L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.
CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.
Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.
Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".
Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.
Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".
BOOK REVIEW • Keeper of the Lost Cities de Shannon Messenger.
L'HISTOIRE
Keeper of the Lost Cities est un premier livre d'une série littéraire de genre fantasy écrit par Shannon Messenger. Dans ce premier tome, on découvre Sophie, une jeune adolescente de 12 ans possédant le don de télépathie. Elle vit avec ce fardeau depuis ses 5 ans et personne de son entourage n'est au courant de son pouvoir. Pendant une sortie scolaire au musée, un étrange garçon prénommé Fitz, qui se dit lui aussi doué de télépathie, annonce à Sophie qu'elle n'appartient pas au monde des humains et qu'elle est en réalité une elfe. De là, Sophie doit abandonner sa famille pour vivre auprès des autres elfes dans un monde enchantée et y suivre une éducation spéciale à l'école Foxfire. Mais tout le monde n'est pas réjoui de son arrivée et de nombreux mystères entourent l'existence de Sophie.
CE QUE J'EN AI PENSÉ
WHOA! Ce livre est tout simplement fabuleux. Si je m'y étais mise à fond dès le début, je pense que je l'aurais fini en quelques jours (j'ai mis une semaine environ pour le lire). L'action commence très vite, ce qui n'est pas pour me déplaire ici. Concernant les personnages, je les ai adoré et j'ai apprécié leurs personnalités -bien qu'un peu cliché. Sophie, le personnage principal, m'a beaucoup plus même si au début du roman, elle reste un peu trop sage à mon goût. Heureusement, au fur et à mesure que l'histoire avance, elle commence doucement à s'affirmer et commence un peu à se rebeller. Concernant les autres personnages, j'espère qu'ils auront une place plus importante dans les autres tomes. Autant le mentionner maintenant, oui, durant votre lecture, vous vous rendrez compte que ce roman ressemble à l'univers d'Harry Potter, on tend à assimiler plusieurs personnage de ce roman aux personnages d'Harry Potter mais c'est tout, l'histoire est indépendante et n'est pas une pâle copie.
Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.
Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".
Je ne vous révélerai pas l’intrigue car je ne veux pas vous spoiler mais je vous mentirais si je vous disais que ce premier tome est rempli d'Action car c'est faux mais avec ses intrigues, l'histoire nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. L'ensemble du bouquin est assez tranquille mais c'est sûrement pour poser les bases de l'histoire et préparer à la suite. L'action se précipite plus vers la fin mais justement, ça tend à donner vraiment envie de lire le deuxième tome pour savoir ce qui va se passer par la suite pour Sophie.
Ce premier tome se lit très vite, étant donné que c'est un roman censé être destiné aux 8-12 ans selon l'éditeur. Mais je vous rassure, comme Harry Potter, cette saga semble, à mon avis, pour tous les âges, pour des personnes friandes de fantasy et d'aventures. Je ne peux que vous le conseiller et pour ceux que ne lise pas très bien l'anglais, il est disponible en français sous le titre "Gardiens des Cités Perdues".
FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.
Un teen-movie pas comme les autres
Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller
Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.
Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.
Un film qui en inspira d'autres
C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!
Alors, on regarde ou pas ?
Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !
BACK TO THE EIGHTIES • Ferris Bueller's Day Off (1986).
FERRIS BUELLER'S DAY OFF est un film américain réalisé par John Hughes en 1986. Ce film qui se déroule en une journée nous fait partager la journée trépidante de Ferris Bueller – interprété par Matthew Broderick – un adolescent populaire quoiqu'un peu arrogant et manipulateur, qui se fait passer pour malade pour ainsi s'accorder une journée off. Il va entraîner son meilleur ami Cameron, qui lui est vraiment malade au début du film et qui est plus au moins dépressif, et sa petite amie Sloane dans cette journée folle qu'il a promis serait mémorable. C'est sans compter sur le principal de son lycée Ed Rooney et de sa propre sœur Jeannie qui essayeront de le débusquer tout au long de la journée.
Un teen-movie pas comme les autres
Alors ce film, c'est pratiquement 100% de fun. Je crois que je n'ai pas autant ri en regardant un teen-movie. Malgré le coté arrogant – et voir quelque fois sociopathe si on analyse bien son caractère – de Ferris, on arrive à s'attacher à lui bien que je lui ai préféré son meilleur ami, Cameron qui par de son coté vulnérable et sensible est beaucoup plus attachant. Mais malgré ça, Matthew Broderick reste excellent dans le rôle de Ferris, il dégage beaucoup de charisme et son personnage n'a clairement peur de rien. Ce qui rend aussi Ferris accessible malgré sa façon d’être, c'est le fait qu'il brise tout au long du film le fameux quatrième mur – qui au théâtre est le mur qui sépare la scène, donc les comédiens en train de jouer et les spectateurs. Cette technique de métafiction permet donc à Ferris de s'adresser directement à nous (comme Malcom dans la série Malcom in the Middle). Cette technique rend donc Ferris plus accessible aux spectateurs.“Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in awhile, you could miss it.” – Ferris Bueller
Comme je le disais, ce film est truffé de gags - dont la séquence de la clarinette totalement improvisé par Broderick - que je vous laisse les découvrir par vous-même. La musique est fantastique dans ce film. On commence dès le début du film avec de la bonne musique qui bouge et qui prépare tout de suite l'ambiance du film et qu'on ne pas s'ennuyer une seule seconde. La musique joue même parfois un rôle à part entière dans les gags. Je reviens sur le personnage de Cameron, le meilleur ami, qui pour moi, a vraiment droit à une évolution durant le film. Peureux et dépressif au début, cette journée délurée que Ferris lui a offerte – ou plutôt imposé – a permis à cet adolescent, qui se sent mal-aimé par ses parents, de s'affirmer. Il y a tellement d'émotions dans ce personnage – contrairement au personnage de Ferris – notamment la scène du musée et celle de fin dans la garage qui sont à couper le souffle. Alan Ruck livre donc ici une excellente performance! Quand au personnage de Sloane, pour être honnête, elle n'aurait pas été là que cela n'aurait rien changé au film. En effet, son rôle est de seulement servir de love interest au personnage principal.
Le seul point "négatif" qui en fait n'est pas dérangeant car on ne le remarque pas vraiment est l'âge des acteurs. Je déteste quand des acteurs adultes jouent le rôle d'adolescents car OUI, au moment du tournage Matthew Broderick avait 23 ans, Jennifer Grey qui joue le rôle de la sœur avait 25 ans et Alan Ruck en avait 29 ! Mais je ne sais pas si c'est l'époque qui veut ça mais malgré leur âge, ils restent crédibles.
Un film qui en inspira d'autres
C'est en prenant du recule qu'on voit que FERRIS BUELLER'S DAY OFF a vraiment inspiré d'autres films par la suite: je ne sais pas pour vous, mais clairement, le film Une journée à New York avec les jumelles Olsen est selon moi une version modernisé de ce film. Il y aussi la série des années 90 Parker Lewis ne perd jamais qui s'en inspire aussi énormément mais également la présence d'un petit clin d’œil dans le film Easy A avec Emma Stone. Bref, FERRIS BUELLER'S DAY OFF est le genre de film qui marque et - un peu comme tout les teen-movies des années 80 – et qui a su rester culte depuis 30 ans. D'ailleurs, ce qui reste vraiment culte et inoubliable est la scène de la parade, mythique je vous dis – vous me direz, il y aussi la scène de la douche!
Alors, on regarde ou pas ?
Pour finir, si vous voulez être mort de rire devant votre écran et voir un film mythique qui, selon moi, il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie, je vous invite à regarder ce film. Et il faut se l'avouer, on aimerait tous vivre une journée comme celle de Ferris au moins une fois dans sa vie et en plus, malgré le coté très fun du film, il nous livre quelques citations à méditer !
THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.
THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice.
❝It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.❞
La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.
INSTANT CINOCHE • The Spectacular Now (2013).
THE SPECTACULAR NOW est un film américain réalisé par James Ponsoldt en 2013 et est une adaptation du livre du même nom écrit par Tim Tharp. Ce film suit l'histoire de Sutter Keely, un lycéen de 18 ans un peu trop porté sur l'alcool et les fêtes et qui qui vit selon sa propre philosophie de vie: vivre l'instant présent sans penser au lendemain. Élève populaire, il a une petite amie parfaite, Cassidy, jusqu'au jour où elle le quitte. Un matin, alors qu'il a trop bu et a ainsi atterri dans un jardin, il fait la rencontre de la timide Aimee Finicky. Aimee est l'opposée de Sutter: timide et ayant peu de confiance en soi, pourtant, une belle histoire d'amour va commencer entre eux mais tout cela sera mis à rude épreuves à cause des problèmes de Sutter.
Ce film est un vrai bijou. James Ponsoldt a fait de l'excellent travail. Je n'ai rien vu de telle concernant une histoire d'amour entre deux lycéen. Tout est fait avec réalisme et avec fraîcheur. Les deux acteurs principaux, Miles Teller et Shailene Woodley ont une alchimie incroyable. Le personnage de Sutter est magnifique et très intéressent voire complexe. Sutter est un jeune homme qui a mal vécu le départ de son père et ça l'a marqué sans qu'il s'en rende vraiment compte. En échec scolaire, il ne pense qu'a faire la fête et être avec sa petite amie. Il ne pense pas à son avenir. Quand il rencontre Aimee, elle n'est au début qu'un rebound, un moyen de ne pas être seul depuis que Cassidy l'a quitté. Pourtant, il va apprendre à connaitre Aimee, une jeune femme timide et naturelle, qui ne se maquille pas et qui adore la science-fiction. Autant dire qu'elle dénote face à l'extravagance de Sutter pourtant, une alchimie se créer entre eux et Sutter finit par tomber amoureux d'elle bien qu'il ait dû mal à se détacher de Cassidy. Il va aider Aimee à s'affirmer, à être plus sûre d'elle même, mais va aussi par la même occasion l'initier à l'alcool.
THE SPECTACULAR NOW est beau car il sort des sentiers battus que peut habituellement nous offrir une comédie dramatique/romantique entre deux adolescents. On n'a pas de clichés ou très peu. Une scène qui m'a interpellé est la scène où Sutter et Aimee font l'amour pour la première fois. La scène est juste parfaite car, dans ce genre de films, on dirait que les adolescents sont des pros du sexe alors qu'ici, c'est mignon, maladroit et filmé avec beaucoup de réalisme et j'applaudi la performance des deux acteurs. C'est le premier film avec Miles Teller que j'ai vu et je l'ai adoré, il est juste incroyable et pareil pour Shailene Woodley, que je ne trouvais pas tellement convaincante dans la série The Secret Life of An American Teenager mais depuis THE SPECTACULAR NOW, on peut vraiment voir à quel point elle est une excellente actrice.
❝It's fine to just live in the now but the best part about now is there's another one tomorrow and i'm gonna start making them count. Sincerely, Sutter Kelly.❞
La fin du film est vraiment bien sans trop tombé dans la guimauve, Sutter réalise que ce sont ses peurs, ses craintes mais surtout lui-même qui l'ont empêché d'avancer. Il prend conscience de ses erreurs et décide enfin de grandir et d'aller de l'avant. THE SPECTACULAR NOW nous offre une jolie histoire d'amour mais surtout une belle leçon de vie. En plus de ça, la B.O du film est juste sublime, un grand bravo au compositeur Rob Simonsen qui a fait de l'excellent travail.
