My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix

Je n'ai jamais été une grande fan d'horreur, bien que plus le temps passe et plus le genre m'effraie de moins en moins. Je me suis toujours dit que je ne regarderai jamais l'Exorciste car même si je sais que le film a mal vieilli, je pense que si on est comme moi et qu'on croit à ce genre de chose, ça peut vite nous travailler et nous déstabiliser, pourtant je n'ai jamais eu de doute quand j'ai commandé My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix. Je savais que l'histoire allait me plaire.

Lycéennes en deuxième année, Abby et Gretchen sont meilleures amies depuis le CM1. Après un bain de minuit qui a tourné au désastre, Gretchen commence à agir...différemment. Elle est lunatique et irritable. Des incidents bizarres ne cesse d'arriver quand elle est a proximité. L'enquête d'Abby l'amène à des découvertes surprenantes - et au moment où leur histoire arrive à sa conclusion terrifiante, le sort d'Abby et de Gretchen sera résolu par une seule question: leur amitié est-elle assez puissante pour battre le diable? Comme un hybride profane entre Au fil de la vie et de L'Exorciste, My Best Friend's Exorcism mélange l'angoisse existentielle, le drame adolescent, des horreurs indescriptibles et un mélange de chansons pop des années 80 dans un thriller surnaturel palpitant. - Quatrième de couverture traduit par mes soins.

J'ai commencé à lire My Best Friend's Exorcism le 30 mars, mais je n'étais pas à fond dedans au début même si j'appréciais la tournure que prenait de l'histoire. Sur les 330 pages du roman, j'avais lu seulement 100 pages en 4 jours et c'est le seulement cinquième jour où j'ai commencé à mon plonger davantage dans le roman, pour au final ne plus pouvoir le déposer et le finir en une matinée. Je ne pouvais plus m’arrêter tellement l'histoire devenait de plus en plus intense et terrifiante au fil des pages. Les descriptions faites par l'auteur pour décrire peu à peu le changement physique et psychologique de Gretchen étaient tout simplement glaçantes, mais tellement visuelles que je les imaginais de manière très claire dans ma tête. Le roman ne fait pas peur à proprement parler, cependant il glace le sang, car on assiste à la déchéance de Gretchen alors qu'elle est peu à peu submergée par un démon. On assiste également à l'impuissance d'Abby qui se retrouve seule alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, aider sa meilleure amie alors que cette dernière, possédée par un démon ne cesse de répandre le chaos autour d'elle. On ressent donc de la compassion pour Abby et on admire sa combativité alors même que le démon fait littéralement tout pour lui pourrir la vie en lui enlevant toute crédibilité et en l'isolant. Tout au long du roman, on se demande bien ce qui va arriver aux personnages secondaires et quels mauvais tours Gretchen va jouer.

Le roman se passe durant l'année 1988 et bien évidemment, l'auteur fait quelques références à la pop culture de l'époque. Le roman comporte la juste dose de références et j'ai trouvé sympathique le fait que chaque chapitre soit le titre d'une chanson sortie durant cette décennie. Le roman a quelques défauts avec quelques parts d'ombres qui ne sont pas vraiment élucidés - par exemple, on ne sait pas de manière précise comment Gretchen s'est fait posséder par un démon - mais ce n'est pas si dérangeant que ça, car ce n'est pas une trop grosse entrave à la compréhension de l’histoire et ça n’empêche pas de l’apprécier.

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix


C’était donc la première fois que je lisais ce genre de roman et j’ai trouvé l’histoire brillante, car même si c’est une histoire d’horreur et de possession démoniaque, on remarque que c’est surtout une histoire d’amitié, avec Abby qui est prête à n’importe quoi pour aider sa meilleure amie. En lisant le roman, je pensais parfois au film Jennifer’s Body où une lycéenne prénommée Jennifer, incarnée par Megan Fox, se voit posséder par un succube lors d’un rituel satanique, tandis que sa meilleure amie Needy, interprétée par Amanda Seyfried, va tout faire pour protéger son petit-ami et prendra plus tard la décision de tuer Jennifer. Assez ressemblant, mise à part que dans My Best Friend's Exorcism, Abby ne renonce jamais à Gretchen et ne souhaite qu'une chose, c'est de la sauver.

My Best Friend's Exorcism est le genre de roman qui marque, car la trame de l'histoire n'est pas légère et même si l'histoire principale traite de possession démoniaque, on retient surtout l'histoire d'amitié entre les deux personnages principaux et aussi l'espoir qu'entretient Abby pour libérer sa meilleure amie. La plume de l'auteur est claire et directe, ce qui fait de ce roman une lecture addictive, divertissante, angoissante mais aussi émouvante. Je ne sais pas si ce roman finira par être traduit en français mais le niveau de langue n'est pas trop compliqué. Bref, je recommande cette lecture digne d'un film d'horreur pour adolescents.






