Instant Cinoche
Halloween Movies II

Au départ, je n'aurais dû que republier mon article Halloween Movies que j'avais publié en 2015. J'avais décidé de refaire une petite refonte, modifier les polices et le design de l’article qui ne correspondait plus vraiment au design actuel du blog, pensant que j'avais déjà citer tous les films regardables à l'occasion d'Halloween. Pourtant, en réfléchissant un peu plus, je me suis rendu compte que je pouvais faire un deuxième article en rajoutant des films que j'avais oublié de mentionner dans le premier article ou qui n'était présent quand dans la brève liste à la fin. J'espère donc que cette deuxième liste de films pour Halloween vous plaira.



Dangereuse Alliance Réalisé par Andrew Fleming en 1996.
Dangereuse Alliance - The Craft

L'histoire? Nancy, Bonnie et Rochelle sont trois étudiantes éprises d'ésotérisme qui pratiquent la magie. Les autres étudiants les considèrent comme des folles et des sorcières. Elles sont rejointes par une quatrième, Sarah, dotée de dons exceptionnels. Les quatre jeunes femmes vont former un cercle capable d'invoquer les plus puissants esprits et transformer leurs rêves en réalité. Jusqu'au jour où des rivalités apparaissent dans le petit groupe.

Comment ai-je pu oublier de mentionner ce film dans mon premier article. Dangereuse Alliance ou The Craft en VO est pourtant un film cultissime des années 90, à tel point qu'un reboot est en projet. Ce film est flippant et tout ceci grâce à la performance de l'actrice Fairuza Balk qui interprète Nancy. J'adore ce film et j'aime que le coté Wicca, tel qu'on peut le voir dans Charmed, soit mis en avant (d'ailleurs, la chanson How Soon Is Now? est présente dans le film et est également la chanson du générique de Charmed). The Craft est parfait pour le soir d'Halloween, et qui plus est, très girl power donc foncez!


The Faculty Réalisé par Robert Rodriguez en 1998.
The Faculty

L'histoire ? Herrington High est un lycée américain comme les autres. Peu après la découverte d'un organisme vivant inconnu, certains élèves commencent à soupçonner que quelque chose de louche est en train de se passer dans leur lycée, certains professeurs ainsi que certains élèves se comportant bizarrement. Un groupe d'élèves décide de tirer l'affaire au clair et découvre qu'ils sont envahis par des extraterrestres.

Un autre film culte des années 90, The Faculty est un mélange entre le genre du  teen-movie, de la science fiction et de l'horreur. C'est divertissant et c'est toujours cool de revoir un film où Elijah Wood et Josh Hartnett font leurs débuts (Bon, Eliha Wood avait déja 10 ans de cinéma derrière lui mais je voulais bien évidement dire que c’était avant son big break-out dans Le Seigneur des Anneaux). The Faculty est un bon film divertissant et se révèle être un mélange entre The Breafast Club et The Thing, à regarder seul ou entre potes.


L'Île aux sorciers Réalisé par Nikolaj Arcel en 2007.
L'Île aux sorciers - De fortabte sjæles ø

L'histoire ? Lulu, une jeune Danoise de 14 ans attirée par le surnaturel, déménage avec sa famille dans une petite ville de province. Une nuit, son petit frère Sylvester est frappé par une lumière blanche et se retrouve dès lors possédé par l'esprit de Herman Hartmann, un homme mort au XIXe siècle alors qu'il combattait les forces du mal au sein d'une loge. Avec l'aide de son jeune voisin Oliver et de Richard, un physiothérapeute qui étudie les phénomènes paranormaux, Lulu va devoir combattre un puissant nécromancien qui cherche à rassembler les pages du manuscrit magique autrefois utilisé par la loge pour combattre le mal.

Film danois sorti en 2007, L’Île aux sorciers est un film sans prétention. Je prends toujours plaisir à le regarder et les effets spéciaux sont bien et n'a rien à envier aux grosses productions américaines. Les personnages sont sympathiques et attachants. Ce n'est pas un grand film, mais c'est un film sympathique avec des fantômes et de la sorcellerie, c'est donc parfait pour Halloween et le fait que le film se passe dans un pays scandinave rajoute le petit plus.


Les Ensorceleuses Réalisé par Griffin Dunne en 1998.
Les Ensorceleuses - Practical Magic

L'histoire ? Sally et Gillian Owens sont deux sœurs que tout oppose. Sally, la réservée, aspire à une vie normale et rangée, tandis que Gillian, l'exubérante, vole de conquête en conquête. Elles ont néanmoins un point commun: la sorcellerie. Mais avec la malédiction qui condamne à une mort prématurée les hommes qu'elles ont la faiblesse d'aimer, les sœurs Owens n'ont pas la vie facile. La disparition du petit ami de Gillian et l'apparition de phénomènes étranges autour de la résidence familiale ne vont pas tarder à bouleverser la vie des deux sœurs.

Encore une fois, comment ai-je pu oublier de mentionner ce film dans mon premier article. Même si certaines scènes me faisaient un peu flipper quand j'étais plus jeune, j'adorais - et j'adore toujours - ce film. Déja, rien que pour la distribution presque entièrement féminine: Nicole Kidman, Sandra Bullock, Stockard Channing et Dianne Wiest entre autre. Je pense que la sorcellerie devait être assez hype dans les années 90, à mon plus grand plaisir. Comme Dangereuse Alliance, Les Ensorceleuses a un coté très girl power avec ce clan de sorcières qui ont dû renoncé à l'amour mais qui restent forte malgré tout et qui montre qu'on n'a pas forcement besoin d'un homme pour être épanouie. A voir et à revoir !


Fantômes contre fantômes Réalisé par Peter Jackson en 1996.
Fantômes contre fantômes - The Frighteners


L'histoire ? Frank Bannister, ancien architecte alcoolique est devenu médium à la suite de la mort de sa femme, dont il se juge seul responsable. Depuis, il a la capacité de voir les fantômes. Il finit par en abuser en embauchant des amis fantômes pour hanter la maison de diverses personnes qu'il rencontre lors d'enterrements ou autres occasions. Mais depuis l'apparition d'un ectoplasme se prenant pour la Faucheuse, Frank se voit investi de la mission de l'arrêter avant que la ville ne passe sous le courroux de ce fantôme qui s'est nommé juge de la vie et de la mort.

Quand on voit les noms de Robert Zemeckis et de Peter Jackson, on ne peut qu'avoir un film avec un minimum de qualité et c'est le cas avec Fantômes contre fantômes. Le film oscille entre la drôlerie et l'effrayant et ça fonctionne. Michael J. Fox est parfait en veuf égoïste qui se sert de son récent don de medium pour son profit personnel. Pour un film sorti il y a 21 ans, les effets spéciaux et les maquillages sont plus que correct et les fantômes sont vraiment cool et sont la grosse touche d’humour du film. Mention spéciale à l'acteur Jeffrey Combs qui interprète un agent du FBI complètement creepy. En conclusion, Fantômes contre fantômes est un bon film de fantômes plutôt atypique, assez recherché et très divertissant.




BONUS


Ai-je vraiment besoin de vous présenter la fabuleuse série qu'est Stranger Things et de vous expliquer pourquoi cette série est tellement géniale et qu'elle est parfaite pour la période d'Halloween ?! D'ailleurs la saison 2 sort aujourd'hui sur Netflix. Allez-vous attendre Halloween ou la tentation est-elle trop forte ? En même temps, on peut se dire que le mois d'Octobre, c'est le mois d'Halloween, donc pas besoin d'attendre le 31 donc pour mon cas, je vais binge-watcher cette deuxième saison aujourd'hui. 




