Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.
Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.
Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.
Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.
Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?
PAUSE CAFÉ • Regarder en VF, la honte ?
Vous aviez aimé la première édition et après cinq mois, voici la deuxième édition de Pause Café qui, si vous ne le savez pas, s'apparente à une discussion qu'on pourrait avoir entre nous. La question d'aujourd’hui est quelque chose qui a fait débat dans mon cercle de copines de fac quand je leur ai dit que je regardais encore des films ou des séries en VF. Du coup, après en avoir parlé avec ma meilleure amie, j'ai décidé que ce sujet serait parfait à discuter dans Pause Café.
Avant qu'on puisse tous comprendre plus ou moins l'anglais, on regardait tous nos films et nos séries en VF. Je ne sais plus exactement vers quel moment j'ai commencé à regarder mes séries en VOSTFR mais ça fait au moins 6-5 ans (je prends pour base la deuxième génération de Skins, PLL et Once Upon a Time). Et c'est vrai que j'étais le genre de fille à dire que regarder les séries en VO, c'était mieux, surtout que ça me permettait "d'améliorer mon anglais". Mais voila, il y a quelques semaines, j'ai dit à mes copines que j'allais voir Star Wars VII au Grand Rex...en VF. Catastrophe ! Un débat à commencé et une de mes potes m'a dit que, étant étudiante en anglais, je me devais de regarder mes séries et films en VO.
Sauf que moi, j'ai commencé à regarder Star Wars en VF, et évidemment que je pourrais regarder ce film en VO mais en fait, c'est seulement une question de nostalgie, et du coup, je continue en VF. Voila pourquoi, quand je refais des marathons de séries que je regardais petite ou étant jeune adolescente, je ne me pose la question deux fois et je les regarde en VF. Je cite quelques exemples: Chuck, Gossip Girl, Smallville, Charmed, Buffy, etc. Bon j'avoue, les trois premières séries, je les ai aussi regardé en VO, surtout vers les dernières saisons.
Durant cette discussion, j'ai ensuite cité l'exemple des longs-métrages d'animation et en particulier Dragons et vient alors cette question: Qui regarde les dessin-animés en VO ? Car, pour ma part, je trouve que les américains ne sont pas vraiment compétant concernant le doublage (il y a bien sûr des exceptions). Exemple avec Dragons, c'est l'acteur Jay Baruchel qui double Harold et je n'arrive pas à supporter sa voix que je trouve trop adulte pour le personnage et c'est encore pire pour America Ferrera qui double Astrid, qui a aussi une voix beaucoup trop adulte et qui ne colle pas du tout au personnage. Pour moi, la VF de Dragons est tout simplement excellente (je suis secrètement amoureuse de la voix de Donald Reignoux, LA voix de mon enfance, mais chut). J'aimerais d'ailleurs souligné que Matt Groening, le créateur des Simpson, préfère les voix françaises de ses personnages que les voix originales. Et je trouve qu'il a absolument raison de préférer la VF de sa série, Philippe Peythieu et Véronique Augereau font vraiment un travail remarquable en incarnant Homer et Marge.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
En parlant de comédiens "de doublage", il y a maintenant des voix emblématiques qui sont reconnaissables dès qu'on les entend, comme Patrick Poivey qui double Bruce Willis, Céline Monsarrat qui double Julia Roberts et Richard Darbois qui double Harrison Ford (que j'ai pu voir en chair et en os durant la soirée Retour vers le Futur au Grand Rex). J'aime aussi beaucoup la voix de Laura Préjean, qui double entre autre Kristen Bell et Kaley Cuoco, ainsi que Alexis Tomassian qui double beaucoup des personnages de dessins animés. Je ne vais pas tous les citer car j'en aurais pour des heures mais voilà des voix françaises iconiques qu'on adore autant que les acteurs qu'ils doublent.
Tout ça pour dire que je trouve ça assez dommage que les gens critiquent la VF avant de l'avoir entendu. Bien sûr, il y a de mauvaises VF (tout comme il y a de mauvais films d'ailleurs), les voix ne vont pas avec les acteurs et le pire des défauts d'une VF, c'est quand les voix ne sont pas synchronisées avec la bouche de l'acteur, une vraie horreur mais on ne peut pas nier qu'il y a aussi d'excellentes VF qui deviennent culte avec le temps, je pense alors à Retour vers le Futur, les Goonies et tant d'autres que j'oublie. Tout ça pour dire que, bien que je suis étudiante en anglais, je n'ai pas honte de regarder certains de mes films et de mes séries en VF.
Et vous, VF ou VO (ou les deux) et pourquoi ce choix ?
Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.
Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90.
L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...
Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique!
