Révolution VHS, le documentaire nostalgique de Arte.
REVOLUTION VHS est un documentaire de Dimitri Kourtchine, diffusé sur Arte le 31 août 2017. Quand bien même le groupe japonais Funai Electric, dernier fabricant de magnétoscopes ait stoppé sa production en 2016, la VHS n’en reste pas moins à la mode avec des applications capable de récréer des vidéos avec une qualité VHS si caractéristiques des années 80. Ce documentaire nous plonge alors dans un tourbillon de nostalgie. 

En véritable machine à voyager dans le temps, REVOLUTION VHS nous montre que tout commence en 1976 avec la sortie du Betamax de Sony. C'est une révolution où pouvoir enregistrer nos programmes favoris est maintenant possible. Ça devient aussi un moyen de rapprocher les gens entre eux, des passionnés s'envoyant leurs casettes enregistrées. Mais on apprend également que l’apparition de cette fonctionnalité n’a pas été bien vu par tout le monde, notamment par les studios qui voyaient d’un mauvais œil le fait de pouvoir enregistrer des programmes et considéraient donc ça comme du vol. L'année 1985 voit l'apparition d'un sérieux concurrent aux cassettes Betamax, la fameuse VHS, qui finira par dominer la cassette de Betamax.

La cassette VHS est aussi un symbole important qui se matérialise à travers l'arrivée des vidéo-clubs, qui étaient alors de véritables endroits de socialisation où il y avait un vrai contact humain. Les années 80 marquent l'époque où les VHS d'aérobic deviennent très populaires. L'expansion de la VHS permet également aux films à petits budgets de prospérer, notamment avec les films d'horreur et gore ainsi que les films pornographiques. Le développement du genre pornographique étant également dû à l'apparition des vidéo-clubs - vous savez, la fameuse arrière-boutique caché par des portes de saloon ou par un rideau. Le documentaire se penche également sur le capitalisme avec l'accroissement de la VHS et des films américains dans les pays soviétiques mais également avec le piratage vidéo.

Ce que j'ai trouvé extraordinaire avec ce documentaire, c'est d’avoir ce véritable sentiment de nostalgie universel mais aussi d'avoir la possibilité d'en savoir plus sur l'histoire de la VHS, et comment son apparition a pu chambouler la société. Ça montre également à quel point la technologie a pu changer et évoluer en une trentaine d'années. Je suis heureuse de faire partie de cette génération qui a connu la VHS et le sentiment que ça me procurait de mettre la cassette dans le magnétoscope pour regarder mon film d'animation favori le mercredi après-midi ou encore de rappeler à mes parents d'enregistrer un film ou une série qui passaient à la télé. Je suis assez contente d'ailleurs que mes parents aient conservé toutes ces précieuses reliques qui, même si elles prennent la poussière dans un placard, restent un souvenir et un symbole importants du passé qui, pour ma part, je ne veux pas perdre. Je vous conseille grandement ce documentaire captivant qui rembobine sur une partie de notre histoire culturelle, technologique mais également sociale. Un authentique revival des années 80 et 90 qui devrait ravir la majorité d'entre vous.


Révolution VHS, le documentaire nostalgique de Arte.

Révolution VHS, le documentaire nostalgique de Arte.
REVOLUTION VHS est un documentaire de Dimitri Kourtchine, diffusé sur Arte le 31 août 2017. Quand bien même le groupe japonais Funai Electric, dernier fabricant de magnétoscopes ait stoppé sa production en 2016, la VHS n’en reste pas moins à la mode avec des applications capable de récréer des vidéos avec une qualité VHS si caractéristiques des années 80. Ce documentaire nous plonge alors dans un tourbillon de nostalgie. 

