The Passage (série FOX)




Le mythe du vampire est en vogue depuis quelques années puisqu'on le retrouve dans The Vampire Diaries et ses spin-offs, Shadowhunters ou encore dans A Discovery of Witches. Adaptation de la trilogie éponyme écrite par Justin Cronin, The Passage réinvente le mythe du vampire, mais malheureusement, la série peine à se démarquer.
Le projet Noah a pour but d'analyser un virus, découvert trois années plus tôt en Bolivie, capable de soigner toutes les maladies, mais aussi de transformer les humains en créature proche du vampire. Quand Amy Bellafonte, orpheline depuis peu, est choisie pour être un cobaye, l'agent fédéral Wolgast est chargé de l'amener sur les lieux de l'expérience. L'agent va s'attacher à elle et va tout faire pour la protéger, quitte à mettre le projet en péril.


Quand un virus transforme l'humain en créature, c'est le plus souvent en zombie mais dans The Passage, l'humain devient une créature assoiffée de sang et qui craint la lumière. Baptisés viralspuisque selon les dires des scientifiques de la série les vampires n'existent pas, ces créatures étaient donc autrefois des humains et plus précisément des criminels dans le couloir de la mort, exception faite avec le patient 0 qui fut le premier à être infecté par le virus en Bolivie, le Dr. Tim Fanning, qui sera le principal antagoniste de la série. Malgré son intrigue, The Passage se dirige plus vers la série dramatique que vers la série post-apocalyptique/action puisque la série se focalise beaucoup sur la relation entre l'agent Bradley Wolgast et la jeune Amy, notamment lors des premiers épisodes. Lui a perdu sa fille tandis qu'elle est orpheline, sa mère étant décédé d'une overdose, une relation forte va donc s'installer entre les deux personnages et l’alchimie entre leurs interprètes, Mark-Paul Gosselaar et Saniyya Sidney, est indéniable.

Le rythme de la série est correcte lors des premiers épisodes, l'histoire captive et les personnages sont intéressants mais l'intrigue fini à un moment par ralentir et faire du sur-place pour laisser place aux questionnements des scientifiques qui commencent à avoir des remords d'avoir testé ce virus sur des cobayes humains. C'est d'ailleurs assez surprenant comme certains épisodes se ressemblent, ce qui renforce l'idée que l'intrigue n'avance pas vraiment. Au final, ça manque cruellement d'action et tout s’accélère lors de l'avant dernier épisode. Qui plus est, le dernier épisode de la série est très moyen, il ne s'y passe pas grand chose et le dénouement se révèle être expéditif et banal.

The Passage (série FOX)
Au final, il y avait matière à faire de The Passage une série beaucoup plus travaillée et surtout plus angoissante. La mythologie autour de la série aurait pu être mieux développée, car tout ce qu'on sait sur le virus est assez superficiel et on sait relativement peu de choses sur les virals et leur condition. L'apparence des virals fait vraiment penser aux vampires de The Vampire Diaries, avec les veines qui ressortent sur le visage et la couleur de l'iris qui s’altère, ça reste donc simple mais ça fonctionne même si du coup, leur apparence est loin d'être effrayante. Ceci dit, j'ai trouvé ça intéressant que ces virals soient des télépathes capable de manipuler et de hanter les rêves des scientifiques travaillant sur le virus, on retrouve donc ici les pouvoirs qu'on attribue régulièrement à la figure classique du vampire.

The Passage est loin d’être mémorable mais la série contient de bons éléments, les acteurs sont convaincants et malgré quelques soucis de rythme et du traitement de l'intrigue, la série reste tout de même divertissante mais il est vrai que je pensais être plus époustouflée. Vu la fin du dernier épisode, la série devrait prendre une tout autre tournure si elle est renouvelé pour une deuxième saison. A suivre !

The Passage, une série avec des vampires qui peine parfois à convaincre.