L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.
Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.
L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.
Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.
L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.
Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!
Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:
Halloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.
Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là !
INSTANT CINOCHE • Halloween Movies.
Bon, c'est bientôt Halloween et je ne sais pas pour vous, mais moi, j'adore cette fête. On a vraiment cette atmosphère automnale et on peut se goinfrer de bonbons et de pop-corn sans culpabiliser. J'ai trouvé que ça serait sympa de faire une petite liste de films agréable à regarder le soir d'Halloween. Par contre, si vous êtes friands de films horrifiques et gore, passez votre chemin car pour moi Halloween, c'est les films qui font tous sauf peur et qui sont plutôt destinés aux enfants ou aux grands enfants (j'avoue, je suis une âme sensible et je n'aime pas tellement les films d'horreur bien qu'avec le temps, j'arrive à en regarder certains). Donc voilà, j'espère que cette petite sélection (pas si petite que ça tout compte fait) vous plaira !
L'histoire ? Max Dennison vient de déménager à Salem avec sa famille. Le soir d'Halloween,il se voit obligé d'accompagner sa jeune sœur Dani dans sa ronde aux bonbons. Suite à maintes coïncidences, Max, Dani et Alisson (love interest de Max) se retrouvent dans la vieille maison des sœurs Sanderson. Max allume la bougie à flamme noire et les sorcières reviennent à la vie. Par la suite, les trois protagonistes devront sauver les enfants de Salem en empêchant les sorcières d'aspirer la vie de chacun d'entre eux.
Passer le soir d'Halloween sans regarder Hocus Pocus est tout simplement impossible voire même impardonnable. Plus sérieusement, en plus d'être un film cultissime, c'est vraiment le film le plus drôle et le plus sympa à regarder le jour d'Halloween et les trois actrices qui incarnent les sorcières sont juste excellentes. C'est le film d'Halloween de mon enfance et je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes qui lisent le blog. Même si c'est un film qu'on connait plus au moins par cœur, c'est toujours un plaisir de s’empiffrer de friandises tout en regardant ce film culte des années 90.
L'histoire ? Coraline est une jeune fille qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense maison. Toujours débordés par le travail, ses parents n'ont jamais le temps de s'occuper d'elle. Alors qu'elle fait la rencontre de ses nouveaux voisins et explore sa nouvelle maison, Caroline va découvrir une étrange petite porte conduisant à un monde parallèle où elle fera la rencontre de son autre-père et son autre-mère. Mais les choses ne sont pas ce qu'elle semblent être...
Produit par le studio Laika, spécialisé dans l'animation stop-motion, Coraline est de mes films d'animation préférés, j'ai tout suite accroché à l'univers intriguant de l'histoire, qui est assez similaire de l'univers de Tim Burton. Caroline est un personnage tellement géniale, ce n'est pas une petite fille qui à peur de tout, c'est un personnage très fort avec une personnalité totalement génial! Bref, je vous conseille ce film pour la soirée d'Halloween, c'est étrange, intriguant et magique!
L'histoire ? Deux jeunes mariés, Adam et Barbara, sont récemment décédés et deviennent alors des fantômes. Ils sont obligé de hanter leur maison pendant 125 ans alors que de nouveaux occupants, Charles et Delia et leur fille Lydia, viennent d'acquérir leur maison. Ils décident alors de faire appel à un bio-exorciste prénommé Beetlejuice pour qu'il les fasse fuir. Mais cela sera loin d’être facile, sans compter que Beetlejuice est une personne abjecte et que Adam et Barbara vont se lié d'amitié avec la jeune Lydia.
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
Un film classique, un des premiers longs-métrages réalisé par Tim Burton et qui est juste parfait pour Halloween, le personnage de Beetlejuice est détestable mais c'est le but (je ne sais pas vous, mais j'ai tellement de mal à reconnaître Michael Keaton sous ce maquillage). L'histoire est sympa et bon, c'est Tim Burton quoi, on se pose pas la question et on regarde!
L'histoire ? Taram est un jeune valet de ferme qui souhaite devenir guerrier. Aidé par le don de voyance que possède son porcelet nommé Tirelire, il doit à tout prix éviter qu'un mystérieux chaudron magique se retrouve entre les mains du maléfique Seigneur des Ténèbres. Dans sa quête, il rencontrera un petit personnage poilu, Gurgi, ainsi que la charmante princesse Eilonwy et le ménestrel Ritournel qui lui prêteront main forte tout au long de son aventure.