En véritable machine à voyager dans le temps, REVOLUTION VHS nous montre que tout commence en 1976 avec la sortie du Betamax de Sony. C'est une révolution où pouvoir enregistrer nos programmes favoris est maintenant possible. Ça devient aussi un moyen de rapprocher les gens entre eux, des passionnés s'envoyant leurs casettes enregistrées. Mais on apprend également que l’apparition de cette fonctionnalité n’a pas été bien vu par tout le monde, notamment par les studios qui voyaient d’un mauvais œil le fait de pouvoir enregistrer des programmes et considéraient donc ça comme du vol. L'année 1985 voit l'apparition d'un sérieux concurrent aux cassettes Betamax, la fameuse VHS, qui finira par dominer la cassette de Betamax.

La cassette VHS est aussi un symbole important qui se matérialise à travers l'arrivée des vidéo-clubs, qui étaient alors de véritables endroits de socialisation où il y avait un vrai contact humain. Les années 80 marquent l'époque où les VHS d'aérobic deviennent très populaires. L'expansion de la VHS permet également aux films à petits budgets de prospérer, notamment avec les films d'horreur et gore ainsi que les films pornographiques. Le développement du genre pornographique étant également dû à l'apparition des vidéo-clubs - vous savez, la fameuse arrière-boutique caché par des portes de saloon ou par un rideau. Le documentaire se penche également sur le capitalisme avec l'accroissement de la VHS et des films américains dans les pays soviétiques mais également avec le piratage vidéo.

Ce que j'ai trouvé extraordinaire avec ce documentaire, c'est d’avoir ce véritable sentiment de nostalgie universel mais aussi d'avoir la possibilité d'en savoir plus sur l'histoire de la VHS, et comment son apparition a pu chambouler la société. Ça montre également à quel point la technologie a pu changer et évoluer en une trentaine d'années. Je suis heureuse de faire partie de cette génération qui a connu la VHS et le sentiment que ça me procurait de mettre la cassette dans le magnétoscope pour regarder mon film d'animation favori le mercredi après-midi ou encore de rappeler à mes parents d'enregistrer un film ou une série qui passaient à la télé. Je suis assez contente d'ailleurs que mes parents aient conservé toutes ces précieuses reliques qui, même si elles prennent la poussière dans un placard, restent un souvenir et un symbole importants du passé qui, pour ma part, je ne veux pas perdre. Je vous conseille grandement ce documentaire captivant qui rembobine sur une partie de notre histoire culturelle, technologique mais également sociale. Un authentique revival des années 80 et 90 qui devrait ravir la majorité d'entre vous.


The Last Starfighter (1984).









Avant de regarder THE LAST STARFIGHTER, j'en avais vaguement entendu parler sans vraiment être véritablement tenter de le regarder, alors que c'est le genre de film que j'apprécie. Il aura fallu que j'entende parler d'une nouvelle série avec Josh Hutcherson nommée Future Man qui sera diffusé sur la plateforme Hulu à partir du 14 novembre 2017 et qui est un énorme clin d’œil à ce film. La série ayant l'air assez sympa et divertissante - et aussi complètement WTF - je me suis dit que le film valait peut-être le détour. 

 

THE LAST STARFIGHTER, réalisé par Nick Castle en 1984, c'est l'histoire d'Alex Rogan, un jeune qui vit avec sa mère et son jeune frère Louis dans un mobil-home. Quand il n'est pas avec sa petite amie Maggie, il passe la plupart de son temps à aider les gens du trailer park qui lui demandent sans arrêt de petits services. Quand il se retrouve avec un peu de temps libre, Alex joue à Starfighter, un jeu vidéo sur borne d'arcade de shoot'em up se déroulant dans l'espace. Un soir, alors qu'Alex a enfin battu le record du jeu, un homme en voiture vient à sa rencontre. L'homme, qui s'appelle Centauri, lui annonce qu'il est le créateur du jeu Starfighter et que le jeu est en réalité un simulateur pour découvrir ceux qui ont la capacité de piloter un vaisseau de combat stellaire et qu'une véritable menace plane dans l'espace. 


The Last Starfighter (1984).