The Passage (série FOX)




Le mythe du vampire est en vogue depuis quelques années puisqu'on le retrouve dans The Vampire Diaries et ses spin-offs, Shadowhunters ou encore dans A Discovery of Witches. Adaptation de la trilogie éponyme écrite par Justin Cronin, The Passage réinvente le mythe du vampire, mais malheureusement, la série peine à se démarquer.
Le projet Noah a pour but d'analyser un virus, découvert trois années plus tôt en Bolivie, capable de soigner toutes les maladies, mais aussi de transformer les humains en créature proche du vampire. Quand Amy Bellafonte, orpheline depuis peu, est choisie pour être un cobaye, l'agent fédéral Wolgast est chargé de l'amener sur les lieux de l'expérience. L'agent va s'attacher à elle et va tout faire pour la protéger, quitte à mettre le projet en péril.


Quand un virus transforme l'humain en créature, c'est le plus souvent en zombie mais dans The Passage, l'humain devient une créature assoiffée de sang et qui craint la lumière. Baptisés viralspuisque selon les dires des scientifiques de la série les vampires n'existent pas, ces créatures étaient donc autrefois des humains et plus précisément des criminels dans le couloir de la mort, exception faite avec le patient 0 qui fut le premier à être infecté par le virus en Bolivie, le Dr. Tim Fanning, qui sera le principal antagoniste de la série. Malgré son intrigue, The Passage se dirige plus vers la série dramatique que vers la série post-apocalyptique/action puisque la série se focalise beaucoup sur la relation entre l'agent Bradley Wolgast et la jeune Amy, notamment lors des premiers épisodes. Lui a perdu sa fille tandis qu'elle est orpheline, sa mère étant décédé d'une overdose, une relation forte va donc s'installer entre les deux personnages et l’alchimie entre leurs interprètes, Mark-Paul Gosselaar et Saniyya Sidney, est indéniable.

Le rythme de la série est correcte lors des premiers épisodes, l'histoire captive et les personnages sont intéressants mais l'intrigue fini à un moment par ralentir et faire du sur-place pour laisser place aux questionnements des scientifiques qui commencent à avoir des remords d'avoir testé ce virus sur des cobayes humains. C'est d'ailleurs assez surprenant comme certains épisodes se ressemblent, ce qui renforce l'idée que l'intrigue n'avance pas vraiment. Au final, ça manque cruellement d'action et tout s’accélère lors de l'avant dernier épisode. Qui plus est, le dernier épisode de la série est très moyen, il ne s'y passe pas grand chose et le dénouement se révèle être expéditif et banal.

The Passage (série FOX)
Au final, il y avait matière à faire de The Passage une série beaucoup plus travaillée et surtout plus angoissante. La mythologie autour de la série aurait pu être mieux développée, car tout ce qu'on sait sur le virus est assez superficiel et on sait relativement peu de choses sur les virals et leur condition. L'apparence des virals fait vraiment penser aux vampires de The Vampire Diaries, avec les veines qui ressortent sur le visage et la couleur de l'iris qui s’altère, ça reste donc simple mais ça fonctionne même si du coup, leur apparence est loin d'être effrayante. Ceci dit, j'ai trouvé ça intéressant que ces virals soient des télépathes capable de manipuler et de hanter les rêves des scientifiques travaillant sur le virus, on retrouve donc ici les pouvoirs qu'on attribue régulièrement à la figure classique du vampire.

The Passage est loin d’être mémorable mais la série contient de bons éléments, les acteurs sont convaincants et malgré quelques soucis de rythme et du traitement de l'intrigue, la série reste tout de même divertissante mais il est vrai que je pensais être plus époustouflée. Vu la fin du dernier épisode, la série devrait prendre une tout autre tournure si elle est renouvelé pour une deuxième saison. A suivre !

