Jules Rewinds
Le trope de la meilleure amie qui en pince secrètement pour son meilleur tandis que ce dernier en est complètement inconscient a été vu un peu partout et c’est plus ou moins l’histoire de Secret Admirer. Premier long-métrage de David Greenwalt (qui travaillera plus tard sur les séries Buffy contres les vampires, Angel et Grimm), Secret Admirer (ou Une amie qui vous veut du bien en version française), contient deux intrigues: Toni (Lori Loughlin) est amoureuse de son meilleur ami Michael (C. Thomas Howell), tandis que lui est amoureux de Debbie (Kelly Prescott), la fille plus populaire du lycée.
SECRET ADMIRER est le teen-movie classique, il n'a rien d’extraordinaire et ne se démarque pas vraiment dans le genre. C. Thomas Howell (notamment connu pour son rôle de Ponyboy dans Outsiders de Francis F. Coppola) incarne ici le protagoniste principal, Michael. Michael n'a pas vraiment de substance et est un personnage type qu'on retrouve dans tous les teen-movies. Heureusement, Toni est un personnage un peu mieux construit, qui est certes amoureux de son meilleur ami, mais elle n'est pas non plus à ses pieds et possède un fort caractère.
Toni est donc secrètement amoureuse de son meilleur ami Michael, tandis que lui est épris de Déborah, la fille la plus populaire du lycée. À travers une lettre anonyme, Toni décide de lui déclarer sa flamme. Michael la reçoit mais il est persuadé qu'elle provient de Debbie et décide de lui répondre tout en demandant à Toni de jouer les entremetteuses. Elle accepte et va même jusqu'à réécrire secrètement les lettres de Michael, les jugeant trop ringardes. En lisant les lettres, Debbie tombe sous le charme et se met en couple avec Michael. Les problèmes commencent quand une des lettres enflammées tombe entre les mains de Lou, le père de Debbie. Il pense alors que sa femme Elizabeth a un amant. Cette même lettre sera lu par George, le père de Michael, car la lettre se trouve dans un bouquin qu'Elizabeth, sa prof du soir, lui a prêté. Il pense alors qu'elle veut entamer une liaison avec lui. Tout ceci va engendrer des quiproquos assez drôles et semer la zizanie au sein des deux couples.
Secret Admirer, lettres d'amour et quiproquos amoureux.
Le trope de la meilleure amie qui en pince secrètement pour son meilleur tandis que ce dernier en est complètement inconscient a été vu un peu partout et c’est plus ou moins l’histoire de Secret Admirer. Premier long-métrage de David Greenwalt (qui travaillera plus tard sur les séries Buffy contres les vampires, Angel et Grimm), Secret Admirer (ou Une amie qui vous veut du bien en version française), contient deux intrigues: Toni (Lori Loughlin) est amoureuse de son meilleur ami Michael (C. Thomas Howell), tandis que lui est amoureux de Debbie (Kelly Prescott), la fille plus populaire du lycée.
SECRET ADMIRER est le teen-movie classique, il n'a rien d’extraordinaire et ne se démarque pas vraiment dans le genre. C. Thomas Howell (notamment connu pour son rôle de Ponyboy dans Outsiders de Francis F. Coppola) incarne ici le protagoniste principal, Michael. Michael n'a pas vraiment de substance et est un personnage type qu'on retrouve dans tous les teen-movies. Heureusement, Toni est un personnage un peu mieux construit, qui est certes amoureux de son meilleur ami, mais elle n'est pas non plus à ses pieds et possède un fort caractère.
Toni est donc secrètement amoureuse de son meilleur ami Michael, tandis que lui est épris de Déborah, la fille la plus populaire du lycée. À travers une lettre anonyme, Toni décide de lui déclarer sa flamme. Michael la reçoit mais il est persuadé qu'elle provient de Debbie et décide de lui répondre tout en demandant à Toni de jouer les entremetteuses. Elle accepte et va même jusqu'à réécrire secrètement les lettres de Michael, les jugeant trop ringardes. En lisant les lettres, Debbie tombe sous le charme et se met en couple avec Michael. Les problèmes commencent quand une des lettres enflammées tombe entre les mains de Lou, le père de Debbie. Il pense alors que sa femme Elizabeth a un amant. Cette même lettre sera lu par George, le père de Michael, car la lettre se trouve dans un bouquin qu'Elizabeth, sa prof du soir, lui a prêté. Il pense alors qu'elle veut entamer une liaison avec lui. Tout ceci va engendrer des quiproquos assez drôles et semer la zizanie au sein des deux couples.
L'affaire Parker-Hulme secoua la Nouvelle-Zélande en 1954: Pauline Parker, avec l'aide sa meilleure amie Juliet Hulme, assassine sa propre mère car elle ne voulait plus que les deux jeunes filles se voient. Peter Jackson s'inspire de ce fait divers macabre pour écrire son scénario. Le long-métrage se focalise sur l'amitié des deux adolescentes, de leur rencontre en 1952 jusqu'au meurtre de Honorah Rieper, en juin 54.