My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix, un roman hybride entre horreur et teen drama

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix

Je n'ai jamais été une grande fan d'horreur, bien que plus le temps passe et plus le genre m'effraie de moins en moins. Je me suis toujours dit que je ne regarderai jamais l'Exorciste car même si je sais que le film a mal vieilli, je pense que si on est comme moi et qu'on croit à ce genre de chose, ça peut vite nous travailler et nous déstabiliser, pourtant je n'ai jamais eu de doute quand j'ai commandé My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix. Je savais que l'histoire allait me plaire.

Lycéennes en deuxième année, Abby et Gretchen sont meilleures amies depuis le CM1. Après un bain de minuit qui a tourné au désastre, Gretchen commence à agir...différemment. Elle est lunatique et irritable. Des incidents bizarres ne cesse d'arriver quand elle est a proximité. L'enquête d'Abby l'amène à des découvertes surprenantes - et au moment où leur histoire arrive à sa conclusion terrifiante, le sort d'Abby et de Gretchen sera résolu par une seule question: leur amitié est-elle assez puissante pour battre le diable? Comme un hybride profane entre Au fil de la vie et de L'Exorciste, My Best Friend's Exorcism mélange l'angoisse existentielle, le drame adolescent, des horreurs indescriptibles et un mélange de chansons pop des années 80 dans un thriller surnaturel palpitant. - Quatrième de couverture traduit par mes soins.

J'ai commencé à lire My Best Friend's Exorcism le 30 mars, mais je n'étais pas à fond dedans au début même si j'appréciais la tournure que prenait de l'histoire. Sur les 330 pages du roman, j'avais lu seulement 100 pages en 4 jours et c'est le seulement cinquième jour où j'ai commencé à mon plonger davantage dans le roman, pour au final ne plus pouvoir le déposer et le finir en une matinée. Je ne pouvais plus m’arrêter tellement l'histoire devenait de plus en plus intense et terrifiante au fil des pages. Les descriptions faites par l'auteur pour décrire peu à peu le changement physique et psychologique de Gretchen étaient tout simplement glaçantes, mais tellement visuelles que je les imaginais de manière très claire dans ma tête. Le roman ne fait pas peur à proprement parler, cependant il glace le sang, car on assiste à la déchéance de Gretchen alors qu'elle est peu à peu submergée par un démon. On assiste également à l'impuissance d'Abby qui se retrouve seule alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, aider sa meilleure amie alors que cette dernière, possédée par un démon ne cesse de répandre le chaos autour d'elle. On ressent donc de la compassion pour Abby et on admire sa combativité alors même que le démon fait littéralement tout pour lui pourrir la vie en lui enlevant toute crédibilité et en l'isolant. Tout au long du roman, on se demande bien ce qui va arriver aux personnages secondaires et quels mauvais tours Gretchen va jouer.

Le roman se passe durant l'année 1988 et bien évidemment, l'auteur fait quelques références à la pop culture de l'époque. Le roman comporte la juste dose de références et j'ai trouvé sympathique le fait que chaque chapitre soit le titre d'une chanson sortie durant cette décennie. Le roman a quelques défauts avec quelques parts d'ombres qui ne sont pas vraiment élucidés - par exemple, on ne sait pas de manière précise comment Gretchen s'est fait posséder par un démon - mais ce n'est pas si dérangeant que ça, car ce n'est pas une trop grosse entrave à la compréhension de l’histoire et ça n’empêche pas de l’apprécier.

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix


C’était donc la première fois que je lisais ce genre de roman et j’ai trouvé l’histoire brillante, car même si c’est une histoire d’horreur et de possession démoniaque, on remarque que c’est surtout une histoire d’amitié, avec Abby qui est prête à n’importe quoi pour aider sa meilleure amie. En lisant le roman, je pensais parfois au film Jennifer’s Body où une lycéenne prénommée Jennifer, incarnée par Megan Fox, se voit posséder par un succube lors d’un rituel satanique, tandis que sa meilleure amie Needy, interprétée par Amanda Seyfried, va tout faire pour protéger son petit-ami et prendra plus tard la décision de tuer Jennifer. Assez ressemblant, mise à part que dans My Best Friend's Exorcism, Abby ne renonce jamais à Gretchen et ne souhaite qu'une chose, c'est de la sauver.