Taram et le chaudron magique est le fameux Disney qui fut renié par ces créateurs! Eh oui, Taram et le chaudron magique est une production de Disney qui n'a pas du tout marché lors de sa sortie au cinéma jugé alors trops effrayant pour les enfants. C'est justement pour ça que je trouve que ce film se démarque des autres films d'animations Disney. J'en conveins, ce film est légèrement effrayant pour un jeune public mais il reste, selon moi, un très bon film d'animation. Pour de grands enfants comme nous, ce film est parfait pour Halloween et malgré le coté sinistre du film, il y a des moments très marrants.
L'histoire ? Peter Venkman, Raymond Stantz et Egon Spengler sont des chercheurs (un brin loufoque) à l'université et viennent de se faire virer de leurs postes. Ils décident alors d'ouvrir une société d'investigations paranormales nommée SOS Fantômes. Bientot rejoint par un quatrième membre prénommé Winston Zeddemore, ils vont devoir protéger la ville de New-York du dieu sumérien Gozer.
Pas grand chose à dire concernant SOS Fantômes, mis à part que c'est un pur classique des années 80. Ce film est une excellente comédie fantastique avec des acteurs à mourir de rire et des fantômes en prime, ainsi qu'une chanson mythique qui reste dans les mémoires, que demandez de plus, n'est-ce pas ? Vous pouvez même ensuite enchaîner avec le deuxième opus qui est tout aussi bien ainsi que le remake qui est divertissant bien que assez en deça des films originaux.
L'histoire ? Dans la petit ville de Blithe Hallow vit Norman, un garçon introverti et très isolé et personne n'arrive à le comprendre. En fait, Normal a la capacité de voir les fantômes et discute régulièrement avec sa grand-mère récemment décédé. Alors que Norman commence à avoir des visions étranges, des morts sortent de terre et terrorise la ville. Norman, aidé par ses nouveaux amis, va devoir sauver la ville.
Egalement une production du studio Laika, L'étrange pouvoir de Norman suit la même ligné que Coraline. C'est un très bon film d'animation, on s'attache aux personnages, chacun apportant son petit quelque chose à l'histoire, ils sont tous à mourir de rire et l'histoire, qui reprend pourtant une idée déjà exploitée dans plusieurs films, est juste très bien menée, et on passe vraiment un agréable moment, un film vraiment génial pour le soir d'Halloween!
Je comptais arrêté ma liste ici, en proposant donc trois films et trois films d'animation mais je rajoute deux bonus qui sont juste indispensable le soir d'Halloween:
Halloweentown est une série de quatre téléfilms (mais je vous conseille surtout les deux premiers, les deux derniers s’apparentant plus à du teen-movie inintéressant) produit par Disney Channel. On y suit Marnie, une jeune adolescente qui découvre qu'elle est une sorcière. La nuit d'Halloween, elle va suivre sa grand-mère jusqu'à Halloweentown, une ville magique peuplé de créatures étranges. Halloweentown, ce sont vraiment des téléfilms qui ont été réalisé quand Disney Channel faisait vraiment des films sympas et originaux et ça me rappelle mon enfance. Je vous conseille donc de regarder les deux premiers téléfilms qui sont vraiment géniaux et magique.
Et comme j'ai tellement de mal à finir cet article alors qu'il y a encore tellement de films à citer, je vous donne le reste avec une petite liste rapide: Le Manoir Hanté et les 999 fantômes, La Famille Adams, Des Amours de Sœurcières, Frankenweenie (le cours métrage ainsi que le film d'animation), Hôtel Transylvanie I & II, Casper (le film de 1995), L'Île aux sorciers (film danois hyper bien), Monster House et tout les épisodes Treehouse of Horror des Simpson. Bien sûr, toute ma sélection est calquée selon mes goûts, vous pouvez bien évidemment regardé ce que vous voulez ce soir-là !
L'HISTOIRE SANS FIN (The Neverending Story) est un film germano-américian réalisé par Wolfgang Petersen en 1984. Adaptation du livre éponyme écrit par Micheal Ende en 1979, on va suivre l'histoire de Bastien, un jeune garçon d'une dizaine d'années qui n'a pas d'amis et qui est très solitaire , de plus, sa mère est morte récemment et il a du mal à communiquer avec son père, trop absorbé par son travail. Alors qu'il est sur le chemin de l'école, il se fait attaquer par une bande de jeunes qui veulent le racketter et finissent par le balancer dans une poubelle (oui oui), il en sort pour retomber nez à nez avec eux. Il se réfugie alors dans une librairie où il rencontre pour la première fois l'homme atypique qu'est Mr Koreander. Le libraire est en train de lire un étrange livre qui attire l’œil de Bastien. Contre toute attente, il dérobe le bouquin. Etant trop en retard pour aller en salle de classe, Bastien se réfugie dans le grenier de son école pour commencer la lecture de ce livre intriguant et va découvrir un monde magique: Fantasia. Mais ce monde est en danger et risque de disparaître à tout jamais à cause du Néant qui est en train de tout engloutir sur son passage. Bastien ne sait pas encore qu'il est sur le point de vivre une incroyable aventure!