Special Netflix TV Show



Special est tiré des mémoires I'm Special: And Other Lies We Tell Ourselves écrit par Ryan O'Connell, qui tient également le premier rôle dans la série. La série suit donc Ryan Hayes, un jeune homme gay atteint d’une légère infirmité motrice cérébrale et qui décide de réécrire son identité en disant sur son nouveau lieu de travail que son boitement est dû à un accident de voiture.

Special  est une très bonne série qui bouscule les codes en mettant en scène un personnage principal gay et handicapé par une légère paralysie cérébrale incarné par un acteur lui aussi gay et atteint du même handicap. Ryan O’Connell est incroyable dans ce rôle, plutôt normal puisqu'il incarne en quelque sorte son propre rôle. Le personnage est attachant et imparfait, il fait des erreurs (notamment avec sa mère, avec qui il est parfois agaçant) et ainsi, son comportement fait qu'on ne le prend jamais en pitié à cause de son handicap et au final, Ryan est un être humain lambda avec ses défauts et ses qualités. Petit coup de cœur également pour le personnage de Kim (Punam Patel) collègue et amie de Ryan qui assume ses formes et qui n'a pas sa langue dans sa poche et qui n'hésite pas à épauler Ryan quand il le faut.

Special Netflix TV Show

La série explore principalement les relations dans la vie de Ryan, celle avec sa mère, qui l'a beaucoup trop couvé (j'espère que sa relation complexe avec sa mère sera d'ailleurs davantage exploitée dans une éventuelle deuxième saison), celle avec son amie Kim ainsi que ses relations amoureuses, lui qui n'a jamais été en couple au début de la série. En parallèle, la série suit également la mère de Ryan qui, après que ce dernier ait déménagé de chez elle, va commencer à vivre pour elle mais elle aura bien du mal à faire passer sa vie personnelle avant celle de son fils.

Special  contient une bonne dose d’humour et apporte une réelle bouffé d’air frais dans le catalogue de Netflix. La série dégage vraiment en authenticité et en légèreté, on prend donc plaisir à la visionner. Le petit défaut serait peut-être le format: 8 épisodes de 15 min, c’est beaucoup trop peu pour une série aussi sympathique, les épisodes s'enchaînent trop vite et on reste un peu sur notre faim bien que le dernier episode offre une fin satisfaisante. Il est également bien dommage que la série n'ait pas eu la promo qu'elle méritait. Décidément, les petites pépites de Netflix sont souvent peu mises en avant. Une série feel-good à binge-watcher d'urgence !


Special, une série Netflix rafraîchissante sur un jeune homme homosexuel et handicapé.

Special Netflix TV Show



Special est tiré des mémoires I'm Special: And Other Lies We Tell Ourselves écrit par Ryan O'Connell, qui tient également le premier rôle dans la série. La série suit donc Ryan Hayes, un jeune homme gay atteint d’une légère infirmité motrice cérébrale et qui décide de réécrire son identité en disant sur son nouveau lieu de travail que son boitement est dû à un accident de voiture.

Special  est une très bonne série qui bouscule les codes en mettant en scène un personnage principal gay et handicapé par une légère paralysie cérébrale incarné par un acteur lui aussi gay et atteint du même handicap. Ryan O’Connell est incroyable dans ce rôle, plutôt normal puisqu'il incarne en quelque sorte son propre rôle. Le personnage est attachant et imparfait, il fait des erreurs (notamment avec sa mère, avec qui il est parfois agaçant) et ainsi, son comportement fait qu'on ne le prend jamais en pitié à cause de son handicap et au final, Ryan est un être humain lambda avec ses défauts et ses qualités. Petit coup de cœur également pour le personnage de Kim (Punam Patel) collègue et amie de Ryan qui assume ses formes et qui n'a pas sa langue dans sa poche et qui n'hésite pas à épauler Ryan quand il le faut.

