un roman YA et un classique des années 60.

Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.



The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.

The Last Time We Say Goodbye est un roman qui parle d’un sujet sérieux et sensible: le suicide ainsi que le deuil et les répercussions qui s'en suivent au sein de la famille du défunt. Je pensais retrouver une ribambelle d’émotions, pourtant, j’ai trouvé l’histoire plutôt banale même si elle reste bien écrite. Ne vous méprenez pas, l’histoire est touchante mais pas aussi touchante que All the Bright Places de Jennifer Niven par exemple. J’ai trouvé que certains passages du roman restaient assez sombre dans le sens qu’à la fin, on peut encore se poser quelques questions. J'ai apprécié le format du livre où certains chapitre sont des extraits du journal que Lex, le personnage principal dont le petit frère s'est suicidé, doit écrire pour sa thérapie. Selon moi, le personnage de Lex aurait pu être mieux développé et mené beaucoup plus loin. C'est en écrivant cette revue que je me rends compte que, malgré que j'ai apprécié l'histoire, ça reste un roman YA tout ce qu'il y a de plus banale et que je n'en garde pas beaucoup de souvenir. Ce n'est pas une lecture qui chamboule et bouleverse alors que le thème de l'histoire en donnait l'occasion. Je lui ai mis 4/5 sur Goodreads, mais il veut peut être plus un 3,5/5. En conclusion, c'est un bon roman mais vous ne ratez rien d’extraordinaire si vous ne le lisez pas.


We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.

We Have Always Lived in the Castle est une histoire assez simple avec assez peu de personnages. C’est très bien écrit, bien qu'au fur et à mesure de la lecture, le dénouement de l’histoire est de plus en plus prévisible et on devine assez vite les choses. Le personnage principal, Merricat, est une jeune femme surprenante et je me suis beaucoup attaché à elle malgré son comportement quelque peu étrange. On s’attache d’ailleurs à toute la famille, les membres restant de la famille Blackwood, c’est-à-dire Merricat, sa sœur aînée Constance et son oncle Julian et qui malgré la tragédie qui les a frappé, vivent une vie tranquille, à l’écart des autres habitants du village. On est alors introduit dans leur routine qui ne laisse pas beaucoup de place aux imprévus jusqu’à ce qu’un de leur cousin arrive au manoir. C’est à partir de ce moment là que la routine des Blackwood va commencer à se briser et cela ne plaira pas du tout à Merricat. La relation entre Constance et Merricat est très affectueuse et fusionnelle bien qu’un peu surréelle vu que les deux sœurs ne se disputent jamais et Constance laisse Merricat faire un peu ce qu’elle veut mais on remarque vite qu’elles se protègent l’une l’autre, et c’est ça la force de leur relation de sœurs. Ce fut une bonne lecture, je m’attendais à mieux mais ça reste tout de même un très bon roman intriguant, bien mené et empli de mystère.



Et vous, quelles sont vos dernières lectures ?


Mes deux dernières lectures: un roman YA et un classique des années 60.

un roman YA et un classique des années 60.

Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.



The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.

The Last Time We Say Goodbye est un roman qui parle d’un sujet sérieux et sensible: le suicide ainsi que le deuil et les répercussions qui s'en suivent au sein de la famille du défunt. Je pensais retrouver une ribambelle d’émotions, pourtant, j’ai trouvé l’histoire plutôt banale même si elle reste bien écrite. Ne vous méprenez pas, l’histoire est touchante mais pas aussi touchante que All the Bright Places de Jennifer Niven par exemple. J’ai trouvé que certains passages du roman restaient assez sombre dans le sens qu’à la fin, on peut encore se poser quelques questions. J'ai apprécié le format du livre où certains chapitre sont des extraits du journal que Lex, le personnage principal dont le petit frère s'est suicidé, doit écrire pour sa thérapie. Selon moi, le personnage de Lex aurait pu être mieux développé et mené beaucoup plus loin. C'est en écrivant cette revue que je me rends compte que, malgré que j'ai apprécié l'histoire, ça reste un roman YA tout ce qu'il y a de plus banale et que je n'en garde pas beaucoup de souvenir. Ce n'est pas une lecture qui chamboule et bouleverse alors que le thème de l'histoire en donnait l'occasion. Je lui ai mis 4/5 sur Goodreads, mais il veut peut être plus un 3,5/5. En conclusion, c'est un bon roman mais vous ne ratez rien d’extraordinaire si vous ne le lisez pas.


We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.