J'espère que cette petite liste vous aura plu et dites moi quel est votre programme pour Halloween!





INSTANT CINOCHE • Halloween Movies II.

Halloween Movies II

Au départ, je n'aurais dû que republier mon article Halloween Movies que j'avais publié en 2015. J'avais décidé de refaire une petite refonte, modifier les polices et le design de l’article qui ne correspondait plus vraiment au design actuel du blog, pensant que j'avais déjà citer tous les films regardables à l'occasion d'Halloween. Pourtant, en réfléchissant un peu plus, je me suis rendu compte que je pouvais faire un deuxième article en rajoutant des films que j'avais oublié de mentionner dans le premier article ou qui n'était présent quand dans la brève liste à la fin. J'espère donc que cette deuxième liste de films pour Halloween vous plaira.



Dangereuse Alliance Réalisé par Andrew Fleming en 1996.
Dangereuse Alliance - The Craft

L'histoire? Nancy, Bonnie et Rochelle sont trois étudiantes éprises d'ésotérisme qui pratiquent la magie. Les autres étudiants les considèrent comme des folles et des sorcières. Elles sont rejointes par une quatrième, Sarah, dotée de dons exceptionnels. Les quatre jeunes femmes vont former un cercle capable d'invoquer les plus puissants esprits et transformer leurs rêves en réalité. Jusqu'au jour où des rivalités apparaissent dans le petit groupe.

Comment ai-je pu oublier de mentionner ce film dans mon premier article. Dangereuse Alliance ou The Craft en VO est pourtant un film cultissime des années 90, à tel point qu'un reboot est en projet. Ce film est flippant et tout ceci grâce à la performance de l'actrice Fairuza Balk qui interprète Nancy. J'adore ce film et j'aime que le coté Wicca, tel qu'on peut le voir dans Charmed, soit mis en avant (d'ailleurs, la chanson How Soon Is Now? est présente dans le film et est également la chanson du générique de Charmed). The Craft est parfait pour le soir d'Halloween, et qui plus est, très girl power donc foncez!


The Faculty Réalisé par Robert Rodriguez en 1998.
The Faculty

L'histoire ? Herrington High est un lycée américain comme les autres. Peu après la découverte d'un organisme vivant inconnu, certains élèves commencent à soupçonner que quelque chose de louche est en train de se passer dans leur lycée, certains professeurs ainsi que certains élèves se comportant bizarrement. Un groupe d'élèves décide de tirer l'affaire au clair et découvre qu'ils sont envahis par des extraterrestres.

Un autre film culte des années 90, The Faculty est un mélange entre le genre du  teen-movie, de la science fiction et de l'horreur. C'est divertissant et c'est toujours cool de revoir un film où Elijah Wood et Josh Hartnett font leurs débuts (Bon, Eliha Wood avait déja 10 ans de cinéma derrière lui mais je voulais bien évidement dire que c’était avant son big break-out dans Le Seigneur des Anneaux). The Faculty est un bon film divertissant et se révèle être un mélange entre The Breafast Club et The Thing, à regarder seul ou entre potes.


L'Île aux sorciers Réalisé par Nikolaj Arcel en 2007.
L'Île aux sorciers - De fortabte sjæles ø

L'histoire ? Lulu, une jeune Danoise de 14 ans attirée par le surnaturel, déménage avec sa famille dans une petite ville de province. Une nuit, son petit frère Sylvester est frappé par une lumière blanche et se retrouve dès lors possédé par l'esprit de Herman Hartmann, un homme mort au XIXe siècle alors qu'il combattait les forces du mal au sein d'une loge. Avec l'aide de son jeune voisin Oliver et de Richard, un physiothérapeute qui étudie les phénomènes paranormaux, Lulu va devoir combattre un puissant nécromancien qui cherche à rassembler les pages du manuscrit magique autrefois utilisé par la loge pour combattre le mal.

Film danois sorti en 2007, L’Île aux sorciers est un film sans prétention. Je prends toujours plaisir à le regarder et les effets spéciaux sont bien et n'a rien à envier aux grosses productions américaines. Les personnages sont sympathiques et attachants. Ce n'est pas un grand film, mais c'est un film sympathique avec des fantômes et de la sorcellerie, c'est donc parfait pour Halloween et le fait que le film se passe dans un pays scandinave rajoute le petit plus.


Les Ensorceleuses Réalisé par Griffin Dunne en 1998.
Les Ensorceleuses - Practical Magic

L'histoire ? Sally et Gillian Owens sont deux sœurs que tout oppose. Sally, la réservée, aspire à une vie normale et rangée, tandis que Gillian, l'exubérante, vole de conquête en conquête. Elles ont néanmoins un point commun: la sorcellerie. Mais avec la malédiction qui condamne à une mort prématurée les hommes qu'elles ont la faiblesse d'aimer, les sœurs Owens n'ont pas la vie facile. La disparition du petit ami de Gillian et l'apparition de phénomènes étranges autour de la résidence familiale ne vont pas tarder à bouleverser la vie des deux sœurs.

Encore une fois, comment ai-je pu oublier de mentionner ce film dans mon premier article. Même si certaines scènes me faisaient un peu flipper quand j'étais plus jeune, j'adorais - et j'adore toujours - ce film. Déja, rien que pour la distribution presque entièrement féminine: Nicole Kidman, Sandra Bullock, Stockard Channing et Dianne Wiest entre autre. Je pense que la sorcellerie devait être assez hype dans les années 90, à mon plus grand plaisir. Comme Dangereuse Alliance, Les Ensorceleuses a un coté très girl power avec ce clan de sorcières qui ont dû renoncé à l'amour mais qui restent forte malgré tout et qui montre qu'on n'a pas forcement besoin d'un homme pour être épanouie. A voir et à revoir !


Fantômes contre fantômes Réalisé par Peter Jackson en 1996.
Fantômes contre fantômes - The Frighteners


L'histoire ? Frank Bannister, ancien architecte alcoolique est devenu médium à la suite de la mort de sa femme, dont il se juge seul responsable. Depuis, il a la capacité de voir les fantômes. Il finit par en abuser en embauchant des amis fantômes pour hanter la maison de diverses personnes qu'il rencontre lors d'enterrements ou autres occasions. Mais depuis l'apparition d'un ectoplasme se prenant pour la Faucheuse, Frank se voit investi de la mission de l'arrêter avant que la ville ne passe sous le courroux de ce fantôme qui s'est nommé juge de la vie et de la mort.

Quand on voit les noms de Robert Zemeckis et de Peter Jackson, on ne peut qu'avoir un film avec un minimum de qualité et c'est le cas avec Fantômes contre fantômes. Le film oscille entre la drôlerie et l'effrayant et ça fonctionne. Michael J. Fox est parfait en veuf égoïste qui se sert de son récent don de medium pour son profit personnel. Pour un film sorti il y a 21 ans, les effets spéciaux et les maquillages sont plus que correct et les fantômes sont vraiment cool et sont la grosse touche d’humour du film. Mention spéciale à l'acteur Jeffrey Combs qui interprète un agent du FBI complètement creepy. En conclusion, Fantômes contre fantômes est un bon film de fantômes plutôt atypique, assez recherché et très divertissant.