My Best Friend's Exorcism est le genre de roman qui marque, car la trame de l'histoire n'est pas légère et même si l'histoire principale traite de possession démoniaque, on retient surtout l'histoire d'amitié entre les deux personnages principaux et aussi l'espoir qu'entretient Abby pour libérer sa meilleure amie. La plume de l'auteur est claire et directe, ce qui fait de ce roman une lecture addictive, divertissante, angoissante mais aussi émouvante. Je ne sais pas si ce roman finira par être traduit en français mais le niveau de langue n'est pas trop compliqué. Bref, je recommande cette lecture digne d'un film d'horreur pour adolescents.






On My Block 2018 Netflix

Je n'attendais pas grand chose de cette série, j'avais vu la bande annonce et sur le moment, ça ne me disait trop rien. Cependant, je voulais faire une petite pause avec les animes et j'ai décidé un matin de commencer On My Block. Comment vous dire que j'ai reçu une petite claque émotionnelle. Je vous en parle dès maintenant en partageant mon avis avec vous. On My Block se passe dans un quartier difficile de Los Angeles où une guerre des gangs fait rage. On y suit quatre jeunes adolescents amis depuis l'enfance: Monse, la seule fille du groupe, Cesar, Ruben dit Ruby et Jamal. Les vacances d'été finies, ils font tous leur rentrée au lycée, sans compter l'arrivée d'Olivia, qui vit désormais chez la famille de Ruby. Cette série initiatique met en scène leurs problèmes de cœurs mais également le sens de l'amitié et les tumultes qui les accompagne depuis que Cesar à rejoint le gang de son frère.

Une vent de fraîcheur dans le genre du teen show 

Bien loin des séries typiques tels que Riverdale ou Pretty Little Liars, On My Block apporte une fraîcheur dans le genre en nous présentant des adolescents crédibles et les divers problèmes qui se présentent sur leur route. La bande-annonce laissait présager une série portée sur l'humour, mais la série se révèle plus profonde alors qu'elle met en relief l'amitié, les premiers amours, autant les bons que les mauvais côtés.

Une des intrigues principales tourne autour de Cesar qui vient d'une famille de gang. Alors qu'il était seulement affilié au gang, la sortie précoce de son frère aîné de prison le propulse directement dans le gang. Son groupe d'amis souhaite alors à tout prix le faire sortir de cette situation. Je trouve que cette intrigue sort de l'ordinaire pour une séries destinés aux jeunes adultes et apporte une certaine réflexion sur la réalité des gangs et que certains membres sont jeunes et engrainés contre leur volonté.

Adolescence : le temps des premiers amours 

Bien sûr, que serait une série mettant en scène des ados sans histoire d'amour : entre triangle voir rectangle amoureux et l'amour non réciproque, je trouve que la série exploite plutôt bien les relations sans trop tomber dans le cliché et dans le futile. Elle reste alors extrêmement crédible. Dès le premier épisode, on sent une réelle alchimie entre Cesar et Monse et la série va aussi beaucoup tourner autour de cette relation compliquée qui met en question tout la cohésion de ce groupe d'amis qui se considère comme une famille.


On My Block 2018 Netflix


Des ados incroyablement attachants 

J'ai adoré les personnages et la fraîcheur qu'ils apportent. Ils sont extrêmement attachants et j'ai vraiment apprécié l’absence total de clichés. Aucun des personnages n'est un personnage type (stock character en anglais — un personnage type qui constitue un cliché et un modèle pour créer des personnages fictionnels dans l'activité de scénarisation - merci Wikipédia). J'ai apprécié la loufoquerie de Jamal, la persévérance de Monse, la gentillesse de Ruby et la loyauté de Cesar. Le fait que les acteurs soient des inconnus renforce le coté frais de On My Block et même si, dans la majorité, ils approchent tous de la vingtaine, je les ai trouvé très convaincant dans leur rôle d'ados de 14-15 ans. Je trouve ça tellement émouvant à quel point ce groupe d'amis se serrent les coudes. Il y a un vrai sentiment d'amitié et comme les personnages le répètent à de nombreuses reprises tout au long de la série, ils sont plus que des amis, ils sont une famille et vraiment, ce sens de l'amitié fait plaisir à voir.

Un casting entièrement racisé (on aime ça)

Un des nombreux bons points de cette série, qui a de nombreuses fois été souligné, est sa diversité. Monse est métisse (une mère latina et un père afro-américain), Jamal est afro-américain tandis que Ruby et Cesar viennent de familles mexicaines. C'est vraiment rafraîchissant de voir un cast où les personnages ne sont pas 100% blancs et fortunés. Alors même qu'ils vivent dans un quartier difficile, les personnages ne vivent pas dans une peur constante et ils arrivent même à apporter un coté comique à leur situation alors qu'ils essayent de reconnaître, tel un jeu, le calibre des armes lorsqu'il y a des fusillades.