We Have Always Lived in the Castle est une histoire assez simple avec assez peu de personnages. C’est très bien écrit, bien qu'au fur et à mesure de la lecture, le dénouement de l’histoire est de plus en plus prévisible et on devine assez vite les choses. Le personnage principal, Merricat, est une jeune femme surprenante et je me suis beaucoup attaché à elle malgré son comportement quelque peu étrange. On s’attache d’ailleurs à toute la famille, les membres restant de la famille Blackwood, c’est-à-dire Merricat, sa sœur aînée Constance et son oncle Julian et qui malgré la tragédie qui les a frappé, vivent une vie tranquille, à l’écart des autres habitants du village. On est alors introduit dans leur routine qui ne laisse pas beaucoup de place aux imprévus jusqu’à ce qu’un de leur cousin arrive au manoir. C’est à partir de ce moment là que la routine des Blackwood va commencer à se briser et cela ne plaira pas du tout à Merricat. La relation entre Constance et Merricat est très affectueuse et fusionnelle bien qu’un peu surréelle vu que les deux sœurs ne se disputent jamais et Constance laisse Merricat faire un peu ce qu’elle veut mais on remarque vite qu’elles se protègent l’une l’autre, et c’est ça la force de leur relation de sœurs. Ce fut une bonne lecture, je m’attendais à mieux mais ça reste tout de même un très bon roman intriguant, bien mené et empli de mystère.



Et vous, quelles sont vos dernières lectures ?


 Pretty in Pink (1986).


Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?



Pretty in Pink, relations et cliques sociales 

Pretty in Pink est un teen-movie assez profond. Contrairement à ce que j’avais pu en penser lors du premier visionnage il y a quelques années, ce n’est pas une simple histoire d’amour. Ce film traite d'un sujet intéressant qui est celui de la classe sociale. Andie vit avec son père qui est au chômage alors que sa mère les a abandonné trois ans plus tôt et mènent alors une vie plutôt modeste dans un coin de la ville tout aussi modeste tandis que Blane vient d’une famille très aisé et tout le long du film, les deux personnages se demandent si malgré leur classe sociale différente, ils peuvent être ensemble - très semblable aux thèmes de The Breakfast Club. Les amis de Blane n’acceptent pas Andie et le meilleur ami d’Andie, Duckie, n’accepte pas Blane même si ici, je pense qu’il est plus question de jalousie, Duckie étant amoureux d’Andie depuis son enfance.

“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie

Andie est un personnage très intéressant, elle est passionnée, elle est très mature pour son âge, elle s'occupe de son père, c'est une élève studieuse pourtant elle rêve d’aller au bal de promo, elle reste donc une adolescente digne de ce nom. Pourtant, selon moi, le personnage qui m'a le plus plu et intéressé est Duckie. Il est un peu dorky, marginal, il a son propre style, il a ce coté un peu efféminé, très caractéristique de l’acteur qui l’interprète, Jon Cryer, c'est donc au final un personnage plutôt unique et original. J’adore Ducky et c'est le genre de personnage auquel on peut vite s'attacher, de part sa façon d'être, son style vestimentaire et malgré son exubérance, c’est quelqu’un qui se révèle fragile et qui, concrètement, ne vit que pour aimer Andie. Selon moi, Duckie est le personnage emblématique de PRETTY IN PINK avec une performance surprenante et convaincante de Jon Cryer .

 Pretty in Pink (1986).
J’ai beaucoup aimé la relation entre Andie et son père Jack. J’ai aimé leur complicité et la façon dont est traité leur relation, les rôles étant un peu inversés, Andie est celle qui s’occupe de son père, lui préparant son petit déjeuner le matin, le secouant un peu pour qu’il trouve un job. L'amitié de Duckie et Andie est vraiment chouette mais il y a un coté particulier qui m'a assez dérangé. J'ai eu l'impression que pendant certains moments du film, Andie avait honte de Duckie et ne l'appréciait pas à sa juste valeur et elle a beau lui dit à un moment du film: I hope I'm not the only one that knows how incredible you are. un soupçon d'ironie pointe le bout de son nez, car justement, je trouve qu'Andie ne voit pas à quel point Duckie est incroyable. Elle va quand même dans un club où il n'arrive jamais à rentrer et elle le sait, sympa la meilleure amie... Mais on va dire que la fin rattrape le tout. Parlons de cette fin justement. J’aime la fin autant que je la déteste !

Je voulais à tout prix qu’Andie finisse avec Duckie, John Hughes et Howard Deutch voulaient qu’Andie finisse avec Duckie sauf qu’elle finit avec Blane, ce personnage si plat et sans saveur et qui est juste mignon. Mais, lors des tests de visionnage, le public n'a pas été accroché à cette fin et du coup, ils ont du refilmé la fin, une fin qui reste clichée. En soit, je voulais plus que Andie et Duckie finissent ensemble car c'est ce que veut Duckie tout le long du film. Cependant, j'aime tout de même cette fin où Andie et Duckie se réconcilie et affronte ensemble, main dans la main, ce passage important de l'adolescent que peut être le bal de promo et tout ce qui entoure cet événement social. C'est vraiment à ce moment là que j'ai trouvé que ces deux personnages avaient une superbe amitié et on montre alors que Duckie sera toujours là pour Andie alors qu'avec Blane, il y a ce coté éphémère et superficiel et j'ai vraiment eu l'impression en regardant le film que la romance entre Andie et Blane sortait vraiment de nulle part et n'était pas assez développé, ce qui coïncide avec la fin de départ pour montrer qu'il était plus juste qu'Andie finisse avec Duckie. Cette fin imposée à Hughes et Deutch fut à l’origine du film Some Kind of Wonderful.