Deux jeunes filles à l’imagination débordante
Heavenly Creatures (Créatures Célestes en version française) est le quatrième long-métrage de Peter Jackson et le tout premier film de Kate Winslet et Melanie Lynskey, qui ont alors 18 et 16 ans au moment du tournage. Le film se focalise davantage sur l'amitié des jeunes filles plutôt que le meurtre lui-même. A l'époque des faits, Pauline Parker et Juliet Hulme ont été perçu comme des monstres dont le geste était incompréhensible et le long-métrage tend à redonner un aspect humain à ces deux personnes. HEAVENLY CREATURES demeure puissant grace à la performance des deux jeunes actrices, qui sont tout simplement impressionnantes.Au-delà de nous montrer l'intense amitié qui liait les deux jeunes filles, le long-métrage nous plonge également dans leur univers. Avides d'imagination, Pauline et Juliet avaient inventé un monde imaginaire, Borovnia ainsi que ceux qui y peuplent, alors représentés par des figurines en plasticine (une sorte de pâte à modeler) que les deux jeunes femmes avaient pour habitude de sculpter. Elles iront même plus loin en assumant parfois l'identité des personnages de leur histoire, notamment par correspondance. Borovnia évolue tout au long du film et alors que c'est un endroit féerique et joyeux au début du film, vers la fin, il est dépeint avec beaucoup de violence et de luxure. Ce monde était un moyen d'échapper à leur déplaisante réalité.
Une amitié fusionnelle ou une relation saphique ?
L'amitié entre Pauline et Juliet est très intense et porte parfois à croire que leur amitié cachait quelque chose de plus fort. Le vrai journal de Pauline indique que les deux jeunes filles ont eu des rapports sexuels, tandis qu’Anne Perry, le nouveau nom de Juliet Hulme, a toujours affirmé le contraire. Au vu de la vive imagination des jeunes filles à l'époque, les écrits de Pauline peuvent perdre leur crédibilité. Dans le film, la nature de leur relation pose problème à leurs parents, qui voient d'un mauvais œil leur relation aussi passionnelle. Pauline est également soupçonnée d'être lesbienne, considéré comme une maladie mentale à l'époque. Leur relation est dépeinte comme ambiguë, elles s'échangent des baisers innocents, partagent un bain ensemble et vient ensuite une scène où elles ont vraisemblablement un rapport intime, mais en s'imaginant alors coucher avec les personnages qu'elles ont créés.
Avec HEAVENLY CREATURES, Peter Jackson réalise un long-métrage superbe, à la fois poétique et dérangeant. Il partage ainsi un portrait plus neutre et humain de deux jeunes femmes qui ont vécu une relation amicale fusionnelle, ce qui les a mené, de peur d'être séparées, à commettre un acte monstrueux. Cela en devient ironique: elles ont tué la mère de Pauline pour pouvoir rester ensemble et ont tout de même fini par être séparées. Pauline Parker et Juliet Hulme furent condamnées à 5 ans de prison et ne se sont pas revues depuis. Tandis que Pauline Parker vit dans un parfait anonymat, Juliet Hulme est devenue Anne Perry, une autrice renommée de romans policiers.
❝Only the best people fight against all obstacles in pursuit of happiness.❞ - Juliet Hulme
Avec HEAVENLY CREATURES, Peter Jackson réalise un long-métrage superbe, à la fois poétique et dérangeant. Il partage ainsi un portrait plus neutre et humain de deux jeunes femmes qui ont vécu une relation amicale fusionnelle, ce qui les a mené, de peur d'être séparées, à commettre un acte monstrueux. Cela en devient ironique: elles ont tué la mère de Pauline pour pouvoir rester ensemble et ont tout de même fini par être séparées. Pauline Parker et Juliet Hulme furent condamnées à 5 ans de prison et ne se sont pas revues depuis. Tandis que Pauline Parker vit dans un parfait anonymat, Juliet Hulme est devenue Anne Perry, une autrice renommée de romans policiers.
Heavenly Creatures, l'histoire d'une amitié passionnelle qui mena au tragique
L'affaire Parker-Hulme secoua la Nouvelle-Zélande en 1954: Pauline Parker, avec l'aide sa meilleure amie Juliet Hulme, assassine sa propre mère car elle ne voulait plus que les deux jeunes filles se voient. Peter Jackson s'inspire de ce fait divers macabre pour écrire son scénario. Le long-métrage se focalise sur l'amitié des deux adolescentes, de leur rencontre en 1952 jusqu'au meurtre de Honorah Rieper, en juin 54.
Deux jeunes filles à l’imagination débordante
Heavenly Creatures (Créatures Célestes en version française) est le quatrième long-métrage de Peter Jackson et le tout premier film de Kate Winslet et Melanie Lynskey, qui ont alors 18 et 16 ans au moment du tournage. Le film se focalise davantage sur l'amitié des jeunes filles plutôt que le meurtre lui-même. A l'époque des faits, Pauline Parker et Juliet Hulme ont été perçu comme des monstres dont le geste était incompréhensible et le long-métrage tend à redonner un aspect humain à ces deux personnes. HEAVENLY CREATURES demeure puissant grace à la performance des deux jeunes actrices, qui sont tout simplement impressionnantes.Au-delà de nous montrer l'intense amitié qui liait les deux jeunes filles, le long-métrage nous plonge également dans leur univers. Avides d'imagination, Pauline et Juliet avaient inventé un monde imaginaire, Borovnia ainsi que ceux qui y peuplent, alors représentés par des figurines en plasticine (une sorte de pâte à modeler) que les deux jeunes femmes avaient pour habitude de sculpter. Elles iront même plus loin en assumant parfois l'identité des personnages de leur histoire, notamment par correspondance. Borovnia évolue tout au long du film et alors que c'est un endroit féerique et joyeux au début du film, vers la fin, il est dépeint avec beaucoup de violence et de luxure. Ce monde était un moyen d'échapper à leur déplaisante réalité.
