Parce que c'est les vacances et bientôt l'été, mon envie de lectures légères est assez grandissante. J'ai besoin de romans qui se déroulent dans des lycées américains clichés, des romans avec des histoires d'amours qui n'arrivent pas dans le quotidien de la vie réelle ou des romans qui me fassent secrètement fantasmer sur le fait que j'aurais adoré vivre une adolescence où des tas de péripéties puissent m'arriver. Bref, j'ai besoin de m'évader du quotidien et voilà la book wishlist parfaite pour y parvenir.



YA Book Wishlist

ONE OF US IS LYING de Karen M. McManus
Ce roman est décrit comme la rencontre entre The Breakfast Club et Pretty Little Liars, ça m'a l'air donc d'être assez prometteur. One of Us is Lying raconte l'histoire de cinq lycéens, un criminel, un athlète, un génie, une princesse et un détraqué en retenue (on sent vraiment la vibe TBC) sauf qu'un d'entre eux fini par être assassiné. Le suspect se cache parmi les quatre survivants et chacun a quelque chose à cacher.

RADIO SILENCE d'Alice Oseman.
Ici, ce fut un coup de cœur couverture et le fait que l'auteur ait tout juste un an de plus que moi m'a donné encore plus envie de lire le roman. Apparemment, d'après les critiques, si vous avez aimé Fangirl de Rainbow Rowell, vous apprécierez également ce roman. On y suit Frances qui est une personne assez réservée qui passe son temps à étudier mais aussi à écouter une série de podcasts appelée City Verse géré par une personne dans l’anonymat et Frances va finir par recevoir un message par cette personne. Je n'en sais pas plus mais ça me va et il y aurait apparemment pas mal de personnages LGBTQ+ donc ça m’intéresse d'autant plus. Disponible en VF aux édition Nathan sous le titre Silence Radio à partir du 8 juin.

ELIZA AND HER MONSTERS de Francesca Zappia.
Encore un roman que pourraient apprécier ceux qui ont aimé Fangirl. Eliza, dix-huit ans, est la créatrice anonyme d'un web comic assez populaire sur Internet. Son monde va être chamboulé quand un nouvel élève arrive a son lycée, elle se demande si elle ne devrait pas se déconnecter un peu plus de son monde imaginaire. J'aime tellement ce genre d'histoire où le personnage principal est quelqu'un d'introvertie avec une passion créative, c'est alors facile de s'identifier à eux.

CARAVAL de Stephanie Garber.
Ou quand la couverture fait son effet car tout ce que je sais de l'histoire est que ça implique deux sœurs et Caraval, un spectacle où la magie, l'aventure et le mystère s’entremêlent. Je ne sais même pas si on peut considérer cette lecture comme un roman YA mais who cares. Apparemment, c'est vaguement similaire à The Night Circus de Erin Morgenstern, que j'avais moyennement aimé mais cette couverture est trop belle pour qu'elle ne fasse pas partie de ma bibliothèque. Disponible en VF aux éditions Bayard.


YA Book Wishlist















WE ARE OKAY de Nina LaCour.
Je suis faible mais la principale raison de la présence de ce roman dans la wishlist est la couverture bien évidemment. Je ne sais vraiment rien de ce roman à part que le personnage principal, Marin, est en plein deuil. Ça promet tout de même d'être une lecture pleine d’émotions.

PS: I STILL LOVE YOU de Jenny Han.
J'avais lu le premier tome il y deux ans et je l'ai relu il y a quelques jours, faute d'avoir d'autres livres à lire. Je l'ai lu en à peine une journée et j'avais oublié a quel point ce livre était rafraîchissant, la lecture feel good typique qui m'a donné envie de continuer la trilogie. Du coup, j'ai hâte de le commander pendant que c'est frais dans mon esprit. Je ne peux pas trop vous raconter l'histoire car ça spoilerai le premier tome donc je vous invite à lire le synopsis du premier livre iciDisponible en VF aux éditions Panini sous le titre PS: Je t'aime toujours...

