Je vous avais rapidement parlé dans mon article sur le duo suédois Forêt de Vin de la chaîne YouTube NewRetroWave mais je me suis dit qu'un article à part entière serait plus sympathique pour vous présenter ce petit paradis de musique et chansons synthwave.
NewRetroWave existe depuis Novembre 2011 et je vois leur chaîne comme une immense bibliothèque de musiques et chansons actuelles au son très 80s appartenant aux genres musicaux comprenant le retrowave, le dreamwave, la synthpop, etc. NewRetroWave m'a permis de découvrir cet univers musical qui m'était plutôt inconnu jusqu’à récemment. NewRetroWave, c'est aussi un site web où on trouve l'actualité musicale de groupe de synthwave, quelques reviews de films des années 80-90 mais également des t-shirts super beaux qui sont en vente.


Retrowave is a musical genre and growing culture that harnesses the sound, drive and sheer passion of the 80's-90's. It is one of the most refreshing sounds to hit the music scene and has been long overdue. Something amazing is building folks. A musical movement that brings back the retro passion and musicality to music we dearly missed. We are NewRetroWave.


Je trouve ça fascisant à quel point, culturellement, les années 80 inspirent et font encore rêver. Quand j'écoute des chansons sur NewRetroWave, je voyage, je suis transportée dans un autre univers, dans une autre décennie, celle des années 80 et il n'y a pas meilleure sensation. On est un peu dans l'idée de faire quelque chose de neuf avec du vieux et c'est tout simplement fabuleux. Celles que j'écoute le plus souvent sont celles de Forêt de Vin bien évidemment, mais aussi les chansons du groupe finlandais Freeweights et du groupe néerlandais Timecop1983 - vous aurez sans doute remarqué, ce sont surtout des groupes européens, ce que je trouve plutôt chouette.

Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.








NewRetroWave
YouTube • Site Web • Facebook • Twitter • Soundcloud





NewRetroWave, le paradis du synthwave.



Je vous avais rapidement parlé dans mon article sur le duo suédois Forêt de Vin de la chaîne YouTube NewRetroWave mais je me suis dit qu'un article à part entière serait plus sympathique pour vous présenter ce petit paradis de musique et chansons synthwave.
NewRetroWave existe depuis Novembre 2011 et je vois leur chaîne comme une immense bibliothèque de musiques et chansons actuelles au son très 80s appartenant aux genres musicaux comprenant le retrowave, le dreamwave, la synthpop, etc. NewRetroWave m'a permis de découvrir cet univers musical qui m'était plutôt inconnu jusqu’à récemment. NewRetroWave, c'est aussi un site web où on trouve l'actualité musicale de groupe de synthwave, quelques reviews de films des années 80-90 mais également des t-shirts super beaux qui sont en vente.


Retrowave is a musical genre and growing culture that harnesses the sound, drive and sheer passion of the 80's-90's. It is one of the most refreshing sounds to hit the music scene and has been long overdue. Something amazing is building folks. A musical movement that brings back the retro passion and musicality to music we dearly missed. We are NewRetroWave.


Je trouve ça fascisant à quel point, culturellement, les années 80 inspirent et font encore rêver. Quand j'écoute des chansons sur NewRetroWave, je voyage, je suis transportée dans un autre univers, dans une autre décennie, celle des années 80 et il n'y a pas meilleure sensation. On est un peu dans l'idée de faire quelque chose de neuf avec du vieux et c'est tout simplement fabuleux. Celles que j'écoute le plus souvent sont celles de Forêt de Vin bien évidemment, mais aussi les chansons du groupe finlandais Freeweights et du groupe néerlandais Timecop1983 - vous aurez sans doute remarqué, ce sont surtout des groupes européens, ce que je trouve plutôt chouette.

Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.








NewRetroWave
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write, writing







Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).


