Si vous êtes à la recherche d’une série à regarder sans prise de tête, que le gore ne vous fait pas éprouver du dégoût et que vous aimez le genre post-apocalyptique déjanté, je ne peux que vous conseiller de commencer Daybreak. Adapté du comics éponyme, Daybreak suit Josh, un adolescent de 17 ans qui est à la recherche de sa petite amie Sam après que sa ville, Greendale, fut bombardé par une arme chimique, ce qui transforma les adultes en Ghoulies (aka des zombies). Il sera rejoint dans sa quête par Angelica, une jeune fille surdouée et pyromane ainsi que de Weasley, ancien bully qui souhaite se repentir et qui est donc devenu un samouraï pacifiste. Tous les ados de la ville sont réunis en plusieurs clans, ce qui n’est pas sans rappeler les classes sociales typiques qu'on trouve dans l’enceinte d’un lycée, et passent la majorité du temps à s'entretuer.
Si on devait définir DAYBREAK, je dirais que c’est un mélange entre Mad Max et La Folle Journée de Ferris Bueller. Entre la série horrifique et le teen show classique, Daybreak est une série de pur divertissement et sans prise de tête. Les premiers épisodes sont excellents et très prenant et c’est assez dommage que la série ait une petite baisse de régime au milieu pour que l’action reprenne de plus belle des les deux derniers épisodes. On regrettera tout de même le manque de cohérence et de logique, la prévisibilité des plot-twists mais aussi la présence trop rare des Ghoulies, compte tenu de la nature de la série. Avec l’idée des gangs et des clans sociaux, on ne peut que dire que la série s’enfonce parfois dans les clichés mais on saluera les quelques discours, qui sont pour la plupart évoqués par des personnages féminins, qui se révèlent être justes et actuels. Il est clair que Daybreak n’a pas pour but d’analyser et de mieux comprendre les ados.
Sam, le personnage principal, est interprété par Colin Ford (précédemment vu dans Under the Dome) et on ne va pas se mentir, c’est un protagoniste plus que banal et qui ne se démarque absolument pas de la figure générique du gars qu’on retrouve généralement dans les teen movies ou teen dramas. La petite originalité du personnage est qu’il brise constamment le quatrième mur, ce qui est d’ailleurs un énorme clin d'oeil à Ferris Bueller. Le personnage qui se démarque le plus dans cette série, c’est indéniablement Angelica, interprété par la jeune Alyvia Alyn Lind. Âgée de 12 ans, l’actrice interprète un personnage avec une personnalité qui ne correspond pas normalement à une gamine de son âge. Angelica est une surdouée, à un langage outrancier et ne laisse pas marcher sur les pieds et tout au long de la série, c’est celle qui livrera les répliques les plus cinglantes. On retrouve également Matthew Broderick au casting. Sa présence est en soit un gros clin d’oeil au film La Folle Journée de Ferris Bueller, dont la série rend clairement un hommage. Broderick est surprenant dans son rôle, lui qui se fait très rare sur les écrans depuis le début des années 2000 et il prouve pourtant ici qu’il mérite bien sa place.
Daybreak est définitivement la série avec le cas de figure du “ça passe ou ça casse”. Elle ne joue par la carte de l'originalité, a des faiblesses évidentes mais bon sang, c’est la plupart du temps jouissif et c’est un plaisir à binge-watcher. La fin laisse un bon nombre de questions sans réponses, ce qui laisse la place pour une éventuelle saison 2 pour y répondre.
La saison 1 est disponible sur Netflix depuis le 24 octobre 2019.
Daybreak, une série post-apocalyptique absolument déjantée.
Si vous êtes à la recherche d’une série à regarder sans prise de tête, que le gore ne vous fait pas éprouver du dégoût et que vous aimez le genre post-apocalyptique déjanté, je ne peux que vous conseiller de commencer Daybreak. Adapté du comics éponyme, Daybreak suit Josh, un adolescent de 17 ans qui est à la recherche de sa petite amie Sam après que sa ville, Greendale, fut bombardé par une arme chimique, ce qui transforma les adultes en Ghoulies (aka des zombies). Il sera rejoint dans sa quête par Angelica, une jeune fille surdouée et pyromane ainsi que de Weasley, ancien bully qui souhaite se repentir et qui est donc devenu un samouraï pacifiste. Tous les ados de la ville sont réunis en plusieurs clans, ce qui n’est pas sans rappeler les classes sociales typiques qu'on trouve dans l’enceinte d’un lycée, et passent la majorité du temps à s'entretuer.