Special Netflix TV Show

La série explore principalement les relations dans la vie de Ryan, celle avec sa mère, qui l'a beaucoup trop couvé (j'espère que sa relation complexe avec sa mère sera d'ailleurs davantage exploitée dans une éventuelle deuxième saison), celle avec son amie Kim ainsi que ses relations amoureuses, lui qui n'a jamais été en couple au début de la série. En parallèle, la série suit également la mère de Ryan qui, après que ce dernier ait déménagé de chez elle, va commencer à vivre pour elle mais elle aura bien du mal à faire passer sa vie personnelle avant celle de son fils.

Special  contient une bonne dose d’humour et apporte une réelle bouffé d’air frais dans le catalogue de Netflix. La série dégage vraiment en authenticité et en légèreté, on prend donc plaisir à la visionner. Le petit défaut serait peut-être le format: 8 épisodes de 15 min, c’est beaucoup trop peu pour une série aussi sympathique, les épisodes s'enchaînent trop vite et on reste un peu sur notre faim bien que le dernier episode offre une fin satisfaisante. Il est également bien dommage que la série n'ait pas eu la promo qu'elle méritait. Décidément, les petites pépites de Netflix sont souvent peu mises en avant. Une série feel-good à binge-watcher d'urgence !


The Dragon Prince - Le Prince des Dragons

Dans le monde magique de Xadia, la magie provient de six sources principales : la Terre, l’Océan, le Ciel, le Soleil, la Lune et les Etoiles. Puisque les humains sont incapable de pratiquer cette magie, ils utilisent la magie noire, qui fonctionne grace à l'essence de vie des créatures magiques, ce qui les mènera à tuer le roi des dragons et son œuf. C'est l’étincelle qui va mettre le feu aux poudres et déclencher la guerre entre Xadia et le royaume des humains. C'est sans compter sur les jeunes princes humains Callum et Ezran qui découvrent que l'œuf du roi dragon n'avait pas été détruit, mais volé et conservé par le mage Viren, le conseiller du roi Harrow. Avec Rayla, une elfe venue de Xadia qui avait pour mission de les assassiner, ils vont former une alliance et s'engager à rendre l'œuf aux dragons pour éviter la guerre entre les humains et les elfes.


Je n’avais pas de grandes espérances en commençant The Dragon Prince et pourtant, cette série d’animation m’a plutôt bluffé. Création de Aaron Ehasz, qui avait également réalisé la série d'animation Avatar: The Last AirbenderThe Dragon Prince (ou Le Prince des Dragons en VF) est une série destinée à un jeune public et qui a de nombreuses qualités. Tout d'abord, la série fait preuve de beaucoup de diversité. En effet, le roi Harrow est noir, le prince Ezran est métis, la tante des deux princes est une guerrière sourde qui utilise l’ASL (American Sign Language) et surtout, même si c’est le temps d’un seul épisode lors de la seconde saison, on ne peut que être ravi de la présence d’un couple lesbien qui est introduit de manière totalement naturelle sans qu'on en fasse tout un foin autour, ce qui est extraordinaire, surtout pour une série destinée à un jeune public. Loin d'être fan de l'aspect visuel de la série, au vu du dessin un peu trop lisse, notamment au niveau des personnages dont les traits se révèlent un peu trop minimaliste, le tout reste agréable à l’œil.

L’histoire est facile à suivre sans trop tomber dans la simplicité, ce qui fait qu’elle peut ravir un public plus âgé que celui visé. The Dragon Prince possède un certain charme et jongle parfaitement entre les moments sombres et les moments plus légers et enfantins. Ayant des personnages adolescents, la série est aussi un coming-of-age story. On peut interpréter la quête des ces trois jeunes comme un voyage initiatique. En effet, c'est la première fois que les personnages se voit être livrer à eux-même et ça va leur permettre de mûrir et de se découvrir davantage lors de leur périple. 