 Pretty in Pink (1986).

La mode, un facteur de statut social ? 

Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.

Alors, on regarde ou pas ?

Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.


BACK TO THE EIGHTIES • Pretty in Pink (1986).

 Pretty in Pink (1986).


Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?



Pretty in Pink, relations et cliques sociales 

Pretty in Pink est un teen-movie assez profond. Contrairement à ce que j’avais pu en penser lors du premier visionnage il y a quelques années, ce n’est pas une simple histoire d’amour. Ce film traite d'un sujet intéressant qui est celui de la classe sociale. Andie vit avec son père qui est au chômage alors que sa mère les a abandonné trois ans plus tôt et mènent alors une vie plutôt modeste dans un coin de la ville tout aussi modeste tandis que Blane vient d’une famille très aisé et tout le long du film, les deux personnages se demandent si malgré leur classe sociale différente, ils peuvent être ensemble - très semblable aux thèmes de The Breakfast Club. Les amis de Blane n’acceptent pas Andie et le meilleur ami d’Andie, Duckie, n’accepte pas Blane même si ici, je pense qu’il est plus question de jalousie, Duckie étant amoureux d’Andie depuis son enfance.

“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie

Andie est un personnage très intéressant, elle est passionnée, elle est très mature pour son âge, elle s'occupe de son père, c'est une élève studieuse pourtant elle rêve d’aller au bal de promo, elle reste donc une adolescente digne de ce nom. Pourtant, selon moi, le personnage qui m'a le plus plu et intéressé est Duckie. Il est un peu dorky, marginal, il a son propre style, il a ce coté un peu efféminé, très caractéristique de l’acteur qui l’interprète, Jon Cryer, c'est donc au final un personnage plutôt unique et original. J’adore Ducky et c'est le genre de personnage auquel on peut vite s'attacher, de part sa façon d'être, son style vestimentaire et malgré son exubérance, c’est quelqu’un qui se révèle fragile et qui, concrètement, ne vit que pour aimer Andie. Selon moi, Duckie est le personnage emblématique de PRETTY IN PINK avec une performance surprenante et convaincante de Jon Cryer .

 Pretty in Pink (1986).
J’ai beaucoup aimé la relation entre Andie et son père Jack. J’ai aimé leur complicité et la façon dont est traité leur relation, les rôles étant un peu inversés, Andie est celle qui s’occupe de son père, lui préparant son petit déjeuner le matin, le secouant un peu pour qu’il trouve un job. L'amitié de Duckie et Andie est vraiment chouette mais il y a un coté particulier qui m'a assez dérangé. J'ai eu l'impression que pendant certains moments du film, Andie avait honte de Duckie et ne l'appréciait pas à sa juste valeur et elle a beau lui dit à un moment du film: I hope I'm not the only one that knows how incredible you are. un soupçon d'ironie pointe le bout de son nez, car justement, je trouve qu'Andie ne voit pas à quel point Duckie est incroyable. Elle va quand même dans un club où il n'arrive jamais à rentrer et elle le sait, sympa la meilleure amie... Mais on va dire que la fin rattrape le tout. Parlons de cette fin justement. J’aime la fin autant que je la déteste !

Je voulais à tout prix qu’Andie finisse avec Duckie, John Hughes et Howard Deutch voulaient qu’Andie finisse avec Duckie sauf qu’elle finit avec Blane, ce personnage si plat et sans saveur et qui est juste mignon. Mais, lors des tests de visionnage, le public n'a pas été accroché à cette fin et du coup, ils ont du refilmé la fin, une fin qui reste clichée. En soit, je voulais plus que Andie et Duckie finissent ensemble car c'est ce que veut Duckie tout le long du film. Cependant, j'aime tout de même cette fin où Andie et Duckie se réconcilie et affronte ensemble, main dans la main, ce passage important de l'adolescent que peut être le bal de promo et tout ce qui entoure cet événement social. C'est vraiment à ce moment là que j'ai trouvé que ces deux personnages avaient une superbe amitié et on montre alors que Duckie sera toujours là pour Andie alors qu'avec Blane, il y a ce coté éphémère et superficiel et j'ai vraiment eu l'impression en regardant le film que la romance entre Andie et Blane sortait vraiment de nulle part et n'était pas assez développé, ce qui coïncide avec la fin de départ pour montrer qu'il était plus juste qu'Andie finisse avec Duckie. Cette fin imposée à Hughes et Deutch fut à l’origine du film Some Kind of Wonderful.