BONUS


Ai-je vraiment besoin de vous présenter la fabuleuse série qu'est Stranger Things et de vous expliquer pourquoi cette série est tellement géniale et qu'elle est parfaite pour la période d'Halloween ?! D'ailleurs la saison 2 sort aujourd'hui sur Netflix. Allez-vous attendre Halloween ou la tentation est-elle trop forte ? En même temps, on peut se dire que le mois d'Octobre, c'est le mois d'Halloween, donc pas besoin d'attendre le 31 donc pour mon cas, je vais binge-watcher cette deuxième saison aujourd'hui. 




J'espère que cette petite liste vous aura plu et dites moi quel est votre programme pour Halloween!





Actrice Bel Powley


Il y a deux semaines, mes journées ont été plutôt fructueuse en visionnages de films et je me suis retrouvée à regarder deux très bons films qui avaient tout deux la même actrice en tête d'affiche: Bel Powley. Je ne connaissais pas du tout cette actrice, qui est britannique, mais elle a su m'enchanté avec sa beauté atypique avec ses grands yeux blancs et sa belle voix mais c'est surtout son jeu d'actrice que j'ai trouvé excellent. Je vais donc vous parler de deux films où elle tient a chaque fois le rôle principale: Carrie Pilby et The Diary of a Teenage Girl.



Carrie Pilby 2016

Carrie Pilby
est une comédie dramatique réalisée par Susan Johnson en 2016. Le film suit une jeune femme, Carrie Pilby, qui est âgée de 19 ans et qui vient de finir en avance ses études à l'université, ayant sautés deux classes durant sa scolarité. Carrie peine à se socialiser et à trouver un travail et passe ses journées dans son appartement à lire des livres. Son psy lui donne alors une sorte de bucket liste à réaliser afin qu'elle réussisse à s'intégrer à être heureuse. Comment vous dire qu'il a été très facile de me reconnaître en elle. Carrie est une personne qui ne sait pas vraiment interagir avec les personnes qui l'entoure et ne sait pas quoi faire de sa vie. C'est grâce à cette fameuse bucket list que Carrie va tenter des choses qu'elle n'aurait jamais pensé faire et qui vont la faire grandir malgré elle. Le film est également composé de flashbacks où on aperçoit des bribes de vie quand Carrie était encore à l'université et on comprend qu'elle a vécu une aventure avec son prof incarné par le délicieux Colin O'Donoghue qu'on connait tous comme étant  Captain Killian "Hook" Jones de OUAT. Il ne se passe pas grand chose, en même temps, c'est une comédie dramatique, mais ça reste un film très touchant et divertissant.



The Diary of a Teenage Girl 2015

The Diary of a Teenage Girl
est un film dramatique réalisé par Marielle Heller en 2015. Le film se passe dans les années 70 et débute avec le personnage de Minnie qui révèle avoir perdu sa virginité et on apprend très peu de temps après que c'est arrivé avec le petit ami de sa mère. Minnie a 15 ans, tient un journal audio, veut devenir cartooniste et ne se trouve par particulièrement jolie. Après sa première fois, Minnie commence à ne penser qu'au sexe, ce qui est normal pour une ado de son age qui est alors en plein éveil sexuel, et on est sans cesse plongé dans ses réflexions qu'elle partage en voice-over. Les scènes de sexe entre elle et Monroe, le petit ami de sa mère, interprété par Alexander Skarsgärd, auraient pu vite devenir glauques et un peu dérangeantes pourtant on n'atteint jamais vraiment ce seuil de gène car le personnage de Monroe n'est pas interprété de manière malsaine. Pendant le visionnage, je ne l'ai pas vu comme un pervers qui aime coucher avec une gamine de quinze ans. Minnie a un réelle emprise sur lui et c'est lui en quelque sorte qui est victime de son charme. Je pense également que toute cette situation passe mieux dû à l'époque de quand se passe le film, les années 70 sont connues pour avoir été une décennie avec une certaine liberté sexuelle.

Malgré le fait que Bel avait 22 ans lors du tournage, elle reste crédible dans le rôle d'un ado de 15 ans, justement grâce à cette fraîcheur et à l'innocence qu'elle dégage. C'était aussi agréable de découvrir Kristen Wiig, qui joue la mère, dans un rôle plus sérieux, très loin des rôles comiques dont elle a l'habitude. La réelle beauté de ce film tient également dans son esthétisme, tout est vraiment beau, les couleurs sont douces et orangées et donne un aspect seventies au film. Un film très poétique qui se révèle être un coming-of-age story très bien mené.


Je vous recommande vraiment de visionner ces deux films, bien que j'ai eu une légère préférence pour The Diary of a Teenage Girl car il dégage vraiment quelque chose de poétique et d'authentique. 



Connaissiez-vous cette actrice avant de lire cet article ?


Bel Powley, entre jeune femme surdouée et ado des seventies.

Actrice Bel Powley


Il y a deux semaines, mes journées ont été plutôt fructueuse en visionnages de films et je me suis retrouvée à regarder deux très bons films qui avaient tout deux la même actrice en tête d'affiche: Bel Powley. Je ne connaissais pas du tout cette actrice, qui est britannique, mais elle a su m'enchanté avec sa beauté atypique avec ses grands yeux blancs et sa belle voix mais c'est surtout son jeu d'actrice que j'ai trouvé excellent. Je vais donc vous parler de deux films où elle tient a chaque fois le rôle principale: Carrie Pilby et The Diary of a Teenage Girl.



Carrie Pilby 2016

Carrie Pilby
est une comédie dramatique réalisée par Susan Johnson en 2016. Le film suit une jeune femme, Carrie Pilby, qui est âgée de 19 ans et qui vient de finir en avance ses études à l'université, ayant sautés deux classes durant sa scolarité. Carrie peine à se socialiser et à trouver un travail et passe ses journées dans son appartement à lire des livres. Son psy lui donne alors une sorte de bucket liste à réaliser afin qu'elle réussisse à s'intégrer à être heureuse. Comment vous dire qu'il a été très facile de me reconnaître en elle. Carrie est une personne qui ne sait pas vraiment interagir avec les personnes qui l'entoure et ne sait pas quoi faire de sa vie. C'est grâce à cette fameuse bucket list que Carrie va tenter des choses qu'elle n'aurait jamais pensé faire et qui vont la faire grandir malgré elle. Le film est également composé de flashbacks où on aperçoit des bribes de vie quand Carrie était encore à l'université et on comprend qu'elle a vécu une aventure avec son prof incarné par le délicieux Colin O'Donoghue qu'on connait tous comme étant  Captain Killian "Hook" Jones de OUAT. Il ne se passe pas grand chose, en même temps, c'est une comédie dramatique, mais ça reste un film très touchant et divertissant.



The Diary of a Teenage Girl 2015

The Diary of a Teenage Girl
est un film dramatique réalisé par Marielle Heller en 2015. Le film se passe dans les années 70 et débute avec le personnage de Minnie qui révèle avoir perdu sa virginité et on apprend très peu de temps après que c'est arrivé avec le petit ami de sa mère. Minnie a 15 ans, tient un journal audio, veut devenir cartooniste et ne se trouve par particulièrement jolie. Après sa première fois, Minnie commence à ne penser qu'au sexe, ce qui est normal pour une ado de son age qui est alors en plein éveil sexuel, et on est sans cesse plongé dans ses réflexions qu'elle partage en voice-over. Les scènes de sexe entre elle et Monroe, le petit ami de sa mère, interprété par Alexander Skarsgärd, auraient pu vite devenir glauques et un peu dérangeantes pourtant on n'atteint jamais vraiment ce seuil de gène car le personnage de Monroe n'est pas interprété de manière malsaine. Pendant le visionnage, je ne l'ai pas vu comme un pervers qui aime coucher avec une gamine de quinze ans. Minnie a un réelle emprise sur lui et c'est lui en quelque sorte qui est victime de son charme. Je pense également que toute cette situation passe mieux dû à l'époque de quand se passe le film, les années 70 sont connues pour avoir été une décennie avec une certaine liberté sexuelle.