The Dragon Prince - Le Prince des Dragons
Quant aux personnages, ils sont attachants. Il y a Callum, qui est un peu un outsider. Beau-fils du roi et demi-frère du prince qui héritera du royaume, il a du mal à trouver sa place et il est plus à l'aise le nez dans les bouquins que dans les arts du combat. C’est un personnage type qu’on retrouve dans de nombreux films ou séries mais la démarche est valide puisque c’est le genre de personnage qui fonctionne beaucoup et auquel on peut on peut facilement s’identifier. Rayla est une efle assassin qui se liera d’amitié avec les deux princes et qui est d’abord présentée comme une ennemie mais elle deviendra vite une alliée voire même la protectrice des deux princes. Pour finir, il y Ezran, le plus jeune et le plus attachant. Le jeune prince à un coté innocent mais se révèle être courageux et capable de décisions matures quand il le faut. Ces trois personnages, malgré leurs différences, forment un bon trio auquel on s'attache rapidement.

Pour conclure, The Dragon Prince est une très bonne série d'animation grâce à une histoire certes basique mais bien menée et des personnages attachants. De plus, on ne peut que saluer la série pour les valeurs importantes qu'elle défend telles que la tolérance, la diversité et l'acceptation d’autrui. La série compte deux saisons pour le moment et a été renouvelé pour une troisième.

The Dragon Prince, une série d'animation Netflix qu'il faut absolument regarder.

The Dragon Prince - Le Prince des Dragons

Dans le monde magique de Xadia, la magie provient de six sources principales : la Terre, l’Océan, le Ciel, le Soleil, la Lune et les Etoiles. Puisque les humains sont incapable de pratiquer cette magie, ils utilisent la magie noire, qui fonctionne grace à l'essence de vie des créatures magiques, ce qui les mènera à tuer le roi des dragons et son œuf. C'est l’étincelle qui va mettre le feu aux poudres et déclencher la guerre entre Xadia et le royaume des humains. C'est sans compter sur les jeunes princes humains Callum et Ezran qui découvrent que l'œuf du roi dragon n'avait pas été détruit, mais volé et conservé par le mage Viren, le conseiller du roi Harrow. Avec Rayla, une elfe venue de Xadia qui avait pour mission de les assassiner, ils vont former une alliance et s'engager à rendre l'œuf aux dragons pour éviter la guerre entre les humains et les elfes.


Je n’avais pas de grandes espérances en commençant The Dragon Prince et pourtant, cette série d’animation m’a plutôt bluffé. Création de Aaron Ehasz, qui avait également réalisé la série d'animation Avatar: The Last AirbenderThe Dragon Prince (ou Le Prince des Dragons en VF) est une série destinée à un jeune public et qui a de nombreuses qualités. Tout d'abord, la série fait preuve de beaucoup de diversité. En effet, le roi Harrow est noir, le prince Ezran est métis, la tante des deux princes est une guerrière sourde qui utilise l’ASL (American Sign Language) et surtout, même si c’est le temps d’un seul épisode lors de la seconde saison, on ne peut que être ravi de la présence d’un couple lesbien qui est introduit de manière totalement naturelle sans qu'on en fasse tout un foin autour, ce qui est extraordinaire, surtout pour une série destinée à un jeune public. Loin d'être fan de l'aspect visuel de la série, au vu du dessin un peu trop lisse, notamment au niveau des personnages dont les traits se révèlent un peu trop minimaliste, le tout reste agréable à l’œil.

L’histoire est facile à suivre sans trop tomber dans la simplicité, ce qui fait qu’elle peut ravir un public plus âgé que celui visé. The Dragon Prince possède un certain charme et jongle parfaitement entre les moments sombres et les moments plus légers et enfantins. Ayant des personnages adolescents, la série est aussi un coming-of-age story. On peut interpréter la quête des ces trois jeunes comme un voyage initiatique. En effet, c'est la première fois que les personnages se voit être livrer à eux-même et ça va leur permettre de mûrir et de se découvrir davantage lors de leur périple. 