Une amitié fusionnelle ou une relation saphique ?
L'amitié entre Pauline et Juliet est très intense et porte parfois à croire que leur amitié cachait quelque chose de plus fort. Le vrai journal de Pauline indique que les deux jeunes filles ont eu des rapports sexuels, tandis qu’Anne Perry, le nouveau nom de Juliet Hulme, a toujours affirmé le contraire. Au vu de la vive imagination des jeunes filles à l'époque, les écrits de Pauline peuvent perdre leur crédibilité. Dans le film, la nature de leur relation pose problème à leurs parents, qui voient d'un mauvais œil leur relation aussi passionnelle. Pauline est également soupçonnée d'être lesbienne, considéré comme une maladie mentale à l'époque. Leur relation est dépeinte comme ambiguë, elles s'échangent des baisers innocents, partagent un bain ensemble et vient ensuite une scène où elles ont vraisemblablement un rapport intime, mais en s'imaginant alors coucher avec les personnages qu'elles ont créés.
Avec HEAVENLY CREATURES, Peter Jackson réalise un long-métrage superbe, à la fois poétique et dérangeant. Il partage ainsi un portrait plus neutre et humain de deux jeunes femmes qui ont vécu une relation amicale fusionnelle, ce qui les a mené, de peur d'être séparées, à commettre un acte monstrueux. Cela en devient ironique: elles ont tué la mère de Pauline pour pouvoir rester ensemble et ont tout de même fini par être séparées. Pauline Parker et Juliet Hulme furent condamnées à 5 ans de prison et ne se sont pas revues depuis. Tandis que Pauline Parker vit dans un parfait anonymat, Juliet Hulme est devenue Anne Perry, une autrice renommée de romans policiers.
❝Only the best people fight against all obstacles in pursuit of happiness.❞ - Juliet Hulme
Avec HEAVENLY CREATURES, Peter Jackson réalise un long-métrage superbe, à la fois poétique et dérangeant. Il partage ainsi un portrait plus neutre et humain de deux jeunes femmes qui ont vécu une relation amicale fusionnelle, ce qui les a mené, de peur d'être séparées, à commettre un acte monstrueux. Cela en devient ironique: elles ont tué la mère de Pauline pour pouvoir rester ensemble et ont tout de même fini par être séparées. Pauline Parker et Juliet Hulme furent condamnées à 5 ans de prison et ne se sont pas revues depuis. Tandis que Pauline Parker vit dans un parfait anonymat, Juliet Hulme est devenue Anne Perry, une autrice renommée de romans policiers.
De nombreux films ont marqué ma jeunesse et Muriel's Wedding est bien l'un d'entre eux. Si je me souviens bien, c’est ma sœur qui m’a fait découvrir ce film et je ne regrette pas cette découverte. Long-métrage réalisé par PJ Hogan, peut-être davantage connu pour les films Le Mariage de mon meilleur ami (1997) et Peter Pan (2003), on y suit Muriel (Toni Colette), une jeune femme qui est un peu le vilain petit canard de sa famille et qui vit dans une médiocre ville balnéaire australienne, Porpoise Spit. Muriel n’a pas vraiment d’amis et a du mal à se faire accepter des autres, jusqu’au jour où elle se lie d'amitié avec Rhonda (Rachel Griffiths) et qu’elles décident toutes les deux de partir pour Sydney. Une nouvelle vie commence alors pour Muriel.
Muriel, un personnage incroyablement humain
Ce film apporte une véritable bouffée de fraîcheur, rythmée par les chansons iconiques du groupe ABBA. Muriel est une comédie dramatique qui comporte ses moments drôles et légers mais aussi des scènes plus lourdes en émotions, notamment dans la deuxième partie du film. MURIEL'S WEDDING est le genre de film qui fait plaisir à voir puisqu'on y retrouve un personnage principal authentique auquel il est facile de s'attacher et s'identifier. Somptueusement interprétée par Toni Colette, qui était encore peu connue à l'époque, Muriel est une jeune femme qui n'a pas un physique qui correspond aux diktats de la beauté mais ça ne l’empêche pas d'être une personne enjouée avec la tête pleine de rêves (principalement celui de se marier), bien qu'au fond, cela cache un certain mal-être. Muriel n’est en effet pas acceptée des autres et elle va donc décider de partir et de se réinventer. Se faisant désormais appelé Mariel, elle tente plus que tout de se libérer de son ancienne identité. Muriel est le genre de protagoniste que j'aimerais voir plus souvent dans un film ou bien une série, et même si elle ne fait pas tout le temps des choix judicieux, on ne peut que aimer ce personnage qui finira par grandir par rapport aux choix qu'elle a pu faire. Rhonda, interprétée par Rachel Griffith, est également un personnage incroyable et l'amie dont Muriel avait désespérément besoin. Elle se révèle être une amie fun et qui ne juge pas, contrairement à l'ancien cercle "d'amies" de Muriel.Les éléments plus dramatiques de l'histoire tournent surtout autour de la famille de Muriel. Sa fratrie est une bande de bons à rien, son père, Bill, est un politicien véreux qui se contrefout de sa famille et il y a Betty, sa mère qui donne tout pour sa famille mais qui est malgré tout dénigrée par ses enfants mais surtout par son mari. Betty, interprété par Jeanie Drynan, est le personnage qui nous fait le plus mal au cœur car c'est une personne mentalement fragile, qui est cependant toujours là pour sa famille mais qui n'a rien en retour. Ce personnage, malgré qu'il ne soit pas souvent à l'écran, détient malgré tout une place important dans le dénouement du film.❝But since I've met you and moved to Sydney, I haven't listened to one ABBA song. That's because my life is as good as an ABBA song. It's as good as Dancing Queen.❞ - Muriel Heslop
Alors, on regarde ou pas ?