Malgré le fait que Bel avait 22 ans lors du tournage, elle reste crédible dans le rôle d'un ado de 15 ans, justement grâce à cette fraîcheur et à l'innocence qu'elle dégage. C'était aussi agréable de découvrir Kristen Wiig, qui joue la mère, dans un rôle plus sérieux, très loin des rôles comiques dont elle a l'habitude. La réelle beauté de ce film tient également dans son esthétisme, tout est vraiment beau, les couleurs sont douces et orangées et donne un aspect seventies au film. Un film très poétique qui se révèle être un coming-of-age story très bien mené.


Je vous recommande vraiment de visionner ces deux films, bien que j'ai eu une légère préférence pour The Diary of a Teenage Girl car il dégage vraiment quelque chose de poétique et d'authentique. 



Connaissiez-vous cette actrice avant de lire cet article ?


Films animation enfance

L'enfance rime souvent avec dessins animés ou plus précisément ici avec les films d'animations. Je partage donc aujourd’hui une partie de mon enfance en vous proposant une sélection de films d'animations que je pouvais regarder des dizaines de fois sans me lasser - et tous ne sont pas des Disney. Je suis assez nostalgique de ces films, je fait partie de cette catégorie de personne qui préfère l'animation traditionnelle (dessins faits à la main) et en 2D plutôt que l'animation 3D, bien que je ne dénigre pas cette dernière, bien évidemment.  C'est parti pour cette sélection de quatre films qui ont bercés mon enfance.



Hercule de John Musker et Ron Clements (1997)
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d'Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l'Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, apres avoir eliminé le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule. — Allociné

Je me demande bien si mon intérêt pour la mythologie grecque est venu de ce film. Je n'ai jamais eu ce film d'animation en VHS mais il était possible à l'ancien boulot de ma mère d'emprunter des VHS et à chaque fois, je lui demandais de me prendre Hercule. Les chansons sont cools et entraînantes et même si ce n'est pas forcement très authentique par rapport au mythe d'Hercules et que beaucoup de libertés ont été prises (Vu que le film se passe durant la période de la Grèce Antique, Hercule aurait dû s'appeler Héraclès, Hercule étant le nom latin du héros), ça permet quand même d'apprendre les notions de bases tout en passant un bon moment. Hercule est un film d'animation qui respire la joie, les chansons sont entraînante et les personnages sont drôles, de quoi passer un moment très sympathique devant. D'ailleurs, une série a vu le jour, diffusé entre 1998 et 1999, servant de préquelle à la deuxième partie film où Hercule est adolescent et encore en entrainement pour devenir un héros.


Anastasia de Don Bluth et Gary Goldman (1997)
Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie... — Allociné

Souvent pris pour un Disney et bien que Don Bluth ait travailé pour Disney avant de quitter le navire au début des années 80, Anastasia est une production des studios Fox Animation Studios. Plutôt habituée à l'époque aux films d’animation Disney, Anastasia avait cette particularité de sortir du lot avec son contexte historique, bien que cette théorie comme quoi Anastasia Romanov ait survécu à l’assassinat de la famille impériale russe ait été réfutée. Il a tout de même cette touche de magie qui avait su me transporter et aussi les chansons que je ne me lassais pas de chanter, la chanson Voyage dans le temps étant ma préférée.  Le personnage d’Anya est juste incroyable, une jeune femme forte qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui n’a pas sa langue dans sa poche, il est facile de s’attacher à elle car elle reste un personnage très authentique, avec ses qualités et ses défauts. En conclusion, Anastasia reste LE film d’animation que je préfère pour son coté historique mais aussi pour ses personnages aux nombreuses facettes.


Le Géant de Fer de Brad Bird (1999)
Quelque chose de gigantesque se profile à l’horizon. Hogarth Hugues vient tout juste de sauver un énorme robot tombé du ciel. Le jeune Hogarth a désormais un très grand ami et un problème encore plus grand : Comment garder secrète l’existence d’un géant de 15m, mangeur d’acier (avec un penchant pour les voitures de la décharge qui sont délicieuses) ? Cette mission se complique encore plus lorsqu’un agent du gouvernement un peu trop curieux arrive en ville pour chasser « l’envahisseur alien » — Allociné

Ce film d’animation, je l'avais en VHS enregistré et j'ai d'ailleurs essayé de la retrouver pour la mettre sur la photo mais impossible de la retrouver parmi la cinquantaines de K7 que ma famille a. Ce film, malgré ses excellentes critiques, a échoué au box-office à cause du manque de promotion mais ça n'a pas empêché Le Géant de Fer de tout de même devenir un classique parmi les films d'animation, obtenant ainsi le statut de film culte. Le film illustre une belle et émouvante histoire d'amitié entre Hogarth et un robot d'origine extraterrestre et comment ce petit garçon va rendre ce robot plus humain que les humains eux-même et c'est des thèmes principales du film: la nature humaine. Ce film est très émouvant mais délivre aussi des moments drôles et des scènes plus mouvementées. Au tout début du projet, le film était prévu d'être musical et bon dieu, heureusement que ça ne s'est pas fait car Le Géant de Fer n'aurait pas été ce qu'il est aujourd'hui. Pour être dans l'actualité, le personnage du Géant de Fer apparaît dans le trailer du film Ready Player One et tiendra apparemment une place importance dans le film.


Taram et le Chaudron Magique de Ted Berman et Richard Rich (1985).
Au pays enchanté de Prydain. Taram, un valet de ferme, rêve d'exploits. Son maître, le vieux mage Dalben, lui confie une mission périlleuse : empêcher le seigneur des Ténèbres de s'approprier un mystérieux chaudron noir qui donne le pouvoir absolu. Seul le petit cochon Tirlir, qui prédit l'avenir, peut lui révéler son emplacement. Mais Tirlir est enlevé par le seigneur des Ténèbres. Taram part le délivrer. — Programme-tv.net

Le petit mouton noir de Disney. Renié par ses créateurs, Taram et le Chaudron Magique reste tout de même très apprécié. Pourtant sorti 10 ans avant ma naissance, ce film fait partie intégrante de mon enfance. Je ne me souviens pas avoir eu vraiment peur de ce dessin animé même si, je vous l'accorde, le Seigneur des Tenevres peut être flippant quand on est jeune.
C'est ça que je trouve excellent avec Taram et le Chaudron Magique, c'est qu'il sort des sentiers battus et il se démarque des autres Disney pour son coté fantasy et sombre mais aussi pour l’absence total de chants, ce qui pour ma part, ne me dérange absolument pas car ça ajoute cette touche d’originalité qui fait que Taram et le Chaudron Magique est unique en son genre. Ce film est aussi le premier Disney a utilisé des effets spéciaux numériques. Je trouve que ce film mériterait plus d'éloges et on vit à une époque où les films d'animations ne sont plus que pour les enfants, peut-être donc que Taram et le Chaudron mérite un peu plus de ce qu'il a reçu il y a 32 ans.