The Dragon Prince - Le Prince des Dragons
Quant aux personnages, ils sont attachants. Il y a Callum, qui est un peu un outsider. Beau-fils du roi et demi-frère du prince qui héritera du royaume, il a du mal à trouver sa place et il est plus à l'aise le nez dans les bouquins que dans les arts du combat. C’est un personnage type qu’on retrouve dans de nombreux films ou séries mais la démarche est valide puisque c’est le genre de personnage qui fonctionne beaucoup et auquel on peut on peut facilement s’identifier. Rayla est une efle assassin qui se liera d’amitié avec les deux princes et qui est d’abord présentée comme une ennemie mais elle deviendra vite une alliée voire même la protectrice des deux princes. Pour finir, il y Ezran, le plus jeune et le plus attachant. Le jeune prince à un coté innocent mais se révèle être courageux et capable de décisions matures quand il le faut. Ces trois personnages, malgré leurs différences, forment un bon trio auquel on s'attache rapidement.

Pour conclure, The Dragon Prince est une très bonne série d'animation grâce à une histoire certes basique mais bien menée et des personnages attachants. De plus, on ne peut que saluer la série pour les valeurs importantes qu'elle défend telles que la tolérance, la diversité et l'acceptation d’autrui. La série compte deux saisons pour le moment et a été renouvelé pour une troisième.

Cet article Séries TV & Nostalgie est un peu spécial puisqu'il est consacré aux dessins animés de mon enfance. Nous avons tous grandi en regardant des dessins animés, que ce soit le matin avant d'aller à l'école, le midi (avec une assiette de purée) ou que ce soit au retour de l'école, avec un bon goûter. Bref, aujourd'hui, on retourne carrément en enfance et j'espère que vous apprécierez ce petit voyage dans le temps (et vu le nombre de dessins animés que j'ai pu regarder pendant mon enfance, il se peut que cet article soit décliné en plusieurs parties).


Les Mystérieuses Cités d'Or (1982).
Les Mystérieuses Cités d'Or (1982).

Si vous ne vous êtes pas mis à chanter le générique, on ne pourra pas être amis (je plaisante bien évidemment). Les Mystérieuses Cités d'Or reste un de mes dessins animés favoris. Série d'animation franco-japonaise, on y suit trois enfants, Esteban, Tao et Zia ainsi que trois hommes, Mendoza et le duo comique formé par Pedro et Sancho qui se retrouvent donc dans une aventure fabuleuse, à la recherches des Cites d'Or. J'ai toujours été fasciné par les légendes et avec Les Mystérieuses Cités d'Or, on est plutôt servi en mythes et légendes, en allant même jusqu’à re-imaginer les Olmèques, à la base un ancien peuple précolombien, en race extraterrestre qui descendent du peuple de l’Atlantide, cité perdue, engloutie sous les eaux. Je n'ai jamais été tenté de regarder la saison 2, sorti en 2012, tout simplement car je suis moins fan du dessin plus moderne et le changement de la VF, bien obligé avec une saison 2 réalisé 30 ans après la premiere saison. De plus, je trouve que que la première saison offre une fin satisfaisante qui n'oblige pas nécessairement à regarder la deuxième. regarder le générique


Kim Possible (2002-2007).
Kim Possible (2002-2007).
Encore un dessin animé que j'adore et que je pourrais encore regarder à l'heure actuelle. Kim Possible est une lycéenne qui combat le crime en compagnie de son meilleur ami Robin Trépide et du taupinet tondu Rufus. Kim Possible fait parti des dessins animés où j'ai vu tous les épisodes ainsi que les films (et même l'horrible téléfilm en live-action sorti en 2018 que je ne vous conseille pas). Les personnages étaient attachants, Robin étant mon personnage préféré (en plus, c'est Donald Reignoux qui double le personnage). Le grand méchant de la série, Dr. Drakken apportait également le coté comique au dessin animé et on avait également l'image d'une femme forte et badass avec Shego. J'aimais beaucoup l'amitié entre Robin et Kim et bien sûr, j'avais toujours espérer qu'ils finissent ensemble, alors pensez-vous que quand Kim et Robin se sont mis en couple dans Kim Possible, le film : Mission Cupidon, téléfilm qui précédé la quatrième et dernière saison, j’étais plutôt contente. regarder le générique


Les aventures de Tintin (1991/1992).
Les aventures de Tintin (1991).