Last Action Hero est un film américain réalisé par John McTiernan en 1993. Le héros de l'histoire est un jeune adolescent cinéphile, Danny Mannigan, qui est fan d'une série de films d'action, Jack Slater, mettant en scène l'acteur Arnold Schwarzenegger. Un soir, la veille de l'avant-première mondiale de Jack Slater IV, Nick, le gérant du cinéma, donne à Danny un ticket d'or magique que le grand magicien Harry Houdini lui avait offert. Le film commence mais quelques minutes plus tard, Danny se retrouve comme par magie dans le film, dans la voiture de Jack Slater. Grace à Danny qui a vu les premières minutes du film, il va aider Jack Slater à résoudre le meurtre de son cousin.
Franchement, qui n'a jamais rêver de pouvoir entrer dans un film et de vivre des aventures avec nos héros préférés ?! Je plaide coupable car même maintenant, il m'arrive d'imaginer ça. Ce film mélange parfaitement le genre de la comédie et de l'action et Arnold fait un travail extraordinaire dans ce film car, en effet, il fait de l'autodérision en faisant indirectement des références à tous les héros de films d'actions qu'il a pu incarner et de toutes ses fameuses répliques – notamment le fameux I'll be back. J'aime beaucoup aussi le personnage de Danny incarné par Austin O'Brien, c'est un adolescent lambda qui préfère regarder des films plutôt que d'aller en cours. Il apporte le coté frais et jeune du film. C'est son personnage qui rend le personnage de Schwarzenegger plus humain alors qu'il n'était au début qu'un personnage de film qui suivait le script. Austin O'Brien et Arnold Schwarzenegger forme un duo atypique mais qui fonctionne, qui n'est pas sans rapeller le duo que Schwarzenegger incarnait avec Edward Furlong dans Terminator 2, sorti un an auparavant.
❝Well I'm sorry to disappoint you but you're gonna live to enjoy all the glorious fruits life has got to offer - acne, shaving, premature ejaculation... and your first divorce.❞ - Jack Slater
Un des passages les plus intéressant dans le film est le moment où Jack Slater se rend avec Danny dans le vrai monde. Il va être désorienté et va en quelque sorte perdre son identité: il sait désormais qu'il n'est qu'un personnage de film et en entrant dans le monde réel, il perd tous les avantages que les films d'action pouvaient lui procurer. En effet, il ressent maintenant la douleur, ceci pour montrer le coté irréaliste des films d'action où le héro saute de cinq mètres et s'en sort miraculeusement indemne. Le plus dur pour Jack sera quand il sera confronté à son vrai lui, c'est-à-dire l'acteur Arnold Schwarzenegger. On a donc cette dimension intéressante de l'acteur Arnold Schwarzenegger qui joue son propre rôle dans le film – de manière drôle et auto-dérisoire – mais aussi celui de Jack Slater. Je ne comprends pas pourquoi ce film n'a pas reçu de bonnes critiques à sa sortie car on ne s'ennuie pas quand on regarde ce film, on s'attache aux personnages et c'est agréable de voir Schwarzenegger dans un rôle comique et je trouve qu'il est vraiment bon dans ce genre de rôle comme dans La Course au Jouet ou Un flic à la maternelle.
Alors, on regarde ou pas ?
Alors, on regarde ou pas ?
Last Action Hero est un film culte qui parodie avec excellente et avec humour les blockbusters d'action et en ce qui me concerne, je ne me lasse jamais de le regarder donc je ne peux que vous le conseiller.
J'espère que ce premier article Back to the Nineties vous aura plu !
BACK TO THE NINETIES • Last Action Hero (1993).
Last Action Hero est un film américain réalisé par John McTiernan en 1993. Le héros de l'histoire est un jeune adolescent cinéphile, Danny Mannigan, qui est fan d'une série de films d'action, Jack Slater, mettant en scène l'acteur Arnold Schwarzenegger. Un soir, la veille de l'avant-première mondiale de Jack Slater IV, Nick, le gérant du cinéma, donne à Danny un ticket d'or magique que le grand magicien Harry Houdini lui avait offert. Le film commence mais quelques minutes plus tard, Danny se retrouve comme par magie dans le film, dans la voiture de Jack Slater. Grace à Danny qui a vu les premières minutes du film, il va aider Jack Slater à résoudre le meurtre de son cousin.
Franchement, qui n'a jamais rêver de pouvoir entrer dans un film et de vivre des aventures avec nos héros préférés ?! Je plaide coupable car même maintenant, il m'arrive d'imaginer ça. Ce film mélange parfaitement le genre de la comédie et de l'action et Arnold fait un travail extraordinaire dans ce film car, en effet, il fait de l'autodérision en faisant indirectement des références à tous les héros de films d'actions qu'il a pu incarner et de toutes ses fameuses répliques – notamment le fameux I'll be back. J'aime beaucoup aussi le personnage de Danny incarné par Austin O'Brien, c'est un adolescent lambda qui préfère regarder des films plutôt que d'aller en cours. Il apporte le coté frais et jeune du film. C'est son personnage qui rend le personnage de Schwarzenegger plus humain alors qu'il n'était au début qu'un personnage de film qui suivait le script. Austin O'Brien et Arnold Schwarzenegger forme un duo atypique mais qui fonctionne, qui n'est pas sans rapeller le duo que Schwarzenegger incarnait avec Edward Furlong dans Terminator 2, sorti un an auparavant.
❝Well I'm sorry to disappoint you but you're gonna live to enjoy all the glorious fruits life has got to offer - acne, shaving, premature ejaculation... and your first divorce.❞ - Jack Slater
Un des passages les plus intéressant dans le film est le moment où Jack Slater se rend avec Danny dans le vrai monde. Il va être désorienté et va en quelque sorte perdre son identité: il sait désormais qu'il n'est qu'un personnage de film et en entrant dans le monde réel, il perd tous les avantages que les films d'action pouvaient lui procurer. En effet, il ressent maintenant la douleur, ceci pour montrer le coté irréaliste des films d'action où le héro saute de cinq mètres et s'en sort miraculeusement indemne. Le plus dur pour Jack sera quand il sera confronté à son vrai lui, c'est-à-dire l'acteur Arnold Schwarzenegger. On a donc cette dimension intéressante de l'acteur Arnold Schwarzenegger qui joue son propre rôle dans le film – de manière drôle et auto-dérisoire – mais aussi celui de Jack Slater. Je ne comprends pas pourquoi ce film n'a pas reçu de bonnes critiques à sa sortie car on ne s'ennuie pas quand on regarde ce film, on s'attache aux personnages et c'est agréable de voir Schwarzenegger dans un rôle comique et je trouve qu'il est vraiment bon dans ce genre de rôle comme dans La Course au Jouet ou Un flic à la maternelle.
Alors, on regarde ou pas ?
Alors, on regarde ou pas ?
Last Action Hero est un film culte qui parodie avec excellente et avec humour les blockbusters d'action et en ce qui me concerne, je ne me lasse jamais de le regarder donc je ne peux que vous le conseiller.
J'espère que ce premier article Back to the Nineties vous aura plu !
Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.
Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.
Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.
Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.
Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?
PAUSE CAFÉ • Regarder en VF, la honte ?
Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.
Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.
Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.
Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.
Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?
Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.
Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90.
L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...
Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique!
L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.
Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.
L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.
Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.
L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.
Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!
Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:
Halloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.
Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là !
INSTANT CINOCHE • Halloween Movies.
Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.
Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90.
L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...
Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique!
L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.
Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.
L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.
Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.
L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.
Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!
Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:
Halloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.
Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là !
L'HISTOIRE SANS FIN (The Neverending Story) est un film germano-américian réalisé par Wolfgang Petersen en 1984. Adaptation du livre éponyme écrit par Micheal Ende en 1979, on va suivre l'histoire de Bastien, un jeune garçon d'une dizaine d'années qui n'a pas d'amis et qui est très solitaire , de plus, sa mère est morte récemment et il a du mal à communiquer avec son père, trop absorbé par son travail. Alors qu'il est sur le chemin de l'école, il se fait attaquer par une bande de jeunes qui veulent le racketter et finissent par le balancer dans une poubelle (oui oui), il en sort pour retomber nez à nez avec eux. Il se réfugie alors dans une librairie où il rencontre pour la première fois l'homme atypique qu'est Mr Koreander. Le libraire est en train de lire un étrange livre qui attire l’œil de Bastien. Contre toute attente, il dérobe le bouquin. Etant trop en retard pour aller en salle de classe, Bastien se réfugie dans le grenier de son école pour commencer la lecture de ce livre intriguant et va découvrir un monde magique: Fantasia. Mais ce monde est en danger et risque de disparaître à tout jamais à cause du Néant qui est en train de tout engloutir sur son passage. Bastien ne sait pas encore qu'il est sur le point de vivre une incroyable aventure!
L'Histoire sans Fin ou quand la lecture et la magie sont au cœur de l'aventure
Ce film est un classique des années 80. Il a fait rêver des tas d'enfants et à l'heure d'aujourd'hui, me fait toujours rêver: et si l'histoire d'un livre était réelle et était vraiment en train se de dérouler au moment où on la lit ? C'est ça l'intrigue de L'Histoire sans Fin. Bastien est un personnage ordinaire/cliché: orphelin d'une mère, son père ne lui prête pas beaucoup d'attention, il n'a pas d'amis donc il se réfugie dans les romans d'aventures. L'acteur qui interprète Bastien, Barrett Oliver, a une bouille attachante et quand j'étais enfant, il était facile de s'identifier à lui. J'adore ce premier film car tout au long du film, on pense que l'histoire est tel qu'elle est et que ce qui est montré parvient alors de l'imagination de Bastien mais au fur et à mesure que l'histoire est racontée, des indices apparaissent qui laisseraient penser que Bastien aurait un rôle important à jouer dans le sauvetage de Fantasia. Quant au personnage d'Atreyu, c'est le héros type mais il aurait pu être plus exploité, il est censé être un guerrier glorieux alors qu'il n'est qu'un enfant et moi justement, j'ai plus vu le coté enfant que le coté guerrier mais à part ça, ça reste un bon personnage.
En fait, ce film apporte un très beau message et j'ai beaucoup aimé l'interprétation donnée au Néant qui détruit Fantasia et à Fantasia elle-même. L'HISTOIRE SANS FIN est un film qui donne envie de se plonger dans des livres à longueur de journée. C'est plutôt dommage que ce film ait assez mal vieilli, les décors font un peu kitsch aujourd'hui, mais à l'époque, ils ont tout de même réussi à me faire rêver étant enfant et ont rendu toute la fantasy du film très agréable - par contre, les effets spéciaux ont vraiment très mal vieilli. Le thème musical aussi joue beaucoup dans ce film, la musique donne une atmosphère assez intrigante et me fait un peu pensé à celle qu'il y a dans les Goonies.