THE UPSIDE OF UNREQUITED de Becky Albertalli.
J'avais beaucoup aimé le premier roman de Becky Albertalli, Simon vs. the Homo Sapiens Agenda. Ici, je sens que je vais m'attacher au personnage principal, Molly, qui a la particularité d'avoir beaucoup de crushes, un peu comme moi quand j'étais plus jeune. Quand la sœur jumelle de Molly, Cassie, se trouve une copine qui traîne avec un mec mignon, Molly se dit que c'est peut-être sa chance de sortir elle aussi avec quelqu'un. C'est sans compter sur le collègue de Molly, sur qui elle pourrait éventuellement craquer aussi. Ce roman m'a vraiment l'air très sympa à lire.

THE INEXPLICABLE LOGIC OF MY LIFE de Benjamin Alire Saenz.
Benjamin Alire Saenz est également l'auteur d'un roman que j'avais beaucoup apprécié, Aristotle and Dante Discover the Secrets of the Universe. Ici, on suit Sal, un adolescent qui a été adopté par un homme homosexuel et qui vit parmi une famille mexicaine. Alors qu'il se sentait heureux dans son existence, Sal commence à se poser des questions sur sa vie, commençant alors à avoir des doutes sur lui-même. Connaissant la plume de l'auteur, ce roman promet d'être un petit bijou et donc une très belle lecture.



Et vous, quels romans vous font envie en ce moment ?




Young Adult Book Wishlist.



Parce que c'est les vacances et bientôt l'été, mon envie de lectures légères est assez grandissante. J'ai besoin de romans qui se déroulent dans des lycées américains clichés, des romans avec des histoires d'amours qui n'arrivent pas dans le quotidien de la vie réelle ou des romans qui me fassent secrètement fantasmer sur le fait que j'aurais adoré vivre une adolescence où des tas de péripéties puissent m'arriver. Bref, j'ai besoin de m'évader du quotidien et voilà la book wishlist parfaite pour y parvenir.



YA Book Wishlist

ONE OF US IS LYING de Karen M. McManus
Ce roman est décrit comme la rencontre entre The Breakfast Club et Pretty Little Liars, ça m'a l'air donc d'être assez prometteur. One of Us is Lying raconte l'histoire de cinq lycéens, un criminel, un athlète, un génie, une princesse et un détraqué en retenue (on sent vraiment la vibe TBC) sauf qu'un d'entre eux fini par être assassiné. Le suspect se cache parmi les quatre survivants et chacun a quelque chose à cacher.

RADIO SILENCE d'Alice Oseman.
Ici, ce fut un coup de cœur couverture et le fait que l'auteur ait tout juste un an de plus que moi m'a donné encore plus envie de lire le roman. Apparemment, d'après les critiques, si vous avez aimé Fangirl de Rainbow Rowell, vous apprécierez également ce roman. On y suit Frances qui est une personne assez réservée qui passe son temps à étudier mais aussi à écouter une série de podcasts appelée City Verse géré par une personne dans l’anonymat et Frances va finir par recevoir un message par cette personne. Je n'en sais pas plus mais ça me va et il y aurait apparemment pas mal de personnages LGBTQ+ donc ça m’intéresse d'autant plus. Disponible en VF aux édition Nathan sous le titre Silence Radio à partir du 8 juin.

ELIZA AND HER MONSTERS de Francesca Zappia.
Encore un roman que pourraient apprécier ceux qui ont aimé Fangirl. Eliza, dix-huit ans, est la créatrice anonyme d'un web comic assez populaire sur Internet. Son monde va être chamboulé quand un nouvel élève arrive a son lycée, elle se demande si elle ne devrait pas se déconnecter un peu plus de son monde imaginaire. J'aime tellement ce genre d'histoire où le personnage principal est quelqu'un d'introvertie avec une passion créative, c'est alors facile de s'identifier à eux.

CARAVAL de Stephanie Garber.
Ou quand la couverture fait son effet car tout ce que je sais de l'histoire est que ça implique deux sœurs et Caraval, un spectacle où la magie, l'aventure et le mystère s’entremêlent. Je ne sais même pas si on peut considérer cette lecture comme un roman YA mais who cares. Apparemment, c'est vaguement similaire à The Night Circus de Erin Morgenstern, que j'avais moyennement aimé mais cette couverture est trop belle pour qu'elle ne fasse pas partie de ma bibliothèque. Disponible en VF aux éditions Bayard.