Le thème du Chosen One dans un film de science fiction

THE LAST STARFIGHTER est sorti en 1984, du coup, les effets spéciaux sont un peu datés et ont pris un petit coup de vieux. Pourtant, lors de sa sortie, le film était considéré comme étant à la pointe de la nouveauté. En effet, en véritable précurseur, THE LAST STARFIGHTER est l'un des tout premiers films avec une utilisation intensive de CGI. Alors qu'il était plus d'usage à utiliser des maquettes, les vaisseaux spatiaux présents dans le films ont été réalisé en images de synthèse, ce qui donne au film plus de 20 min de scènes spatiales entièrement faites par ordinateur, ce qui donne un aspect jeu vidéo au film, ce qui colle bien avec la thématique du film. J'ai également souri en voyant la voiture de Centauri, en effet, cette dernière a été inspiré par la fameuse voiture aux portes papillons, je parle bien évidement de la DeLorean. Il est d'ailleurs important de spécifier que le film à été tourné avant Retour vers le Futur.

J'ai apprécie le fait, qu'au départ, Alex ne souhaite pas devenir un starfighter, très réticent à l'idée d'être possiblement tué en mission. Alex est alors un jeune tout a fait lambda qui se retrouve avec une destinée qui le dépasse. Pourtant, Alex a toujours voulu partir de sa petite ville et du trailer park où il a toujours habité. Alex finira tout de même par accepter son statut de Chosen One quand il se rend compte que, justement, c'est plus grand que lui et qu'il est le seul espoir de l'univers.

The Last Starfighter (1984).


Plusieurs scènes sont assez drôles, notamment celle avec Beta Alex, un robot ayant pris l’apparence d'Alex pour le remplacer sur Terre pendant que le véritable Alex est dans l'espace. On le voit alors s'approprier la vie quotidienne d'Alex, tout en découvrant ce nouveau monde qui l'entoure et essayant de se comporter comme un être humain. Beta Alex ne saura pas tellement comment agir, surtout quand il est avec Maggie, la petite amie d'Alex. J'avoue aussi que certains effets spéciaux m'ont fait assez rire, ça a vieillit mais ça fait le charme du film et cela n'enlève rien à la dynamique de l'histoire. En ce qui concerne les maquillages SFX, je trouve que c'est très correct pour l’époque et je dirais même que ça n'a rien a envier a certaines séries actuelles (hello Doctor Who).

Alors, on regarde ou pas ?

Même s'il est évident que l'histoire prend de nombreux éléments de Star Wars, le film n'en fait pas trop et son charme réside dans sa simplicité. De nos jours, on nous sert des films de SF complètement rocambolesques avec une utilisation excessive d'effets spéciaux qui finissent par nuire au film. Bien que sans réelle surprise (on se doute bien que le héros va gagner la bataille), ce fut une belle découverte et j'ai passé un excellent moment devant THE LAST STARFIGHTER. Je ne me suis pas ennuyée et il a su me redonner le sourire. Je le recommande si vous êtes friands de vieux films SF des années 80, que les effets spéciaux datés ne soient pas rédhibitoires pour vous et si vous êtes également fans de jeux vidéos rétros. 



BACK TO THE EIGHTIES • The Last Starfighter (1984).

The Last Starfighter (1984).









Avant de regarder THE LAST STARFIGHTER, j'en avais vaguement entendu parler sans vraiment être véritablement tenter de le regarder, alors que c'est le genre de film que j'apprécie. Il aura fallu que j'entende parler d'une nouvelle série avec Josh Hutcherson nommée Future Man qui sera diffusé sur la plateforme Hulu à partir du 14 novembre 2017 et qui est un énorme clin d’œil à ce film. La série ayant l'air assez sympa et divertissante - et aussi complètement WTF - je me suis dit que le film valait peut-être le détour. 