On pourrait croire que toute la magie du film marche mieux quand on lit le livre dont est tiré le film car quand on lit L'Histoire sans fin écrit par Michael Ende et qu'on imagine l'histoire, les personnages et les lieux, l'histoire elle-même raconte l'histoire d'un garçon qui lit un livre qui s'appelle L'Histoire sans fin, du coup, on devient en quelque sorte Bastien qui lui même devient Atreyu. Pourtant, le réalisateur à réussi à provoquer cette même sensation magique à la fin de film quand l'Impératrice s’adresse à Atreyu et lui apprend l'existence de Bastien et que ce dernier à suivi ses aventures, elle rajoute en disant que Bastien lui-même n'a jamais été seul durant tout le long de sa lecture et en s’adressant à la caméra, on comprends que c'est à nous qu'elle fait référence, c'est l'audience qui a tenu compagnie à Bastien, on devient alors une personne à part entière et importante du film – cette scène me donne des frissons à chaque fois. La fin est signe de renouveau, Bastien, grâce a son imagination, redonne vie à Fantasia – symbolique lié à l'Auryn, le symbole sur le livre et le talisman de l'Impératrice qui représente l' Ouroboros qui symbolise un cycle d'évolution et de renouveau éternel.
Alors, on regarde ou pas ?
Les avis pour ce film restent mitigés et il n'a pas vraiment marché aux USA, pourtant ça reste un excellent film des années 80 qui véhicule un message important sur le pouvoir de l'imagination et en autre le pouvoir de surmonter le deuil. C'est un film que j'apprécie beaucoup car il fait parti intégrante de mon enfance et quand je le regardais, j'enviais à chaque fois Bastien d'avoir en sa possession un livre aussi merveilleux. Une petite chose à déplorer pour ce film, qui n'est pas vraiment en rapport avec le film en lui même, mais c'est la VF, la synchronisation est juste catastrophique. Pour conclure, L'HISTOIRE SANS FIN, c'est un film qui permet d'échapper à la réalité et d'accéder à un monde merveilleux basé sur le pouvoir de l'imagination et des rêves de chacun de nous.BACK TO THE EIGHTIES • L'Histoire sans fin (1984).
L'HISTOIRE SANS FIN (The Neverending Story) est un film germano-américian réalisé par Wolfgang Petersen en 1984. Adaptation du livre éponyme écrit par Micheal Ende en 1979, on va suivre l'histoire de Bastien, un jeune garçon d'une dizaine d'années qui n'a pas d'amis et qui est très solitaire , de plus, sa mère est morte récemment et il a du mal à communiquer avec son père, trop absorbé par son travail. Alors qu'il est sur le chemin de l'école, il se fait attaquer par une bande de jeunes qui veulent le racketter et finissent par le balancer dans une poubelle (oui oui), il en sort pour retomber nez à nez avec eux. Il se réfugie alors dans une librairie où il rencontre pour la première fois l'homme atypique qu'est Mr Koreander. Le libraire est en train de lire un étrange livre qui attire l’œil de Bastien. Contre toute attente, il dérobe le bouquin. Etant trop en retard pour aller en salle de classe, Bastien se réfugie dans le grenier de son école pour commencer la lecture de ce livre intriguant et va découvrir un monde magique: Fantasia. Mais ce monde est en danger et risque de disparaître à tout jamais à cause du Néant qui est en train de tout engloutir sur son passage. Bastien ne sait pas encore qu'il est sur le point de vivre une incroyable aventure!
L'Histoire sans Fin ou quand la lecture et la magie sont au cœur de l'aventure
Ce film est un classique des années 80. Il a fait rêver des tas d'enfants et à l'heure d'aujourd'hui, me fait toujours rêver: et si l'histoire d'un livre était réelle et était vraiment en train se de dérouler au moment où on la lit ? C'est ça l'intrigue de L'Histoire sans Fin. Bastien est un personnage ordinaire/cliché: orphelin d'une mère, son père ne lui prête pas beaucoup d'attention, il n'a pas d'amis donc il se réfugie dans les romans d'aventures. L'acteur qui interprète Bastien, Barrett Oliver, a une bouille attachante et quand j'étais enfant, il était facile de s'identifier à lui. J'adore ce premier film car tout au long du film, on pense que l'histoire est tel qu'elle est et que ce qui est montré parvient alors de l'imagination de Bastien mais au fur et à mesure que l'histoire est racontée, des indices apparaissent qui laisseraient penser que Bastien aurait un rôle important à jouer dans le sauvetage de Fantasia. Quant au personnage d'Atreyu, c'est le héros type mais il aurait pu être plus exploité, il est censé être un guerrier glorieux alors qu'il n'est qu'un enfant et moi justement, j'ai plus vu le coté enfant que le coté guerrier mais à part ça, ça reste un bon personnage.
En fait, ce film apporte un très beau message et j'ai beaucoup aimé l'interprétation donnée au Néant qui détruit Fantasia et à Fantasia elle-même. L'HISTOIRE SANS FIN est un film qui donne envie de se plonger dans des livres à longueur de journée. C'est plutôt dommage que ce film ait assez mal vieilli, les décors font un peu kitsch aujourd'hui, mais à l'époque, ils ont tout de même réussi à me faire rêver étant enfant et ont rendu toute la fantasy du film très agréable - par contre, les effets spéciaux ont vraiment très mal vieilli. Le thème musical aussi joue beaucoup dans ce film, la musique donne une atmosphère assez intrigante et me fait un peu pensé à celle qu'il y a dans les Goonies.
On pourrait croire que toute la magie du film marche mieux quand on lit le livre dont est tiré le film car quand on lit L'Histoire sans fin écrit par Michael Ende et qu'on imagine l'histoire, les personnages et les lieux, l'histoire elle-même raconte l'histoire d'un garçon qui lit un livre qui s'appelle L'Histoire sans fin, du coup, on devient en quelque sorte Bastien qui lui même devient Atreyu. Pourtant, le réalisateur à réussi à provoquer cette même sensation magique à la fin de film quand l'Impératrice s’adresse à Atreyu et lui apprend l'existence de Bastien et que ce dernier à suivi ses aventures, elle rajoute en disant que Bastien lui-même n'a jamais été seul durant tout le long de sa lecture et en s’adressant à la caméra, on comprends que c'est à nous qu'elle fait référence, c'est l'audience qui a tenu compagnie à Bastien, on devient alors une personne à part entière et importante du film – cette scène me donne des frissons à chaque fois. La fin est signe de renouveau, Bastien, grâce a son imagination, redonne vie à Fantasia – symbolique lié à l'Auryn, le symbole sur le livre et le talisman de l'Impératrice qui représente l' Ouroboros qui symbolise un cycle d'évolution et de renouveau éternel.
Alors, on regarde ou pas ?
Les avis pour ce film restent mitigés et il n'a pas vraiment marché aux USA, pourtant ça reste un excellent film des années 80 qui véhicule un message important sur le pouvoir de l'imagination et en autre le pouvoir de surmonter le deuil. C'est un film que j'apprécie beaucoup car il fait parti intégrante de mon enfance et quand je le regardais, j'enviais à chaque fois Bastien d'avoir en sa possession un livre aussi merveilleux. Une petite chose à déplorer pour ce film, qui n'est pas vraiment en rapport avec le film en lui même, mais c'est la VF, la synchronisation est juste catastrophique. Pour conclure, L'HISTOIRE SANS FIN, c'est un film qui permet d'échapper à la réalité et d'accéder à un monde merveilleux basé sur le pouvoir de l'imagination et des rêves de chacun de nous.THE BREAKFAST CLUB est un film réalisé par John Hughes en 1985. Ce teen-movie va suivre cinq adolescents, aux personnalités divergentes, alors qu'ils se retrouvent en retenue au lycée tout un samedi pour des raisons qui reste inconnues jusqu’à la fin du film. Le professeur qui les surveille, Mr Vernon, leur demande d'écrire une dissertation au sujet compliqué et personnel qui n'est ni plus ni moins le thème du film: Qui-pensez vous être? Contre toutes attentes, ces ados différents des uns des autres vont commencer au fil de la journée à s'apprécié et à se rendre compte qu'ils ne sont pas aussi différent qu'ils le croyaient.
The Breakfast Club et les personnages stéréotypés
THE BREAKFAST CLUB a pour personnages principaux cinq adolescents, Claire the princess - interprétée par Molly Ringwald, Andie the athlete - interprété par Emilio Estevez, Brian the brain - interprété par Anthony Michael Hall, Allison the basketcase - interprétée par Ally Sheedy - et Bender the criminal - interprété par Judd Nelson. On a donc une représentation stéréotypé sur le fameux statut social typique des ados américain présent dans les teen-movies. Pourtant, il est vite compris qu'avec ce film, John Hughes va chambouler tous ces codes. En effet, au début de leur journée (le terme anglais "journey" ici serait tellement plus approprié), les cinq ados ne se connaissent pratiquement pas et sont même réticent à l'idée de se parler dû à leur statut social différent, qui est un sujet omniprésent tout au long de THE BREAKFAST CLUB. Dès le commencement du film, on est directement confronté à ce sujet quand Claire dit au principal Vernon "I don't belong here". En effet, elle veut sans doute dire qu'elle ne devrait tout simplement pas être en retenue, mais ici, John Hughes pose clairement un des sujets principaux du film. Il y a le thème de l’identité qui est aussi très présent dans le film avec cette question de dissertation à laquelle ils doivent répondre "Qui pensez-vous être ?". La suite enchaîne encore sur plusieurs questionnements: est-ce qu'un nerd peut être amis avec un populaire, peuvent-ils avoir le même cercle d'amis ? Nous pouvons nous-même se poser la question car au début du film, les personnages ne cessent de se quereller, surtout Bender, Andie et Claire, le marginal contre les deux populaires du lycée. Brian et surtout Allison sont quant à eux, un peu en retrait par rapport à ces trois personnages. Pourtant, lorsqu'ils se querellent, on commence à apprendre des informations importantes concernant les personnages, notamment sur leur vie familiale qui, pour chacun, est loin d'être parfaite, voire même dysfonctionnelle.Le monde difficile de l'adolescence ou comment s'accepter et accepter les autres
Pour moi, le moment déclic de ce film, c'est la scène du couloir car c'est à partir de ce moment-ci que l’atmosphère entre les jeunes va commencer à se détendre petit à petit (en plus de la marijuana). On va alors remarquer qu'il y a un bad guy présent dans le film qui n'est autre que Mr Vernon, qui est dépeint de manière assez négative et représente alors l’abus de l'autorité parentale. C'est le moment crucial où, petit à petit, chacun commence à s'ouvrir aux uns et aux autres et que le film commence alors à livrer des scènes très émouvantes et pleines de vérité. Commence alors une des choses importantes que John Hugues espérait sûrement avec ce film: pouvoir s'identifier aux personnages. Ces jeunes sont clairement dans une lutte perpétuelle contre eux-même mais aussi contre les autres, notamment leurs parents. Ce sont des choses que nous connaissons et que nous avons nous-même vécu, c'est donc difficile de ne pas s'identifier à eux et surtout, de ne pas s'attacher à eux.La scène où ils sont tous assis en rond est la scène la plus émouvante et la plus bouleversante du film. Les vérités éclatent, les masques tombent, ils se disputent encore sur ce fameux questionnement, peuvent-ils être amis malgré leurs différence, leur réputation respective et finalement, alors qu'ils sont tous en pleurs, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas si différent qu'ils l'avaient imaginé et qu’auprès de leurs amis, surtout dans le cas d'Andie et Claire, ils n'ont jamais été réellement eux même et ont dû porté un masque pour supporter cette pression constante à devoir s'adapter aux clans sociaux de leur lycée. Finalement, ils ont tous des problèmes similaires et se rendent compte que leur réputation sociale ne vaut rien. Allison et Andie / Claire et Bender ont des personnalités différentes, même complètement opposées et pourtant, ils finissent ensemble et donc par accepter l'autre tel qu'il est vraiment et commence en quelque sorte à partager leur monde. Ils acceptent leurs différences et la scène entre Claire et Bender, lorsqu'elle lui offre une de ses boucles d'oreilles, est clairement le symbole pour nous montrer que cette lutte est enfin finie. Quant à la scène finale, elle est parfaite. C'est Brian qui nous offre la réponse à toutes les questions et les doutes des personnages en répondant à la fameuse question de dissertation du début "Qui pensez-vous être ?", il écrit alors au nom de tous pour ainsi s'unir, effaçant alors toutes les différences qu'il pouvait y avoir entre eux.