L'Histoire sans Fin ou quand la lecture et la magie sont au cœur de l'aventure
Ce film est un classique des années 80. Il a fait rêver des tas d'enfants et à l'heure d'aujourd'hui, me fait toujours rêver: et si l'histoire d'un livre était réelle et était vraiment en train se de dérouler au moment où on la lit ? C'est ça l'intrigue de L'Histoire sans Fin. Bastien est un personnage ordinaire/cliché: orphelin d'une mère, son père ne lui prête pas beaucoup d'attention, il n'a pas d'amis donc il se réfugie dans les romans d'aventures. L'acteur qui interprète Bastien, Barrett Oliver, a une bouille attachante et quand j'étais enfant, il était facile de s'identifier à lui. J'adore ce premier film car tout au long du film, on pense que l'histoire est tel qu'elle est et que ce qui est montré parvient alors de l'imagination de Bastien mais au fur et à mesure que l'histoire est racontée, des indices apparaissent qui laisseraient penser que Bastien aurait un rôle important à jouer dans le sauvetage de Fantasia. Quant au personnage d'Atreyu, c'est le héros type mais il aurait pu être plus exploité, il est censé être un guerrier glorieux alors qu'il n'est qu'un enfant et moi justement, j'ai plus vu le coté enfant que le coté guerrier mais à part ça, ça reste un bon personnage.
En fait, ce film apporte un très beau message et j'ai beaucoup aimé l'interprétation donnée au Néant qui détruit Fantasia et à Fantasia elle-même. L'HISTOIRE SANS FIN est un film qui donne envie de se plonger dans des livres à longueur de journée. C'est plutôt dommage que ce film ait assez mal vieilli, les décors font un peu kitsch aujourd'hui, mais à l'époque, ils ont tout de même réussi à me faire rêver étant enfant et ont rendu toute la fantasy du film très agréable - par contre, les effets spéciaux ont vraiment très mal vieilli. Le thème musical aussi joue beaucoup dans ce film, la musique donne une atmosphère assez intrigante et me fait un peu pensé à celle qu'il y a dans les Goonies.
On pourrait croire que toute la magie du film marche mieux quand on lit le livre dont est tiré le film car quand on lit L'Histoire sans fin écrit par Michael Ende et qu'on imagine l'histoire, les personnages et les lieux, l'histoire elle-même raconte l'histoire d'un garçon qui lit un livre qui s'appelle L'Histoire sans fin, du coup, on devient en quelque sorte Bastien qui lui même devient Atreyu. Pourtant, le réalisateur à réussi à provoquer cette même sensation magique à la fin de film quand l'Impératrice s’adresse à Atreyu et lui apprend l'existence de Bastien et que ce dernier à suivi ses aventures, elle rajoute en disant que Bastien lui-même n'a jamais été seul durant tout le long de sa lecture et en s’adressant à la caméra, on comprends que c'est à nous qu'elle fait référence, c'est l'audience qui a tenu compagnie à Bastien, on devient alors une personne à part entière et importante du film – cette scène me donne des frissons à chaque fois. La fin est signe de renouveau, Bastien, grâce a son imagination, redonne vie à Fantasia – symbolique lié à l'Auryn, le symbole sur le livre et le talisman de l'Impératrice qui représente l' Ouroboros qui symbolise un cycle d'évolution et de renouveau éternel.
Alors, on regarde ou pas ?
Les avis pour ce film restent mitigés et il n'a pas vraiment marché aux USA, pourtant ça reste un excellent film des années 80 qui véhicule un message important sur le pouvoir de l'imagination et en autre le pouvoir de surmonter le deuil. C'est un film que j'apprécie beaucoup car il fait parti intégrante de mon enfance et quand je le regardais, j'enviais à chaque fois Bastien d'avoir en sa possession un livre aussi merveilleux. Une petite chose à déplorer pour ce film, qui n'est pas vraiment en rapport avec le film en lui même, mais c'est la VF, la synchronisation est juste catastrophique. Pour conclure, L'HISTOIRE SANS FIN, c'est un film qui permet d'échapper à la réalité et d'accéder à un monde merveilleux basé sur le pouvoir de l'imagination et des rêves de chacun de nous.BACK TO THE EIGHTIES • L'Histoire sans fin (1984).