Malgré que le film soit sorti en 1994, il n'a pas vraiment vieilli et au vu des thèmes qu'il aborde, reste plutôt actuel. De plus, le long-métrage est sans prétention mais se révèle plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Au final, Muriel's Wedding est un film aussi drôle que touchant et qui véhicule l'idée qu'il faut pouvoir s'accepter tel qu'on est.Muriel's Wedding, une comédie dramatique rafraîchissante et poignante.
De nombreux films ont marqué ma jeunesse et Muriel's Wedding est bien l'un d'entre eux. Si je me souviens bien, c’est ma sœur qui m’a fait découvrir ce film et je ne regrette pas cette découverte. Long-métrage réalisé par PJ Hogan, peut-être davantage connu pour les films Le Mariage de mon meilleur ami (1997) et Peter Pan (2003), on y suit Muriel (Toni Colette), une jeune femme qui est un peu le vilain petit canard de sa famille et qui vit dans une médiocre ville balnéaire australienne, Porpoise Spit. Muriel n’a pas vraiment d’amis et a du mal à se faire accepter des autres, jusqu’au jour où elle se lie d'amitié avec Rhonda (Rachel Griffiths) et qu’elles décident toutes les deux de partir pour Sydney. Une nouvelle vie commence alors pour Muriel.
Muriel, un personnage incroyablement humain
Ce film apporte une véritable bouffée de fraîcheur, rythmée par les chansons iconiques du groupe ABBA. Muriel est une comédie dramatique qui comporte ses moments drôles et légers mais aussi des scènes plus lourdes en émotions, notamment dans la deuxième partie du film. MURIEL'S WEDDING est le genre de film qui fait plaisir à voir puisqu'on y retrouve un personnage principal authentique auquel il est facile de s'attacher et s'identifier. Somptueusement interprétée par Toni Colette, qui était encore peu connue à l'époque, Muriel est une jeune femme qui n'a pas un physique qui correspond aux diktats de la beauté mais ça ne l’empêche pas d'être une personne enjouée avec la tête pleine de rêves (principalement celui de se marier), bien qu'au fond, cela cache un certain mal-être. Muriel n’est en effet pas acceptée des autres et elle va donc décider de partir et de se réinventer. Se faisant désormais appelé Mariel, elle tente plus que tout de se libérer de son ancienne identité. Muriel est le genre de protagoniste que j'aimerais voir plus souvent dans un film ou bien une série, et même si elle ne fait pas tout le temps des choix judicieux, on ne peut que aimer ce personnage qui finira par grandir par rapport aux choix qu'elle a pu faire. Rhonda, interprétée par Rachel Griffith, est également un personnage incroyable et l'amie dont Muriel avait désespérément besoin. Elle se révèle être une amie fun et qui ne juge pas, contrairement à l'ancien cercle "d'amies" de Muriel.Les éléments plus dramatiques de l'histoire tournent surtout autour de la famille de Muriel. Sa fratrie est une bande de bons à rien, son père, Bill, est un politicien véreux qui se contrefout de sa famille et il y a Betty, sa mère qui donne tout pour sa famille mais qui est malgré tout dénigrée par ses enfants mais surtout par son mari. Betty, interprété par Jeanie Drynan, est le personnage qui nous fait le plus mal au cœur car c'est une personne mentalement fragile, qui est cependant toujours là pour sa famille mais qui n'a rien en retour. Ce personnage, malgré qu'il ne soit pas souvent à l'écran, détient malgré tout une place important dans le dénouement du film.❝But since I've met you and moved to Sydney, I haven't listened to one ABBA song. That's because my life is as good as an ABBA song. It's as good as Dancing Queen.❞ - Muriel Heslop
Alors, on regarde ou pas ?
Malgré que le film soit sorti en 1994, il n'a pas vraiment vieilli et au vu des thèmes qu'il aborde, reste plutôt actuel. De plus, le long-métrage est sans prétention mais se révèle plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Au final, Muriel's Wedding est un film aussi drôle que touchant et qui véhicule l'idée qu'il faut pouvoir s'accepter tel qu'on est.Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.
WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.
Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.
WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.
Working Girl, une comédie (romantique) dans la corporate jungle.
Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.
WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.
Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.
WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.
BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE (ou L’Excellente Aventure de Bill et Ted en VF) est une comédie américaine réalisé en 1989 par Stephen Herek et dont le scénario fut écrit par Chris Matheson et Ed Solomon (on doit à ce dernier le scénario de Men in Black). L’histoire se déroule en 1988, à San Dimas, en Californie, où deux jeunes cancres, Bill et Ted, qui rêvent de monter un groupe de rock (alors qu’ils jouent très mal), vont se retrouver à voyager dans le temps pour trouver des personnalités historiques pour les aider à faire leur devoir d’histoire.
BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE était sur ma liste de film à voir pendant un long moment mais je n’étais pas plus emballée que ça à le regarder. Malgré son statut de film culte, ce long-métrage semblait être en effet trop loufoque à mon goût et ça n’a pas loupé, le film est loufoque et d’un point de vue scénaristique, ça ne vole pas bien haut mais contre toute attente, j’ai fini par apprécier ce long-métrage. Porté par Keanu Reeves et Alex Winter, qui interprètent respectivement Ted et Bill, les deux acteurs sont vraiment convaincants et même si leurs personnages sont un peu idiots, ils n’en restent pas moins attachants et les deux acteurs forment un duo qui fonctionne à l’écran.
“Be excellent to each other!” – William “Bill” S. Preston, Esq.
Je ne vais rien vous cacher, l’histoire est un peu sens dessus dessous, l’enjeu du film est un peu faiblard et le thème du voyage dans le temps arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et pourtant, moi qui suis plutôt à cheval en ce qui concerne les voyages temporels, ça ne m’a pas dérangé avec BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE car le film assume totalement son côté loufoque. La machine à voyager dans le temps se présente sous forme de cabine téléphonique, ce qui m’a tout de suite fait penser au TARDIS dans Doctor Who. Le film ne dure qu’une heure et demi, ça se regarde donc assez vite et c’est vraiment drôle et toute la comédie est vraiment apporté par les deux personnages, notamment dans leur attitude et leur façon de s’exprimer. Selon moi, c'est davantage les personnages qui font que le film est bien, plus que l'histoire elle-même. Sur une autre note, la musique du film est plutôt sympa et j'ai tout de suite accroché avec une chanson en particulier, In Time de Robbie Robb.
Je suis d'avis que le film ne plaira pas à tout le monde mais le seul moyen de se faire un avis, c'est de commencer le film, vous saurez dès les premiers minutes si BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE est fait pour vous. Je pensais ne pas accrocher et j'ai pourtant bien aimé le film, qui a pour seul but, à mon avis, d'amuser la galerie et ça fonctionne plutôt bien. J'ai tenté de regarder la suite, Bill & Ted's Bogus Journey mais j'ai décroché au bout de 40min, je n'étais pas assez à fond dedans donc j'ai préféré arrêter. Un troisième film est prévu pour 2020, toujours avec Keanu Reeves et Alex Winter et je reste plutôt sceptique, les suites qui se font 30 ans après ne sont jamais vraiment convaincantes mais je demande quand même à voir.
Alors on regarde ou pas?
Bill & Ted’s Excellent Adventure, ou le voyage temporel pour contrer l'échec scolaire.
BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE (ou L’Excellente Aventure de Bill et Ted en VF) est une comédie américaine réalisé en 1989 par Stephen Herek et dont le scénario fut écrit par Chris Matheson et Ed Solomon (on doit à ce dernier le scénario de Men in Black). L’histoire se déroule en 1988, à San Dimas, en Californie, où deux jeunes cancres, Bill et Ted, qui rêvent de monter un groupe de rock (alors qu’ils jouent très mal), vont se retrouver à voyager dans le temps pour trouver des personnalités historiques pour les aider à faire leur devoir d’histoire.
BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE était sur ma liste de film à voir pendant un long moment mais je n’étais pas plus emballée que ça à le regarder. Malgré son statut de film culte, ce long-métrage semblait être en effet trop loufoque à mon goût et ça n’a pas loupé, le film est loufoque et d’un point de vue scénaristique, ça ne vole pas bien haut mais contre toute attente, j’ai fini par apprécier ce long-métrage. Porté par Keanu Reeves et Alex Winter, qui interprètent respectivement Ted et Bill, les deux acteurs sont vraiment convaincants et même si leurs personnages sont un peu idiots, ils n’en restent pas moins attachants et les deux acteurs forment un duo qui fonctionne à l’écran.
“Be excellent to each other!” – William “Bill” S. Preston, Esq.
Je ne vais rien vous cacher, l’histoire est un peu sens dessus dessous, l’enjeu du film est un peu faiblard et le thème du voyage dans le temps arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et pourtant, moi qui suis plutôt à cheval en ce qui concerne les voyages temporels, ça ne m’a pas dérangé avec BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE car le film assume totalement son côté loufoque. La machine à voyager dans le temps se présente sous forme de cabine téléphonique, ce qui m’a tout de suite fait penser au TARDIS dans Doctor Who. Le film ne dure qu’une heure et demi, ça se regarde donc assez vite et c’est vraiment drôle et toute la comédie est vraiment apporté par les deux personnages, notamment dans leur attitude et leur façon de s’exprimer. Selon moi, c'est davantage les personnages qui font que le film est bien, plus que l'histoire elle-même. Sur une autre note, la musique du film est plutôt sympa et j'ai tout de suite accroché avec une chanson en particulier, In Time de Robbie Robb.