❝We think you're crazy to make us write an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us, in the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain and an athlete and a basket case and a princess and a criminal... Does that answer your question? Sincerely yours, the Breakfast Club.❞ - Brian Johnson
Alors, on regarde ou pas ?
THE BREAKFAST CLUB est considéré comme étant LE chef-d'oeuvre de Hughes et je suis tout a fait d'accord. Pour de nombreuses personnes, il reste LE meilleur film/teen-movie des années 80 et je tiens à ajouter que ce film est devenu un classique et à marqué tellement de gens qu'il y a maintenant de nombreuses références dans beaucoup de films dont Easy A et dans des séries telles que Dawson ou encore Degrassi. Ceci est justifié car THE BREAKFAST CLUB est un fabuleux film qui a su décrire et comprendre à la perfection les adolescents d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Les acteurs sont tout simplement parfait et ont vraiment su rentrer dans la peau de leur personnage et ont réussi à véhiculer les bonnes émotions sans en faire trop et c'est sans étonnement qu'on peut voir ces acteurs dans de nombreux films des années 80. Comme je le disais plus haut, ce film a beau avoir trente ans, il reste d'actualité, c'est un film qui ne vieillira jamais car un jeune reste un jeune, que ce soit un ado de 1985 ou de 2015. Je suis sûre que vous avez tous probablement vu ce film mais si ce ne n'est pas le cas, je vous le conseille à 200% !BACK TO THE EIGHTIES • The Breakfast Club (1985).
THE BREAKFAST CLUB est un film réalisé par John Hughes en 1985. Ce teen-movie va suivre cinq adolescents, aux personnalités divergentes, alors qu'ils se retrouvent en retenue au lycée tout un samedi pour des raisons qui reste inconnues jusqu’à la fin du film. Le professeur qui les surveille, Mr Vernon, leur demande d'écrire une dissertation au sujet compliqué et personnel qui n'est ni plus ni moins le thème du film: Qui-pensez vous être? Contre toutes attentes, ces ados différents des uns des autres vont commencer au fil de la journée à s'apprécié et à se rendre compte qu'ils ne sont pas aussi différent qu'ils le croyaient.
The Breakfast Club et les personnages stéréotypés
THE BREAKFAST CLUB a pour personnages principaux cinq adolescents, Claire the princess - interprétée par Molly Ringwald, Andie the athlete - interprété par Emilio Estevez, Brian the brain - interprété par Anthony Michael Hall, Allison the basketcase - interprétée par Ally Sheedy - et Bender the criminal - interprété par Judd Nelson. On a donc une représentation stéréotypé sur le fameux statut social typique des ados américain présent dans les teen-movies. Pourtant, il est vite compris qu'avec ce film, John Hughes va chambouler tous ces codes. En effet, au début de leur journée (le terme anglais "journey" ici serait tellement plus approprié), les cinq ados ne se connaissent pratiquement pas et sont même réticent à l'idée de se parler dû à leur statut social différent, qui est un sujet omniprésent tout au long de THE BREAKFAST CLUB. Dès le commencement du film, on est directement confronté à ce sujet quand Claire dit au principal Vernon "I don't belong here". En effet, elle veut sans doute dire qu'elle ne devrait tout simplement pas être en retenue, mais ici, John Hughes pose clairement un des sujets principaux du film. Il y a le thème de l’identité qui est aussi très présent dans le film avec cette question de dissertation à laquelle ils doivent répondre "Qui pensez-vous être ?". La suite enchaîne encore sur plusieurs questionnements: est-ce qu'un nerd peut être amis avec un populaire, peuvent-ils avoir le même cercle d'amis ? Nous pouvons nous-même se poser la question car au début du film, les personnages ne cessent de se quereller, surtout Bender, Andie et Claire, le marginal contre les deux populaires du lycée. Brian et surtout Allison sont quant à eux, un peu en retrait par rapport à ces trois personnages. Pourtant, lorsqu'ils se querellent, on commence à apprendre des informations importantes concernant les personnages, notamment sur leur vie familiale qui, pour chacun, est loin d'être parfaite, voire même dysfonctionnelle.Le monde difficile de l'adolescence ou comment s'accepter et accepter les autres
Pour moi, le moment déclic de ce film, c'est la scène du couloir car c'est à partir de ce moment-ci que l’atmosphère entre les jeunes va commencer à se détendre petit à petit (en plus de la marijuana). On va alors remarquer qu'il y a un bad guy présent dans le film qui n'est autre que Mr Vernon, qui est dépeint de manière assez négative et représente alors l’abus de l'autorité parentale. C'est le moment crucial où, petit à petit, chacun commence à s'ouvrir aux uns et aux autres et que le film commence alors à livrer des scènes très émouvantes et pleines de vérité. Commence alors une des choses importantes que John Hugues espérait sûrement avec ce film: pouvoir s'identifier aux personnages. Ces jeunes sont clairement dans une lutte perpétuelle contre eux-même mais aussi contre les autres, notamment leurs parents. Ce sont des choses que nous connaissons et que nous avons nous-même vécu, c'est donc difficile de ne pas s'identifier à eux et surtout, de ne pas s'attacher à eux.La scène où ils sont tous assis en rond est la scène la plus émouvante et la plus bouleversante du film. Les vérités éclatent, les masques tombent, ils se disputent encore sur ce fameux questionnement, peuvent-ils être amis malgré leurs différence, leur réputation respective et finalement, alors qu'ils sont tous en pleurs, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas si différent qu'ils l'avaient imaginé et qu’auprès de leurs amis, surtout dans le cas d'Andie et Claire, ils n'ont jamais été réellement eux même et ont dû porté un masque pour supporter cette pression constante à devoir s'adapter aux clans sociaux de leur lycée. Finalement, ils ont tous des problèmes similaires et se rendent compte que leur réputation sociale ne vaut rien. Allison et Andie / Claire et Bender ont des personnalités différentes, même complètement opposées et pourtant, ils finissent ensemble et donc par accepter l'autre tel qu'il est vraiment et commence en quelque sorte à partager leur monde. Ils acceptent leurs différences et la scène entre Claire et Bender, lorsqu'elle lui offre une de ses boucles d'oreilles, est clairement le symbole pour nous montrer que cette lutte est enfin finie. Quant à la scène finale, elle est parfaite. C'est Brian qui nous offre la réponse à toutes les questions et les doutes des personnages en répondant à la fameuse question de dissertation du début "Qui pensez-vous être ?", il écrit alors au nom de tous pour ainsi s'unir, effaçant alors toutes les différences qu'il pouvait y avoir entre eux.
❝We think you're crazy to make us write an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us, in the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain and an athlete and a basket case and a princess and a criminal... Does that answer your question? Sincerely yours, the Breakfast Club.❞ - Brian Johnson
Alors, on regarde ou pas ?
THE BREAKFAST CLUB est considéré comme étant LE chef-d'oeuvre de Hughes et je suis tout a fait d'accord. Pour de nombreuses personnes, il reste LE meilleur film/teen-movie des années 80 et je tiens à ajouter que ce film est devenu un classique et à marqué tellement de gens qu'il y a maintenant de nombreuses références dans beaucoup de films dont Easy A et dans des séries telles que Dawson ou encore Degrassi. Ceci est justifié car THE BREAKFAST CLUB est un fabuleux film qui a su décrire et comprendre à la perfection les adolescents d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Les acteurs sont tout simplement parfait et ont vraiment su rentrer dans la peau de leur personnage et ont réussi à véhiculer les bonnes émotions sans en faire trop et c'est sans étonnement qu'on peut voir ces acteurs dans de nombreux films des années 80. Comme je le disais plus haut, ce film a beau avoir trente ans, il reste d'actualité, c'est un film qui ne vieillira jamais car un jeune reste un jeune, que ce soit un ado de 1985 ou de 2015. Je suis sûre que vous avez tous probablement vu ce film mais si ce ne n'est pas le cas, je vous le conseille à 200% !Des livres, encore des livres ! Que voulez-vous, dès que je vois un livre avec une belle couverture et une bonne histoire, le livre en question atterrit inévitablement dans mon panier Amazon. Le rêve serait d'avoir un budget illimité sur Amazon, je ferais des folies sans arrêt haha! Dans cette énième Book Wishlist, je vous présente donc une sélection de huit livres que j'ai une envie folle de lire !
Healing, Hope & Wholeness de Ceci Frost.
Ce livre, si je me souviens bien, je l'ai découvert grâce à une photo Instagram et j'ai trouvé la couverture sobre mais très joli. Ce livre est une sorte de mémoire qu'une jeune femme a écrit après que sa mère soit décédée d'un cancer et elle va donc nous raconter comment elle a réussi à surmonter cette douloureuse épreuve grâce à la musique, ses proche et aux voyages. Je lis rarement ce genre de livre et ce mémoire à l'air vraiment intéressent et bouleversant. Et j’apprécie beaucoup que ce livre soit auto-publié.
A Work in Progress de Connor Franta.
Encore un livre/mémoire découvert grace à Instagram et j'ai trouvé la couverture sublime. J'ai ensuite appris que l'auteur est un youtubeur connu que je ne connaissais pas du tout et malgré le fait que je ne regarde pas ses vidéos, son mémoire m'interesse beaucoup.
Rosemary's Baby de Ira Levin.
La première fois que j'ai lu ce livre, c'était au lycée et j'avais tout simplement adoré et j'avais dévoré le livre en une journée. Cette fois-ci, j'ai vraiment envie de redécouvrir ce livre dans sa langue d'origine. Je pense que vous connaissez tous l'histoire grâce au film de Roman Polanski. Bref, un chef-d'oeuvre !
The Art of Being Normal de Lisa Williamson.
Un livre LGBT, au sujet qui me touche énormément depuis que j'ai vu le film Boys don't Cry qui raconte la vie du transgenre Brandon Teena. The Art of Being Normal raconte l'histoire de David Piper, un adolescent marginal. Ses parents pensent qu'il est gay et les gens le trouvent bizarre. Il y a seulement ses deux meilleurs amis qui savent la vérité: David veut être une fille. Bref, un livre qui a pour personnage principale un MtF transgenre, je dis OUI, OUI et OUI !