YA Book Wishlist















WE ARE OKAY de Nina LaCour.
Je suis faible mais la principale raison de la présence de ce roman dans la wishlist est la couverture bien évidemment. Je ne sais vraiment rien de ce roman à part que le personnage principal, Marin, est en plein deuil. Ça promet tout de même d'être une lecture pleine d’émotions.

PS: I STILL LOVE YOU de Jenny Han.
J'avais lu le premier tome il y deux ans et je l'ai relu il y a quelques jours, faute d'avoir d'autres livres à lire. Je l'ai lu en à peine une journée et j'avais oublié a quel point ce livre était rafraîchissant, la lecture feel good typique qui m'a donné envie de continuer la trilogie. Du coup, j'ai hâte de le commander pendant que c'est frais dans mon esprit. Je ne peux pas trop vous raconter l'histoire car ça spoilerai le premier tome donc je vous invite à lire le synopsis du premier livre iciDisponible en VF aux éditions Panini sous le titre PS: Je t'aime toujours...

THE UPSIDE OF UNREQUITED de Becky Albertalli.
J'avais beaucoup aimé le premier roman de Becky Albertalli, Simon vs. the Homo Sapiens Agenda. Ici, je sens que je vais m'attacher au personnage principal, Molly, qui a la particularité d'avoir beaucoup de crushes, un peu comme moi quand j'étais plus jeune. Quand la sœur jumelle de Molly, Cassie, se trouve une copine qui traîne avec un mec mignon, Molly se dit que c'est peut-être sa chance de sortir elle aussi avec quelqu'un. C'est sans compter sur le collègue de Molly, sur qui elle pourrait éventuellement craquer aussi. Ce roman m'a vraiment l'air très sympa à lire.

THE INEXPLICABLE LOGIC OF MY LIFE de Benjamin Alire Saenz.
Benjamin Alire Saenz est également l'auteur d'un roman que j'avais beaucoup apprécié, Aristotle and Dante Discover the Secrets of the Universe. Ici, on suit Sal, un adolescent qui a été adopté par un homme homosexuel et qui vit parmi une famille mexicaine. Alors qu'il se sentait heureux dans son existence, Sal commence à se poser des questions sur sa vie, commençant alors à avoir des doutes sur lui-même. Connaissant la plume de l'auteur, ce roman promet d'être un petit bijou et donc une très belle lecture.



Et vous, quels romans vous font envie en ce moment ?




L'Histoire sans fin 2 et 3

L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.



L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre
 (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.


L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia
 (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.


On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.

Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.


Avez-vous ces suites ? Qu'en avez-vous pensé ?



Pourquoi les suites de L'Histoire sans Fin n'égalent pas le premier film ?

L'Histoire sans fin 2 et 3

L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.



L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre
 (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.


L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia
 (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.


On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.

Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.


Avez-vous ces suites ? Qu'en avez-vous pensé ?



La Trilogie du Samedi Charmed Smalville Buffy JPG


Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.



CHARMED (1998-2006)

Charmed JPG

Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.


SMALLVILLE (2001-2011)

Smallville JPG

Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.


BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)

Buffy contre les vampires JPG

Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan ! 


Et vous, la Trilogie du Samedi fait-elle partie de votre enfance/adolescence ?




Séries TV & Nostalgie : La Trilogie du Samedi

La Trilogie du Samedi Charmed Smalville Buffy JPG


Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.



CHARMED (1998-2006)

Charmed JPG

Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.


SMALLVILLE (2001-2011)

Smallville JPG

Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.


BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)

Buffy contre les vampires JPG

Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan ! 


Et vous, la Trilogie du Samedi fait-elle partie de votre enfance/adolescence ?





Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.



LE TOURNAGE
Tournage Court-Métrage

Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.