Je suis d'avis que le film ne plaira pas à tout le monde mais le seul moyen de se faire un avis, c'est de commencer le film, vous saurez dès les premiers minutes si BILL & TED’s EXCELLENT ADVENTURE est fait pour vous. Je pensais ne pas accrocher et j'ai pourtant bien aimé le film, qui a pour seul but, à mon avis, d'amuser la galerie et ça fonctionne plutôt bien. J'ai tenté de regarder la suite, Bill & Ted's Bogus Journey mais j'ai décroché au bout de 40min, je n'étais pas assez à fond dedans donc j'ai préféré arrêter. Un troisième film est prévu pour 2020, toujours avec Keanu Reeves et Alex Winter et je reste plutôt sceptique, les suites qui se font 30 ans après ne sont jamais vraiment convaincantes mais je demande quand même à voir.
Alors on regarde ou pas?
L'année dernière, à l'occasion de la Saint-Valentin, je publiais une sélection de comédies romantiques des années 80. Cette année, j'ai donc décidé de réitérer l'experience, mais cette fois-ci avec une sélection de rom-coms des années 90. J'espère que cela vous plaira et que ça vous permettra de (re)découvrir quelques films.
Cette comédie romantique a bercé mon enfance/adolescence. Le préférant largement à Pretty Woman (qui ne sera d'ailleurs pas dans cette liste), j'aime beaucoup l'histoire de My Best Friend’s Wedding qui sort des codes de la comédie romantique classique : le personnage principal, Julianne, va essayer de saboter le mariage de son meilleur ami, pour qui elle a des sentiments. Julia Roberts interprète un personnage vraiment humain, loin d'être parfaite, parfois même agaçante, mais d'un côté, on ne peut que la trouver touchante. Ce film me plait également, car il y a un happy-end mais pas forcément celui auquel on s'attend, ce qui fait que My Best Friend’s Wedding reste assez unique dans le genre de la comédie romantique. On aime également ce film pour sa scène culte du restaurant. En tout cas, c'est sûr et certain, je le regarderai le soir de la Saint-Valentin, car ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu.
You've Got Mail réalisé par Nora Ephron (1998)
J'ai fini de regarder ce film ce matin et même si ce ne fut pas un coup de cœur (je dirais que le film est un peu trop long), je l'ai tout de même préféré à Sleepless in Seattle, aussi avec Tom Hanks et Meg Ryan en tête d'affiche. You’ve Got Mail suit Kathleen Kelly et Joe Fox qui correspondent par mails sans connaître les détails de la vie personnelle de l'autre. Kathleen est gérante d'une librairie indépendante tandis que Joe appartient à la famille Fox qui gère Fox Books, une graine chaîne de librairies. Ils ne s'apprécient pas dans la vraie vie, mais correspondent en ligne sans connaitre leur identité respective. C'est sympa à regarder même si je trouve que la relation entre Joe et Kathleen évolue trop rapidement vers la fin du film. Cela reste divertissant, mais je l'avoue, ce n'est pas la meilleure rom-com qui soit et je préfère largement un autre long-métrage de Nora Ephron, When Harry Met Sally.
10 Things I Hate About You réalisé par Gil Junger (1999)
Teen movie incontournable des 90s, 10 Things I Hate About You est tout simplement un must à voir. Adaptation moderne et très libre de la pièce de théâtre La Mégère apprivoisée de William Shakespeare, le film suit Cameron, un nouvel élève au lycée de Padua qui tombe tout de suite sous le charme de Bianca. Cependant, Bianca à un père très strict et elle ne peut sortir qu'avec quelqu'un que si sa sœur Kat fait de même. Malheureusement, il y a très peu de chance que ça arrive à cause du comportement asocial de cette dernière. Avec son ami Michael, Cameron élabore un plan pour trouver un garçon qui pourrait éventuellement sortir avec Kat et trouve le candidat parfait en la personne de Patrick, le rebelle du lycée. Ce film est drôle, doux et intemporel et le couple formé par Julia Stiles et Heath Ledger est tout simplement adorable sans être niais. Je ne peux que conseiller ce film et attention, il y a le risque de sourire niaisement devant cette scène et d'avoir la larme à l’œil à la fin du film...
Never Been Kissed réalisé par Raja Gosnell (1999)
Never Been Kissed (connu aussi sous son horrible titre français College Attitude) est un des meilleurs films romantiques (aux allures de teen-movie) de la fin des années 90. On y retrouve une Drew Barrymore dans le rôle de Josie, jeune journaliste qui va se retrouver sous couverture dans un lycée. Elle va au début y revivre ses angoisses d'adolescente, mais finira par s’intégrer grâce à l'intervention de son frère, interprété par David Arquette, qui lui aussi se fera passer pour un lycéen pour pouvoir revivre sa gloire d'antan de joueur de baseball. Josie a donc l'opportunité de revivre sa dernière année de lycée, mais en beaucoup mieux. De plus et contre toute attente, Josie va finir par tomber amoureuse de son prof de littérature, interprété par Michael Vartan. J'adore ce film, c'est frais, drôle et touchant et Drew Barrymore est juste superbe dans son rôle de jeune adulte qui ne s'assume pas et je me suis d'ailleurs parfois reconnue dans son personnage. Never Been Kissed est un film feel-good à regarder sans modération.
[ÉDIT : De part certains éléments de l'intrigue, Never Been Kissed se révèle être un film assez problématique et je suis maintenant très mitigée à son sujet.]