The Outsiders de S. E. Hinton.
Ce livre là, c'est Charline qui m'a donné envie de le lire en m'en parlant dans un commentaire. Ce livre d'apprentissage raconte l'histoire de deux bandes rivales, les Greasers, des jeunes rebelles issu de familles modestes et les Socs, des jeunes issus des quartiers riches. Ce livre est un classique de la littérature contemporaine américaine et j'ai hâte de lire ce livre et bien sur, de regarder l'adaptation faite par Francis Ford Coppola en 1983.
The Rest of Us Just Live Here de Patrick Ness.
Pour tout vous avouer, je ne sais pas de quoi exactement parle le livre, je sais que le thème est un peu dans la dualité gars ordinaire/super-héros mais sinon, rien. J'ai juste beaucoup craqué sur la couverture haha.
Every Last Word de Tamara Ireland Stone.
Encore un craquage visuel mais le synopsis du roman me plait énormément: Samantha est une lycéenne populaire, toujours bien maquillé et habillé mais elle porte un secret: elle souffre d'une forme aggravée de TOC (Primarily Obsessional OCD) qui est surtout mental et qui lui apporte des pensées sombres assez effrayante. Ce livre a vraiment l'air génial et je n'ai jamais lu de roman qui portait sur ce sujet, ça peut donc être vraiment intéressant.
Simon vs the Homo Sapiens Agenda de Becky Albertalli.
Encore un livre LGBT qui me fait de l’œil, Simon, 16 ans, a une vie plutôt cool; des amis, de bonnes notes, etc. Il sait qu'il est gay mais il ne sent pas tellement pressé de sortir du placard jusqu'au jour où il commence à parler avec Blue sur un réseau social. Blue, se cachant derrière un pseudo, étudie dans le même lycée que lui. Simon réfléchi alors à l'éventualité de faire son coming-out sauf que Blue n'est pas encore prêt à révéler sa véritable identité à Simon. Ce livre semble vraiment sympathique a l'air et les personnages ont l'air vraiment intéressant.
Ce livre, si je me souviens bien, je l'ai découvert grâce à une photo Instagram et j'ai trouvé la couverture sobre mais très joli. Ce livre est une sorte de mémoire qu'une jeune femme a écrit après que sa mère soit décédée d'un cancer et elle va donc nous raconter comment elle a réussi à surmonter cette douloureuse épreuve grâce à la musique, ses proche et aux voyages. Je lis rarement ce genre de livre et ce mémoire à l'air vraiment intéressent et bouleversant. Et j’apprécie beaucoup que ce livre soit auto-publié.
A Work in Progress de Connor Franta.
Encore un livre/mémoire découvert grace à Instagram et j'ai trouvé la couverture sublime. J'ai ensuite appris que l'auteur est un youtubeur connu que je ne connaissais pas du tout et malgré le fait que je ne regarde pas ses vidéos, son mémoire m'interesse beaucoup.
Rosemary's Baby de Ira Levin.
La première fois que j'ai lu ce livre, c'était au lycée et j'avais tout simplement adoré et j'avais dévoré le livre en une journée. Cette fois-ci, j'ai vraiment envie de redécouvrir ce livre dans sa langue d'origine. Je pense que vous connaissez tous l'histoire grâce au film de Roman Polanski. Bref, un chef-d'oeuvre !
The Art of Being Normal de Lisa Williamson.
Un livre LGBT, au sujet qui me touche énormément depuis que j'ai vu le film Boys don't Cry qui raconte la vie du transgenre Brandon Teena. The Art of Being Normal raconte l'histoire de David Piper, un adolescent marginal. Ses parents pensent qu'il est gay et les gens le trouvent bizarre. Il y a seulement ses deux meilleurs amis qui savent la vérité: David veut être une fille. Bref, un livre qui a pour personnage principale un MtF transgenre, je dis OUI, OUI et OUI !
The Outsiders de S. E. Hinton.
Ce livre là, c'est Charline qui m'a donné envie de le lire en m'en parlant dans un commentaire. Ce livre d'apprentissage raconte l'histoire de deux bandes rivales, les Greasers, des jeunes rebelles issu de familles modestes et les Socs, des jeunes issus des quartiers riches. Ce livre est un classique de la littérature contemporaine américaine et j'ai hâte de lire ce livre et bien sur, de regarder l'adaptation faite par Francis Ford Coppola en 1983.
The Rest of Us Just Live Here de Patrick Ness.
Pour tout vous avouer, je ne sais pas de quoi exactement parle le livre, je sais que le thème est un peu dans la dualité gars ordinaire/super-héros mais sinon, rien. J'ai juste beaucoup craqué sur la couverture haha.
Every Last Word de Tamara Ireland Stone.
Encore un craquage visuel mais le synopsis du roman me plait énormément: Samantha est une lycéenne populaire, toujours bien maquillé et habillé mais elle porte un secret: elle souffre d'une forme aggravée de TOC (Primarily Obsessional OCD) qui est surtout mental et qui lui apporte des pensées sombres assez effrayante. Ce livre a vraiment l'air génial et je n'ai jamais lu de roman qui portait sur ce sujet, ça peut donc être vraiment intéressant.
Simon vs the Homo Sapiens Agenda de Becky Albertalli.
Encore un livre LGBT qui me fait de l’œil, Simon, 16 ans, a une vie plutôt cool; des amis, de bonnes notes, etc. Il sait qu'il est gay mais il ne sent pas tellement pressé de sortir du placard jusqu'au jour où il commence à parler avec Blue sur un réseau social. Blue, se cachant derrière un pseudo, étudie dans le même lycée que lui. Simon réfléchi alors à l'éventualité de faire son coming-out sauf que Blue n'est pas encore prêt à révéler sa véritable identité à Simon. Ce livre semble vraiment sympathique a l'air et les personnages ont l'air vraiment intéressant.
Quels livres de ma wishlist vous tentent ?
BOOK WISHLIST • Des livres, toujours des livres...
Des livres, encore des livres ! Que voulez-vous, dès que je vois un livre avec une belle couverture et une bonne histoire, le livre en question atterrit inévitablement dans mon panier Amazon. Le rêve serait d'avoir un budget illimité sur Amazon, je ferais des folies sans arrêt haha! Dans cette énième Book Wishlist, je vous présente donc une sélection de huit livres que j'ai une envie folle de lire !
Healing, Hope & Wholeness de Ceci Frost.
Ce livre, si je me souviens bien, je l'ai découvert grâce à une photo Instagram et j'ai trouvé la couverture sobre mais très joli. Ce livre est une sorte de mémoire qu'une jeune femme a écrit après que sa mère soit décédée d'un cancer et elle va donc nous raconter comment elle a réussi à surmonter cette douloureuse épreuve grâce à la musique, ses proche et aux voyages. Je lis rarement ce genre de livre et ce mémoire à l'air vraiment intéressent et bouleversant. Et j’apprécie beaucoup que ce livre soit auto-publié.
A Work in Progress de Connor Franta.
Encore un livre/mémoire découvert grace à Instagram et j'ai trouvé la couverture sublime. J'ai ensuite appris que l'auteur est un youtubeur connu que je ne connaissais pas du tout et malgré le fait que je ne regarde pas ses vidéos, son mémoire m'interesse beaucoup.
Rosemary's Baby de Ira Levin.
La première fois que j'ai lu ce livre, c'était au lycée et j'avais tout simplement adoré et j'avais dévoré le livre en une journée. Cette fois-ci, j'ai vraiment envie de redécouvrir ce livre dans sa langue d'origine. Je pense que vous connaissez tous l'histoire grâce au film de Roman Polanski. Bref, un chef-d'oeuvre !
The Art of Being Normal de Lisa Williamson.
Un livre LGBT, au sujet qui me touche énormément depuis que j'ai vu le film Boys don't Cry qui raconte la vie du transgenre Brandon Teena. The Art of Being Normal raconte l'histoire de David Piper, un adolescent marginal. Ses parents pensent qu'il est gay et les gens le trouvent bizarre. Il y a seulement ses deux meilleurs amis qui savent la vérité: David veut être une fille. Bref, un livre qui a pour personnage principale un MtF transgenre, je dis OUI, OUI et OUI !
The Outsiders de S. E. Hinton.
Ce livre là, c'est Charline qui m'a donné envie de le lire en m'en parlant dans un commentaire. Ce livre d'apprentissage raconte l'histoire de deux bandes rivales, les Greasers, des jeunes rebelles issu de familles modestes et les Socs, des jeunes issus des quartiers riches. Ce livre est un classique de la littérature contemporaine américaine et j'ai hâte de lire ce livre et bien sur, de regarder l'adaptation faite par Francis Ford Coppola en 1983.
The Rest of Us Just Live Here de Patrick Ness.
Pour tout vous avouer, je ne sais pas de quoi exactement parle le livre, je sais que le thème est un peu dans la dualité gars ordinaire/super-héros mais sinon, rien. J'ai juste beaucoup craqué sur la couverture haha.
Every Last Word de Tamara Ireland Stone.
Encore un craquage visuel mais le synopsis du roman me plait énormément: Samantha est une lycéenne populaire, toujours bien maquillé et habillé mais elle porte un secret: elle souffre d'une forme aggravée de TOC (Primarily Obsessional OCD) qui est surtout mental et qui lui apporte des pensées sombres assez effrayante. Ce livre a vraiment l'air génial et je n'ai jamais lu de roman qui portait sur ce sujet, ça peut donc être vraiment intéressant.
Simon vs the Homo Sapiens Agenda de Becky Albertalli.
Encore un livre LGBT qui me fait de l’œil, Simon, 16 ans, a une vie plutôt cool; des amis, de bonnes notes, etc. Il sait qu'il est gay mais il ne sent pas tellement pressé de sortir du placard jusqu'au jour où il commence à parler avec Blue sur un réseau social. Blue, se cachant derrière un pseudo, étudie dans le même lycée que lui. Simon réfléchi alors à l'éventualité de faire son coming-out sauf que Blue n'est pas encore prêt à révéler sa véritable identité à Simon. Ce livre semble vraiment sympathique a l'air et les personnages ont l'air vraiment intéressant.
Ce livre, si je me souviens bien, je l'ai découvert grâce à une photo Instagram et j'ai trouvé la couverture sobre mais très joli. Ce livre est une sorte de mémoire qu'une jeune femme a écrit après que sa mère soit décédée d'un cancer et elle va donc nous raconter comment elle a réussi à surmonter cette douloureuse épreuve grâce à la musique, ses proche et aux voyages. Je lis rarement ce genre de livre et ce mémoire à l'air vraiment intéressent et bouleversant. Et j’apprécie beaucoup que ce livre soit auto-publié.
A Work in Progress de Connor Franta.
Encore un livre/mémoire découvert grace à Instagram et j'ai trouvé la couverture sublime. J'ai ensuite appris que l'auteur est un youtubeur connu que je ne connaissais pas du tout et malgré le fait que je ne regarde pas ses vidéos, son mémoire m'interesse beaucoup.
Rosemary's Baby de Ira Levin.