Pour cette dernière année de fac, j'avais décidé de prendre en option un cours d'audiovisuel qui consistait à écrire un synopsis et un scénario durant le premier semestre et de tourner le court-métrage durant le deuxième. Quand j'ai commencé le cours, je pensais qu'il n'y aurait pas de contrainte et qu'on aurait carte blanche. Mais notre professeur nous a alors dit que les années précédentes, les court-métrages des étudiants manquaient de quelque chose et elle a donc eu l'idée qu'on ferait quelque chose de différent cette année en adaptant un poème. Le film serait donc complètement muet à part pour le poème qui y serait récité en voix-off et ensuite ajouter en post-prod. Au début, j'étais un peu déçue, ayant peur que cela soit une énorme contrainte mais en fait, c'était vraiment une bonne idée. Premièrement, ça permet de faire un film plutôt expérimentale et artistique mais aussi une grande facilité concernant le choix des acteurs qui n'auraient donc pas à savoir parler anglais.

Nous sommes trois groupe de quatre dans ce cours. La prof avait sélectionné quelques poèmes que nous avions dû étudier pour ensuite faire un tirage au sort pour qu'il ne reste plus que trois poèmes et les trois poèmes choisis furent Her Kind d'Anne Sexton, Narcissus and Echo de Fred Chappell et Lonely Hearts de Wendy Cope. J'aimais beaucoup les trois poèmes et mes amies aimait moins Narcissus et Echo. La prof nous a d'abord demandé individuellement quel poème on préférait. On a donc eu Lonely Hearts. Lors de l'étude des poèmes, j'avais tout de suite eu l'idée d'un thriller pour Lonely Hearts où on suivrait alors un serial-killer cherchant ses victimes via des petites annonces ou via un site de rencontre. L'idée a plu à mes amies, on a donc choisi cette voie-là pour l'histoire. 

Commença alors un long travail d'écriture. Je dirais qu'on a surtout eu des difficulté pour trouver la fin, la prof n'étant pas satisfaite du premier jet. Elle voulait alors que notre personnage principal, le serial killer donc, se suicide à la fin du film. J'étais absolument contre cette idée. Elle voulait une fin surprenante et pourtant, je trouve que ce genre de fin ne sort pas vraiment de l'ordinaire, le tueur se sent coupable et se tue, c'est "fade" quand même. Du coup, on a écrit une fin comme-ça, à contre cœur. Au final, la prof nous a ensuite suggéré l'idée qu'on devrait ajouter un autre personnage principal, pour rajouter un peu de contenu dans le film. Nous avons donc inclus le personnage d'Ashley, une étudiante qui s’inscrit sur un site de rencontre pour le fun. C'est en ajoutant Ashley à l'histoire qu'on est allé contre l'idée de la prof et qu'on a rechangé la fin, une fin qui nous convenait vraiment et qui a finalement plu à notre professeur. Je n'en dis pas plus pour ne pas vous spoiler.

On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.

Je partage avec vous le pitch de notre court-métrage Lonely Hearts:
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.  
Je suis vraiment fière de l'histoire que nous avons créé et qu'elle fasse sens, car à la base, le poème Lonely Hearts est un poème qui parle de personnes qui ont des difficultés à trouver l'amour. Pas de serial killer en vue donc, pourtant, on a découvert qu'ils existent ce qu'on appelle des lonely hearts killers, une catégorie de tueurs qui trouvent leurs victimes via des petites annonces. On s'est d'ailleurs inspiré d'un lonely hearts killer pour le personnage d'Emile, en la personne d'Harvey Glatman, un tueur qui se faisait passer pour un photographe professionnel pour attirer ses victimes en leur promettant une carrière de mannequin.

A l'heure où je publie cet article, les auditions se tiennent demain, du coup vendredi 3 février, et neuf personnes, cinq hommes et quatre femmes nous ont déjà contacté pour incarner les deux personnages principaux. J'ai adoré être en contact avec eux, répondre à leurs questions et les renseigner. Franchement, avec les filles, on avait peur que personne ne participe au casting mais nous voilà rassurées. La suite au prochain épisode !



Court-métrage, la naissance du scénario.

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Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).