L'HISTOIRE SANS FIN (The Neverending Story) est un film germano-américian réalisé par Wolfgang Petersen en 1984. Adaptation du livre éponyme écrit par Micheal Ende en 1979, on va suivre l'histoire de Bastien, un jeune garçon d'une dizaine d'années qui n'a pas d'amis et qui est très solitaire , de plus, sa mère est morte récemment et il a du mal à communiquer avec son père, trop absorbé par son travail. Alors qu'il est sur le chemin de l'école, il se fait attaquer par une bande de jeunes qui veulent le racketter et finissent par le balancer dans une poubelle (oui oui), il en sort pour retomber nez à nez avec eux. Il se réfugie alors dans une librairie où il rencontre pour la première fois l'homme atypique qu'est Mr Koreander. Le libraire est en train de lire un étrange livre qui attire l’œil de Bastien. Contre toute attente, il dérobe le bouquin. Etant trop en retard pour aller en salle de classe, Bastien se réfugie dans le grenier de son école pour commencer la lecture de ce livre intriguant et va découvrir un monde magique: Fantasia. Mais ce monde est en danger et risque de disparaître à tout jamais à cause du Néant qui est en train de tout engloutir sur son passage. Bastien ne sait pas encore qu'il est sur le point de vivre une incroyable aventure!
L'Histoire sans Fin ou quand la lecture et la magie sont au cœur de l'aventure
Ce film est un classique des années 80. Il a fait rêver des tas d'enfants et à l'heure d'aujourd'hui, me fait toujours rêver: et si l'histoire d'un livre était réelle et était vraiment en train se de dérouler au moment où on la lit ? C'est ça l'intrigue de L'Histoire sans Fin. Bastien est un personnage ordinaire/cliché: orphelin d'une mère, son père ne lui prête pas beaucoup d'attention, il n'a pas d'amis donc il se réfugie dans les romans d'aventures. L'acteur qui interprète Bastien, Barrett Oliver, a une bouille attachante et quand j'étais enfant, il était facile de s'identifier à lui. J'adore ce premier film car tout au long du film, on pense que l'histoire est tel qu'elle est et que ce qui est montré parvient alors de l'imagination de Bastien mais au fur et à mesure que l'histoire est racontée, des indices apparaissent qui laisseraient penser que Bastien aurait un rôle important à jouer dans le sauvetage de Fantasia. Quant au personnage d'Atreyu, c'est le héros type mais il aurait pu être plus exploité, il est censé être un guerrier glorieux alors qu'il n'est qu'un enfant et moi justement, j'ai plus vu le coté enfant que le coté guerrier mais à part ça, ça reste un bon personnage.
En fait, ce film apporte un très beau message et j'ai beaucoup aimé l'interprétation donnée au Néant qui détruit Fantasia et à Fantasia elle-même. L'HISTOIRE SANS FIN est un film qui donne envie de se plonger dans des livres à longueur de journée. C'est plutôt dommage que ce film ait assez mal vieilli, les décors font un peu kitsch aujourd'hui, mais à l'époque, ils ont tout de même réussi à me faire rêver étant enfant et ont rendu toute la fantasy du film très agréable - par contre, les effets spéciaux ont vraiment très mal vieilli. Le thème musical aussi joue beaucoup dans ce film, la musique donne une atmosphère assez intrigante et me fait un peu pensé à celle qu'il y a dans les Goonies.
On pourrait croire que toute la magie du film marche mieux quand on lit le livre dont est tiré le film car quand on lit L'Histoire sans fin écrit par Michael Ende et qu'on imagine l'histoire, les personnages et les lieux, l'histoire elle-même raconte l'histoire d'un garçon qui lit un livre qui s'appelle L'Histoire sans fin, du coup, on devient en quelque sorte Bastien qui lui même devient Atreyu. Pourtant, le réalisateur à réussi à provoquer cette même sensation magique à la fin de film quand l'Impératrice s’adresse à Atreyu et lui apprend l'existence de Bastien et que ce dernier à suivi ses aventures, elle rajoute en disant que Bastien lui-même n'a jamais été seul durant tout le long de sa lecture et en s’adressant à la caméra, on comprends que c'est à nous qu'elle fait référence, c'est l'audience qui a tenu compagnie à Bastien, on devient alors une personne à part entière et importante du film – cette scène me donne des frissons à chaque fois. La fin est signe de renouveau, Bastien, grâce a son imagination, redonne vie à Fantasia – symbolique lié à l'Auryn, le symbole sur le livre et le talisman de l'Impératrice qui représente l' Ouroboros qui symbolise un cycle d'évolution et de renouveau éternel.
Alors, on regarde ou pas ?