J'aurais très bien pu vous citer Toy Story, Mulan, Pocahantas ou encore Aladdin mais ce sont un peu les films d'animation basiques. L'article, de base, devait être composé de huit films mais je me suis rendu compte que ça faisait beaucoup à lire pour un seul article, ce qui veut dire qu'il y aura une deuxième partie, probablement publié après ma longue semaine de vacances. En effet, je pars du vendredi 11 août jusqu'au mardi 22, et je n'aurais pas de wi-fi là-bas, donc il n'y aura pas d'article pendant cette période-là. Sur ces derniers mots, j'espère que l'article vous aura permis de retomber un peu en enfance car la nostalgie, ça fait du bien parfois.




Les films d'animation de mon enfance, première partie.

Films animation enfance

L'enfance rime souvent avec dessins animés ou plus précisément ici avec les films d'animations. Je partage donc aujourd’hui une partie de mon enfance en vous proposant une sélection de films d'animations que je pouvais regarder des dizaines de fois sans me lasser - et tous ne sont pas des Disney. Je suis assez nostalgique de ces films, je fait partie de cette catégorie de personne qui préfère l'animation traditionnelle (dessins faits à la main) et en 2D plutôt que l'animation 3D, bien que je ne dénigre pas cette dernière, bien évidemment.  C'est parti pour cette sélection de quatre films qui ont bercés mon enfance.



Hercule de John Musker et Ron Clements (1997)
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d'Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l'Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, apres avoir eliminé le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule. — Allociné

Je me demande bien si mon intérêt pour la mythologie grecque est venu de ce film. Je n'ai jamais eu ce film d'animation en VHS mais il était possible à l'ancien boulot de ma mère d'emprunter des VHS et à chaque fois, je lui demandais de me prendre Hercule. Les chansons sont cools et entraînantes et même si ce n'est pas forcement très authentique par rapport au mythe d'Hercules et que beaucoup de libertés ont été prises (Vu que le film se passe durant la période de la Grèce Antique, Hercule aurait dû s'appeler Héraclès, Hercule étant le nom latin du héros), ça permet quand même d'apprendre les notions de bases tout en passant un bon moment. Hercule est un film d'animation qui respire la joie, les chansons sont entraînante et les personnages sont drôles, de quoi passer un moment très sympathique devant. D'ailleurs, une série a vu le jour, diffusé entre 1998 et 1999, servant de préquelle à la deuxième partie film où Hercule est adolescent et encore en entrainement pour devenir un héros.


Anastasia de Don Bluth et Gary Goldman (1997)
Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie... — Allociné

Souvent pris pour un Disney et bien que Don Bluth ait travailé pour Disney avant de quitter le navire au début des années 80, Anastasia est une production des studios Fox Animation Studios. Plutôt habituée à l'époque aux films d’animation Disney, Anastasia avait cette particularité de sortir du lot avec son contexte historique, bien que cette théorie comme quoi Anastasia Romanov ait survécu à l’assassinat de la famille impériale russe ait été réfutée. Il a tout de même cette touche de magie qui avait su me transporter et aussi les chansons que je ne me lassais pas de chanter, la chanson Voyage dans le temps étant ma préférée.  Le personnage d’Anya est juste incroyable, une jeune femme forte qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui n’a pas sa langue dans sa poche, il est facile de s’attacher à elle car elle reste un personnage très authentique, avec ses qualités et ses défauts. En conclusion, Anastasia reste LE film d’animation que je préfère pour son coté historique mais aussi pour ses personnages aux nombreuses facettes.


Le Géant de Fer de Brad Bird (1999)
Quelque chose de gigantesque se profile à l’horizon. Hogarth Hugues vient tout juste de sauver un énorme robot tombé du ciel. Le jeune Hogarth a désormais un très grand ami et un problème encore plus grand : Comment garder secrète l’existence d’un géant de 15m, mangeur d’acier (avec un penchant pour les voitures de la décharge qui sont délicieuses) ? Cette mission se complique encore plus lorsqu’un agent du gouvernement un peu trop curieux arrive en ville pour chasser « l’envahisseur alien » — Allociné

Ce film d’animation, je l'avais en VHS enregistré et j'ai d'ailleurs essayé de la retrouver pour la mettre sur la photo mais impossible de la retrouver parmi la cinquantaines de K7 que ma famille a. Ce film, malgré ses excellentes critiques, a échoué au box-office à cause du manque de promotion mais ça n'a pas empêché Le Géant de Fer de tout de même devenir un classique parmi les films d'animation, obtenant ainsi le statut de film culte. Le film illustre une belle et émouvante histoire d'amitié entre Hogarth et un robot d'origine extraterrestre et comment ce petit garçon va rendre ce robot plus humain que les humains eux-même et c'est des thèmes principales du film: la nature humaine. Ce film est très émouvant mais délivre aussi des moments drôles et des scènes plus mouvementées. Au tout début du projet, le film était prévu d'être musical et bon dieu, heureusement que ça ne s'est pas fait car Le Géant de Fer n'aurait pas été ce qu'il est aujourd'hui. Pour être dans l'actualité, le personnage du Géant de Fer apparaît dans le trailer du film Ready Player One et tiendra apparemment une place importance dans le film.


Taram et le Chaudron Magique de Ted Berman et Richard Rich (1985).
Au pays enchanté de Prydain. Taram, un valet de ferme, rêve d'exploits. Son maître, le vieux mage Dalben, lui confie une mission périlleuse : empêcher le seigneur des Ténèbres de s'approprier un mystérieux chaudron noir qui donne le pouvoir absolu. Seul le petit cochon Tirlir, qui prédit l'avenir, peut lui révéler son emplacement. Mais Tirlir est enlevé par le seigneur des Ténèbres. Taram part le délivrer. — Programme-tv.net

Le petit mouton noir de Disney. Renié par ses créateurs, Taram et le Chaudron Magique reste tout de même très apprécié. Pourtant sorti 10 ans avant ma naissance, ce film fait partie intégrante de mon enfance. Je ne me souviens pas avoir eu vraiment peur de ce dessin animé même si, je vous l'accorde, le Seigneur des Tenevres peut être flippant quand on est jeune.
C'est ça que je trouve excellent avec Taram et le Chaudron Magique, c'est qu'il sort des sentiers battus et il se démarque des autres Disney pour son coté fantasy et sombre mais aussi pour l’absence total de chants, ce qui pour ma part, ne me dérange absolument pas car ça ajoute cette touche d’originalité qui fait que Taram et le Chaudron Magique est unique en son genre. Ce film est aussi le premier Disney a utilisé des effets spéciaux numériques. Je trouve que ce film mériterait plus d'éloges et on vit à une époque où les films d'animations ne sont plus que pour les enfants, peut-être donc que Taram et le Chaudron mérite un peu plus de ce qu'il a reçu il y a 32 ans.


J'aurais très bien pu vous citer Toy Story, Mulan, Pocahantas ou encore Aladdin mais ce sont un peu les films d'animation basiques. L'article, de base, devait être composé de huit films mais je me suis rendu compte que ça faisait beaucoup à lire pour un seul article, ce qui veut dire qu'il y aura une deuxième partie, probablement publié après ma longue semaine de vacances. En effet, je pars du vendredi 11 août jusqu'au mardi 22, et je n'aurais pas de wi-fi là-bas, donc il n'y aura pas d'article pendant cette période-là. Sur ces derniers mots, j'espère que l'article vous aura permis de retomber un peu en enfance car la nostalgie, ça fait du bien parfois.