La première fois que j'ai lu ce livre, c'était au lycée et j'avais tout simplement adoré et j'avais dévoré le livre en une journée. Cette fois-ci, j'ai vraiment envie de redécouvrir ce livre dans sa langue d'origine. Je pense que vous connaissez tous l'histoire grâce au film de Roman Polanski. Bref, un chef-d'oeuvre !
The Art of Being Normal de Lisa Williamson.
Un livre LGBT, au sujet qui me touche énormément depuis que j'ai vu le film Boys don't Cry qui raconte la vie du transgenre Brandon Teena. The Art of Being Normal raconte l'histoire de David Piper, un adolescent marginal. Ses parents pensent qu'il est gay et les gens le trouvent bizarre. Il y a seulement ses deux meilleurs amis qui savent la vérité: David veut être une fille. Bref, un livre qui a pour personnage principale un MtF transgenre, je dis OUI, OUI et OUI !
The Outsiders de S. E. Hinton.
Ce livre là, c'est Charline qui m'a donné envie de le lire en m'en parlant dans un commentaire. Ce livre d'apprentissage raconte l'histoire de deux bandes rivales, les Greasers, des jeunes rebelles issu de familles modestes et les Socs, des jeunes issus des quartiers riches. Ce livre est un classique de la littérature contemporaine américaine et j'ai hâte de lire ce livre et bien sur, de regarder l'adaptation faite par Francis Ford Coppola en 1983.
The Rest of Us Just Live Here de Patrick Ness.
Pour tout vous avouer, je ne sais pas de quoi exactement parle le livre, je sais que le thème est un peu dans la dualité gars ordinaire/super-héros mais sinon, rien. J'ai juste beaucoup craqué sur la couverture haha.
Every Last Word de Tamara Ireland Stone.
Encore un craquage visuel mais le synopsis du roman me plait énormément: Samantha est une lycéenne populaire, toujours bien maquillé et habillé mais elle porte un secret: elle souffre d'une forme aggravée de TOC (Primarily Obsessional OCD) qui est surtout mental et qui lui apporte des pensées sombres assez effrayante. Ce livre a vraiment l'air génial et je n'ai jamais lu de roman qui portait sur ce sujet, ça peut donc être vraiment intéressant.
Simon vs the Homo Sapiens Agenda de Becky Albertalli.
Encore un livre LGBT qui me fait de l’œil, Simon, 16 ans, a une vie plutôt cool; des amis, de bonnes notes, etc. Il sait qu'il est gay mais il ne sent pas tellement pressé de sortir du placard jusqu'au jour où il commence à parler avec Blue sur un réseau social. Blue, se cachant derrière un pseudo, étudie dans le même lycée que lui. Simon réfléchi alors à l'éventualité de faire son coming-out sauf que Blue n'est pas encore prêt à révéler sa véritable identité à Simon. Ce livre semble vraiment sympathique a l'air et les personnages ont l'air vraiment intéressant.
Quels livres de ma wishlist vous tentent ?
THE 'BURBS est un film américain réalisé par le fabuleux Joe Dante en 1989. L'histoire se passe dans un quartier tranquille et plus particulièrement dans une petite rue en cul-de-sac où habite notre personnage principal, Ray Peterson, interprété par le très talentueux Tom Hanks, avec sa femme Carol (Carrie Fisher) et son fils Dave. Lui et son meilleur ami et voisin Art, joué par Rick Ducommun, sont intrigués par leurs nouveaux voisins, les Klopek, qu'ils n'ont toujours pas vu alors qu'ils se sont installés il y un mois. Un matin, ils réalisent que leur voisin Walter à mystérieusement disparu et il suffit d'entrevoir un des Klopek dans son jardin en train de creuser un trou ou d'aller mettre un sac poubelle étrangement gros dans la poubelle en pleine nuit pour soulever des questions et ainsi soupçonner les Klopeck d'avoir assassiné Walter. Ray et Art, accompagné de leur voisin vétéran Rumsfield, joué par Bruce Dern, et de l'ado déjanté Ricky (Corey Feldman) décident d'en savoir plus sur leur étranges voisins.
Une bande de voisins complètement déjantée
Ce film est une comédie noire excellente. Les personnages sont ridicules (dans le bon sens) et se comportent comme des enfants à certains moments du film, ce sont des banlieusards excentriques qui vivent leur train-train quotidien, rien d'excitant ne se passe dans leur vie et enfin, quand il se passe quelque chose, c'est quelque chose de tellement gros que ça en devient grotesque (toujours dans le bon sens), c'est d'ailleurs l'atout du film qui résulte donc en une bonne comédie noire avec des gags qui marchent. L'intrigue est prenante et tout au long du film, on se demande si les Klopek sont bien des satanistes ou si les banlieusards se sont juste fait un film à cause de leur train train quotidien sans folie. On sourit, on rigole au début mais ensuite, une certaine "angoisse" s'installe tout en ayant toujours cette touche d'humour, La bande sonore va d'ailleurs aussi dans ce sens-là, une musique angoissante tellement cliché qu'elle fait rire. Le plus impressionnant dans tous ça, c'est qu'une bonne partie du film a été improvisé car tourné durant la grève des scénaristes.
Smells like they're cooking a goddamn cat over there. – Mark Rumsfield
Les acteurs sont juste excellents, Tom Hanks est génial – comme à son habitude – dans le rôle de Ray, un gars fatigué par le boulot et qui ne souhaite rien faire de ses vacances à part glander. Très septique au début sur les soupçons portant sur les Klopeck, il se laisse tout de même embarquer dans cette folie par les voisins. On est donc loin des vacances pénardes qu'il voulait au départ... Un des meilleurs personnages de THE 'BURBS reste celui de Mark Rumsfield et comme dirait Ricky dans le film: "Il m'éclate ce mec!", il est ce personnage un peu grincheux qu'on pense être le plus sérieux à cause de son statut de vétéran de guerre mais en fait, il est tout aussi ridicule que les autres. Corey Feldman est aussi très bon dans ce film et on retrouve un peu l'esprit de Bagou dans Ricky. Le petit plus du film est la présence de Carrie Fisher, bien que son personnage soit secondaire et moins présent que les autres personnages, retrouver une héroïne de Star Wars est toujours agréable.
Alors, on regarde ou pas ?
Au final, je trouve cela dommage que ce film soit si peu connu du public français car THE 'BURBS est vraiment un bon film divertissant, idéal si on veut rire et ne pas se prendre la tête et c'est le genre de film qu'on pourrait même regarder le jour d'Halloween si, comme moi, vous n'aimez pas les films d'horreur!BACK TO THE EIGHTIES • The 'Burbs (1989).
THE 'BURBS est un film américain réalisé par le fabuleux Joe Dante en 1989. L'histoire se passe dans un quartier tranquille et plus particulièrement dans une petite rue en cul-de-sac où habite notre personnage principal, Ray Peterson, interprété par le très talentueux Tom Hanks, avec sa femme Carol (Carrie Fisher) et son fils Dave. Lui et son meilleur ami et voisin Art, joué par Rick Ducommun, sont intrigués par leurs nouveaux voisins, les Klopek, qu'ils n'ont toujours pas vu alors qu'ils se sont installés il y un mois. Un matin, ils réalisent que leur voisin Walter à mystérieusement disparu et il suffit d'entrevoir un des Klopek dans son jardin en train de creuser un trou ou d'aller mettre un sac poubelle étrangement gros dans la poubelle en pleine nuit pour soulever des questions et ainsi soupçonner les Klopeck d'avoir assassiné Walter. Ray et Art, accompagné de leur voisin vétéran Rumsfield, joué par Bruce Dern, et de l'ado déjanté Ricky (Corey Feldman) décident d'en savoir plus sur leur étranges voisins.
Une bande de voisins complètement déjantée
Ce film est une comédie noire excellente. Les personnages sont ridicules (dans le bon sens) et se comportent comme des enfants à certains moments du film, ce sont des banlieusards excentriques qui vivent leur train-train quotidien, rien d'excitant ne se passe dans leur vie et enfin, quand il se passe quelque chose, c'est quelque chose de tellement gros que ça en devient grotesque (toujours dans le bon sens), c'est d'ailleurs l'atout du film qui résulte donc en une bonne comédie noire avec des gags qui marchent. L'intrigue est prenante et tout au long du film, on se demande si les Klopek sont bien des satanistes ou si les banlieusards se sont juste fait un film à cause de leur train train quotidien sans folie. On sourit, on rigole au début mais ensuite, une certaine "angoisse" s'installe tout en ayant toujours cette touche d'humour, La bande sonore va d'ailleurs aussi dans ce sens-là, une musique angoissante tellement cliché qu'elle fait rire. Le plus impressionnant dans tous ça, c'est qu'une bonne partie du film a été improvisé car tourné durant la grève des scénaristes.
Smells like they're cooking a goddamn cat over there. – Mark Rumsfield
Les acteurs sont juste excellents, Tom Hanks est génial – comme à son habitude – dans le rôle de Ray, un gars fatigué par le boulot et qui ne souhaite rien faire de ses vacances à part glander. Très septique au début sur les soupçons portant sur les Klopeck, il se laisse tout de même embarquer dans cette folie par les voisins. On est donc loin des vacances pénardes qu'il voulait au départ... Un des meilleurs personnages de THE 'BURBS reste celui de Mark Rumsfield et comme dirait Ricky dans le film: "Il m'éclate ce mec!", il est ce personnage un peu grincheux qu'on pense être le plus sérieux à cause de son statut de vétéran de guerre mais en fait, il est tout aussi ridicule que les autres. Corey Feldman est aussi très bon dans ce film et on retrouve un peu l'esprit de Bagou dans Ricky. Le petit plus du film est la présence de Carrie Fisher, bien que son personnage soit secondaire et moins présent que les autres personnages, retrouver une héroïne de Star Wars est toujours agréable.
Alors, on regarde ou pas ?
Au final, je trouve cela dommage que ce film soit si peu connu du public français car THE 'BURBS est vraiment un bon film divertissant, idéal si on veut rire et ne pas se prendre la tête et c'est le genre de film qu'on pourrait même regarder le jour d'Halloween si, comme moi, vous n'aimez pas les films d'horreur!
Chocolates for Breakfast est un roman écrit par Pamela Moore en 1956 qui raconte l'histoire de Courtney Farrell, une adolescente qu'on va suivre de ses 15 à ses 17 ans. Son quotidien se résume aux fêtes, à l'alcool et aux histoires d'amour. Au début du roman, Courtney est élève dans une école privée et a beaucoup de mal à s’intégrer. Elle est amie avec sa colocataire, Janet et entretient une relation particulière avec une de ses professeurs. Le jour où la dite professeur décide de passer moins de temps avec Courtney, sa vie chamboule. Le psychologue de l'école va diagnostiquer Courtney comme étant dépressive. Sa mère la retire alors de l'école. Courtney va donc habiter avec sa mère Sondra, qui est actrice, à Hollywood. C'est ainsi que tout va commencer, sa liaison avec un acteur raté plus âgé qu'elle, les fêtes où l'alcool est omniprésent et cela "empire" quand elle déménage à New York et revoit Janet, avec qui elle va partager ce quotidien festif, toujours dans l'excès.