 

THE LAST STARFIGHTER, réalisé par Nick Castle en 1984, c'est l'histoire d'Alex Rogan, un jeune qui vit avec sa mère et son jeune frère Louis dans un mobil-home. Quand il n'est pas avec sa petite amie Maggie, il passe la plupart de son temps à aider les gens du trailer park qui lui demandent sans arrêt de petits services. Quand il se retrouve avec un peu de temps libre, Alex joue à Starfighter, un jeu vidéo sur borne d'arcade de shoot'em up se déroulant dans l'espace. Un soir, alors qu'Alex a enfin battu le record du jeu, un homme en voiture vient à sa rencontre. L'homme, qui s'appelle Centauri, lui annonce qu'il est le créateur du jeu Starfighter et que le jeu est en réalité un simulateur pour découvrir ceux qui ont la capacité de piloter un vaisseau de combat stellaire et qu'une véritable menace plane dans l'espace. 


The Last Starfighter (1984).




Le thème du Chosen One dans un film de science fiction

THE LAST STARFIGHTER est sorti en 1984, du coup, les effets spéciaux sont un peu datés et ont pris un petit coup de vieux. Pourtant, lors de sa sortie, le film était considéré comme étant à la pointe de la nouveauté. En effet, en véritable précurseur, THE LAST STARFIGHTER est l'un des tout premiers films avec une utilisation intensive de CGI. Alors qu'il était plus d'usage à utiliser des maquettes, les vaisseaux spatiaux présents dans le films ont été réalisé en images de synthèse, ce qui donne au film plus de 20 min de scènes spatiales entièrement faites par ordinateur, ce qui donne un aspect jeu vidéo au film, ce qui colle bien avec la thématique du film. J'ai également souri en voyant la voiture de Centauri, en effet, cette dernière a été inspiré par la fameuse voiture aux portes papillons, je parle bien évidement de la DeLorean. Il est d'ailleurs important de spécifier que le film à été tourné avant Retour vers le Futur.

J'ai apprécie le fait, qu'au départ, Alex ne souhaite pas devenir un starfighter, très réticent à l'idée d'être possiblement tué en mission. Alex est alors un jeune tout a fait lambda qui se retrouve avec une destinée qui le dépasse. Pourtant, Alex a toujours voulu partir de sa petite ville et du trailer park où il a toujours habité. Alex finira tout de même par accepter son statut de Chosen One quand il se rend compte que, justement, c'est plus grand que lui et qu'il est le seul espoir de l'univers.

The Last Starfighter (1984).


Plusieurs scènes sont assez drôles, notamment celle avec Beta Alex, un robot ayant pris l’apparence d'Alex pour le remplacer sur Terre pendant que le véritable Alex est dans l'espace. On le voit alors s'approprier la vie quotidienne d'Alex, tout en découvrant ce nouveau monde qui l'entoure et essayant de se comporter comme un être humain. Beta Alex ne saura pas tellement comment agir, surtout quand il est avec Maggie, la petite amie d'Alex. J'avoue aussi que certains effets spéciaux m'ont fait assez rire, ça a vieillit mais ça fait le charme du film et cela n'enlève rien à la dynamique de l'histoire. En ce qui concerne les maquillages SFX, je trouve que c'est très correct pour l’époque et je dirais même que ça n'a rien a envier a certaines séries actuelles (hello Doctor Who).

Alors, on regarde ou pas ?

Même s'il est évident que l'histoire prend de nombreux éléments de Star Wars, le film n'en fait pas trop et son charme réside dans sa simplicité. De nos jours, on nous sert des films de SF complètement rocambolesques avec une utilisation excessive d'effets spéciaux qui finissent par nuire au film. Bien que sans réelle surprise (on se doute bien que le héros va gagner la bataille), ce fut une belle découverte et j'ai passé un excellent moment devant THE LAST STARFIGHTER. Je ne me suis pas ennuyée et il a su me redonner le sourire. Je le recommande si vous êtes friands de vieux films SF des années 80, que les effets spéciaux datés ne soient pas rédhibitoires pour vous et si vous êtes également fans de jeux vidéos rétros. 