Si on devait définir DAYBREAK, je dirais que c’est un mélange entre Mad Max et La Folle Journée de Ferris Bueller. Entre la série horrifique et le teen show classique, Daybreak est une série de pur divertissement et sans prise de tête. Les premiers épisodes sont excellents et très prenant et c’est assez dommage que la série ait une petite baisse de régime au milieu pour que l’action reprenne de plus belle des les deux derniers épisodes. On regrettera tout de même le manque de cohérence et de logique, la prévisibilité des plot-twists mais aussi la présence trop rare des Ghoulies, compte tenu de la nature de la série. Avec l’idée des gangs et des clans sociaux, on ne peut que dire que la série s’enfonce parfois dans les clichés mais on saluera les quelques discours, qui sont pour la plupart évoqués par des personnages féminins, qui se révèlent être justes et actuels. Il est clair que Daybreak n’a pas pour but d’analyser et de mieux comprendre les ados.
Sam, le personnage principal, est interprété par Colin Ford (précédemment vu dans Under the Dome) et on ne va pas se mentir, c’est un protagoniste plus que banal et qui ne se démarque absolument pas de la figure générique du gars qu’on retrouve généralement dans les teen movies ou teen dramas. La petite originalité du personnage est qu’il brise constamment le quatrième mur, ce qui est d’ailleurs un énorme clin d'oeil à Ferris Bueller. Le personnage qui se démarque le plus dans cette série, c’est indéniablement Angelica, interprété par la jeune Alyvia Alyn Lind. Âgée de 12 ans, l’actrice interprète un personnage avec une personnalité qui ne correspond pas normalement à une gamine de son âge. Angelica est une surdouée, à un langage outrancier et ne laisse pas marcher sur les pieds et tout au long de la série, c’est celle qui livrera les répliques les plus cinglantes. On retrouve également Matthew Broderick au casting. Sa présence est en soit un gros clin d’oeil au film La Folle Journée de Ferris Bueller, dont la série rend clairement un hommage. Broderick est surprenant dans son rôle, lui qui se fait très rare sur les écrans depuis le début des années 2000 et il prouve pourtant ici qu’il mérite bien sa place.
Daybreak est définitivement la série avec le cas de figure du “ça passe ou ça casse”. Elle ne joue par la carte de l'originalité, a des faiblesses évidentes mais bon sang, c’est la plupart du temps jouissif et c’est un plaisir à binge-watcher. La fin laisse un bon nombre de questions sans réponses, ce qui laisse la place pour une éventuelle saison 2 pour y répondre.
La saison 1 est disponible sur Netflix depuis le 24 octobre 2019.
A force de voir la pub sur TFX et de voir par la suite que la série était disponible sur Prime Video, il n'en fallait pas plus pour que je me lance dans The Goldbergs et ce fut la meilleure décision de mon mois de septembre. Sitcom lancée en 2013, The Goldbergs est une série créer par Adam F. Goldberg qui, sous forme de fiction, rend hommage à sa propre famille. On suit donc les tribulations dans cette famille fantasque pendant les années 80 et qui est narré par une version fictive et âgé de Adam F. Goldberg, interprété par l’acteur Patton Oswalt.
De toutes les séries familiales que j'ai pu regarder, THE GOLDBERGS est devenue en peu de temps une de mes préférées. C'est drôle et parfois touchant, bien que la trame des épisodes est souvent répétitive (mais j’ai l’impression que c’est assez propre aux sitcoms). Dans le premier épisode, on fait donc la connaissance de cette drôle de famille: il y a Beverly (Wendi McLendon-Covey), la mère au foyer aimante et surprotectrice et Murray (Jeff Garlin), le père qui n'exprime pas ses sentiments et quand il n'est pas au boulot passe son temps devant la télé. Les enfants sont au nombre de trois avec Erica (Hayley Orrantia), l'aînée et élève populaire au lycée qui a une passion pour la musique, Barry (Troy Gentile), le cadet, est le genre de frère qui prend plaisir à malmener son petit frère et on finit donc par Adam (Sean Giambrone), le benjamin, le nerd qui aime les films et les figurines et qui adore créer ses propres films. Il y a également Pops (George Segal), le grand-père maternelle, encore très jeune dans sa tête et qui adore passer du temps avec Adam. Bien que les Goldberg soient une famille excentrique qui ne passe pas inaperçue, ils sont incroyablement attachants.
