Parce que c'est les vacances et bientôt l'été, mon envie de lectures légères est assez grandissante. J'ai besoin de romans qui se déroulent dans des lycées américains clichés, des romans avec des histoires d'amours qui n'arrivent pas dans le quotidien de la vie réelle ou des romans qui me fassent secrètement fantasmer sur le fait que j'aurais adoré vivre une adolescence où des tas de péripéties puissent m'arriver. Bref, j'ai besoin de m'évader du quotidien et voilà la book wishlist parfaite pour y parvenir.
ELIZA AND HER MONSTERS de Francesca Zappia.
Encore un roman que pourraient apprécier ceux qui ont aimé Fangirl. Eliza, dix-huit ans, est la créatrice anonyme d'un web comic assez populaire sur Internet. Son monde va être chamboulé quand un nouvel élève arrive a son lycée, elle se demande si elle ne devrait pas se déconnecter un peu plus de son monde imaginaire. J'aime tellement ce genre d'histoire où le personnage principal est quelqu'un d'introvertie avec une passion créative, c'est alors facile de s'identifier à eux.
Ou quand la couverture fait son effet car tout ce que je sais de l'histoire est que ça implique deux sœurs et Caraval, un spectacle où la magie, l'aventure et le mystère s’entremêlent. Je ne sais même pas si on peut considérer cette lecture comme un roman YA mais who cares. Apparemment, c'est vaguement similaire à The Night Circus de Erin Morgenstern, que j'avais moyennement aimé mais cette couverture est trop belle pour qu'elle ne fasse pas partie de ma bibliothèque. Disponible en VF aux éditions Bayard.
WE ARE OKAY de Nina LaCour.
Je suis faible mais la principale raison de la présence de ce roman dans la wishlist est la couverture bien évidemment. Je ne sais vraiment rien de ce roman à part que le personnage principal, Marin, est en plein deuil. Ça promet tout de même d'être une lecture pleine d’émotions.
THE UPSIDE OF UNREQUITED de Becky Albertalli.
J'avais beaucoup aimé le premier roman de Becky Albertalli, Simon vs. the Homo Sapiens Agenda. Ici, je sens que je vais m'attacher au personnage principal, Molly, qui a la particularité d'avoir beaucoup de crushes, un peu comme moi quand j'étais plus jeune. Quand la sœur jumelle de Molly, Cassie, se trouve une copine qui traîne avec un mec mignon, Molly se dit que c'est peut-être sa chance de sortir elle aussi avec quelqu'un. C'est sans compter sur le collègue de Molly, sur qui elle pourrait éventuellement craquer aussi. Ce roman m'a vraiment l'air très sympa à lire.
THE INEXPLICABLE LOGIC OF MY LIFE de Benjamin Alire Saenz.
Benjamin Alire Saenz est également l'auteur d'un roman que j'avais beaucoup apprécié, Aristotle and Dante Discover the Secrets of the Universe. Ici, on suit Sal, un adolescent qui a été adopté par un homme homosexuel et qui vit parmi une famille mexicaine. Alors qu'il se sentait heureux dans son existence, Sal commence à se poser des questions sur sa vie, commençant alors à avoir des doutes sur lui-même. Connaissant la plume de l'auteur, ce roman promet d'être un petit bijou et donc une très belle lecture.
Young Adult Book Wishlist.
Parce que c'est les vacances et bientôt l'été, mon envie de lectures légères est assez grandissante. J'ai besoin de romans qui se déroulent dans des lycées américains clichés, des romans avec des histoires d'amours qui n'arrivent pas dans le quotidien de la vie réelle ou des romans qui me fassent secrètement fantasmer sur le fait que j'aurais adoré vivre une adolescence où des tas de péripéties puissent m'arriver. Bref, j'ai besoin de m'évader du quotidien et voilà la book wishlist parfaite pour y parvenir.
ELIZA AND HER MONSTERS de Francesca Zappia.
Encore un roman que pourraient apprécier ceux qui ont aimé Fangirl. Eliza, dix-huit ans, est la créatrice anonyme d'un web comic assez populaire sur Internet. Son monde va être chamboulé quand un nouvel élève arrive a son lycée, elle se demande si elle ne devrait pas se déconnecter un peu plus de son monde imaginaire. J'aime tellement ce genre d'histoire où le personnage principal est quelqu'un d'introvertie avec une passion créative, c'est alors facile de s'identifier à eux.
Ou quand la couverture fait son effet car tout ce que je sais de l'histoire est que ça implique deux sœurs et Caraval, un spectacle où la magie, l'aventure et le mystère s’entremêlent. Je ne sais même pas si on peut considérer cette lecture comme un roman YA mais who cares. Apparemment, c'est vaguement similaire à The Night Circus de Erin Morgenstern, que j'avais moyennement aimé mais cette couverture est trop belle pour qu'elle ne fasse pas partie de ma bibliothèque. Disponible en VF aux éditions Bayard.
WE ARE OKAY de Nina LaCour.
Je suis faible mais la principale raison de la présence de ce roman dans la wishlist est la couverture bien évidemment. Je ne sais vraiment rien de ce roman à part que le personnage principal, Marin, est en plein deuil. Ça promet tout de même d'être une lecture pleine d’émotions.
THE UPSIDE OF UNREQUITED de Becky Albertalli.
J'avais beaucoup aimé le premier roman de Becky Albertalli, Simon vs. the Homo Sapiens Agenda. Ici, je sens que je vais m'attacher au personnage principal, Molly, qui a la particularité d'avoir beaucoup de crushes, un peu comme moi quand j'étais plus jeune. Quand la sœur jumelle de Molly, Cassie, se trouve une copine qui traîne avec un mec mignon, Molly se dit que c'est peut-être sa chance de sortir elle aussi avec quelqu'un. C'est sans compter sur le collègue de Molly, sur qui elle pourrait éventuellement craquer aussi. Ce roman m'a vraiment l'air très sympa à lire.
THE INEXPLICABLE LOGIC OF MY LIFE de Benjamin Alire Saenz.
Benjamin Alire Saenz est également l'auteur d'un roman que j'avais beaucoup apprécié, Aristotle and Dante Discover the Secrets of the Universe. Ici, on suit Sal, un adolescent qui a été adopté par un homme homosexuel et qui vit parmi une famille mexicaine. Alors qu'il se sentait heureux dans son existence, Sal commence à se poser des questions sur sa vie, commençant alors à avoir des doutes sur lui-même. Connaissant la plume de l'auteur, ce roman promet d'être un petit bijou et donc une très belle lecture.
L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.
L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.
L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.
On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.
Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.
Pourquoi les suites de L'Histoire sans Fin n'égalent pas le premier film ?
L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.
L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.
L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.
On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.
Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.
Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Séries TV & Nostalgie : La Trilogie du Samedi
Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
Court-métrage, le tournage et la post-prod.
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION