbow Rowell, Simon accepte son rôle et fait ce qu'on lui demande de faire sans broncher mais il ne comprend pas vraiment ce statut et n'en veut pas forcement. Ce que j’ai aussi adoré dans ce livre, c’est l’humour employé par les personnages, en particulier par Simon et Baz, c’est tellement rafraîchissant et ça fait du bien d'avoir des sourires amusés durant une lecture.

Bon, je vais en parler, car c’est évident, ce livre vous fera rappeler l’univers d’Harry Potter, de part l’école de magie, le statut de Chosen One et orphelin de Simon - comme Harry Potter-, Penelope la meilleure amie brillante –Hermione-, Baz le nemesis –Draco- et le Humdrum, l’ultime ennemi – Voldemort – ainsi que Le Mage, le directeur de l’école incarnant une image de mentor – Dumbledore. Mais honnêtement, ça s’arrête là car mis à part Penelope qui ressemble beaucoup à Hermione, les autres personnages ont des personnalités vraiment différente des personnages créé par J.K. Rowling. 

Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai bijou de fantasy mais surtout une belle histoire qui met en scène des personnages incroyablement bien écrit. Je ne peux que vous le conseiller, car je pense que c’est un roman qui devrait plaire à la majorité d’entre vous, même si vous n’êtes pas fan de roman fantastique.



BOOK REVIEW • Carry On de Rainbow Rowell.

Carry On Rainbow Rowell



Simon Snow est le Chosen One, l’élu dont de nombreuses prophéties l’ont prédestiné à être le plus grand Mage du monde et celui qui mettra fin à la menace qu’est le Insidious Humdrum, un être ressemblant trait pour trait à Simon quand il avait 11 ans et qui fait disparaître la magie. Simon entame alors sa dernière année à la Watford School of Magicks, y retrouvant Penelope, sa meilleure amie et Agatha sa petite amie, qui n’a pas vu durant tout l’été. Mais tout ne se passe pas comme Simon l’avait prévu, le directeur de l’école, le Mage, veut l’éloigner de l’école pour sa sécurité, Agatha rompt avec lui et son ennemi de toujours et aussi colocataire de chambre, Baz, qu'il suspecte d'être un vampire, est porté disparu et cela rend fou Simon de ne pas savoir où il se trouve, soupçonnant qu’il est quelque part en train de comploter contre lui. Bref, la dernière année de Simon ne sera pas de tout repos.

Énorme coup de cœur pour ce livre, jusqu’au point où je peux dire que je suis tombée amoureuse de ce livre. Je ne pensais pas que Carry On allait autant me chambouler et me plaire que ça. Bien que l’histoire ne soit pas tant extraordinaire que ça, ce sont les personnages qui apportent énormément au roman. Rainbow Rowell a vraiment un don pour créer des personnages incroyables aux personnalités diverses. Simon Snow, le personnage principal, le Chosen One, est adorable, il est naïf, gentil attentionné, humble et courageux, bref, un personnage auquel il est facile de s’attacher. Penelope, sa meilleure amie, c’est un peu la Hermione du roman, intelligente et un brin têtue. Ensuite, il y a Baz, l’ennemi de Simon mais aussi son roommate depuis 7 ans. Baz est incroyable, il est beaucoup plus profond que laisse présager le début du roman. Il peut paraître comme quelqu'un de hautain mais c'est tout le contraire, il a un coté assez sensible qui rend le personnage très humain. J'ai adoré lire les chapitres de son POV (point of view - point de vue). Pendant leur 7 années de scolarisation et de cohabitation, Simon et Baz n’ont pas arrêté d’essayer de se tuer. Pourtant, cette dernière année va tout changer et la relation entre Baz et Simon va évoluer et leur animosité mutuelle va peu à peu s’atténuer au fil de l'histoire. [SPOILER: il est impossible de faire une book review de ce livre sans parler de cette belle histoire d'amour que vont vivre Baz et Simon. Elle est plus au moins attendue au fil de la lecture mais elle surprend quand même quand le moment du premier baiser arrive. J'ai adoré la relation de Simon et Baz, on pourrait dire qu'elle n'est absolument pas probable mais au fond, si, un peu dans le style Ron-Hermione mais avec un degré plus fort vu que nos deux personnages de base se foutent sur la gueule depuis des années mais surtout car Baz éprouve des sentiments pour Simon depuis sa deuxième année et d'après ma propre compréhension de la lecture, je pense que Simon avait lui aussi des sentiments pour Baz sans s'en rendre compte. Je les ai trouvé tellement mignon dans leurs moments d'intimité qu'on envie ce qu'ils ont et bon, j’adore les histoires d'amour LGBT, et implantées dans un récit fantastique, c'est encore mieux.] Je ne vais pas m'attarder sur Agatha, car quand bien même c’est un personnage plus ou moins intéressant, je n’ai pas du tout accroché à sa personnalité, bien qu’en tout honnêteté, elle a quand même sa place dans l’histoire et n’est pas un personnage si inutile que ça, elle apporte une touche en plus, un point de vue différent aux événements qui vont se dérouler dans le roman.