Les avis pour ce film restent mitigés et il n'a pas vraiment marché aux USA, pourtant ça reste un excellent film des années 80 qui véhicule un message important sur le pouvoir de l'imagination et en autre le pouvoir de surmonter le deuil. C'est un film que j'apprécie beaucoup car il fait parti intégrante de mon enfance et quand je le regardais, j'enviais à chaque fois Bastien d'avoir en sa possession un livre aussi merveilleux. Une petite chose à déplorer pour ce film, qui n'est pas vraiment en rapport avec le film en lui même, mais c'est la VF, la synchronisation est juste catastrophique. Pour conclure, L'HISTOIRE SANS FIN, c'est un film qui permet d'échapper à la réalité et d'accéder à un monde merveilleux basé sur le pouvoir de l'imagination et des rêves de chacun de nous.THE BREAKFAST CLUB est un film réalisé par John Hughes en 1985. Ce teen-movie va suivre cinq adolescents, aux personnalités divergentes, alors qu'ils se retrouvent en retenue au lycée tout un samedi pour des raisons qui reste inconnues jusqu’à la fin du film. Le professeur qui les surveille, Mr Vernon, leur demande d'écrire une dissertation au sujet compliqué et personnel qui n'est ni plus ni moins le thème du film: Qui-pensez vous être? Contre toutes attentes, ces ados différents des uns des autres vont commencer au fil de la journée à s'apprécié et à se rendre compte qu'ils ne sont pas aussi différent qu'ils le croyaient.
The Breakfast Club et les personnages stéréotypés
THE BREAKFAST CLUB a pour personnages principaux cinq adolescents, Claire the princess - interprétée par Molly Ringwald, Andie the athlete - interprété par Emilio Estevez, Brian the brain - interprété par Anthony Michael Hall, Allison the basketcase - interprétée par Ally Sheedy - et Bender the criminal - interprété par Judd Nelson. On a donc une représentation stéréotypé sur le fameux statut social typique des ados américain présent dans les teen-movies. Pourtant, il est vite compris qu'avec ce film, John Hughes va chambouler tous ces codes. En effet, au début de leur journée (le terme anglais "journey" ici serait tellement plus approprié), les cinq ados ne se connaissent pratiquement pas et sont même réticent à l'idée de se parler dû à leur statut social différent, qui est un sujet omniprésent tout au long de THE BREAKFAST CLUB. Dès le commencement du film, on est directement confronté à ce sujet quand Claire dit au principal Vernon "I don't belong here". En effet, elle veut sans doute dire qu'elle ne devrait tout simplement pas être en retenue, mais ici, John Hughes pose clairement un des sujets principaux du film. Il y a le thème de l’identité qui est aussi très présent dans le film avec cette question de dissertation à laquelle ils doivent répondre "Qui pensez-vous être ?". La suite enchaîne encore sur plusieurs questionnements: est-ce qu'un nerd peut être amis avec un populaire, peuvent-ils avoir le même cercle d'amis ? Nous pouvons nous-même se poser la question car au début du film, les personnages ne cessent de se quereller, surtout Bender, Andie et Claire, le marginal contre les deux populaires du lycée. Brian et surtout Allison sont quant à eux, un peu en retrait par rapport à ces trois personnages. Pourtant, lorsqu'ils se querellent, on commence à apprendre des informations importantes concernant les personnages, notamment sur leur vie familiale qui, pour chacun, est loin d'être parfaite, voire même dysfonctionnelle.Le monde difficile de l'adolescence ou comment s'accepter et accepter les autres
Pour moi, le moment déclic de ce film, c'est la scène du couloir car c'est à partir de ce moment-ci que l’atmosphère entre les jeunes va commencer à se détendre petit à petit (en plus de la marijuana). On va alors remarquer qu'il y a un bad guy présent dans le film qui n'est autre que Mr Vernon, qui est dépeint de manière assez négative et représente alors l’abus de l'autorité parentale. C'est le moment crucial où, petit à petit, chacun commence à s'ouvrir aux uns et aux autres et que le film commence alors à livrer des scènes très émouvantes et pleines de vérité. Commence alors une des choses importantes que John Hugues espérait sûrement avec ce film: pouvoir s'identifier aux personnages. Ces jeunes sont clairement dans une lutte perpétuelle contre eux-même mais aussi contre les autres, notamment leurs parents. Ce sont des choses que nous connaissons et que nous avons nous-même vécu, c'est donc difficile de ne pas s'identifier à eux et surtout, de ne pas s'attacher à eux.La scène où ils sont tous assis en rond est la scène la plus émouvante et la plus bouleversante du film. Les vérités éclatent, les masques tombent, ils se disputent encore sur ce fameux questionnement, peuvent-ils être amis malgré leurs différence, leur réputation respective et finalement, alors qu'ils sont tous en pleurs, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas si différent qu'ils l'avaient imaginé et qu’auprès de leurs amis, surtout dans le cas d'Andie et Claire, ils n'ont jamais été réellement eux même et ont dû porté un masque pour supporter cette pression constante à devoir s'adapter aux clans sociaux de leur lycée. Finalement, ils ont tous des problèmes similaires et se rendent compte que leur réputation sociale ne vaut rien. Allison et Andie / Claire et Bender ont des personnalités différentes, même complètement opposées et pourtant, ils finissent ensemble et donc par accepter l'autre tel qu'il est vraiment et commence en quelque sorte à partager leur monde. Ils acceptent leurs différences et la scène entre Claire et Bender, lorsqu'elle lui offre une de ses boucles d'oreilles, est clairement le symbole pour nous montrer que cette lutte est enfin finie. Quant à la scène finale, elle est parfaite. C'est Brian qui nous offre la réponse à toutes les questions et les doutes des personnages en répondant à la fameuse question de dissertation du début "Qui pensez-vous être ?", il écrit alors au nom de tous pour ainsi s'unir, effaçant alors toutes les différences qu'il pouvait y avoir entre eux.