L'Histoire sans fin 2 et 3

L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.



L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre
 (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.


L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia
 (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.


On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.

Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.


Avez-vous ces suites ? Qu'en avez-vous pensé ?



Pourquoi les suites de L'Histoire sans Fin n'égalent pas le premier film ?

L'Histoire sans fin 2 et 3

L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.



L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre
 (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.


L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia
 (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.


On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.

Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.


Avez-vous ces suites ? Qu'en avez-vous pensé ?



Sing Street Film 2016




Il semble bien que les années 80 soit encore bel et bien présentent dans les esprits. SING STREET, réalisé par John Carney en 2016, ne manque pas de nous rappeler que les années 80, c'était de la bonne musique, des mix-tapes mais aussi des coupes de cheveux parfois douteuses. Après son fameux film New York Melody, que je n'ai pas vu mais dont j'en ai entendu beaucoup de bien, John Carney nous emmène dans son adolescence et dans son pays d'origine, l’Irlande, dans les années 80. On suit alors Conor, adolescent vivant dans une famille ravagée par le manque d'argent et par l’éventuelle séparation de ses parents. Conor est alors envoyé dans un lycée public et religieux où, dès le premier jour, il tombe sous le charme d'une apprentie mannequin, Raphina. Pour la séduire, il crée un groupe de musique avec ses nouveaux potes.



Malgré un scénario plutôt simple, reprenant les codes du teen-movie ou du coming-of-age story, Carney nous sert ici un film frais et authentique avec de jeunes acteurs qui sont au point. Conor est interprété par l'acteur Ferdia Walsh-Peelo qui fait ses débuts dans ce film (il me fait étrangement penser à l'acteur français Jérémie Duvall). Il dégage beaucoup de fraîcheur et d'innocence et au final, il est surtout très touchant. Il se cherche et évolue tout au long du film, ce qui est d'ailleurs représenté par ses nombreux changements de styles vestimentaires. Conor est aussi guidé par son frère aîné, Brendan (Jack Reynor), qui lui sert alors de guide musical, l'introduisant à plusieurs groupes de rock pour qu'il puisse s'enrichir musicalement et ainsi produire de meilleures chansons.

La magie de la musique

En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.

Les chansons chantées par le groupe sont super cools, avec un petit air délicieusement rétro très plaisant à l'oreille et qui restent très vite en tête bien qu'elles sonnent un peu trop bien pour un groupe de lycéens. Le film est  également rythmé par des chansons des années 80 tels que Waiting For A Train de Flash And The Pan ou encore In Between Days de The Cure.

Il y a malheureusement quelques anachronismes dans le film qui feront tiqués les aficionados de la pop culture des années 80, notamment par rapport à Retour vers le Futur, qui est mentionnée plusieurs fois dans le film. En effet, l'intrigue du film se passe au début de l'année 1985 et Retour vers le Futur est seulement sorti en décembre 85 en Irlande. Cependant, ça ne reste qu'un détail qui n'est pas vraiment dérangeant en soit.

Sing Street 2016

Un film sur la famille et les amis

SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.

Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.


INSTANT CINOCHE • Sing Street de John Carney (2016).

Sing Street Film 2016




Il semble bien que les années 80 soit encore bel et bien présentent dans les esprits. SING STREET, réalisé par John Carney en 2016, ne manque pas de nous rappeler que les années 80, c'était de la bonne musique, des mix-tapes mais aussi des coupes de cheveux parfois douteuses. Après son fameux film New York Melody, que je n'ai pas vu mais dont j'en ai entendu beaucoup de bien, John Carney nous emmène dans son adolescence et dans son pays d'origine, l’Irlande, dans les années 80. On suit alors Conor, adolescent vivant dans une famille ravagée par le manque d'argent et par l’éventuelle séparation de ses parents. Conor est alors envoyé dans un lycée public et religieux où, dès le premier jour, il tombe sous le charme d'une apprentie mannequin, Raphina. Pour la séduire, il crée un groupe de musique avec ses nouveaux potes.



Malgré un scénario plutôt simple, reprenant les codes du teen-movie ou du coming-of-age story, Carney nous sert ici un film frais et authentique avec de jeunes acteurs qui sont au point. Conor est interprété par l'acteur Ferdia Walsh-Peelo qui fait ses débuts dans ce film (il me fait étrangement penser à l'acteur français Jérémie Duvall). Il dégage beaucoup de fraîcheur et d'innocence et au final, il est surtout très touchant. Il se cherche et évolue tout au long du film, ce qui est d'ailleurs représenté par ses nombreux changements de styles vestimentaires. Conor est aussi guidé par son frère aîné, Brendan (Jack Reynor), qui lui sert alors de guide musical, l'introduisant à plusieurs groupes de rock pour qu'il puisse s'enrichir musicalement et ainsi produire de meilleures chansons.

La magie de la musique

En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.

Les chansons chantées par le groupe sont super cools, avec un petit air délicieusement rétro très plaisant à l'oreille et qui restent très vite en tête bien qu'elles sonnent un peu trop bien pour un groupe de lycéens. Le film est  également rythmé par des chansons des années 80 tels que Waiting For A Train de Flash And The Pan ou encore In Between Days de The Cure.

Il y a malheureusement quelques anachronismes dans le film qui feront tiqués les aficionados de la pop culture des années 80, notamment par rapport à Retour vers le Futur, qui est mentionnée plusieurs fois dans le film. En effet, l'intrigue du film se passe au début de l'année 1985 et Retour vers le Futur est seulement sorti en décembre 85 en Irlande. Cependant, ça ne reste qu'un détail qui n'est pas vraiment dérangeant en soit.

Sing Street 2016

Un film sur la famille et les amis

SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.

Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.





Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


INSTANT CINOCHE • Turbo Kid (2015).




Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.



INSTANT CINOCHE • FANBOYS de Kyle Newman (2009).

Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.



Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.




MOVIE BATTLE • Qui est le meilleur Peter Pan?

Acteurs qui ont interprété Peter Pan


Depuis le temps que cette idée me trotte dans la tête, il est temps que je vous explique. J'adore le personnage de Peter Pan et je me suis rendu compte que j'avais vu beaucoup d’interprétations de ce personnage dans des films ou séries et que chaque acteur avait une interprétation bien différente de ce personnage mythique. J'ai donc sélectionné quatre Peter Pan que je vais décrire et analyser et à la fin, je vous dirais quel Peter Pan est, selon moi, le plus représentatif du personnage inventé par J. M. Barrie, mais aussi celui que je préfère.

Robin Williams dans Hook (1991)

Robin Williams dans Hook


Le long-métrage de Spielberg offre une version intéressante et originale de Peter Pan. Ici, le personnage est une version opposée à celle imaginé par Barrie, car Peter a fait la chose qu’il craignait le plus : grandir. En effet, dans cette version, Peter a décidé de quitter le Pays Imaginaire par amour pour Moira, la petite-fille de Wendy. Il a donc fini par grandir et devenir adulte. Cependant, Peter a tout oublié de ses aventures et ne sait plus qu'il a été Peter Pan. Désormais Peter Banning, Peter est un quarantenaire absorbé par son travail et qui n'a plus de temps à consacrer à sa famille. Il est confronté à son passé oublié lorsque Jack et Maggie, ses enfants, sont capturés par le Capitaine Crochet. C'est assez dur de juger la performance de Robin Williams, car d’un, il était un excellent acteur, mais surtout car il interprète un Peter Pan adulte. Du jamais vu qui n'a d'ailleurs jamais été reproduit depuis Hook. L’acteur réussit tout de même à interpréter ce personnage adulte de manière convaincante. Peter va s’entraîner pour retrouver son Peter Pan intérieur. Pendant un court instant du film, Peter va même jusqu’à redevenir le Peter Pan qu'il était, avec sa joie et son insouciance d’enfant. Il retrouve cependant vite ses esprits et se souvient pourquoi il est retourné au Pays Imaginaire. En somme, c’est un Peter Pan bien différent de la version originale. Cependant, c’est une version chéri par beaucoup grace à la performance de Robin Williams.