La série a la particularité de se passer dans les années 80, sans que l’année exacte ne soit jamais mentionné, procédé qui permet d’exploiter toute la pop culture des 80s. Ce procédé n'est évidemment pas sans défaut et c'est vrai que ce manque de continuité et de chronologie peut en déstabiliser plus d’un (par exemple, on ne sait pas vraiment combien d'années séparent vraiment la fratrie; au cours de la série, Adam fêtera deux fois ses 16 ans: une fois dans la saison 4 et l'autre fois dans la saison 5). Bref, au niveau de la temporalité, c'est un vrai capharnaüm. Il n’empêche que la série dégage une certaine nostalgie qui peut toucher un grand nombre de personne. Bien que The Goldbergs soit une lettre d’amour d’Adam F. Goldberg pour sa famille, c’est aussi une lettre d’amour pour les années 80 et il y a donc de nombreux hommages à divers films, séries et chansons tout au long de la série. Il y a d'ailleurs toujours un hommage principal le temps d’un épisode où les personnages reproduisent en quelque sortes les événements du film auquel il rend hommage. Il y a, par exemple, un épisode qui rend hommage au film Les Goonies dans la saison 1, où Adam se lance dans une chasse aux trésors, les personnages sont habillé comme les personnages du film et encore mieux, le grenier des Goldberg est pratiquement identique à celui de la famille de Mikey et Brand Walsh des Goonies. Si vous êtes fan des 80s comme moi, toutes ces références devraient vous plaire.
The Goldbergs a un côté très léger et feel good mais ça n'empêche pas d’avoir des personnages qui font face à différentes situations, certaines plus difficiles que d’autres, ce qui fait qu’on pourra s’identifier à certains d'entre eux. Pendant les 6 saisons, on verra notamment la fratrie grandir et faire face aux différents problèmes liés à l'adolescence. Cependant, on ne va se voiler la face, la série ne fait pas dans l’originale et fait extrêmement penser à d’autres séries qui ont été fait avant, notamment Malcolm et The Middle mais le contexte et l'interprétation des acteurs font qu'on continue tout de même de regarder. Le jeu des acteurs est parfois dans l’excès mais c'est ce qui fait fait le charme de la série et de ses personnages.
The Goldbergs fut un véritable coup de cœur et en l'espace de deux semaines, j'ai regardé l'intégralité de la série et mise à part une petite baisse de régime dans une petite flopée d’épisodes de la saison 6, j'ai savouré tous les épisodes. La série compte pour le moment 6 saisons et la septième est en cours de diffusion depuis le 25 septembre 2019 sur ABC.
Les saisons 1 à 5 sont disponibles sur Prime Video.
The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.
A force de voir la pub sur TFX et de voir par la suite que la série était disponible sur Prime Video, il n'en fallait pas plus pour que je me lance dans The Goldbergs et ce fut la meilleure décision de mon mois de septembre. Sitcom lancée en 2013, The Goldbergs est une série créer par Adam F. Goldberg qui, sous forme de fiction, rend hommage à sa propre famille. On suit donc les tribulations dans cette famille fantasque pendant les années 80 et qui est narré par une version fictive et âgé de Adam F. Goldberg, interprété par l’acteur Patton Oswalt.
De toutes les séries familiales que j'ai pu regarder, THE GOLDBERGS est devenue en peu de temps une de mes préférées. C'est drôle et parfois touchant, bien que la trame des épisodes est souvent répétitive (mais j’ai l’impression que c’est assez propre aux sitcoms). Dans le premier épisode, on fait donc la connaissance de cette drôle de famille: il y a Beverly (Wendi McLendon-Covey), la mère au foyer aimante et surprotectrice et Murray (Jeff Garlin), le père qui n'exprime pas ses sentiments et quand il n'est pas au boulot passe son temps devant la télé. Les enfants sont au nombre de trois avec Erica (Hayley Orrantia), l'aînée et élève populaire au lycée qui a une passion pour la musique, Barry (Troy Gentile), le cadet, est le genre de frère qui prend plaisir à malmener son petit frère et on finit donc par Adam (Sean Giambrone), le benjamin, le nerd qui aime les films et les figurines et qui adore créer ses propres films. Il y a également Pops (George Segal), le grand-père maternelle, encore très jeune dans sa tête et qui adore passer du temps avec Adam. Bien que les Goldberg soient une famille excentrique qui ne passe pas inaperçue, ils sont incroyablement attachants.
La série a la particularité de se passer dans les années 80, sans que l’année exacte ne soit jamais mentionné, procédé qui permet d’exploiter toute la pop culture des 80s. Ce procédé n'est évidemment pas sans défaut et c'est vrai que ce manque de continuité et de chronologie peut en déstabiliser plus d’un (par exemple, on ne sait pas vraiment combien d'années séparent vraiment la fratrie; au cours de la série, Adam fêtera deux fois ses 16 ans: une fois dans la saison 4 et l'autre fois dans la saison 5). Bref, au niveau de la temporalité, c'est un vrai capharnaüm. Il n’empêche que la série dégage une certaine nostalgie qui peut toucher un grand nombre de personne. Bien que The Goldbergs soit une lettre d’amour d’Adam F. Goldberg pour sa famille, c’est aussi une lettre d’amour pour les années 80 et il y a donc de nombreux hommages à divers films, séries et chansons tout au long de la série. Il y a d'ailleurs toujours un hommage principal le temps d’un épisode où les personnages reproduisent en quelque sortes les événements du film auquel il rend hommage. Il y a, par exemple, un épisode qui rend hommage au film Les Goonies dans la saison 1, où Adam se lance dans une chasse aux trésors, les personnages sont habillé comme les personnages du film et encore mieux, le grenier des Goldberg est pratiquement identique à celui de la famille de Mikey et Brand Walsh des Goonies. Si vous êtes fan des 80s comme moi, toutes ces références devraient vous plaire.
The Goldbergs a un côté très léger et feel good mais ça n'empêche pas d’avoir des personnages qui font face à différentes situations, certaines plus difficiles que d’autres, ce qui fait qu’on pourra s’identifier à certains d'entre eux. Pendant les 6 saisons, on verra notamment la fratrie grandir et faire face aux différents problèmes liés à l'adolescence. Cependant, on ne va se voiler la face, la série ne fait pas dans l’originale et fait extrêmement penser à d’autres séries qui ont été fait avant, notamment Malcolm et The Middle mais le contexte et l'interprétation des acteurs font qu'on continue tout de même de regarder. Le jeu des acteurs est parfois dans l’excès mais c'est ce qui fait fait le charme de la série et de ses personnages.
The Goldbergs fut un véritable coup de cœur et en l'espace de deux semaines, j'ai regardé l'intégralité de la série et mise à part une petite baisse de régime dans une petite flopée d’épisodes de la saison 6, j'ai savouré tous les épisodes. La série compte pour le moment 6 saisons et la septième est en cours de diffusion depuis le 25 septembre 2019 sur ABC.
Les saisons 1 à 5 sont disponibles sur Prime Video.
On connait tous la frustration et l'agacement de voir certaines séries annulées, notamment quand elles ne disposent pas d'une fin digne de ce nom. Dans cette troisième partie (dont j'ai d'ailleurs décidé de changer le nom, que je trouvais beaucoup trop long), on parlera donc de quatre séries annulées et qui, à mes yeux, auraient mérité de continuer ou du moins mérité une conclusion à la hauteur de la série. Vous pouvez également lire les parties précédentes si ce n'est pas encore fait.