Say Anything 1989


Je ne vous cache pas qu'il me reste beaucoup de teen movies des 80s à voir mais je peux enfin rayer SAY ANYTHING de ma liste. Say Anything est le tout premier long métrage de Cameron Crowe, connu pour avoir réalisé ensuite Jerry McGuire, Presque Célèbre (il faudra que je vous en parle de ce film) et Vanilla Sky. Réalisé en 1989, SAY ANYTHING raconte comment un garçon lambda, Lloyd Dobler (incarné par John Cusack) réussit à avoir un rendez-vous avec Diane Court, la fille la plus intelligente de son lycée. 

L'histoire est incroyablement simple mais c'est une très belle histoire sur l'amour naissant entre deux jeunes adultes qui viennent de finir leur scolarité au lycée. En effet, le film démarre avec la fameuse graduation ceremony, tellement typique des USA. Lloyd, qui a des vus sur Diane depuis un petit moment déjà, prend son courage à deux mains et l'invite à une soirée et tout ça par téléphone. Le coté comique, c'est que Diane ne sait pas vraiment à quoi Lloyd ressemble mais accepte tout de même, elle qui a passé la majorité de son temps le nez dans les bouquins, elle peut enfin profiter de son été avant de s'envoler pour Londres pour ses études universitaires.

Lloyd et Diane sont deux personnes opposées: alors que Diane a son avenir tout tracé devant elle, Lloyd ne sait pas quoi faire de son avenir mais ça ne le perturbe pas autant, ça lui convient. Son père veut qu'il rejoigne l'armée tout comme lui mais Lloyd ne se voit pas du tout dans ce domaine, il ne veut pas servir le gouvernement. La seule envie de Lloyd pour le moment, c'est de passer tout son été avec Diane et semble prendre leur relation très au sérieux alors que ce n'est que le commencement de leur histoire à deux.

Say Anything 1989



Alors que qu'ils tombent de plus en plus amoureux, une ombre s'affiche au tableau avec le père de Diane, qui ne voit pas d'un très bon œil la nature de leur relation, voyant alors Lloyd comme un obstacle à l'avenir prometteur de sa fille. Diane est tellement influencée par son père que ça commence peu à peu à mettre en péril sa relation avec Lloyd.

SAY ANYTHING est une belle histoire d'amour, simple mais intelligente et se démarque des autres teen movies de l'époque. Ce n'est pas fleur bleue et l'histoire respire l'authenticité, d'ailleurs, Crowe s'est inspiré de sa propre jeunesse en écrivant le scénario. Il y a une réelle alchimie entre John Cusack et Ione Skye et leur couple dans le film donne tellement envie. Les acteurs sont parfait, notamment John Cusack et John Mahoney, qui interprète le père de Diane. John Cusack est particulièrement touchant et rend le personnage de Lloyd très authentique et attirant.

Alors, on regarde ou pas ?
Le film ne fait pas dans le cliché et pour un premier film, SAY ANYTHING était très prometteur. Je vous le conseille si vous voulez visionner un film simple et touchant devenu culte avec le temps, notamment la fameuse scène avec la boombox.


BACK TO THE EIGHTIES • Say Anything (1989).

Say Anything 1989


Je ne vous cache pas qu'il me reste beaucoup de teen movies des 80s à voir mais je peux enfin rayer SAY ANYTHING de ma liste. Say Anything est le tout premier long métrage de Cameron Crowe, connu pour avoir réalisé ensuite Jerry McGuire, Presque Célèbre (il faudra que je vous en parle de ce film) et Vanilla Sky. Réalisé en 1989, SAY ANYTHING raconte comment un garçon lambda, Lloyd Dobler (incarné par John Cusack) réussit à avoir un rendez-vous avec Diane Court, la fille la plus intelligente de son lycée. 