Jeremy Sumpter dans Peter Pan (2003)

Jeremy Sumpter dans Peter Pan


Le Peter Pan incarné par Jeremy Sumpter reste encore une version édulcorée du personnage, mais c’est celui qui arrive à capter le mieux l’énergie du personnage du roman. En effet, dans le film, Peter Pan est pratiquement en tout point identique au Peter Pan de Barrie excepté une chose : Peter est capable de sentiments. Et c'est un grand changement concernant ce personnage. Ceci est sûrement dû au fait de vouloir introduire une histoire d'amour naissante entre Peter et Wendy. Mis à part cela, on retrouve la facette plus au moins égoïste et insouciante de Peter, notamment quand il oublie les frères de Wendy, alors capturés par le Capitaine Crochet. Dans le long-métrage de P.J Hogan, on se concentre davantage sur les émotions et les sentiments de Peter Pan et surtout les sentiments qu’il ressent pour Wendy. La peur de grandir peut donc être ici caractérisée par la peur d’aimer. On fait alors face à un Peter Pan qui découvre le sentiment amoureuxPeter Pan montre un aspect différent de la personnalité du personnage original, sans pour autant le dénaturer totalement. 

Charlie Rowe dans Neverland (2011)

Charlie Rowe dans Neverland

Charlie Rowe, c'est un peu le Peter Pan inconnu au bataillon. La mini-série Neverland est une sorte de préquel réinventé où Peter est un orphelin qui vit dans le Londres, au début du 20e siècle. Il est alors le chef d'une petite bande de voleurs dirigée par Jimmy (alias James Hook). Lors d'un vol, ils découvrent une sphère mystérieuse que James fait tomber et qui fait disparaître James et la bande, à l'exception de Peter. Peu de temps après, Peter frappe la sphère pour les rejoindre et se retrouve dans un mystérieux endroit que les natifs autochtones appellent Neverland. Ici, on a une interprétation intéressante de Peter Pan. Peter est d’abord humain pour ensuite devenir une créature magique, ramené d’entre les morts grâce à la poussière de fées. Neverland offre donc une nouvelle genèse au personnage de Peter Pan. La mini-série semble tout de même faire un mélange entre deux œuvres, celle de Barrie, mais également l’œuvre de Charles Dickens, Oliver Twist. En effet, de nombreux éléments dans la série font rappeler l’histoire d'Oliver Twist, avec le gang de pickpockets et James, qui semble être un mélange entre Fagin et Sikes. On s'éloigne du coup de l'œuvre de Barrie, mais la mini-série britannique reste tout de même un bon divertissement avec une interprétation intéressante de Peter avant qu'il ne devienne le personnage mythique qu'on connaît tous.

(Fun fact : Bob Hoskins, qui interprète le rôle de Mouche dans Hook, reprend le même rôle dans la mini-série)

Robbie Kay dans Once Upon A Time - Saison 3 (2013)

Robbie Kay dans Once Upon A Time


Dans la série Once Upon a Time, la plupart des contes sont revisités. Ici, Peter Pan n'y échappe pas et devient un villain (c’est à dire un méchant). Dans Once Upon a Time, le personnage de Peter Pan voit sa backstory complètement changé. Dans la série, Peter Pan se révèle être le père de Rumplestiltskin qui a abandonné son fils pour retrouver sa jeunesse. Bien différent du personnage créé par J.M. Barrie, l'interprétation de Robbie Kay reste tout de même intéressante, car elle reflète une partie de la personnalité du personnage de Pan. En effet, dans le roman de J. M. Barrie, contrairement à ce que la majorité pense, Peter Pan est loin d'être un garçon gentil. C'est un être égocentrique, égoïste et est même soupçonné de tuer sans pitié les Enfants Perdus quand ils sont trop nombreux à son goût. Peter est sans cœur et ne ressent aucun sentiment profond. Par conséquent, la version interprétée par Robbie Kay colle parfaitement à cet aspect sombre du personnage. Un Peter Pan en tant que villain n'est donc pas dénué de tout sens.

Le verdict final 

J'ai longtemps hésité entre deux interprétations : le Peter Pan joué par Jeremy Sumpter et le Peter Pan joué par Robbie Kay. Selon moi, le mélange des deux interprétations ferait un excellent Peter Pan, mais je garde une préférence pour Jeremy Sumpter, car en plus d'être un Peter Pan qui colle plutôt bien au personnage original, le film lui-même suit vraiment de très près la trame du livre. En effet, j'aime quand une adaptation cinématographique respecte l'œuvre originale (tout en y ajoutant une touche personnelle). Cela permet de conserver une certaine authenticité.






THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


INSTANT CINOCHE • The Spectacular Now (2013).



THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par  James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.



THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice. 

It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.

La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.


Halloween Movies

Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !




Hocus PocusRéalisé par Kenny Ortega en 1993.
Hocus Pocus
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.

Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90. 



Coraline - Réalisé par Henry Selick en 2009.
Coraline


L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...

Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique! 



Beetlejuice - Réalisé par Tim Burton en 1988.
Beetlejuice


L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.

Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!



Taram et le chaudron magiqueRéalisé par Ted Berman et Richard Rich en 1985.





L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.

Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.



S.O.S Fantômes - Réalisé par en Ivan Reitman en 1984 (en 1989 pour le II).
SOS Fantômes - Ghostbusters



L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.

Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.



L'étrange pouvoir de Norman - Réalisé par Sam Fell et Chris Butler en 2012.
L'étrange pouvoir de Norman - Paranorman



L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit  Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.

Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!


Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:



HalloweentownHalloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.




Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là ! 





INSTANT CINOCHE • Halloween Movies.

Halloween Movies

Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !




Hocus PocusRéalisé par Kenny Ortega en 1993.
Hocus Pocus
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.

Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90. 



Coraline - Réalisé par Henry Selick en 2009.
Coraline


L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...

Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique! 



Beetlejuice - Réalisé par Tim Burton en 1988.
Beetlejuice


L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.

Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!



Taram et le chaudron magiqueRéalisé par Ted Berman et Richard Rich en 1985.





L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.

Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.



S.O.S Fantômes - Réalisé par en Ivan Reitman en 1984 (en 1989 pour le II).
SOS Fantômes - Ghostbusters



L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.

Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.



L'étrange pouvoir de Norman - Réalisé par Sam Fell et Chris Butler en 2012.
L'étrange pouvoir de Norman - Paranorman



L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit  Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.

Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!


Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:



HalloweentownHalloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.




Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là ! 