Vous l'aurez compris, je vous recommande On My Block à 200%, elle m'a émue et m'a donné de nombreux frissons. De plus, la saison se regarde vite avec 10 épisodes de 25 minutes et honnêtement, vous n'en ressortirez pas indemne. Je trouve le manque de promotion autour de cette série décevan, car elle mérite vraiment d'être davantage connue. J'espère que la série aura droit à une seconde saison.





On My Block, une série initiatique Netflix qui sort de l'ordinaire

On My Block 2018 Netflix

Je n'attendais pas grand chose de cette série, j'avais vu la bande annonce et sur le moment, ça ne me disait trop rien. Cependant, je voulais faire une petite pause avec les animes et j'ai décidé un matin de commencer On My Block. Comment vous dire que j'ai reçu une petite claque émotionnelle. Je vous en parle dès maintenant en partageant mon avis avec vous. On My Block se passe dans un quartier difficile de Los Angeles où une guerre des gangs fait rage. On y suit quatre jeunes adolescents amis depuis l'enfance: Monse, la seule fille du groupe, Cesar, Ruben dit Ruby et Jamal. Les vacances d'été finies, ils font tous leur rentrée au lycée, sans compter l'arrivée d'Olivia, qui vit désormais chez la famille de Ruby. Cette série initiatique met en scène leurs problèmes de cœurs mais également le sens de l'amitié et les tumultes qui les accompagne depuis que Cesar à rejoint le gang de son frère.

Une vent de fraîcheur dans le genre du teen show 

Bien loin des séries typiques tels que Riverdale ou Pretty Little Liars, On My Block apporte une fraîcheur dans le genre en nous présentant des adolescents crédibles et les divers problèmes qui se présentent sur leur route. La bande-annonce laissait présager une série portée sur l'humour, mais la série se révèle plus profonde alors qu'elle met en relief l'amitié, les premiers amours, autant les bons que les mauvais côtés.

Une des intrigues principales tourne autour de Cesar qui vient d'une famille de gang. Alors qu'il était seulement affilié au gang, la sortie précoce de son frère aîné de prison le propulse directement dans le gang. Son groupe d'amis souhaite alors à tout prix le faire sortir de cette situation. Je trouve que cette intrigue sort de l'ordinaire pour une séries destinés aux jeunes adultes et apporte une certaine réflexion sur la réalité des gangs et que certains membres sont jeunes et engrainés contre leur volonté.

Adolescence : le temps des premiers amours 

Bien sûr, que serait une série mettant en scène des ados sans histoire d'amour : entre triangle voir rectangle amoureux et l'amour non réciproque, je trouve que la série exploite plutôt bien les relations sans trop tomber dans le cliché et dans le futile. Elle reste alors extrêmement crédible. Dès le premier épisode, on sent une réelle alchimie entre Cesar et Monse et la série va aussi beaucoup tourner autour de cette relation compliquée qui met en question tout la cohésion de ce groupe d'amis qui se considère comme une famille.


On My Block 2018 Netflix


Des ados incroyablement attachants 

J'ai adoré les personnages et la fraîcheur qu'ils apportent. Ils sont extrêmement attachants et j'ai vraiment apprécié l’absence total de clichés. Aucun des personnages n'est un personnage type (stock character en anglais — un personnage type qui constitue un cliché et un modèle pour créer des personnages fictionnels dans l'activité de scénarisation - merci Wikipédia). J'ai apprécié la loufoquerie de Jamal, la persévérance de Monse, la gentillesse de Ruby et la loyauté de Cesar. Le fait que les acteurs soient des inconnus renforce le coté frais de On My Block et même si, dans la majorité, ils approchent tous de la vingtaine, je les ai trouvé très convaincant dans leur rôle d'ados de 14-15 ans. Je trouve ça tellement émouvant à quel point ce groupe d'amis se serrent les coudes. Il y a un vrai sentiment d'amitié et comme les personnages le répètent à de nombreuses reprises tout au long de la série, ils sont plus que des amis, ils sont une famille et vraiment, ce sens de l'amitié fait plaisir à voir.

Un casting entièrement racisé (on aime ça)

Un des nombreux bons points de cette série, qui a de nombreuses fois été souligné, est sa diversité. Monse est métisse (une mère latina et un père afro-américain), Jamal est afro-américain tandis que Ruby et Cesar viennent de familles mexicaines. C'est vraiment rafraîchissant de voir un cast où les personnages ne sont pas 100% blancs et fortunés. Alors même qu'ils vivent dans un quartier difficile, les personnages ne vivent pas dans une peur constante et ils arrivent même à apporter un coté comique à leur situation alors qu'ils essayent de reconnaître, tel un jeu, le calibre des armes lorsqu'il y a des fusillades.