❝We think you're crazy to make us write an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us, in the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain and an athlete and a basket case and a princess and a criminal... Does that answer your question? Sincerely yours, the Breakfast Club.❞ - Brian Johnson
Alors, on regarde ou pas ?
THE BREAKFAST CLUB est considéré comme étant LE chef-d'oeuvre de Hughes et je suis tout a fait d'accord. Pour de nombreuses personnes, il reste LE meilleur film/teen-movie des années 80 et je tiens à ajouter que ce film est devenu un classique et à marqué tellement de gens qu'il y a maintenant de nombreuses références dans beaucoup de films dont Easy A et dans des séries telles que Dawson ou encore Degrassi. Ceci est justifié car THE BREAKFAST CLUB est un fabuleux film qui a su décrire et comprendre à la perfection les adolescents d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Les acteurs sont tout simplement parfait et ont vraiment su rentrer dans la peau de leur personnage et ont réussi à véhiculer les bonnes émotions sans en faire trop et c'est sans étonnement qu'on peut voir ces acteurs dans de nombreux films des années 80. Comme je le disais plus haut, ce film a beau avoir trente ans, il reste d'actualité, c'est un film qui ne vieillira jamais car un jeune reste un jeune, que ce soit un ado de 1985 ou de 2015. Je suis sûre que vous avez tous probablement vu ce film mais si ce ne n'est pas le cas, je vous le conseille à 200% !BACK TO THE EIGHTIES • The Breakfast Club (1985).
THE BREAKFAST CLUB est un film réalisé par John Hughes en 1985. Ce teen-movie va suivre cinq adolescents, aux personnalités divergentes, alors qu'ils se retrouvent en retenue au lycée tout un samedi pour des raisons qui reste inconnues jusqu’à la fin du film. Le professeur qui les surveille, Mr Vernon, leur demande d'écrire une dissertation au sujet compliqué et personnel qui n'est ni plus ni moins le thème du film: Qui-pensez vous être? Contre toutes attentes, ces ados différents des uns des autres vont commencer au fil de la journée à s'apprécié et à se rendre compte qu'ils ne sont pas aussi différent qu'ils le croyaient.