Concernant les acteurs, l'acteur principal qui interprète Emile a été très pro et il a fait du bon boulot, et on voyait qu'il était intéressé par le projet. Il a vraiment un visage intéressant et une intensité dans le regard qui peut être assez sombre, il était vraiment parfait pour le rôle mais on s'en doutait vu la performance qu'il nous avait livré à la séance de casting. Il avait littéralement renverser la table par terre, impressionnant et terrifiant à la fois. Les scènes de meurtres se sont également bien passées et pour un court-métrage amateur avec des acteurs amateurs, ça rend plutôt bien et c'est ça le plus important. Concernant l'actrice qui interprète Ashley, l'autre personnage principal, le niveau était un peu plus en deçà par rapport à l'autre acteur et elle semblait avoir perdu de l’intérêt au fur et à mesure du tournage. Cependant, ce n'est pas très dérangeant car son personnage était moins important que celui d'Emile. Au final, ses scènes rendait tout de même bien à l'écran.

Un des paramètres auxquels il faut penser durant un tournage sont les faux-raccords, surtout quand on tourne des scènes censées se passer dans la même journée alors qu'on les tourne à des moments différents. Il me semble que le seul faux-raccord qu'on ait est une scène où le personnage féminin n'est pas habillé pareil, n'ayant pas les mêmes chaussures et ayant une veste en cuir en plus que dans la scène précédente et la scène qui la suit mais ce n'est pas si dérangeant que ça car il y a une autre scène totalement différente entre ces plans donc ça ne se remarque pas trop.

On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.


LA POST-PRODUCTION

Post Production Court Métrage
Quand le tournage s'est terminé, on était plus que soulagé. On se disait que le montage serait la partie la plus facile du processus mais en fin de compte, loin de là. Il y a surtout eu une difficulté au niveau des voix-off, celle du personnage principal masculin et celle du personnage principal féminin récitant le poème qui est à l'origine du court-métrage. Ces voix-off ne sont pas les voix des acteurs de notre film car on avait besoin de voix ayant un accent anglais parfait. Nous avons donc demandé à nos lecteurs (des étudiants étrangers qui enseignent leur langue dans des établissement scolaires). Cependant, nous étions en période d'examens donc c'était compliqué de trouver un moment pour enregistrer leurs voix, surtout que le lecteur qui devait faire la voix de notre personnage principal masculin a mis beaucoup de temps à répondre à mes mails. Cependant, on a pu trouver un créneau qui arrangeait tout le monde et c'était une chose à faire en moins.

Une autre difficulté à été d'apprivoiser le logiciel Final Cut Pro X. Ce logiciel est tellement complexe qu'on a mis du temps et du temps à découvrir où se trouvait la section pour les effets et les transitions mais aussi pour trouver comment faire un simple générique. Tout ça pour dire qu'on a fini de monter le court-métrage juste une journée avant la projection.

Le fait de n'avoir pas de dialogue pose aussi problème au niveau sonore. Les voix-off sont dispersées tout au long du film, il y a donc des séquences où il n'y a rien du tout. Il fallait donc trouver de la musique pour combler ces vides. Grace à mon logiciel Magix Music Maker, j'ai pu faire la musique du générique de début, celle du générique de fin et deux autres musiques qu'on retrouve dans le film. Ça rend vraiment bien, ça rajoute vraiment un coté unique au court-métrage vu qu'on ne retrouvera la musique nulle part ailleurs. Mais mon logiciel est assez limité et je n'ai pas pu faire toutes les musiques. Vient alors le moment de trouver de la musique qui colle au court-métrage. Une des nombreuses difficultés liées au film, c'est que c'est un thriller, avec notre personnage principal qui tue des jeunes femmes mais qu'en parallèle, on a un autre personnage principal qui a une vie tranquille et qui rencontre des mecs contactés via un site de rencontre. Nous avons donc une musique plutôt sombre pour les scènes avec Emile et une musique plus légère pour les scènes avec Ashley et c'est là que cela se complique car il faut que les deux genres musicaux arrivent à bien se mélanger. Cependant, je pense qu'on a réussi à faire quelque chose de correct sans que ça ne fasse trop cliché. Il y a une composition de Chopin - je ne sais plus laquelle par contre - qui rend vraiment bien avec les scènes d'Emile et des musiques plus modernes, qu'on a trouvé sur Youtube, pour les scènes avec Ashley.

Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.



Court-métrage, le tournage et la post-prod.


Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.



LE TOURNAGE
Tournage Court-Métrage

Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.