The Gifted (2 saisons)
Un couple, dont les enfants ont développé des pouvoirs mutants, est obligé de fuir lorsque le gouvernement menace de les enfermer. Ils rejoignent un réseau clandestin de mutants cachés dans des souterrains et doivent rester unis pour survivre face à l'adversité...
Se déroulant dans l'univers des X-Men que j'adore tant, The Gifted avait tout pour me plaire et avait le potentiel d'aller très loin. J'avais beaucoup apprécié la première saison, et malgré quelques lenteurs dans la saison 2, j'avais globalement bien aimé l'intrigue de cette dernière. Les personnages avaient de belles évolutions, bien qu'il faut avouer que certains parcours étaient assez clichés mais assez proche de l'univers des X-Men. Vers la diffusion des derniers épisodes, il y avait des rumeurs comme quoi la série n'allait pas être renouvelée pour une troisième saison et quelle déception, notamment avec les dernières minutes du dernier épisode qui laissait présager une troisième saison du tonnerre.
Timeless (2 saisons)
Un trio improbable, composé d'une enseignante en histoire, d'un militaire et d'un scientifique, voyage à travers le temps afin d'arrêter un dangereux criminel, désireux de modifier le cours de l'Histoire telle que nous la connaissons.
Coup de cœur pour cette série, pour la passionnée de voyage dans le temps que je suis. Une bonne série d'aventure qui mettaient en scènes des moments importants de l'histoire américaine avec également l'apparition de figures historiques. Timeless a été annulée au bout de deux saisons mais a eu la chance d'avoir un téléfilm en deux parties pour conclure l'histoire. Un final plutôt décevant à mes yeux où tout se résout un peu trop vite et au final, on reste un peu sur notre faim. Timeless n'a peut être pas eu la fin qu'elle aurait dû avoir mais elle a eu le mérite d'avoir une vraie fin.
Suburgatory (3 saisons)
George Altman, un père divorcé décide de s'éloigner de New York pour vivre en banlieue et ainsi donner à sa fille de 16 ans, Tessa, une vie meilleure. Seulement, Tessa déteste tout ce que représente la banlieue.Je dois l'avouer, j'ai globalement assez peu de souvenirs de Suburgatory mais je sais qu'à l'époque, j'avais beaucoup accroché à cette série et à ses personnages hauts en couleurs et à la personnalité parfois bien barge. Tessa était un personnage sympathique qui faisait souvent preuve de sarcasme et de cynisme. La dernière scène du dernier épisode fait plaisir (ceux qui ont vu la série savent de quoi je parle) mais elle est complètement absurde et ne fonctionne pas, à mon sens, en tant que series finale mais étant donné que cette fin avait été écrite en tant que season finale, c'est compréhensible.
The Shannara Chronicles (2 saisons)
Des milliers d'années après l'extinction de la civilisation que nous connaissons, les Quatre Terres sont menacées par la mort imminente de l'Arbre protecteur Ellcrys qui renferme des forces terribles et obscures. A chaque feuille tombée, les démons se réveillent de l'au-delà. La princesse Amberle, le demi-elfe Wil et la solitaire Eretria commencent alors leur quête contre les forces du Mal. Ils sont guidés dans ce combat par le druide Allanon, lequel maîtrise la magie...The Shannara Chronicles était une bonne série de fantasy pour ados/jeunes adultes. Elle n'était pas des plus originale (bien que le contexte l'était puisque que la série se déroulait dans notre univers, des milliers d'années après l'extinction de notre civilisation) mais elle avait l'avantage d'être divertissante et je trouve qu'au niveau du rythme, il n'y avait pas trop de lenteurs. Alors oui, j'ai été déçu que la série soit annulée notamment au vu du dernier épisode qui fini, vous l'aurez deviné, en cliffhanger. On ne saura jamais ce qu'il adviendra de Will et sa bande, ce qui est bien dommage...
Ces séries qui nous ont quittés trop tôt (#3)
On connait tous la frustration et l'agacement de voir certaines séries annulées, notamment quand elles ne disposent pas d'une fin digne de ce nom. Dans cette troisième partie (dont j'ai d'ailleurs décidé de changer le nom, que je trouvais beaucoup trop long), on parlera donc de quatre séries annulées et qui, à mes yeux, auraient mérité de continuer ou du moins mérité une conclusion à la hauteur de la série. Vous pouvez également lire les parties précédentes si ce n'est pas encore fait.