L'histoire est incroyablement simple mais c'est une très belle histoire sur l'amour naissant entre deux jeunes adultes qui viennent de finir leur scolarité au lycée. En effet, le film démarre avec la fameuse graduation ceremony, tellement typique des USA. Lloyd, qui a des vus sur Diane depuis un petit moment déjà, prend son courage à deux mains et l'invite à une soirée et tout ça par téléphone. Le coté comique, c'est que Diane ne sait pas vraiment à quoi Lloyd ressemble mais accepte tout de même, elle qui a passé la majorité de son temps le nez dans les bouquins, elle peut enfin profiter de son été avant de s'envoler pour Londres pour ses études universitaires.

Lloyd et Diane sont deux personnes opposées: alors que Diane a son avenir tout tracé devant elle, Lloyd ne sait pas quoi faire de son avenir mais ça ne le perturbe pas autant, ça lui convient. Son père veut qu'il rejoigne l'armée tout comme lui mais Lloyd ne se voit pas du tout dans ce domaine, il ne veut pas servir le gouvernement. La seule envie de Lloyd pour le moment, c'est de passer tout son été avec Diane et semble prendre leur relation très au sérieux alors que ce n'est que le commencement de leur histoire à deux.

Say Anything 1989



Alors que qu'ils tombent de plus en plus amoureux, une ombre s'affiche au tableau avec le père de Diane, qui ne voit pas d'un très bon œil la nature de leur relation, voyant alors Lloyd comme un obstacle à l'avenir prometteur de sa fille. Diane est tellement influencée par son père que ça commence peu à peu à mettre en péril sa relation avec Lloyd.

SAY ANYTHING est une belle histoire d'amour, simple mais intelligente et se démarque des autres teen movies de l'époque. Ce n'est pas fleur bleue et l'histoire respire l'authenticité, d'ailleurs, Crowe s'est inspiré de sa propre jeunesse en écrivant le scénario. Il y a une réelle alchimie entre John Cusack et Ione Skye et leur couple dans le film donne tellement envie. Les acteurs sont parfait, notamment John Cusack et John Mahoney, qui interprète le père de Diane. John Cusack est particulièrement touchant et rend le personnage de Lloyd très authentique et attirant.

Alors, on regarde ou pas ?
Le film ne fait pas dans le cliché et pour un premier film, SAY ANYTHING était très prometteur. Je vous le conseille si vous voulez visionner un film simple et touchant devenu culte avec le temps, notamment la fameuse scène avec la boombox.


KD2A




Je pense ne pas être la seule en disant que l'émission sur France 2 a bercé mon enfance et adolescence. L'émission est lancée en 2001 sous le nom CD2A (Chut ! Déconseillée aux Adultes), puis TD2A (Terriblement Déconseillée Aux Adultes) pour enfin devenir KD2A (Karrément Déconseillée Aux Adultes) et a rythmé mon samedi matin où de nombreuses séries américaines y étaient diffusées. KD2A, c'était surtout l'occasion de pouvoir profiter des séries diffusées alors sur Disney Channel pour les personnes qui n’avait pas accès à la chaîne. J'espère que vous apprécieriez cet article et c'est parti pour un petit voyage dans le temps.

Lizzie McGuire et Degrassi, les séries qui m'ont fait fantasmer sur la scolarité américaine

Lizzie McGuire est la série qui m'a fait découvrir le système des casiers dans les couloirs (j'étais tellement naïve de penser que c'était la même chose en France). La série parlait d'amitié, de soucis d'adolescence et des premiers béguins. Une suite devait être produite par Disney+, mais ce projet fut annulé en raison de divergences artistiques. Sur KD2A, il y avait aussi Degrassi, qui reste l'un des meilleurs teen dramas de notre époque. Cette série pour adolescents abordait un certain nombre de sujets qui semblaient en avance sur son temps, de la grossesse chez les adolescentes à l'alcoolisme en passant par la transidentité. Plus léger et rocambolesque, il y avait Phénomere Raven. À mon époque, Raven était une des rares (sinon la seule) adolescente afro-américaine à être l'héroïne d'une série pour ados. C'était assez rafraîchissant et j'avais beaucoup apprécié que la série comprenne un épisode sur le racisme.