Vous l'aurez compris, je vous recommande On My Block à 200%, elle m'a émue et m'a donné de nombreux frissons. De plus, la saison se regarde vite avec 10 épisodes de 25 minutes et honnêtement, vous n'en ressortirez pas indemne. Je trouve le manque de promotion autour de cette série décevan, car elle mérite vraiment d'être davantage connue. J'espère que la série aura droit à une seconde saison.





Nowhere Boys

Netflix est toujours (ou presque) une solution à mon ennui. Alors que je ne savais pas quoi regarder, j'ai vu une annonce sur mon Netflix comme quoi la saison 3 de Nowhere Boys avait été ajouté à leur répertoire. Je ne connaissais pas du tout cette série mais le synopsis m'intriguait et me tentait beaucoup. Je n'aurais jamais imaginé que cette petite série australienne assez underrated me plaise autant. 
Bremin, une petite ville en Australie. Lors d’une sortie découverte avec le lycée, Felix le gothique, Andy l’intello solitaire, Sam le beau gosse populaire et Jake le sportif se perdent en forêt. Incapables de retrouver leur chemin, les ados sont contraints de passer la nuit dans les bois. Lorsqu’ils reviennent enfin chez eux, le lendemain, leur famille ne les reconnait plus. Que s’est-il passé dans cette forêt cette nuit-là ? Entre incompréhension et stupeur, les quatre lycéens décident de mener leur propre enquête…

Je ne nous vous révèle rien d'important en vous disant que les garçons ont été transporté dans un univers parallèle quasi identique à leur monde mis à part qu'ils n'ont aucune existence dans cet univers, ils n'auront donc pas la malchance de croiser leurs doubles. On va donc voir les personnages essayer de comprendre pourquoi et comment ils ont pu atterrir dans cet autre monde tout en essayant de survivre alors qu'ils n'ont nul part où aller.

Il est difficile de parler de cette série sans trop révéler des éléments importants de l'intrigue car Nowhere Boys prend une tournure assez inattendue qu'on n'aurait pas soupçonné. En effet, cette série m'a vraiment surprise et je ne m'attendais pas du tout à la direction prise par la série. J'avais vraiment peur que ce soit un peu trop jeunesse à mon gout mais j'ai vraiment été captivé par Nowhere Boys. J'ai également apprécié le format, une saison compte 12 épisodes de 25 minutes environ. Le rythme est donc rapide, ce qui permet à la série de tenir en haleine et d’avoir cette envie d'enchaîner les épisodes pour connaitre le fin mot de l'histoire.

Nowhere Boys

Parlons un peu des personnages. Le premier personnage qu'on nous présente est Félix, le marginal gothique métaleux - bonjour le cliché - qui semble être un peu invisible dans sa famille et passer derrière son frère et pour cause, son petit frère Oscar est paraplégique - les causes de l’accident ayant provoqué l'handicap d'Oscar seront révélées plus tard dans la saison. Il y a ensuite Andy, d'origine asiatique, l'intello du groupe, plutôt peureux et qui adore les sciences. On a ensuite les stars du lycée avec Sam et Jake. Sam est le skateur cool un peu idiot tandis que Jake est le sportif du lycée qui a tendance à martyriser plus faible que lui. Au départ, ce petit groupe, à cause de leur différences, a du mal à s'entendre. Au fil des épisodes, on va les voir s'entraider et mettre de coté leurs différences mais surtout surpasser le cliché qui les définit. Contre tout attente, cette série nous livre des personnages sympathiques et attachants avec de jeunes acteurs qui savent jouer et rendre leurs personnages convaincants.

Bien évidemment, la série n'est pas sans défaut. Les effets spéciaux de la série ne sont pas extraordinairement bien fait mais ça reste correcte pour une petite série fantastique pour ados. Certains de nos personnages principaux font parfois preuve d'idiotie, d’entêtement et de manque de réflexions, on leur donnera l'excuse d'être des ados en quête de soi car ils apprennent de leurs erreurs. Je dirais également qu'il y a un manque de diversité, il n'y a que trois personnages interprétés par des femmes qui ont une certaine importance dans la série. La série manque parfois de profondeur mais c'est une série destinée aux ados donc je peux comprendre que le ton reste léger.

Au final, Nowhere Boys est une série simple à comprendre, fun et divertissante que j'ai beaucoup apprécié, à tel point que quand j'ai terminé les deux saisons et que j'ai regardé le film qui clôture les aventures de nos personnages, j'ai eu ce sentiment de manque, l'univers et les personnages me manquaient vraiment. La saison 2 est dans la même ligné que la première saison, par contre, je trouve que le film tiré de la série est un peu bâclé par rapport aux deux premières saisons. Une troisième saison a vu le jour mais le casting est complètement différents et je n'ai pas réussi à dépasser le deuxième épisode. En conclusion, je vous conseille de regarder les deux premières saisons et même si le film est un peu moyen, je vous le conseille également si vous voulez connaitre la fin de la storyline des personnages.