The Gifted (2 saisons)
Un couple, dont les enfants ont développé des pouvoirs mutants, est obligé de fuir lorsque le gouvernement menace de les enfermer. Ils rejoignent un réseau clandestin de mutants cachés dans des souterrains et doivent rester unis pour survivre face à l'adversité...
Se déroulant dans l'univers des X-Men que j'adore tant, The Gifted avait tout pour me plaire et avait le potentiel d'aller très loin. J'avais beaucoup apprécié la première saison, et malgré quelques lenteurs dans la saison 2, j'avais globalement bien aimé l'intrigue de cette dernière. Les personnages avaient de belles évolutions, bien qu'il faut avouer que certains parcours étaient assez clichés mais assez proche de l'univers des X-Men. Vers la diffusion des derniers épisodes, il y avait des rumeurs comme quoi la série n'allait pas être renouvelée pour une troisième saison et quelle déception, notamment avec les dernières minutes du dernier épisode qui laissait présager une troisième saison du tonnerre.
Timeless (2 saisons)
Un trio improbable, composé d'une enseignante en histoire, d'un militaire et d'un scientifique, voyage à travers le temps afin d'arrêter un dangereux criminel, désireux de modifier le cours de l'Histoire telle que nous la connaissons.
Coup de cœur pour cette série, pour la passionnée de voyage dans le temps que je suis. Une bonne série d'aventure qui mettaient en scènes des moments importants de l'histoire américaine avec également l'apparition de figures historiques. Timeless a été annulée au bout de deux saisons mais a eu la chance d'avoir un téléfilm en deux parties pour conclure l'histoire. Un final plutôt décevant à mes yeux où tout se résout un peu trop vite et au final, on reste un peu sur notre faim. Timeless n'a peut être pas eu la fin qu'elle aurait dû avoir mais elle a eu le mérite d'avoir une vraie fin.
Suburgatory (3 saisons)
George Altman, un père divorcé décide de s'éloigner de New York pour vivre en banlieue et ainsi donner à sa fille de 16 ans, Tessa, une vie meilleure. Seulement, Tessa déteste tout ce que représente la banlieue.Je dois l'avouer, j'ai globalement assez peu de souvenirs de Suburgatory mais je sais qu'à l'époque, j'avais beaucoup accroché à cette série et à ses personnages hauts en couleurs et à la personnalité parfois bien barge. Tessa était un personnage sympathique qui faisait souvent preuve de sarcasme et de cynisme. La dernière scène du dernier épisode fait plaisir (ceux qui ont vu la série savent de quoi je parle) mais elle est complètement absurde et ne fonctionne pas, à mon sens, en tant que series finale mais étant donné que cette fin avait été écrite en tant que season finale, c'est compréhensible.
The Shannara Chronicles (2 saisons)
Des milliers d'années après l'extinction de la civilisation que nous connaissons, les Quatre Terres sont menacées par la mort imminente de l'Arbre protecteur Ellcrys qui renferme des forces terribles et obscures. A chaque feuille tombée, les démons se réveillent de l'au-delà. La princesse Amberle, le demi-elfe Wil et la solitaire Eretria commencent alors leur quête contre les forces du Mal. Ils sont guidés dans ce combat par le druide Allanon, lequel maîtrise la magie...The Shannara Chronicles était une bonne série de fantasy pour ados/jeunes adultes. Elle n'était pas des plus originale (bien que le contexte l'était puisque que la série se déroulait dans notre univers, des milliers d'années après l'extinction de notre civilisation) mais elle avait l'avantage d'être divertissante et je trouve qu'au niveau du rythme, il n'y avait pas trop de lenteurs. Alors oui, j'ai été déçu que la série soit annulée notamment au vu du dernier épisode qui fini, vous l'aurez deviné, en cliffhanger. On ne saura jamais ce qu'il adviendra de Will et sa bande, ce qui est bien dommage...
Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.
WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.
Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.
WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.
Working Girl, une comédie (romantique) dans la corporate jungle.
Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.
WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.
Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.
WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.
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