L’intrigue est plutôt lente au début, mais pas le lent qui gonfle, si vous voyez ce que je veux dire. Rainbow prend juste le temps de bien mettre en place l’histoire et les personnages car Carry On est censé être en quelque sorte le dernier tome d’une saga - c’est comme si on avait juste eu le droit au dernier Harry Potter, on n'aurait rien compris - donc c’est compréhensible qu’elle prenne le temps de situer l’histoire. Après, l’action et le suspense se font de plus en plus présent et il est extrêmement difficile de relâcher le bouquin avant de connaitre le fin mot de l’histoire. J'ai apprécié la vision du Chosen One de Rainbow Rowell, Simon accepte son rôle et fait ce qu'on lui demande de faire sans broncher mais il ne comprend pas vraiment ce statut et n'en veut pas forcement. Ce que j’ai aussi adoré dans ce livre, c’est l’humour employé par les personnages, en particulier par Simon et Baz, c’est tellement rafraîchissant et ça fait du bien d'avoir des sourires amusés durant une lecture.

Bon, je vais en parler, car c’est évident, ce livre vous fera rappeler l’univers d’Harry Potter, de part l’école de magie, le statut de Chosen One et orphelin de Simon - comme Harry Potter-, Penelope la meilleure amie brillante –Hermione-, Baz le nemesis –Draco- et le Humdrum, l’ultime ennemi – Voldemort – ainsi que Le Mage, le directeur de l’école incarnant une image de mentor – Dumbledore. Mais honnêtement, ça s’arrête là car mis à part Penelope qui ressemble beaucoup à Hermione, les autres personnages ont des personnalités vraiment différente des personnages créé par J.K. Rowling. 

Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai bijou de fantasy mais surtout une belle histoire qui met en scène des personnages incroyablement bien écrit. Je ne peux que vous le conseiller, car je pense que c’est un roman qui devrait plaire à la majorité d’entre vous, même si vous n’êtes pas fan de roman fantastique.



Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


Stranger Things, la nouvelle série Netflix: un mix entre Les Goonies, E.T et Poltergeist.

Stranger Things


STRANGER THINGS, HOMMAGE AU CINÉMA DES ANNÉES 80.

Stranger Things est une nouvelle série fantastique et dramatique diffusé sur Netflix réalisée par The Duffer Brothers. Cette série se veut être un hommage aux années 80 avec les films de Spielberg, les films d'horreur de John Carpenter et j'en passe. L'histoire se déroule en 1983 dans la petite ville d'Hawkins, dans l’Indiana et en gros, ça raconte l'histoire d'un gosse prénommé Will qui disparaît dans des conditions mystérieuses et tout ceci serait lié à des forces surnaturelles. Sa bande de potes, composée de Dustin, Lucas et Mike, ainsi que la police vont essayer de mener leur enquête, tout ceci avec l'arrivée d'une jeune fille mystérieuse prénommée Eleven qui possède des pouvoirs psychiques.
De suite, les personnages vous feront pensé aux Goonies ou aux personnages du film Super 8 de J.J Abrams (qui lui aussi avait été désigné comme un mix entre les Goonies et E.T). Ce sont des marginaux, qui se font malmener à l'école et qui passent leur temps à jouer à Dungeons & Dragons - et les scènes où ils sont en vélos vous feront forcement penser à nos Goonies adorés. On trouve donc ici un type de personnage qui nous est familier. De plus, avec Winona Ryder incarnant la mère du jeune disparu, qui reste une icone emblématique du cinéma des années 80 et 90, y'a pas à dire, c'est cool - bien qu'elle en fasse un poil trop. En plus de rendre hommage, il y a des références directes ou clins d’œil faits grâce à des plans-séquences similaires à certains films des eighties tels que Halloween, Star Wars ou encore Stand by Me (surtout dans l'épisode 5 pour les allusions filmiques à SBM - et non, ce n'est pas un spoiler, seulement la constatation d'une fan).