Hearts in Atlantis / Cœurs perdus en Atlantide (2001)

CŒURS PERDUS EN ATLANTIDE est un film réalisé par Scott Hicks en 2001, basé sur deux nouvelles du recueil du même nom écrit par Stephen King. Ici, nous n'avons pas droit à une histoire d'horreur dont nous avons l'habitude avec Stephen King, mais plutôt, une "ode" à l'enfance mais également à la fin de celle-ci: la perte de l’innocence. Cœurs perdus en Atlantide raconte l'histoire de Robert Garfield dit Bobby (interprété par David Morse) qui, lors de l'enterrement de Sully, son meilleur ami d'enfance, apprend la mort de Carole (interprétée par Mika Boreem), son amoureuse de l'époque. Il va alors se remémorer l'été de ses onze ans. En 1960, le jour de son onzième anniversaire, le jeune Bobby (joué par Anton Yelchin) va faire la connaissance d'un intrigant personnage, Ted Brautigan (interprété par Anthony Hopkins) qui vient tout juste d’emménager comme locataire et qui possède un pouvoir étrange. Le jeune Bobby va très vite se lier d'amitié avec lui, malgré la grande réticence de sa mère Liz. Va alors s'en suivre une émouvante et terrifiante aventure.

Ce film est pour moi un film qui faut absolument voir dans sa vie. Déjà, car c'est tiré d'une oeuvre de Stephen King et même si certains éléments ont été modifié pour rendre l'histoire plus crédible et réaliste, l'essence reste la même. La performance d'Anton Yelchin, est totalement, pour ma part, exceptionnelle. Il arrive à retransmettre les émotions de Bobby avec perfection et il a une alchimie incroyable avec tous les acteurs. Anthony Hopkins est juste parfait comme à son habitude. Son rôle de vieux bonhomme télépathe est très attachant et lui va comme un gant (incroyable quand on pense à son rôle d'Hannibal). Hope Davies est juste parfaite dans le rôle de Liz Garfield, elle arrive à nous fait haïr son personnage pour ensuite arriver à nous émouvoir, c'est qui est pour moi incroyable dans un jeu d'acteur (d'ailleurs voici une petite anecdote, Anton a joué une deuxième fois avec l'actrice Hope Davis (qui incarne la mère de Bobby) dans le film Charlie Bartlett où elle interprète encore la mère de son personnage; il avait aussi déjà joué avec Mika Boorem dans le film Le Masque de l'araignée où elle jouait aussi le love interest de son personnage).

Hearts in Atlantis / Cœurs perdus en Atlantide (2001)
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du film, la lumière et les décors. J'ai adoré la relation entre Bobby et Ted, Bobby retrouve enfin une figure paternelle et on voit au fur et à mesure du film à quel point il tient à Ted et inversement et je trouve que cette relation est d'autant plus belle et unique qu'elle est mal perçu par la mère, pour montrer alors que c'est un genre d'amitié peu commun mais aussi exceptionnel. Ce film est une explosion d'émotions, c'est simple, beau, joyeux et triste à la fois. C'est pour toutes ces qualités que Cœurs perdus en Atlantide reste un de mes films préférés et que c'est toujours un régal de le regarder.

It will be the kiss by which all others in your life will be judged... and found wanting.❞ - Ted Brautigan.


Même si ce film met principalement en scène un enfant, c'est loin d’être un film jeunesse. Le film aborde des thèmes sérieux mais qui sont justement adoucit par certaines scènes avec Bobby, Carol et Sully. Vous l'aurez compris, Cœurs perdus en Atlantide est une petite merveille de par sa simplicité mais aussi pour certains aspects qui font penser au genre littéraire du roman d’apprentissage. Et d’après ce que j'ai pu voir, ce film est assez inconnu du public donc je vous conseille grandement de voir ce film qui vous fera sourire mais aussi pleurer


INSTANT CINOCHE • Cœurs perdus en Atlantide (2001).

Hearts in Atlantis / Cœurs perdus en Atlantide (2001)

CŒURS PERDUS EN ATLANTIDE est un film réalisé par Scott Hicks en 2001, basé sur deux nouvelles du recueil du même nom écrit par Stephen King. Ici, nous n'avons pas droit à une histoire d'horreur dont nous avons l'habitude avec Stephen King, mais plutôt, une "ode" à l'enfance mais également à la fin de celle-ci: la perte de l’innocence. Cœurs perdus en Atlantide raconte l'histoire de Robert Garfield dit Bobby (interprété par David Morse) qui, lors de l'enterrement de Sully, son meilleur ami d'enfance, apprend la mort de Carole (interprétée par Mika Boreem), son amoureuse de l'époque. Il va alors se remémorer l'été de ses onze ans. En 1960, le jour de son onzième anniversaire, le jeune Bobby (joué par Anton Yelchin) va faire la connaissance d'un intrigant personnage, Ted Brautigan (interprété par Anthony Hopkins) qui vient tout juste d’emménager comme locataire et qui possède un pouvoir étrange. Le jeune Bobby va très vite se lier d'amitié avec lui, malgré la grande réticence de sa mère Liz. Va alors s'en suivre une émouvante et terrifiante aventure.

Ce film est pour moi un film qui faut absolument voir dans sa vie. Déjà, car c'est tiré d'une oeuvre de Stephen King et même si certains éléments ont été modifié pour rendre l'histoire plus crédible et réaliste, l'essence reste la même. La performance d'Anton Yelchin, est totalement, pour ma part, exceptionnelle. Il arrive à retransmettre les émotions de Bobby avec perfection et il a une alchimie incroyable avec tous les acteurs. Anthony Hopkins est juste parfait comme à son habitude. Son rôle de vieux bonhomme télépathe est très attachant et lui va comme un gant (incroyable quand on pense à son rôle d'Hannibal). Hope Davies est juste parfaite dans le rôle de Liz Garfield, elle arrive à nous fait haïr son personnage pour ensuite arriver à nous émouvoir, c'est qui est pour moi incroyable dans un jeu d'acteur (d'ailleurs voici une petite anecdote, Anton a joué une deuxième fois avec l'actrice Hope Davis (qui incarne la mère de Bobby) dans le film Charlie Bartlett où elle interprète encore la mère de son personnage; il avait aussi déjà joué avec Mika Boorem dans le film Le Masque de l'araignée où elle jouait aussi le love interest de son personnage).

Hearts in Atlantis / Cœurs perdus en Atlantide (2001)
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du film, la lumière et les décors. J'ai adoré la relation entre Bobby et Ted, Bobby retrouve enfin une figure paternelle et on voit au fur et à mesure du film à quel point il tient à Ted et inversement et je trouve que cette relation est d'autant plus belle et unique qu'elle est mal perçu par la mère, pour montrer alors que c'est un genre d'amitié peu commun mais aussi exceptionnel. Ce film est une explosion d'émotions, c'est simple, beau, joyeux et triste à la fois. C'est pour toutes ces qualités que Cœurs perdus en Atlantide reste un de mes films préférés et que c'est toujours un régal de le regarder.

It will be the kiss by which all others in your life will be judged... and found wanting.❞ - Ted Brautigan.


Même si ce film met principalement en scène un enfant, c'est loin d’être un film jeunesse. Le film aborde des thèmes sérieux mais qui sont justement adoucit par certaines scènes avec Bobby, Carol et Sully. Vous l'aurez compris, Cœurs perdus en Atlantide est une petite merveille de par sa simplicité mais aussi pour certains aspects qui font penser au genre littéraire du roman d’apprentissage. Et d’après ce que j'ai pu voir, ce film est assez inconnu du public donc je vous conseille grandement de voir ce film qui vous fera sourire mais aussi pleurer


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