 Pretty in Pink (1986).

La mode, un facteur de statut social ? 

Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.

Alors, on regarde ou pas ?

Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.


Séries TV





Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article. 



CHUCK (2007-2012) 
Chuck tv series


Je crois que la série CHUCK restera une de mes séries préférées de tout les temps et je me rappelle avoir été très déçue quand la série a pris fin, et encore plus vu que la dernière saison ne vaut pas les précédentes. Alors, CHUCK, c'est une série américaine créée par Josh Schwartz et Chris Fedak où on suit Chuck, un nerd travaillant au Buy More de Burbank, un magasin d'électroménager et d'électronique. Un matin, alors qu'il ouvre un email de son meilleur ami de Stanford, l’inconscient de Chuck télécharge l'Intersecret, des données top-secrètes de la CIA et de la NSA.

J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant. 



MERLIN (2008-2012)
Merlin tv series

Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.

J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série  à ma maman donc pourquoi pas vous?



VERONICA MARS (2004-2007/2019)
Veronica Mars tv series


Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.

D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...



Et vous, des séries qui vous rendent nostalgiques quand vous les regardez à nouveau ?


Séries TV & Nostalgie • Chuck, Merlin et Veronica Mars.

Séries TV





Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article. 



CHUCK (2007-2012) 
Chuck tv series


Je crois que la série CHUCK restera une de mes séries préférées de tout les temps et je me rappelle avoir été très déçue quand la série a pris fin, et encore plus vu que la dernière saison ne vaut pas les précédentes. Alors, CHUCK, c'est une série américaine créée par Josh Schwartz et Chris Fedak où on suit Chuck, un nerd travaillant au Buy More de Burbank, un magasin d'électroménager et d'électronique. Un matin, alors qu'il ouvre un email de son meilleur ami de Stanford, l’inconscient de Chuck télécharge l'Intersecret, des données top-secrètes de la CIA et de la NSA.

J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant. 



MERLIN (2008-2012)
Merlin tv series

Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.

J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série  à ma maman donc pourquoi pas vous?



VERONICA MARS (2004-2007/2019)
Veronica Mars tv series


Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.

D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...



Et vous, des séries qui vous rendent nostalgiques quand vous les regardez à nouveau ?


Freaks and Geeks
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.


J'avais déjà entendu parler de Freaks and Geeks mais je me suis décidée à regarder la série que récemment (on sens le réabonnement à Netflix). J'ai tout de suite accroché à l'histoire et je n'ai regardé que ça pendant une semaine. J'ai adoré l'ambiance et les personnages. L'histoire se déroule dans les années 80 et tout ce qui va avec, la musique rock de Led Zeppelin, le déclin du disco, on y fait des références à Star Wars mais il est vrai que, personnellement, je n'ai pas autant ressenti the 80s vibe autant qu'avec Stranger Things par exemple, mais bon, ça n’enlève rien à la série qui reste excellente.

Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.

Freaks and Geeks

Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.

Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.

Freaks and Geeks montage

Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.

Bien que cette série ait été annulé il y a maintenant 17 ans, je vous conseille de la regarder, peut-être quand vous serez en période creuse niveau séries car je peux comprendre que regarder une série vieille de 18 ans et qui n'a qu'une seule saison ne soit pas votre priorité mais si cette série est culte, c'est pour une bonne raison donc foncez !


Freaks and Geeks, une série culte annulée trop tôt.

Freaks and Geeks
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.


J'avais déjà entendu parler de Freaks and Geeks mais je me suis décidée à regarder la série que récemment (on sens le réabonnement à Netflix). J'ai tout de suite accroché à l'histoire et je n'ai regardé que ça pendant une semaine. J'ai adoré l'ambiance et les personnages. L'histoire se déroule dans les années 80 et tout ce qui va avec, la musique rock de Led Zeppelin, le déclin du disco, on y fait des références à Star Wars mais il est vrai que, personnellement, je n'ai pas autant ressenti the 80s vibe autant qu'avec Stranger Things par exemple, mais bon, ça n’enlève rien à la série qui reste excellente.

Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.

Freaks and Geeks

Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.

Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.

Freaks and Geeks montage

Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.

Bien que cette série ait été annulé il y a maintenant 17 ans, je vous conseille de la regarder, peut-être quand vous serez en période creuse niveau séries car je peux comprendre que regarder une série vieille de 18 ans et qui n'a qu'une seule saison ne soit pas votre priorité mais si cette série est culte, c'est pour une bonne raison donc foncez !


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