Cette comédie romantique a bercé mon enfance/adolescence. Le préférant largement à Pretty Woman (qui ne sera d'ailleurs pas dans cette liste), j'aime beaucoup l'histoire de My Best Friend’s Wedding qui sort des codes de la comédie romantique classique : le personnage principal, Julianne, va essayer de saboter le mariage de son meilleur ami, pour qui elle a des sentiments. Julia Roberts interprète un personnage vraiment humain, loin d'être parfaite, parfois même agaçante, mais d'un côté, on ne peut que la trouver touchante. Ce film me plait également, car il y a un happy-end mais pas forcément celui auquel on s'attend, ce qui fait que My Best Friend’s Wedding reste assez unique dans le genre de la comédie romantique. On aime également ce film pour sa scène culte du restaurant. En tout cas, c'est sûr et certain, je le regarderai le soir de la Saint-Valentin, car ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu.
You've Got Mail réalisé par Nora Ephron (1998)
J'ai fini de regarder ce film ce matin et même si ce ne fut pas un coup de cœur (je dirais que le film est un peu trop long), je l'ai tout de même préféré à Sleepless in Seattle, aussi avec Tom Hanks et Meg Ryan en tête d'affiche. You’ve Got Mail suit Kathleen Kelly et Joe Fox qui correspondent par mails sans connaître les détails de la vie personnelle de l'autre. Kathleen est gérante d'une librairie indépendante tandis que Joe appartient à la famille Fox qui gère Fox Books, une graine chaîne de librairies. Ils ne s'apprécient pas dans la vraie vie, mais correspondent en ligne sans connaitre leur identité respective. C'est sympa à regarder même si je trouve que la relation entre Joe et Kathleen évolue trop rapidement vers la fin du film. Cela reste divertissant, mais je l'avoue, ce n'est pas la meilleure rom-com qui soit et je préfère largement un autre long-métrage de Nora Ephron, When Harry Met Sally.
10 Things I Hate About You réalisé par Gil Junger (1999)
Teen movie incontournable des 90s, 10 Things I Hate About You est tout simplement un must à voir. Adaptation moderne et très libre de la pièce de théâtre La Mégère apprivoisée de William Shakespeare, le film suit Cameron, un nouvel élève au lycée de Padua qui tombe tout de suite sous le charme de Bianca. Cependant, Bianca à un père très strict et elle ne peut sortir qu'avec quelqu'un que si sa sœur Kat fait de même. Malheureusement, il y a très peu de chance que ça arrive à cause du comportement asocial de cette dernière. Avec son ami Michael, Cameron élabore un plan pour trouver un garçon qui pourrait éventuellement sortir avec Kat et trouve le candidat parfait en la personne de Patrick, le rebelle du lycée. Ce film est drôle, doux et intemporel et le couple formé par Julia Stiles et Heath Ledger est tout simplement adorable sans être niais. Je ne peux que conseiller ce film et attention, il y a le risque de sourire niaisement devant cette scène et d'avoir la larme à l’œil à la fin du film...
J'espère que cette sélection vous aura plu et dites-moi quels sont vos comédies romantiques préférés (si vous en avez) !
Sélection de rom-coms des années 90
L'année dernière, à l'occasion de la Saint-Valentin, je publiais une sélection de comédies romantiques des années 80. Cette année, j'ai donc décidé de réitérer l'experience, mais cette fois-ci avec une sélection de rom-coms des années 90. J'espère que cela vous plaira et que ça vous permettra de (re)découvrir quelques films.
Cette comédie romantique a bercé mon enfance/adolescence. Le préférant largement à Pretty Woman (qui ne sera d'ailleurs pas dans cette liste), j'aime beaucoup l'histoire de My Best Friend’s Wedding qui sort des codes de la comédie romantique classique : le personnage principal, Julianne, va essayer de saboter le mariage de son meilleur ami, pour qui elle a des sentiments. Julia Roberts interprète un personnage vraiment humain, loin d'être parfaite, parfois même agaçante, mais d'un côté, on ne peut que la trouver touchante. Ce film me plait également, car il y a un happy-end mais pas forcément celui auquel on s'attend, ce qui fait que My Best Friend’s Wedding reste assez unique dans le genre de la comédie romantique. On aime également ce film pour sa scène culte du restaurant. En tout cas, c'est sûr et certain, je le regarderai le soir de la Saint-Valentin, car ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu.
You've Got Mail réalisé par Nora Ephron (1998)
J'ai fini de regarder ce film ce matin et même si ce ne fut pas un coup de cœur (je dirais que le film est un peu trop long), je l'ai tout de même préféré à Sleepless in Seattle, aussi avec Tom Hanks et Meg Ryan en tête d'affiche. You’ve Got Mail suit Kathleen Kelly et Joe Fox qui correspondent par mails sans connaître les détails de la vie personnelle de l'autre. Kathleen est gérante d'une librairie indépendante tandis que Joe appartient à la famille Fox qui gère Fox Books, une graine chaîne de librairies. Ils ne s'apprécient pas dans la vraie vie, mais correspondent en ligne sans connaitre leur identité respective. C'est sympa à regarder même si je trouve que la relation entre Joe et Kathleen évolue trop rapidement vers la fin du film. Cela reste divertissant, mais je l'avoue, ce n'est pas la meilleure rom-com qui soit et je préfère largement un autre long-métrage de Nora Ephron, When Harry Met Sally.