Foudre, une histoire de coup de foudre et d'âme soeur

Foudre est une des rares séries françaises que j'ai vraiment suivies du début à la fin (ou presque). La série était avait d'ailleurs su se démarquer pour se dérouler en Nouvelle-Calédonie, ainsi que pour son univers mystique autour des tribus. L'histoire d'amour entre les personnages principaux, Alice et Alex, était belle et forte. Alex avait en effet tout quitté pour suivre Alice à Nouméa. Une véritable histoire d’amour entre deux âmes-sœurs. C'était une série originale qui donnait des envies de voyager et de tout claquer pour partir à l'aventure. J'appréciais aussi le fait qu'Alice, interprétée par Joséphine Jobert soit métisse, ce qui était assez rare avec les séries que je regardais à l'époque. Cependant, il vaut avouer que les trois dernières saisons sont loin d'être à la hauteur des deux premières, et après la mort d’un des personnages principaux, j'ai plus ou moins abandonné la série, et ce n'est que quelques années après la fin de la série que j'ai regardé la cinquième et dernière saison.

Sabrina, l'apprentie sorcière et H2O, ou l'envie d'être une sorcière et/ou une sirène

Avec la série Charmed, Sabrina, l'apprentie sorcière est la série qui m'a donné envie d'être une sorcière et d'avoir un chat noir qui parle. Moi aussi, je voulais un grimoire et pouvoir jeter des sorts en un clin d'œil. J'avoue que les premières saisons, lorsque Sabrina est encore au lycée, restent mes préférées. J'ai moins aimé les saisons où elle est étudiante puis devient journaliste. Cependant, c'était plaisant de montrer l'évolution de Sabrina au fil du temps. 

Il y avait ensuite H2O, une série australienne qui suivait trois amies qui deviennent des sirènes. En plus de l’aspect fantastique du teen show, la série évoquait beaucoup de sujets liés aux tracas adolescents. La série a tenu trois saisons, mais encore une fois, je suis moins fan de la dernière saison, puisque le personnage d'Emma n'y figurait plus. J'adorais l'amitié qu'entretenaient Cléo, Emma et Ricki. J'aimais beaucoup aussi le couple Cléo-Lewis, l'histoire typique du friends-to-lovers. Fait amusant : les actrices qui interprétaient Cleo (Phoebe Tonkin) et Emma (Claire Holt) ont été réunies quelques années plus tard dans la série The Vampire Diaries.


Je regardais également Derek, l'histoire d'une famille recomposée où les deux aînés du même âge ont beaucoup de mal à s'entendre ; La Guerre des Stevens (connu aussi sous le nom Drôle de Frère), la série qui marqua les débuts de Shia LaBeouf ; Famille à tout prix, une série sur le quotidien d'une famille d'origine irlandaise complètement barge, mais également Ce que J'aime chez Toi, Sister Sister (Rentre chez toi, Roger!) et Clueless. Bref, vous remarquerez donc que mon amour pour les séries ne date pas d'hier et qu'il ne compte pas s’arrêter de sitôt.


Et vous, quelles étaient vos séries favorites sur KD2A ?



Séries TV & Nostalgie • KD2A

KD2A




Je pense ne pas être la seule en disant que l'émission sur France 2 a bercé mon enfance et adolescence. L'émission est lancée en 2001 sous le nom CD2A (Chut ! Déconseillée aux Adultes), puis TD2A (Terriblement Déconseillée Aux Adultes) pour enfin devenir KD2A (Karrément Déconseillée Aux Adultes) et a rythmé mon samedi matin où de nombreuses séries américaines y étaient diffusées. KD2A, c'était surtout l'occasion de pouvoir profiter des séries diffusées alors sur Disney Channel pour les personnes qui n’avait pas accès à la chaîne. J'espère que vous apprécieriez cet article et c'est parti pour un petit voyage dans le temps.