Ce dessin animé, je l'ai découvert avec les VHS que ma mère avait enregistré pour ma sœur à l'époque (de plus, vu que c'était des enregistrements, il y avait également les pubs de l'époque et d'ailleurs, c'était essentiellement des pubs pour des jouets). Les aventures de Tintin est une adaptation plutôt fidèle aux bandes dessinées de Hergé bien qu'il y ait eu quelques modifications pour moderniser et édulcorer le contenu ainsi que l'exclusion de Tintin aux Soviets et Tintin au Congo à cause du contenu trop politique du premier et le contenu colonialiste et raciste du second. J'adorais regarder ce dessin animé et suivre Tintin, Milou et le Capitaine Haddock dans des aventures périlleuses. D'ailleurs, maintenant que j'y pense, c'est un des rares dessins animés de mon enfance qui met en scène des adultes et non pas des enfants ou adolescents. J'ai vraiment saigner les VHS et l'enfant qui est en moi est plutôt contente de pouvoir regarder à ma guise ce dessin animé qui est disponible sur Netflix. regarder le générique


Totally Spies (2001-2013).
Totally Spies (2001-2013).

Je me devais d'inclure Totally Spies dans ce premier article. Série d'animation franco-canadienne, clairement inspirée de la série Drôles de Dames, Totally Spies suit trois lycéennes, Sam, Clover et Alex qui vivent à Los Angeles et qui sont en réalité des espionnes travaillant pour le WHOOP (World Office Of Human Protection). Dessin animé vraiment emblématique de mon enfance, Totally Spies combinait vraiment bien la comédie et l'action, c'était vraiment fun et au final, c'était cool de voir des ados (avouons-le, avec un physique d'adulte) qui savent se battre tout en ayant une personnalité en accord avec leur âge (mis à part Sam peut-être, la plus mûre du trio et qui était d'ailleurs ma préférée). Avant de rédiger cet article, je n'avais pas réalisé que la série s'était poursuivie jusqu'en 2013, ce qui fait que je n'ai probablement pas vu tous les épisodes. regarder les génériques


J'espère vraiment que cet article vous aura plu et qu'il aura ramener en enfance certains d'entre vous. D'ailleurs, quels sont les dessins animés qui ont bercé votre enfance ?


Séries TV & Nostalgie • Les dessins animés.

Cet article Séries TV & Nostalgie est un peu spécial puisqu'il est consacré aux dessins animés de mon enfance. Nous avons tous grandi en regardant des dessins animés, que ce soit le matin avant d'aller à l'école, le midi (avec une assiette de purée) ou que ce soit au retour de l'école, avec un bon goûter. Bref, aujourd'hui, on retourne carrément en enfance et j'espère que vous apprécierez ce petit voyage dans le temps (et vu le nombre de dessins animés que j'ai pu regarder pendant mon enfance, il se peut que cet article soit décliné en plusieurs parties).


Les Mystérieuses Cités d'Or (1982).
Les Mystérieuses Cités d'Or (1982).

Si vous ne vous êtes pas mis à chanter le générique, on ne pourra pas être amis (je plaisante bien évidemment). Les Mystérieuses Cités d'Or reste un de mes dessins animés favoris. Série d'animation franco-japonaise, on y suit trois enfants, Esteban, Tao et Zia ainsi que trois hommes, Mendoza et le duo comique formé par Pedro et Sancho qui se retrouvent donc dans une aventure fabuleuse, à la recherches des Cites d'Or. J'ai toujours été fasciné par les légendes et avec Les Mystérieuses Cités d'Or, on est plutôt servi en mythes et légendes, en allant même jusqu’à re-imaginer les Olmèques, à la base un ancien peuple précolombien, en race extraterrestre qui descendent du peuple de l’Atlantide, cité perdue, engloutie sous les eaux. Je n'ai jamais été tenté de regarder la saison 2, sorti en 2012, tout simplement car je suis moins fan du dessin plus moderne et le changement de la VF, bien obligé avec une saison 2 réalisé 30 ans après la premiere saison. De plus, je trouve que que la première saison offre une fin satisfaisante qui n'oblige pas nécessairement à regarder la deuxième. regarder le générique