Concernant les acteurs, l'acteur principal qui interprète Emile a été très pro et il a fait du bon boulot, et on voyait qu'il était intéressé par le projet. Il a vraiment un visage intéressant et une intensité dans le regard qui peut être assez sombre, il était vraiment parfait pour le rôle mais on s'en doutait vu la performance qu'il nous avait livré à la séance de casting. Il avait littéralement renverser la table par terre, impressionnant et terrifiant à la fois. Les scènes de meurtres se sont également bien passées et pour un court-métrage amateur avec des acteurs amateurs, ça rend plutôt bien et c'est ça le plus important. Concernant l'actrice qui interprète Ashley, l'autre personnage principal, le niveau était un peu plus en deçà par rapport à l'autre acteur et elle semblait avoir perdu de l’intérêt au fur et à mesure du tournage. Cependant, ce n'est pas très dérangeant car son personnage était moins important que celui d'Emile. Au final, ses scènes rendait tout de même bien à l'écran.

Un des paramètres auxquels il faut penser durant un tournage sont les faux-raccords, surtout quand on tourne des scènes censées se passer dans la même journée alors qu'on les tourne à des moments différents. Il me semble que le seul faux-raccord qu'on ait est une scène où le personnage féminin n'est pas habillé pareil, n'ayant pas les mêmes chaussures et ayant une veste en cuir en plus que dans la scène précédente et la scène qui la suit mais ce n'est pas si dérangeant que ça car il y a une autre scène totalement différente entre ces plans donc ça ne se remarque pas trop.

On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.


LA POST-PRODUCTION

Post Production Court Métrage
Quand le tournage s'est terminé, on était plus que soulagé. On se disait que le montage serait la partie la plus facile du processus mais en fin de compte, loin de là. Il y a surtout eu une difficulté au niveau des voix-off, celle du personnage principal masculin et celle du personnage principal féminin récitant le poème qui est à l'origine du court-métrage. Ces voix-off ne sont pas les voix des acteurs de notre film car on avait besoin de voix ayant un accent anglais parfait. Nous avons donc demandé à nos lecteurs (des étudiants étrangers qui enseignent leur langue dans des établissement scolaires). Cependant, nous étions en période d'examens donc c'était compliqué de trouver un moment pour enregistrer leurs voix, surtout que le lecteur qui devait faire la voix de notre personnage principal masculin a mis beaucoup de temps à répondre à mes mails. Cependant, on a pu trouver un créneau qui arrangeait tout le monde et c'était une chose à faire en moins.

Une autre difficulté à été d'apprivoiser le logiciel Final Cut Pro X. Ce logiciel est tellement complexe qu'on a mis du temps et du temps à découvrir où se trouvait la section pour les effets et les transitions mais aussi pour trouver comment faire un simple générique. Tout ça pour dire qu'on a fini de monter le court-métrage juste une journée avant la projection.

Le fait de n'avoir pas de dialogue pose aussi problème au niveau sonore. Les voix-off sont dispersées tout au long du film, il y a donc des séquences où il n'y a rien du tout. Il fallait donc trouver de la musique pour combler ces vides. Grace à mon logiciel Magix Music Maker, j'ai pu faire la musique du générique de début, celle du générique de fin et deux autres musiques qu'on retrouve dans le film. Ça rend vraiment bien, ça rajoute vraiment un coté unique au court-métrage vu qu'on ne retrouvera la musique nulle part ailleurs. Mais mon logiciel est assez limité et je n'ai pas pu faire toutes les musiques. Vient alors le moment de trouver de la musique qui colle au court-métrage. Une des nombreuses difficultés liées au film, c'est que c'est un thriller, avec notre personnage principal qui tue des jeunes femmes mais qu'en parallèle, on a un autre personnage principal qui a une vie tranquille et qui rencontre des mecs contactés via un site de rencontre. Nous avons donc une musique plutôt sombre pour les scènes avec Emile et une musique plus légère pour les scènes avec Ashley et c'est là que cela se complique car il faut que les deux genres musicaux arrivent à bien se mélanger. Cependant, je pense qu'on a réussi à faire quelque chose de correct sans que ça ne fasse trop cliché. Il y a une composition de Chopin - je ne sais plus laquelle par contre - qui rend vraiment bien avec les scènes d'Emile et des musiques plus modernes, qu'on a trouvé sur Youtube, pour les scènes avec Ashley.

Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.



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