Il est vite compris que Courtney n'a pas eu une enfance normale et qu'elle a toujours évolué dans un monde entouré d'adultes et qu'elle n'a jamais vraiment été considéré comme une enfant par sa mère, qui n'a jamais eu la fibre maternelle. Ses relations avec les hommes reflètent l'absence d'une figure paternelle, son père habitant à New York. Courtney est donc une adolescente très mature pour son âge qui a toujours dû compter sur elle seule pour s'en sortir.
Ce livre reflète une jeunesse qui vit dans l’excès et la débauche de peur de tout perdre, de grandir. La plupart des personnages qui sont présent aux fêtes ou vont Janet et Courtney sont des étudiants qui ont arrêté leurs études alors qu'ils étudiaient dans des universités prestigieuses, alors un symbole du passage vers le monde adulte. Ce roman reprend donc tout les codes du roman d'apprentissage où est dépeint le passage de l’innocence, de l'enfance vers le monde adulte.
Dès sa sortie, le roman est comparé à Bonjour Tristesse de Françoise Sagan écrit en 1954 car les deux livres, qui ont une histoire similaire, ont été écrit par des adolescentes et sont vu comme des romans novateurs car ils abordent des thèmes encore tabou à l'époque. Et bien que Chocolates for Breakfast soit sorti en 1956, quand je le lisais, j'avais l'impression de lire un roman qui aurait pu être écrit à notre époque, je dirais donc que ce livre est est un intemporel avec des sujets qui restent d'actualité. Ce roman est disponible en version française aux éditions Robert Laffont dans la collection Pavillon Poche, sous le titre d'origine.
Il est vite compris que Courtney n'a pas eu une enfance normale et qu'elle a toujours évolué dans un monde entouré d'adultes et qu'elle n'a jamais vraiment été considéré comme une enfant par sa mère, qui n'a jamais eu la fibre maternelle. Ses relations avec les hommes reflètent l'absence d'une figure paternelle, son père habitant à New York. Courtney est donc une adolescente très mature pour son âge qui a toujours dû compter sur elle seule pour s'en sortir.
Ce livre reflète une jeunesse qui vit dans l’excès et la débauche de peur de tout perdre, de grandir. La plupart des personnages qui sont présent aux fêtes ou vont Janet et Courtney sont des étudiants qui ont arrêté leurs études alors qu'ils étudiaient dans des universités prestigieuses, alors un symbole du passage vers le monde adulte. Ce roman reprend donc tout les codes du roman d'apprentissage où est dépeint le passage de l’innocence, de l'enfance vers le monde adulte.
Dès sa sortie, le roman est comparé à Bonjour Tristesse de Françoise Sagan écrit en 1954 car les deux livres, qui ont une histoire similaire, ont été écrit par des adolescentes et sont vu comme des romans novateurs car ils abordent des thèmes encore tabou à l'époque. Et bien que Chocolates for Breakfast soit sorti en 1956, quand je le lisais, j'avais l'impression de lire un roman qui aurait pu être écrit à notre époque, je dirais donc que ce livre est est un intemporel avec des sujets qui restent d'actualité. Ce roman est disponible en version française aux éditions Robert Laffont dans la collection Pavillon Poche, sous le titre d'origine.
Chocolates for Breakfast de Pamela Moore, le Bonjour Tristesse américain.
Chocolates for Breakfast est un roman écrit par Pamela Moore en 1956 qui raconte l'histoire de Courtney Farrell, une adolescente qu'on va suivre de ses 15 à ses 17 ans. Son quotidien se résume aux fêtes, à l'alcool et aux histoires d'amour. Au début du roman, Courtney est élève dans une école privée et a beaucoup de mal à s’intégrer. Elle est amie avec sa colocataire, Janet et entretient une relation particulière avec une de ses professeurs. Le jour où la dite professeur décide de passer moins de temps avec Courtney, sa vie chamboule. Le psychologue de l'école va diagnostiquer Courtney comme étant dépressive. Sa mère la retire alors de l'école. Courtney va donc habiter avec sa mère Sondra, qui est actrice, à Hollywood. C'est ainsi que tout va commencer, sa liaison avec un acteur raté plus âgé qu'elle, les fêtes où l'alcool est omniprésent et cela "empire" quand elle déménage à New York et revoit Janet, avec qui elle va partager ce quotidien festif, toujours dans l'excès.
Il est vite compris que Courtney n'a pas eu une enfance normale et qu'elle a toujours évolué dans un monde entouré d'adultes et qu'elle n'a jamais vraiment été considéré comme une enfant par sa mère, qui n'a jamais eu la fibre maternelle. Ses relations avec les hommes reflètent l'absence d'une figure paternelle, son père habitant à New York. Courtney est donc une adolescente très mature pour son âge qui a toujours dû compter sur elle seule pour s'en sortir.
Ce livre reflète une jeunesse qui vit dans l’excès et la débauche de peur de tout perdre, de grandir. La plupart des personnages qui sont présent aux fêtes ou vont Janet et Courtney sont des étudiants qui ont arrêté leurs études alors qu'ils étudiaient dans des universités prestigieuses, alors un symbole du passage vers le monde adulte. Ce roman reprend donc tout les codes du roman d'apprentissage où est dépeint le passage de l’innocence, de l'enfance vers le monde adulte.
Dès sa sortie, le roman est comparé à Bonjour Tristesse de Françoise Sagan écrit en 1954 car les deux livres, qui ont une histoire similaire, ont été écrit par des adolescentes et sont vu comme des romans novateurs car ils abordent des thèmes encore tabou à l'époque. Et bien que Chocolates for Breakfast soit sorti en 1956, quand je le lisais, j'avais l'impression de lire un roman qui aurait pu être écrit à notre époque, je dirais donc que ce livre est est un intemporel avec des sujets qui restent d'actualité. Ce roman est disponible en version française aux éditions Robert Laffont dans la collection Pavillon Poche, sous le titre d'origine.
Il est vite compris que Courtney n'a pas eu une enfance normale et qu'elle a toujours évolué dans un monde entouré d'adultes et qu'elle n'a jamais vraiment été considéré comme une enfant par sa mère, qui n'a jamais eu la fibre maternelle. Ses relations avec les hommes reflètent l'absence d'une figure paternelle, son père habitant à New York. Courtney est donc une adolescente très mature pour son âge qui a toujours dû compter sur elle seule pour s'en sortir.
Ce livre reflète une jeunesse qui vit dans l’excès et la débauche de peur de tout perdre, de grandir. La plupart des personnages qui sont présent aux fêtes ou vont Janet et Courtney sont des étudiants qui ont arrêté leurs études alors qu'ils étudiaient dans des universités prestigieuses, alors un symbole du passage vers le monde adulte. Ce roman reprend donc tout les codes du roman d'apprentissage où est dépeint le passage de l’innocence, de l'enfance vers le monde adulte.
Dès sa sortie, le roman est comparé à Bonjour Tristesse de Françoise Sagan écrit en 1954 car les deux livres, qui ont une histoire similaire, ont été écrit par des adolescentes et sont vu comme des romans novateurs car ils abordent des thèmes encore tabou à l'époque. Et bien que Chocolates for Breakfast soit sorti en 1956, quand je le lisais, j'avais l'impression de lire un roman qui aurait pu être écrit à notre époque, je dirais donc que ce livre est est un intemporel avec des sujets qui restent d'actualité. Ce roman est disponible en version française aux éditions Robert Laffont dans la collection Pavillon Poche, sous le titre d'origine.
THE GOONIES est un film réalisé par Richard Donner et le scénario est de Chris Columbus d’après une histoire de Steven Spielberg, rien qu'avec ces trois grands noms du cinéma américain, on devine d'avance que THE GOONIES est un film à ne pas manquer. L'intrigue se passe à Astoria, une ville de l'Oregon, durant l'automne 1985. On fait alors la connaissance d'une bande de quatre jeunes qui se font appeler les Goonies: Mikey, Choco (Chunk en V.O), Data et Bagou (Mouth en V.O). Cette petite bande est confronté à un soucis de taille, leur quartier, the Goon Docks, va bientôt être rasé, faute d'argent, pour être remplacé par un terrain de golf. Alors qu'ils font une escapade dans le grenier, Mikey découvre une étrange carte qui mènerait au trésor de Willy le Borgne (One-Eyed Willy en V.O). Mikey décide alors d’embarquer ses amis dans une chasse au trésor dans l'espoir de sauver leur quartier. Ils sont alors accompagné de Brand, le grand frère sportif de Mikey, d'Andie la jolie cheerleader et de Steph, la meilleure amie d'Andie. Tout ce petit groupe va alors vivre une aventure incroyable, comme si c'était leur dernière et vont être pourchassé par une bande de malfrats, les Fratelli !
Les Goonies, mon film culte par excellence
Vous l’aurez compris avec le temps, THE GOONIES est MON film préféré. Ce n’est pas le meilleur techniquement parlant mais il tient la première place dans mon cœur. Dès que les premières minutes du film, j'ai tout de suite accroché à l’histoire et aux personnages. Je me suis attaché à ces gamins marginaux et je n’avais qu’une envie, c’est de faire partie de leur bande et de partir à l’aventure avec eux. Chaque personnage à son importance et chacun apporte son humour au film, il y a Choco qui est hilarant quand il fait le Bouffi Bouffon (the Truffle Shuffle) ou encore quand il avoue tous ses méfaits aux Fratelli, Data avec ses inventions farfelus ou encore Bagou et son franc-parler désopilant (le passage où il traduit en espagnol pour la femme de ménage, j'en rigole encore). Mikey est le plus attachant, il dégage une certaine fragilité qui contraste avec sa forte volonté à trouver le trésor pour sauver son quartier, notamment dans la scène avec Willy le Borgne qui est tellement émouvante ou encore quand il remotive la bande dans le puit aux souhaits, Mikey est le cœur du groupe, la force des Goonies. Quant aux personnages adolescents avec les personnages de Brand, Stef et Andie, ils sont plus effacés au niveau de la personnalité mais il faut se dire que sans Stef par exemple, Barb de Stanger Things aurait été bien différente.
❝Don't you realize? The next time you see sky, it'll be over another town. The next time you take a test, it'll be in some other school. Our parents, they want the best of stuff for us. But right now, they got to do what's right for them. Because it's their time. Their time! Up there! Down here, it's our time. It's our time down here. That's all over the second we ride up Troy's bucket.❞ - Mikey Walsh
C’est vrai que THE GOONIES n’a pas la même profondeur que The Breakfast Club mais on a quand même l’idée que la bande ressort grandie de cette aventure. Bagou et Stef enterre la hache de guerre tandis que Mickey se rend compte qu’il n’a plus besoin de son inhalateur. Pour moi, ce film est une légende, un film culte d'aventure qui est tout simplement excellent, qu'on regarde toujours avec nostalgie et malgré le fait que j'ai bien "vieillie" depuis la première fois que je l'ai vu, il me fait toujours autant rêver et rigoler. Il ne faut pas oublier que THE GOONIES, c'est aussi une excellente bande originale qui se révèle être parfaite avec des chansons de Cyndi Lauper ou du groupe REO Speedwagon que je vous laisse découvrir et apprécier ici !
Alors, on regarde ou pas ?