Pour cette dernière année de fac, j'avais décidé de prendre en option un cours d'audiovisuel qui consistait à écrire un synopsis et un scénario durant le premier semestre et de tourner le court-métrage durant le deuxième. Quand j'ai commencé le cours, je pensais qu'il n'y aurait pas de contrainte et qu'on aurait carte blanche. Mais notre professeur nous a alors dit que les années précédentes, les court-métrages des étudiants manquaient de quelque chose et elle a donc eu l'idée qu'on ferait quelque chose de différent cette année en adaptant un poème. Le film serait donc complètement muet à part pour le poème qui y serait récité en voix-off et ensuite ajouter en post-prod. Au début, j'étais un peu déçue, ayant peur que cela soit une énorme contrainte mais en fait, c'était vraiment une bonne idée. Premièrement, ça permet de faire un film plutôt expérimentale et artistique mais aussi une grande facilité concernant le choix des acteurs qui n'auraient donc pas à savoir parler anglais.

Nous sommes trois groupe de quatre dans ce cours. La prof avait sélectionné quelques poèmes que nous avions dû étudier pour ensuite faire un tirage au sort pour qu'il ne reste plus que trois poèmes et les trois poèmes choisis furent Her Kind d'Anne Sexton, Narcissus and Echo de Fred Chappell et Lonely Hearts de Wendy Cope. J'aimais beaucoup les trois poèmes et mes amies aimait moins Narcissus et Echo. La prof nous a d'abord demandé individuellement quel poème on préférait. On a donc eu Lonely Hearts. Lors de l'étude des poèmes, j'avais tout de suite eu l'idée d'un thriller pour Lonely Hearts où on suivrait alors un serial-killer cherchant ses victimes via des petites annonces ou via un site de rencontre. L'idée a plu à mes amies, on a donc choisi cette voie-là pour l'histoire. 

Commença alors un long travail d'écriture. Je dirais qu'on a surtout eu des difficulté pour trouver la fin, la prof n'étant pas satisfaite du premier jet. Elle voulait alors que notre personnage principal, le serial killer donc, se suicide à la fin du film. J'étais absolument contre cette idée. Elle voulait une fin surprenante et pourtant, je trouve que ce genre de fin ne sort pas vraiment de l'ordinaire, le tueur se sent coupable et se tue, c'est "fade" quand même. Du coup, on a écrit une fin comme-ça, à contre cœur. Au final, la prof nous a ensuite suggéré l'idée qu'on devrait ajouter un autre personnage principal, pour rajouter un peu de contenu dans le film. Nous avons donc inclus le personnage d'Ashley, une étudiante qui s’inscrit sur un site de rencontre pour le fun. C'est en ajoutant Ashley à l'histoire qu'on est allé contre l'idée de la prof et qu'on a rechangé la fin, une fin qui nous convenait vraiment et qui a finalement plu à notre professeur. Je n'en dis pas plus pour ne pas vous spoiler.

On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.

Je partage avec vous le pitch de notre court-métrage Lonely Hearts:
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.  
Je suis vraiment fière de l'histoire que nous avons créé et qu'elle fasse sens, car à la base, le poème Lonely Hearts est un poème qui parle de personnes qui ont des difficultés à trouver l'amour. Pas de serial killer en vue donc, pourtant, on a découvert qu'ils existent ce qu'on appelle des lonely hearts killers, une catégorie de tueurs qui trouvent leurs victimes via des petites annonces. On s'est d'ailleurs inspiré d'un lonely hearts killer pour le personnage d'Emile, en la personne d'Harvey Glatman, un tueur qui se faisait passer pour un photographe professionnel pour attirer ses victimes en leur promettant une carrière de mannequin.

A l'heure où je publie cet article, les auditions se tiennent demain, du coup vendredi 3 février, et neuf personnes, cinq hommes et quatre femmes nous ont déjà contacté pour incarner les deux personnages principaux. J'ai adoré être en contact avec eux, répondre à leurs questions et les renseigner. Franchement, avec les filles, on avait peur que personne ne participe au casting mais nous voilà rassurées. La suite au prochain épisode !



Crazyhead; Chewing Gum 2016




Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !


Crazyhead

Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.

On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.


Chewing Gum

Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.

Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.




Crazyhead et Chewing Gum, deux séries british déjantées.

Crazyhead; Chewing Gum 2016




Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !


Crazyhead

Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.

On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.


Chewing Gum

Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.

Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.







Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


INSTANT CINOCHE • Turbo Kid (2015).




Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.


Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.


Turbo Kid gif

Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.

Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.


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