Kim Possible (2002-2007).
Kim Possible (2002-2007).
Encore un dessin animé que j'adore et que je pourrais encore regarder à l'heure actuelle. Kim Possible est une lycéenne qui combat le crime en compagnie de son meilleur ami Robin Trépide et du taupinet tondu Rufus. Kim Possible fait parti des dessins animés où j'ai vu tous les épisodes ainsi que les films (et même l'horrible téléfilm en live-action sorti en 2018 que je ne vous conseille pas). Les personnages étaient attachants, Robin étant mon personnage préféré (en plus, c'est Donald Reignoux qui double le personnage). Le grand méchant de la série, Dr. Drakken apportait également le coté comique au dessin animé et on avait également l'image d'une femme forte et badass avec Shego. J'aimais beaucoup l'amitié entre Robin et Kim et bien sûr, j'avais toujours espérer qu'ils finissent ensemble, alors pensez-vous que quand Kim et Robin se sont mis en couple dans Kim Possible, le film : Mission Cupidon, téléfilm qui précédé la quatrième et dernière saison, j’étais plutôt contente. regarder le générique


Les aventures de Tintin (1991/1992).
Les aventures de Tintin (1991).

Ce dessin animé, je l'ai découvert avec les VHS que ma mère avait enregistré pour ma sœur à l'époque (de plus, vu que c'était des enregistrements, il y avait également les pubs de l'époque et d'ailleurs, c'était essentiellement des pubs pour des jouets). Les aventures de Tintin est une adaptation plutôt fidèle aux bandes dessinées de Hergé bien qu'il y ait eu quelques modifications pour moderniser et édulcorer le contenu ainsi que l'exclusion de Tintin aux Soviets et Tintin au Congo à cause du contenu trop politique du premier et le contenu colonialiste et raciste du second. J'adorais regarder ce dessin animé et suivre Tintin, Milou et le Capitaine Haddock dans des aventures périlleuses. D'ailleurs, maintenant que j'y pense, c'est un des rares dessins animés de mon enfance qui met en scène des adultes et non pas des enfants ou adolescents. J'ai vraiment saigner les VHS et l'enfant qui est en moi est plutôt contente de pouvoir regarder à ma guise ce dessin animé qui est disponible sur Netflix. regarder le générique


Totally Spies (2001-2013).
Totally Spies (2001-2013).

Je me devais d'inclure Totally Spies dans ce premier article. Série d'animation franco-canadienne, clairement inspirée de la série Drôles de Dames, Totally Spies suit trois lycéennes, Sam, Clover et Alex qui vivent à Los Angeles et qui sont en réalité des espionnes travaillant pour le WHOOP (World Office Of Human Protection). Dessin animé vraiment emblématique de mon enfance, Totally Spies combinait vraiment bien la comédie et l'action, c'était vraiment fun et au final, c'était cool de voir des ados (avouons-le, avec un physique d'adulte) qui savent se battre tout en ayant une personnalité en accord avec leur âge (mis à part Sam peut-être, la plus mûre du trio et qui était d'ailleurs ma préférée). Avant de rédiger cet article, je n'avais pas réalisé que la série s'était poursuivie jusqu'en 2013, ce qui fait que je n'ai probablement pas vu tous les épisodes. regarder les génériques


J'espère vraiment que cet article vous aura plu et qu'il aura ramener en enfance certains d'entre vous. D'ailleurs, quels sont les dessins animés qui ont bercé votre enfance ?


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