THE GOONIES, c'est le film qu'on peut regarder à tout âge sans qu'on s'en lasse et surtout sans qu'on se sente trop vieux pour ce genre de film. Pour vous dire, je connais chaque réplique, autant en V.O qu'en V.F, par cœur et pourtant, même si je connais la scène, c'est sans aucun doute que je vais exploser de rire. La magie de ce film c'est qu'à chaque fois que je le regarde, j'ai l'impression que c'est la première fois. Vous l'aurez compris, THE GOONIES, c'est vraiment le film de ma vie. Je vous conseille donc de regarder ce film un jour de pluie, avec un bon chocolat chaud, sous la couverture et je vous assure que vous allez passer un moment parfait.Et vous, quel est votre film préféré ?
BACK TO THE EIGHTIES • The Goonies (1985).
THE GOONIES est un film réalisé par Richard Donner et le scénario est de Chris Columbus d’après une histoire de Steven Spielberg, rien qu'avec ces trois grands noms du cinéma américain, on devine d'avance que THE GOONIES est un film à ne pas manquer. L'intrigue se passe à Astoria, une ville de l'Oregon, durant l'automne 1985. On fait alors la connaissance d'une bande de quatre jeunes qui se font appeler les Goonies: Mikey, Choco (Chunk en V.O), Data et Bagou (Mouth en V.O). Cette petite bande est confronté à un soucis de taille, leur quartier, the Goon Docks, va bientôt être rasé, faute d'argent, pour être remplacé par un terrain de golf. Alors qu'ils font une escapade dans le grenier, Mikey découvre une étrange carte qui mènerait au trésor de Willy le Borgne (One-Eyed Willy en V.O). Mikey décide alors d’embarquer ses amis dans une chasse au trésor dans l'espoir de sauver leur quartier. Ils sont alors accompagné de Brand, le grand frère sportif de Mikey, d'Andie la jolie cheerleader et de Steph, la meilleure amie d'Andie. Tout ce petit groupe va alors vivre une aventure incroyable, comme si c'était leur dernière et vont être pourchassé par une bande de malfrats, les Fratelli !
Les Goonies, mon film culte par excellence
Vous l’aurez compris avec le temps, THE GOONIES est MON film préféré. Ce n’est pas le meilleur techniquement parlant mais il tient la première place dans mon cœur. Dès que les premières minutes du film, j'ai tout de suite accroché à l’histoire et aux personnages. Je me suis attaché à ces gamins marginaux et je n’avais qu’une envie, c’est de faire partie de leur bande et de partir à l’aventure avec eux. Chaque personnage à son importance et chacun apporte son humour au film, il y a Choco qui est hilarant quand il fait le Bouffi Bouffon (the Truffle Shuffle) ou encore quand il avoue tous ses méfaits aux Fratelli, Data avec ses inventions farfelus ou encore Bagou et son franc-parler désopilant (le passage où il traduit en espagnol pour la femme de ménage, j'en rigole encore). Mikey est le plus attachant, il dégage une certaine fragilité qui contraste avec sa forte volonté à trouver le trésor pour sauver son quartier, notamment dans la scène avec Willy le Borgne qui est tellement émouvante ou encore quand il remotive la bande dans le puit aux souhaits, Mikey est le cœur du groupe, la force des Goonies. Quant aux personnages adolescents avec les personnages de Brand, Stef et Andie, ils sont plus effacés au niveau de la personnalité mais il faut se dire que sans Stef par exemple, Barb de Stanger Things aurait été bien différente.
❝Don't you realize? The next time you see sky, it'll be over another town. The next time you take a test, it'll be in some other school. Our parents, they want the best of stuff for us. But right now, they got to do what's right for them. Because it's their time. Their time! Up there! Down here, it's our time. It's our time down here. That's all over the second we ride up Troy's bucket.❞ - Mikey Walsh
C’est vrai que THE GOONIES n’a pas la même profondeur que The Breakfast Club mais on a quand même l’idée que la bande ressort grandie de cette aventure. Bagou et Stef enterre la hache de guerre tandis que Mickey se rend compte qu’il n’a plus besoin de son inhalateur. Pour moi, ce film est une légende, un film culte d'aventure qui est tout simplement excellent, qu'on regarde toujours avec nostalgie et malgré le fait que j'ai bien "vieillie" depuis la première fois que je l'ai vu, il me fait toujours autant rêver et rigoler. Il ne faut pas oublier que THE GOONIES, c'est aussi une excellente bande originale qui se révèle être parfaite avec des chansons de Cyndi Lauper ou du groupe REO Speedwagon que je vous laisse découvrir et apprécier ici !
Alors, on regarde ou pas ?
THE GOONIES, c'est le film qu'on peut regarder à tout âge sans qu'on s'en lasse et surtout sans qu'on se sente trop vieux pour ce genre de film. Pour vous dire, je connais chaque réplique, autant en V.O qu'en V.F, par cœur et pourtant, même si je connais la scène, c'est sans aucun doute que je vais exploser de rire. La magie de ce film c'est qu'à chaque fois que je le regarde, j'ai l'impression que c'est la première fois. Vous l'aurez compris, THE GOONIES, c'est vraiment le film de ma vie. Je vous conseille donc de regarder ce film un jour de pluie, avec un bon chocolat chaud, sous la couverture et je vous assure que vous allez passer un moment parfait.Et vous, quel est votre film préféré ?
Je reviens enfin avec un Book Haul, accompagné de quelques soucis suivant cette commande. Je vous explique: j'ai commandé quatre livres sur Amazon et quand j'ai reçu mon paquet et que je l'ai ouvert, une surprise pas très plaisante s'est présentée à moi: deux livres étaient abîmés, bref, j'ai dû les renvoyer et j'ai donc reçu par la suite deux autres exemplaires en remplacement: The end of your life book club était en parfait état mais encore une fois, Uprooted était légèrement abîmé, mais pas autant que celui que j'avais reçu la première fois. Tout ça pour dire qu'Amazon devrait sérieusement changer leur emballage cartonné car ça ne protège pas assez les livres. Enfin bref, assez de blablatage, je vous présente mes quatre trouvailles livresques (nouveau nom un peu plus joli que Book Haul).
The end of your life book club de Will Schwalbe
Ce roman est une histoire vraie, vécue par l'auteur qui raconte sa relation fusionnelle avec sa mère atteinte d'un cancer du pancréas. Les heures d'attente passées dans les salles d'attente de l’hôpital vont se transformée en véritable club de lecture dont ils sont les seuls membres. Ils vont ainsi partager leur amour de la lecture mais aussi les doutes et les problèmes de la vie. Ce roman a l'air vraiment incroyable et très émouvant, j'ai hâte de le commencer.
Ce roman se passe dans les années cinquante à Hollywood puis New-York et on y suit Courtney Farell, une adolescente qui va peu à peu connaître les fêtes, l’alcool et le sexe et en faire son quotidien. Considéré comme un contemporain à l'époque de sa sortie et vu comme audacieux voir controversé à cause des sujets tabous abordés, ce livre est considéré comme l'équivalent américain de Bonjour Tristesse de Françoise Sagan. J'ai déjà lu le livre et une revue arrive bientôt sur le blog.
Magonia de Maria Dahvana Headley
Ce roman a pour personnage principal Aza, une adolescente qui à une maladie des poumons mystérieuse qui lui rend la simple tache de respirer extrêmement difficile. Alors que Aza aperçoit un navire dans le ciel, tous le monde pense à un effet secondaire, une hallucination dû à ses médicaments. De ce navire, quelqu'un l'appelle. Elle va alors découvrir un monde au-dessus des nuages, Magonia, où elle a enfin la possibilité de respirer. J'ai tout d'abord été attiré par la couverture puis l'histoire m'a intrigué et je trouve le concept original, j'ai commencé à le lire et j'aime bien pour l'instant.
Dans ce roman fantasy, on se retrouve dans un village qui craint le Dragon, un magicien qui les protège de la Forêt mais qui, en échange, enlève une jeune fille du village tous les 10 ans. Pour tout vous avouez, je n'en sais pas plus mais la couverture est magnifique et c'est de la fantasy, on a une promesse de magie, de dangers et d’aventure, je suis sûre et certaine que ça va me plaire.
Et vous, que lisez-vous en ce moment ?
LE ROYAUME DES LIVRES | Mes trouvailles livresques #2
Je reviens enfin avec un Book Haul, accompagné de quelques soucis suivant cette commande. Je vous explique: j'ai commandé quatre livres sur Amazon et quand j'ai reçu mon paquet et que je l'ai ouvert, une surprise pas très plaisante s'est présentée à moi: deux livres étaient abîmés, bref, j'ai dû les renvoyer et j'ai donc reçu par la suite deux autres exemplaires en remplacement: The end of your life book club était en parfait état mais encore une fois, Uprooted était légèrement abîmé, mais pas autant que celui que j'avais reçu la première fois. Tout ça pour dire qu'Amazon devrait sérieusement changer leur emballage cartonné car ça ne protège pas assez les livres. Enfin bref, assez de blablatage, je vous présente mes quatre trouvailles livresques (nouveau nom un peu plus joli que Book Haul).
The end of your life book club de Will Schwalbe
Ce roman est une histoire vraie, vécue par l'auteur qui raconte sa relation fusionnelle avec sa mère atteinte d'un cancer du pancréas. Les heures d'attente passées dans les salles d'attente de l’hôpital vont se transformée en véritable club de lecture dont ils sont les seuls membres. Ils vont ainsi partager leur amour de la lecture mais aussi les doutes et les problèmes de la vie. Ce roman a l'air vraiment incroyable et très émouvant, j'ai hâte de le commencer.
Ce roman se passe dans les années cinquante à Hollywood puis New-York et on y suit Courtney Farell, une adolescente qui va peu à peu connaître les fêtes, l’alcool et le sexe et en faire son quotidien. Considéré comme un contemporain à l'époque de sa sortie et vu comme audacieux voir controversé à cause des sujets tabous abordés, ce livre est considéré comme l'équivalent américain de Bonjour Tristesse de Françoise Sagan. J'ai déjà lu le livre et une revue arrive bientôt sur le blog.
Magonia de Maria Dahvana Headley
Ce roman a pour personnage principal Aza, une adolescente qui à une maladie des poumons mystérieuse qui lui rend la simple tache de respirer extrêmement difficile. Alors que Aza aperçoit un navire dans le ciel, tous le monde pense à un effet secondaire, une hallucination dû à ses médicaments. De ce navire, quelqu'un l'appelle. Elle va alors découvrir un monde au-dessus des nuages, Magonia, où elle a enfin la possibilité de respirer. J'ai tout d'abord été attiré par la couverture puis l'histoire m'a intrigué et je trouve le concept original, j'ai commencé à le lire et j'aime bien pour l'instant.
Dans ce roman fantasy, on se retrouve dans un village qui craint le Dragon, un magicien qui les protège de la Forêt mais qui, en échange, enlève une jeune fille du village tous les 10 ans. Pour tout vous avouez, je n'en sais pas plus mais la couverture est magnifique et c'est de la fantasy, on a une promesse de magie, de dangers et d’aventure, je suis sûre et certaine que ça va me plaire.
Et vous, que lisez-vous en ce moment ?
Inscription à :
Articles (Atom)