L’ESTHÉTIQUE

Clairement, on retrouve vraiment l’ambiance des années 80 grâce aux décors, aux costumes, aux couleurs utilisées ainsi qu'à la musique (que j'adore tant). Avec le générique, on retrouve le son si particulier associé au années 80 avec l’utilisation du synthétiseur ainsi que la police d’écriture utilisée pour le nom de la série qui, je ne sais pas pourquoi, me fait penser à une police d'écriture qui pourrait se retrouver sur un roman de Stephen King. Du coup, il semblerait que les réalisateurs, qui voulaient rendre hommage aux années 80, ont réussi leur pari rien que pour le générique qui rend très rétro. Niveau esthétique dans la série, on a vraiment l'impression de regarder un film des années 80, tout comme Super 8 m'avez donné cette même impression. Ici, tout est plutôt sombre pour installer une sensation d'angoisse. Sinon, c'est tout de même super beau, c'est bien filmé et la B.O est généralissime et bien utilisée - dont la chanson Should I Stay or Should I Go de The Clash qui est une chanson importante dans la série et qui est aussi ma sonnerie de téléphone (oui, cette dernière info n'a pas lieu d'être).

Stranger Things


CE QUE J'EN AI PENSÉ

Ayant regardé l'intégralité de la première saison - huit épisodes d'une durée de cinquante minutes environ - je vais faire tout mon possible pour ne pas vous spoiler. D'abord, les personnages. Les personnages enfants, adolescents ainsi qu'adultes sont vraiment tous plus ou moins bien exploités mais je vais me focaliser sur la performance des enfants qui est tout simplement impeccable. Dans la petite bande, il est tout de suite clair que le personnage de Dustin est un petit clin d'oeil à Choco (Chunck en V.O) des Goonies, du physique particulier à son penchant pour les sucreries, il reste, pour moi, mon personnage préféré de la série donc un grand bravo à son interprète Gaten Matarazzo. Le personnage d'Eleven aussi est grandiose, l'actrice Millie Brown, qui a tout de même très peu de dialogue, incarne un personnage énigmatique et qui retranscrit une émotion forte rien qu'avec les expressions de son visage. Le personnage de Mike, qui incarne un peu le leader de la bande est tout aussi excellent et malheureusement, je trouve que le personnage de Lucas reste plutôt en retrait par rapport aux autres mais vous m'aurez compris, ces jeunes acteurs sont bourrés de talent et c'est agréable à voir.

Bon, en toute honnêteté, en visionnant les épisodes, la série m'a tout de même plus fait penser à Super 8 (ainsi qu'à la série Fringe par moment, aussi de J.J Abrams) qu'aux Goonies, surement pour le même coté sombre et la sensation d'angoisse qu'on pouvait trouver dans le film de J.J Abrams. Cependant, on retrouve des caractéristiques importantes des films du genre tels que le voyage initiatique, la perte de l’innocence et les premiers émois amoureux un peu maladroit. Concernant l'intrigue, elle est plutôt lente au début, il faut vraiment s'accrocher pour vouloir suivre mais c'est justement à partir du quatrième épisode que tout commence à s’accélérer un peu, à mon plus grand plaisir. En effet, c'est à ce moment là où certains éléments tendent à s'éclaircir, qu'on meurt d'impatience de savoir ce qui va bien pouvoir se passer et où on s'approche peu à peu du dénouement de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup apprécié la série mais si j'ai su, vers le troisième épisode, que ça ne deviendrait pas ma série préférée pour autant, surement pour le manque de légèreté et d'humour qu'on pouvait retrouver dans les films de Spielberg - mais en effet, c'est une série dramatique et fantastique me direz vous mais ça n’empêche pas d'avoir quelques moments légers mais là, c'est clairement un manque dans Stranger Things.

Stranger Things

Bref, Stranger Things reste vraiment une très bonne série, que je ne conseillerais pas à tout le monde bien évidemment mais je ne pense pas, contrairement à un article que j'ai lu sur Konbini, qu'il faut être fan des eighties pour apprécier la série car bien que cela soit un hommage au cinéma des années 80, la série sait se détacher de cette spécificité et suivre son propre cours et malgré les premiers épisodes un peu lent, cette série vaut vraiment qu'on s'attarde dessus. Au final, pour ma part, cette série serait plus une sorte de mix entre Super 8, Stand by Me, Charlie et Ça (ce qui fait quand même une nouvelle et deux romans de Stephen King). Il est à noter que la série, d'après ses créateurs, a été conçue comme un film de 8h avec la résolution des mystère à la fin, il n'est donc pas certain qu'il y ait une deuxième saison, mais j'espère qu'il y en aura une quand même car il y a trop de zones d'ombres, des tas de questions auxquelles nous n'avons aucune réponse et la fin laisse vraiment présager une suite. Si je devais lui donner une notation sur 10, elle mériterait un bon 8. Et bien sûr, je ne vous apprends rien, regardez en V.O car, contrairement aux films des années 80 où la plupart des doublages français sont excellents, ce n'est pas le cas ici.


© Le Rewind Club – votre rendez-vous pop culture d'hier et d'aujourd'hui. Design by Fearne and edited by Jules.