10 Things I Hate About You réalisé par Gil Junger (1999)
Teen movie incontournable des 90s, 10 Things I Hate About You est tout simplement un must à voir. Adaptation moderne et très libre de la pièce de théâtre La Mégère apprivoisée de William Shakespeare, le film suit Cameron, un nouvel élève au lycée de Padua qui tombe tout de suite sous le charme de Bianca. Cependant, Bianca à un père très strict et elle ne peut sortir qu'avec quelqu'un que si sa sœur Kat fait de même. Malheureusement, il y a très peu de chance que ça arrive à cause du comportement asocial de cette dernière. Avec son ami Michael, Cameron élabore un plan pour trouver un garçon qui pourrait éventuellement sortir avec Kat et trouve le candidat parfait en la personne de Patrick, le rebelle du lycée. Ce film est drôle, doux et intemporel et le couple formé par Julia Stiles et Heath Ledger est tout simplement adorable sans être niais. Je ne peux que conseiller ce film et attention, il y a le risque de sourire niaisement devant cette scène et d'avoir la larme à l’œil à la fin du film...
Never Been Kissed réalisé par Raja Gosnell (1999)
Never Been Kissed (connu aussi sous son horrible titre français College Attitude) est un des meilleurs films romantiques (aux allures de teen-movie) de la fin des années 90. On y retrouve une Drew Barrymore dans le rôle de Josie, jeune journaliste qui va se retrouver sous couverture dans un lycée. Elle va au début y revivre ses angoisses d'adolescente, mais finira par s’intégrer grâce à l'intervention de son frère, interprété par David Arquette, qui lui aussi se fera passer pour un lycéen pour pouvoir revivre sa gloire d'antan de joueur de baseball. Josie a donc l'opportunité de revivre sa dernière année de lycée, mais en beaucoup mieux. De plus et contre toute attente, Josie va finir par tomber amoureuse de son prof de littérature, interprété par Michael Vartan. J'adore ce film, c'est frais, drôle et touchant et Drew Barrymore est juste superbe dans son rôle de jeune adulte qui ne s'assume pas et je me suis d'ailleurs parfois reconnue dans son personnage. Never Been Kissed est un film feel-good à regarder sans modération.
[ÉDIT : De part certains éléments de l'intrigue, Never Been Kissed se révèle être un film assez problématique et je suis maintenant très mitigée à son sujet.]
Cette comédie romantique a bercé mon enfance/adolescence. Le préférant largement à Pretty Woman (qui ne sera d'ailleurs pas dans cette liste), j'aime beaucoup l'histoire de My Best Friend’s Wedding qui sort des codes de la comédie romantique classique : le personnage principal, Julianne, va essayer de saboter le mariage de son meilleur ami, pour qui elle a des sentiments. Julia Roberts interprète un personnage vraiment humain, loin d'être parfaite, parfois même agaçante, mais d'un côté, on ne peut que la trouver touchante. Ce film me plait également, car il y a un happy-end mais pas forcément celui auquel on s'attend, ce qui fait que My Best Friend’s Wedding reste assez unique dans le genre de la comédie romantique. On aime également ce film pour sa scène culte du restaurant. En tout cas, c'est sûr et certain, je le regarderai le soir de la Saint-Valentin, car ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu.
You've Got Mail réalisé par Nora Ephron (1998)
J'ai fini de regarder ce film ce matin et même si ce ne fut pas un coup de cœur (je dirais que le film est un peu trop long), je l'ai tout de même préféré à Sleepless in Seattle, aussi avec Tom Hanks et Meg Ryan en tête d'affiche. You’ve Got Mail suit Kathleen Kelly et Joe Fox qui correspondent par mails sans connaître les détails de la vie personnelle de l'autre. Kathleen est gérante d'une librairie indépendante tandis que Joe appartient à la famille Fox qui gère Fox Books, une graine chaîne de librairies. Ils ne s'apprécient pas dans la vraie vie, mais correspondent en ligne sans connaitre leur identité respective. C'est sympa à regarder même si je trouve que la relation entre Joe et Kathleen évolue trop rapidement vers la fin du film. Cela reste divertissant, mais je l'avoue, ce n'est pas la meilleure rom-com qui soit et je préfère largement un autre long-métrage de Nora Ephron, When Harry Met Sally.
10 Things I Hate About You réalisé par Gil Junger (1999)
Teen movie incontournable des 90s, 10 Things I Hate About You est tout simplement un must à voir. Adaptation moderne et très libre de la pièce de théâtre La Mégère apprivoisée de William Shakespeare, le film suit Cameron, un nouvel élève au lycée de Padua qui tombe tout de suite sous le charme de Bianca. Cependant, Bianca à un père très strict et elle ne peut sortir qu'avec quelqu'un que si sa sœur Kat fait de même. Malheureusement, il y a très peu de chance que ça arrive à cause du comportement asocial de cette dernière. Avec son ami Michael, Cameron élabore un plan pour trouver un garçon qui pourrait éventuellement sortir avec Kat et trouve le candidat parfait en la personne de Patrick, le rebelle du lycée. Ce film est drôle, doux et intemporel et le couple formé par Julia Stiles et Heath Ledger est tout simplement adorable sans être niais. Je ne peux que conseiller ce film et attention, il y a le risque de sourire niaisement devant cette scène et d'avoir la larme à l’œil à la fin du film...
J'espère que cette sélection vous aura plu et dites-moi quels sont vos comédies romantiques préférés (si vous en avez) !
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