Nowhere Boys, une série jeunesse australienne sous-estimée.

Nowhere Boys

Netflix est toujours (ou presque) une solution à mon ennui. Alors que je ne savais pas quoi regarder, j'ai vu une annonce sur mon Netflix comme quoi la saison 3 de Nowhere Boys avait été ajouté à leur répertoire. Je ne connaissais pas du tout cette série mais le synopsis m'intriguait et me tentait beaucoup. Je n'aurais jamais imaginé que cette petite série australienne assez underrated me plaise autant. 
Bremin, une petite ville en Australie. Lors d’une sortie découverte avec le lycée, Felix le gothique, Andy l’intello solitaire, Sam le beau gosse populaire et Jake le sportif se perdent en forêt. Incapables de retrouver leur chemin, les ados sont contraints de passer la nuit dans les bois. Lorsqu’ils reviennent enfin chez eux, le lendemain, leur famille ne les reconnait plus. Que s’est-il passé dans cette forêt cette nuit-là ? Entre incompréhension et stupeur, les quatre lycéens décident de mener leur propre enquête…

Je ne nous vous révèle rien d'important en vous disant que les garçons ont été transporté dans un univers parallèle quasi identique à leur monde mis à part qu'ils n'ont aucune existence dans cet univers, ils n'auront donc pas la malchance de croiser leurs doubles. On va donc voir les personnages essayer de comprendre pourquoi et comment ils ont pu atterrir dans cet autre monde tout en essayant de survivre alors qu'ils n'ont nul part où aller.

Il est difficile de parler de cette série sans trop révéler des éléments importants de l'intrigue car Nowhere Boys prend une tournure assez inattendue qu'on n'aurait pas soupçonné. En effet, cette série m'a vraiment surprise et je ne m'attendais pas du tout à la direction prise par la série. J'avais vraiment peur que ce soit un peu trop jeunesse à mon gout mais j'ai vraiment été captivé par Nowhere Boys. J'ai également apprécié le format, une saison compte 12 épisodes de 25 minutes environ. Le rythme est donc rapide, ce qui permet à la série de tenir en haleine et d’avoir cette envie d'enchaîner les épisodes pour connaitre le fin mot de l'histoire.

Nowhere Boys

Parlons un peu des personnages. Le premier personnage qu'on nous présente est Félix, le marginal gothique métaleux - bonjour le cliché - qui semble être un peu invisible dans sa famille et passer derrière son frère et pour cause, son petit frère Oscar est paraplégique - les causes de l’accident ayant provoqué l'handicap d'Oscar seront révélées plus tard dans la saison. Il y a ensuite Andy, d'origine asiatique, l'intello du groupe, plutôt peureux et qui adore les sciences. On a ensuite les stars du lycée avec Sam et Jake. Sam est le skateur cool un peu idiot tandis que Jake est le sportif du lycée qui a tendance à martyriser plus faible que lui. Au départ, ce petit groupe, à cause de leur différences, a du mal à s'entendre. Au fil des épisodes, on va les voir s'entraider et mettre de coté leurs différences mais surtout surpasser le cliché qui les définit. Contre tout attente, cette série nous livre des personnages sympathiques et attachants avec de jeunes acteurs qui savent jouer et rendre leurs personnages convaincants.

Bien évidemment, la série n'est pas sans défaut. Les effets spéciaux de la série ne sont pas extraordinairement bien fait mais ça reste correcte pour une petite série fantastique pour ados. Certains de nos personnages principaux font parfois preuve d'idiotie, d’entêtement et de manque de réflexions, on leur donnera l'excuse d'être des ados en quête de soi car ils apprennent de leurs erreurs. Je dirais également qu'il y a un manque de diversité, il n'y a que trois personnages interprétés par des femmes qui ont une certaine importance dans la série. La série manque parfois de profondeur mais c'est une série destinée aux ados donc je peux comprendre que le ton reste léger.

Au final, Nowhere Boys est une série simple à comprendre, fun et divertissante que j'ai beaucoup apprécié, à tel point que quand j'ai terminé les deux saisons et que j'ai regardé le film qui clôture les aventures de nos personnages, j'ai eu ce sentiment de manque, l'univers et les personnages me manquaient vraiment. La saison 2 est dans la même ligné que la première saison, par contre, je trouve que le film tiré de la série est un peu bâclé par rapport aux deux premières saisons. Une troisième saison a vu le jour mais le casting est complètement différents et je n'ai pas réussi à dépasser le deuxième épisode. En conclusion, je vous conseille de regarder les deux premières saisons et même si le film est un peu moyen, je vous le conseille également si vous voulez connaitre la fin de la storyline des personnages.



Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article Séries TV & Nostalgie. Dans cet article, on va parler de trois séries qui étaient diffusées sur TF1 le samedi après-midi, bien qu'à des années différentes : Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.



Xena la Guerrière (1995-2001)
Produite par Sam Raimi et spin-off de la série Hercule (1995-1999), Xena la Guerrière est une série culte et épique qui a bercé mon enfance. Mélange d'aventure, de fantastique, de mythologie, mais aussi parfois de comédie, Xena la Guerrière est le genre de série assez unique qui est assez difficile de décrire. La série se passe dans la Grèce Antique mais les nombreuses aventures de Xena la mèneront également dans d'autres contrées comme la Chine ou l'Egypte. Avant que la série ne commence, Xena est une ancienne chef de guerre qui était très redoutable et qui tuait sans remords. Pourtant, Xena abandonne son ancienne vie pour entamer une quête de rédemption. Elle fera la connaissance de Gabrielle, une jeune fille de fermier. C'est d'ailleurs ce personnage qui a la plus grande évolution, passant d'une jeune femme naïve à une guerrière sans peur. J'aimais aussi beaucoup le personnage de Joxer, incarné par le frère de Sam Raimi, Ted Raimi. Il était l'élément comique et léger de la série. J'aimerais bien regarder à nouveau la série dans son intégralité car j'ai dû louper quelques épisodes même je pense avoir regarder la bonne majorité de la série lorsque qu'elle était diffusée sur SyFy il y a quelques années, mais cette série compte six saisons composées chacune de 22 épisodes de 45 minutes donc clairement, ce n'est pas une priorité mais j'aimerais bien découvrir cette série en version originale car apparemment, la version français gomme beaucoup l’ambiguïté présente entre Xena et Gabrielle - d'ailleurs, il faut savoir que cette série était devenue très populaire dans la communauté gay. — Voir le générique 

Invisible Man (2000-2002)
Invisible Man est une petite série sans prétention qui semble être un peu tombée dans l'oubli. Ceci peut être justifié par le fait que la série n'ait duré que deux ans. Invisible Man réinvente le mythe de l'homme invisible popularisé par le roman d' H. G. Wells. La série suit Damien (Darien en VO) Fawkes, un cambrioleur qui se fait arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Condamné à perpétuité, il accepte de passer un accord avec le gouvernement afin de servir de cobaye: on lui implante alors une glande dans le cerveau qui lui permet de devenir invisible. Des lors, il travaillera pour une agence gouvernementale avec son équipier/chaperon Bobby Hobbes. Cette série était vraiment bien, il y avait de l'action mais aussi des éléments de comédie. Les personnages étaient attachants, j’appréciais beaucoup le duo Damien/Bobby et honnêtement, pouvoir devenir invisible, c'est vraiment cool. Je dois vous avouer que je ne me souviens plus vraiment comment la deuxième saison se termine mais j'ai encore quelques souvenirs de cette série qui reste une de mes séries d'enfance préférées. — Voir le génerique


Ghost Whisperer (2005-2010)
Nombreux sont mes samedis après-midi passés devant Ghost Whisperer. On y découvre une jeune femme, Mélinda Gordon, fraîchement mariée, qui a la capacité de voir les fantômes depuis son enfance, don qu'elle tient de sa grand-mère. Dans chaque épisode, Mélinda va aider un fantôme à rejoindre l'autre coté en l'aidant à finir ses unfinished business. Au fur et à mesure des saisons, une mythologie plus complexe se construit autour du don de Mélinda, notamment dans les deux dernières saisons. Je suis d'ailleurs moins fan de la cinquième-dernière saison qui commence avec un bond dans le futur et où Melinda et Jim réincarné vivent avec leur fils de sept ans, Aiden et alors que j'ai quand même pas mal de souvenirs concernant les premières saisons, j'ai presque tout oublié de la dernière et je me rappelle avoir eu moins d'entrain à la regarder par rapport aux autres. Sinon, j'aimais vraiment l'esthétique de la série avec ses couleurs chaudes, ce qui contrastait avec le coté plus sombre de la série et de son thème car même si ce n'est pas montré de façon effrayante dans la série, il y a plus joyeux que de pouvoir voir des fantômes. J'aimais aussi beaucoup l'aspect chaleureux de la ville de Grandview - probablement car c'était le même backlot (décor de cinéma extérieur permanent) que la ville fictive de Hill Valley dans Retour vers le Futur. Bref, Ghost Whisperer reste une très bonne série qui s'est malheureusement un peu essoufflée à la fin mais je ne ratais pas un seul épisode. — Voir le générique


Et vous, regardiez-vous ces séries ?


Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Séries TV & Nostalgie • Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article Séries TV & Nostalgie. Dans cet article, on va parler de trois séries qui étaient diffusées sur TF1 le samedi après-midi, bien qu'à des années différentes : Xena la Guerrière, Invisible Man et Ghost Whisperer.



Xena la Guerrière (1995-2001)
Produite par Sam Raimi et spin-off de la série Hercule (1995-1999), Xena la Guerrière est une série culte et épique qui a bercé mon enfance. Mélange d'aventure, de fantastique, de mythologie, mais aussi parfois de comédie, Xena la Guerrière est le genre de série assez unique qui est assez difficile de décrire. La série se passe dans la Grèce Antique mais les nombreuses aventures de Xena la mèneront également dans d'autres contrées comme la Chine ou l'Egypte. Avant que la série ne commence, Xena est une ancienne chef de guerre qui était très redoutable et qui tuait sans remords. Pourtant, Xena abandonne son ancienne vie pour entamer une quête de rédemption. Elle fera la connaissance de Gabrielle, une jeune fille de fermier. C'est d'ailleurs ce personnage qui a la plus grande évolution, passant d'une jeune femme naïve à une guerrière sans peur. J'aimais aussi beaucoup le personnage de Joxer, incarné par le frère de Sam Raimi, Ted Raimi. Il était l'élément comique et léger de la série. J'aimerais bien regarder à nouveau la série dans son intégralité car j'ai dû louper quelques épisodes même je pense avoir regarder la bonne majorité de la série lorsque qu'elle était diffusée sur SyFy il y a quelques années, mais cette série compte six saisons composées chacune de 22 épisodes de 45 minutes donc clairement, ce n'est pas une priorité mais j'aimerais bien découvrir cette série en version originale car apparemment, la version français gomme beaucoup l’ambiguïté présente entre Xena et Gabrielle - d'ailleurs, il faut savoir que cette série était devenue très populaire dans la communauté gay. — Voir le générique 

Invisible Man (2000-2002)
Invisible Man est une petite série sans prétention qui semble être un peu tombée dans l'oubli. Ceci peut être justifié par le fait que la série n'ait duré que deux ans. Invisible Man réinvente le mythe de l'homme invisible popularisé par le roman d' H. G. Wells. La série suit Damien (Darien en VO) Fawkes, un cambrioleur qui se fait arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Condamné à perpétuité, il accepte de passer un accord avec le gouvernement afin de servir de cobaye: on lui implante alors une glande dans le cerveau qui lui permet de devenir invisible. Des lors, il travaillera pour une agence gouvernementale avec son équipier/chaperon Bobby Hobbes. Cette série était vraiment bien, il y avait de l'action mais aussi des éléments de comédie. Les personnages étaient attachants, j’appréciais beaucoup le duo Damien/Bobby et honnêtement, pouvoir devenir invisible, c'est vraiment cool. Je dois vous avouer que je ne me souviens plus vraiment comment la deuxième saison se termine mais j'ai encore quelques souvenirs de cette série qui reste une de mes séries d'enfance préférées. — Voir le génerique


Ghost Whisperer (2005-2010)
Nombreux sont mes samedis après-midi passés devant Ghost Whisperer. On y découvre une jeune femme, Mélinda Gordon, fraîchement mariée, qui a la capacité de voir les fantômes depuis son enfance, don qu'elle tient de sa grand-mère. Dans chaque épisode, Mélinda va aider un fantôme à rejoindre l'autre coté en l'aidant à finir ses unfinished business. Au fur et à mesure des saisons, une mythologie plus complexe se construit autour du don de Mélinda, notamment dans les deux dernières saisons. Je suis d'ailleurs moins fan de la cinquième-dernière saison qui commence avec un bond dans le futur et où Melinda et Jim réincarné vivent avec leur fils de sept ans, Aiden et alors que j'ai quand même pas mal de souvenirs concernant les premières saisons, j'ai presque tout oublié de la dernière et je me rappelle avoir eu moins d'entrain à la regarder par rapport aux autres. Sinon, j'aimais vraiment l'esthétique de la série avec ses couleurs chaudes, ce qui contrastait avec le coté plus sombre de la série et de son thème car même si ce n'est pas montré de façon effrayante dans la série, il y a plus joyeux que de pouvoir voir des fantômes. J'aimais aussi beaucoup l'aspect chaleureux de la ville de Grandview - probablement car c'était le même backlot (décor de cinéma extérieur permanent) que la ville fictive de Hill Valley dans Retour vers le Futur. Bref, Ghost Whisperer reste une très bonne série qui s'est malheureusement un peu essoufflée à la fin mais je ne ratais pas un seul épisode. — Voir le générique


Et vous, regardiez-vous ces séries ?


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