The Breakfast Club et les personnages stéréotypés
THE BREAKFAST CLUB a pour personnages principaux cinq adolescents, Claire the princess - interprétée par Molly Ringwald, Andie the athlete - interprété par Emilio Estevez, Brian the brain - interprété par Anthony Michael Hall, Allison the basketcase - interprétée par Ally Sheedy - et Bender the criminal - interprété par Judd Nelson. On a donc une représentation stéréotypé sur le fameux statut social typique des ados américain présent dans les teen-movies. Pourtant, il est vite compris qu'avec ce film, John Hughes va chambouler tous ces codes. En effet, au début de leur journée (le terme anglais "journey" ici serait tellement plus approprié), les cinq ados ne se connaissent pratiquement pas et sont même réticent à l'idée de se parler dû à leur statut social différent, qui est un sujet omniprésent tout au long de THE BREAKFAST CLUB. Dès le commencement du film, on est directement confronté à ce sujet quand Claire dit au principal Vernon "I don't belong here". En effet, elle veut sans doute dire qu'elle ne devrait tout simplement pas être en retenue, mais ici, John Hughes pose clairement un des sujets principaux du film. Il y a le thème de l’identité qui est aussi très présent dans le film avec cette question de dissertation à laquelle ils doivent répondre "Qui pensez-vous être ?". La suite enchaîne encore sur plusieurs questionnements: est-ce qu'un nerd peut être amis avec un populaire, peuvent-ils avoir le même cercle d'amis ? Nous pouvons nous-même se poser la question car au début du film, les personnages ne cessent de se quereller, surtout Bender, Andie et Claire, le marginal contre les deux populaires du lycée. Brian et surtout Allison sont quant à eux, un peu en retrait par rapport à ces trois personnages. Pourtant, lorsqu'ils se querellent, on commence à apprendre des informations importantes concernant les personnages, notamment sur leur vie familiale qui, pour chacun, est loin d'être parfaite, voire même dysfonctionnelle.Le monde difficile de l'adolescence ou comment s'accepter et accepter les autres
Pour moi, le moment déclic de ce film, c'est la scène du couloir car c'est à partir de ce moment-ci que l’atmosphère entre les jeunes va commencer à se détendre petit à petit (en plus de la marijuana). On va alors remarquer qu'il y a un bad guy présent dans le film qui n'est autre que Mr Vernon, qui est dépeint de manière assez négative et représente alors l’abus de l'autorité parentale. C'est le moment crucial où, petit à petit, chacun commence à s'ouvrir aux uns et aux autres et que le film commence alors à livrer des scènes très émouvantes et pleines de vérité. Commence alors une des choses importantes que John Hugues espérait sûrement avec ce film: pouvoir s'identifier aux personnages. Ces jeunes sont clairement dans une lutte perpétuelle contre eux-même mais aussi contre les autres, notamment leurs parents. Ce sont des choses que nous connaissons et que nous avons nous-même vécu, c'est donc difficile de ne pas s'identifier à eux et surtout, de ne pas s'attacher à eux.La scène où ils sont tous assis en rond est la scène la plus émouvante et la plus bouleversante du film. Les vérités éclatent, les masques tombent, ils se disputent encore sur ce fameux questionnement, peuvent-ils être amis malgré leurs différence, leur réputation respective et finalement, alors qu'ils sont tous en pleurs, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas si différent qu'ils l'avaient imaginé et qu’auprès de leurs amis, surtout dans le cas d'Andie et Claire, ils n'ont jamais été réellement eux même et ont dû porté un masque pour supporter cette pression constante à devoir s'adapter aux clans sociaux de leur lycée. Finalement, ils ont tous des problèmes similaires et se rendent compte que leur réputation sociale ne vaut rien. Allison et Andie / Claire et Bender ont des personnalités différentes, même complètement opposées et pourtant, ils finissent ensemble et donc par accepter l'autre tel qu'il est vraiment et commence en quelque sorte à partager leur monde. Ils acceptent leurs différences et la scène entre Claire et Bender, lorsqu'elle lui offre une de ses boucles d'oreilles, est clairement le symbole pour nous montrer que cette lutte est enfin finie. Quant à la scène finale, elle est parfaite. C'est Brian qui nous offre la réponse à toutes les questions et les doutes des personnages en répondant à la fameuse question de dissertation du début "Qui pensez-vous être ?", il écrit alors au nom de tous pour ainsi s'unir, effaçant alors toutes les différences qu'il pouvait y avoir entre eux.
❝We think you're crazy to make us write an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us, in the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain and an athlete and a basket case and a princess and a criminal... Does that answer your question? Sincerely yours, the Breakfast Club.❞ - Brian Johnson
Alors, on regarde ou pas ?
THE BREAKFAST CLUB est considéré comme étant LE chef-d'oeuvre de Hughes et je suis tout a fait d'accord. Pour de nombreuses personnes, il reste LE meilleur film/teen-movie des années 80 et je tiens à ajouter que ce film est devenu un classique et à marqué tellement de gens qu'il y a maintenant de nombreuses références dans beaucoup de films dont Easy A et dans des séries telles que Dawson ou encore Degrassi. Ceci est justifié car THE BREAKFAST CLUB est un fabuleux film qui a su décrire et comprendre à la perfection les adolescents d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Les acteurs sont tout simplement parfait et ont vraiment su rentrer dans la peau de leur personnage et ont réussi à véhiculer les bonnes émotions sans en faire trop et c'est sans étonnement qu'on peut voir ces acteurs dans de nombreux films des années 80. Comme je le disais plus haut, ce film a beau avoir trente ans, il reste d'actualité, c'est un film qui ne vieillira jamais car un jeune reste un jeune, que ce soit un ado de 1985 ou de 2015. Je suis sûre que vous avez tous probablement vu ce film mais si ce ne n'est pas le cas, je vous le conseille à 200% !
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