Lizzie McGuire et Degrassi, les séries qui m'ont fait fantasmer sur la scolarité américaine

Lizzie McGuire est la série qui m'a fait découvrir le système des casiers dans les couloirs (j'étais tellement naïve de penser que c'était la même chose en France). La série parlait d'amitié, de soucis d'adolescence et des premiers béguins. Une suite devait être produite par Disney+, mais ce projet fut annulé en raison de divergences artistiques. Sur KD2A, il y avait aussi Degrassi, qui reste l'un des meilleurs teen dramas de notre époque. Cette série pour adolescents abordait un certain nombre de sujets qui semblaient en avance sur son temps, de la grossesse chez les adolescentes à l'alcoolisme en passant par la transidentité. Plus léger et rocambolesque, il y avait Phénomere Raven. À mon époque, Raven était une des rares (sinon la seule) adolescente afro-américaine à être l'héroïne d'une série pour ados. C'était assez rafraîchissant et j'avais beaucoup apprécié que la série comprenne un épisode sur le racisme.


Foudre, une histoire de coup de foudre et d'âme soeur

Foudre est une des rares séries françaises que j'ai vraiment suivies du début à la fin (ou presque). La série était avait d'ailleurs su se démarquer pour se dérouler en Nouvelle-Calédonie, ainsi que pour son univers mystique autour des tribus. L'histoire d'amour entre les personnages principaux, Alice et Alex, était belle et forte. Alex avait en effet tout quitté pour suivre Alice à Nouméa. Une véritable histoire d’amour entre deux âmes-sœurs. C'était une série originale qui donnait des envies de voyager et de tout claquer pour partir à l'aventure. J'appréciais aussi le fait qu'Alice, interprétée par Joséphine Jobert soit métisse, ce qui était assez rare avec les séries que je regardais à l'époque. Cependant, il vaut avouer que les trois dernières saisons sont loin d'être à la hauteur des deux premières, et après la mort d’un des personnages principaux, j'ai plus ou moins abandonné la série, et ce n'est que quelques années après la fin de la série que j'ai regardé la cinquième et dernière saison.

Sabrina, l'apprentie sorcière et H2O, ou l'envie d'être une sorcière et/ou une sirène

Avec la série Charmed, Sabrina, l'apprentie sorcière est la série qui m'a donné envie d'être une sorcière et d'avoir un chat noir qui parle. Moi aussi, je voulais un grimoire et pouvoir jeter des sorts en un clin d'œil. J'avoue que les premières saisons, lorsque Sabrina est encore au lycée, restent mes préférées. J'ai moins aimé les saisons où elle est étudiante puis devient journaliste. Cependant, c'était plaisant de montrer l'évolution de Sabrina au fil du temps. 

Il y avait ensuite H2O, une série australienne qui suivait trois amies qui deviennent des sirènes. En plus de l’aspect fantastique du teen show, la série évoquait beaucoup de sujets liés aux tracas adolescents. La série a tenu trois saisons, mais encore une fois, je suis moins fan de la dernière saison, puisque le personnage d'Emma n'y figurait plus. J'adorais l'amitié qu'entretenaient Cléo, Emma et Ricki. J'aimais beaucoup aussi le couple Cléo-Lewis, l'histoire typique du friends-to-lovers. Fait amusant : les actrices qui interprétaient Cleo (Phoebe Tonkin) et Emma (Claire Holt) ont été réunies quelques années plus tard dans la série The Vampire Diaries.


Je regardais également Derek, l'histoire d'une famille recomposée où les deux aînés du même âge ont beaucoup de mal à s'entendre ; La Guerre des Stevens (connu aussi sous le nom Drôle de Frère), la série qui marqua les débuts de Shia LaBeouf ; Famille à tout prix, une série sur le quotidien d'une famille d'origine irlandaise complètement barge, mais également Ce que J'aime chez Toi, Sister Sister (Rentre chez toi, Roger!) et Clueless. Bref, vous remarquerez donc que mon amour pour les séries ne date pas d'hier et qu'il ne compte pas s’arrêter de sitôt.


Et vous, quelles étaient vos séries favorites sur KD2A ?



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