The Two Coreys
Qui se cache derrière The Two Coreys ? Deux acteurs qui étaient très populaires auprès du public adolescent dans les années 1980 : Corey Feldman et Corey Haim. Pourtant, leur succès est de courte durée. La cause : victimes d’abus sexuels, consommation de drogues et d’alcool. Retour sur le parcours (plutôt méconnu en France) des Two Coreys !


Même prénom, même âge : le destin ?

Tout a commencé lorsque les deux acteurs, tous deux nés en 1971, se rencontrent dans une salle d'audition pour le film Les Goonies, puis pour le film Lucas. Ils portent le même nom, ont le même âge et auditionnent pour le même rôle, celui de Clark "Mouth" Deveraux pour Les Goonies et celui de Lucas pour le film éponyme. La suite n'est pas une surprise : Corey Feldman obtient le rôle de Mouth et Corey Haim celui de Lucas. C'est le début d'une amitié entre les deux jeunes acteurs, où la drogue et l'alcool feront partie intégrante de leur histoire. Commençons par une brève presentation des deux acteurs. 

Corey Feldman, acteur dès ses trois ans

Corey Feldman commence sa carrière très jeune, à trois ans. Il apparaît alors dans des publicités, notamment une pub pour McDonald's. Après être apparu dans plus de 100 publicités, Feldman commencé sa carrière au cinéma en 1984 dans le film Vendredi 13 : Chapitre final, dans le rôle du jeune Tommy Jervis. Il enchaîne alors les grosses productions, notamment dans Gremlins la même année, Les Goonies en 1985 et Stand by Me en 1986. 


Corey Haim, une carrière plus tardive

Corey Haim commence sa carrière un peu plus tard que son meilleur ami, à l'âge de 10 ans, avec la série canadienne pour enfants The Edison Twins (diffusée en France sur Canal+ en 1984 sous le titre Paul et les Dizygotes). Il joue ensuite dans son premier long métrage, Firstborn, en 1984 (avec au casting Robert Downey Jr. et Sarah Jessica Parker). Il a ensuite joué dans Secret Admirer (Une amie qui vous veut du bien en VF) et Silver Bullet (Peur Bleue en VF) en 1985. En 1986, il obtient le rôle de Lucas dans le film éponyme, qui sera d'ailleurs le premier film où apparaît Winona Ryder.


La naissance des Two Coreys : gloire et popularité

Leur filmographie commune a débuté en 1987, avec le film The Lost Boys (Génération Perdue en VF) de Joel Schumacher. Corey Haim y joue le rôle de Sam Emerson, qui soupçonne son frère Michael d'être devenu un vampire, et Corey Feldman incarne Edgar Frog, un chasseur de vampires autoproclamé. C'est sur ce tournage que les deux Corey ont fumé leur premier joint ensemble. Suivront deux teen movies dans lesquels les deux acteurs campent encore des meilleurs amis, en 1988 avec License to Drive, film dans lequel les acteurs admettront plus tard qu'ils étaient sous l'emprise de drogues pendant tout le tournage, et en 1989 avec Dream a Little Dream.


The Two Coreys



Malgré leur grande amitié, les deux acteurs décident après ce dernier film de faire une courte pause et de ne plus faire de films ensemble pendant un certain temps. Ils prennent alors des chemins différents. Malheureusement, les films dans lesquels ils jouent n'ont pas eu le même succès que leurs films en collaboration. Parmi eux, Rock 'n' Roll High School Forever pour Corey Feldman et The Double 0 Kid pour Corey Haim. En 1993, quatre ans après leur dernier film ensemble, Feldman et Haim se retrouvent pour tourner dans le thriller érotique Blown Away

La déchéance des deux acteurs

Dans les années 90, les deux jeunes acteurs n'ont plus de succès. Ils continuent cependant de travailler ensemble, notamment dans la suite de Dream a Little Dream, sortie en 1995. Cependant, force est de constater qu’ils ne sont plus dans le coup et enchaînent les navets qui sortent en direct-to-video (National Lampoon's Last Resort en 1994 et Busted, première réalisation de Corey Feldman, en 1997). Les deux amis se font alors de plus en plus rares dans les productions. Au début des années 2000, Haim est fauché et, dans un geste désespéré, commence à vendre ses cheveux et ses dents sur eBay pour se procurer de la drogue.


Un retour sur le petit écran 

Beaucoup plus tard, en 2007, les deux acteurs ont leur propre émission de télé-réalité intitulée The Two Corey. On suit les deux acteurs alors que Haim emménage chez Feldman et son épouse de l'époque, Susie. L'émission s’arrête à la deuxième saison en raison du refus de Corey Feldman de travailler avec Haim tant qu'il n'aurait pas réglé ses problèmes de dépendance aux drogues. En effet, alors que Feldman se dit clean depuis le milieu des années 90, Haim a du mal à échapper à ses démons et alterne entre abstinence et prises de drogues. Malgré sa volonté de se désintoxiquer, il n'a jamais échappé à ses addictions et meurt d'une pneumonie et d’une hypertrophie du cœur le 10 mars 2010, à l'âge de 38 ans. Feldman affirme que la dépendance aux drogues de Haim était fortement liée au réseau pédophile dont lui et Haim ont été victimes dans les années 1980.


Pédophilie à Hollywood

Cela fait plusieurs années que Corey Feldman tente de dénoncer la pédophilie à Hollywood, que ça soit à travers divers interviews, son autobiographie Coreyography (2013), mais également son documentaire My Truth: The Rape of 2 Coreys (2020). En 2008, dans le premier épisode de la saison 2 de The Two Coreys, des secrets d'enfance troublants et inquiétants sont révélés : Corey Feldman et Corey Haim ont été abusés sexuellement au début de leur carrière. On découvre notamment que Corey Haim a été violé par un homme pendant le tournage du film Lucas. Corey Feldman accusera Charlie Sheen en 2020, mais ce dernier nie l'accusation. Judy Haim, la mère de Corey Haim, affirme également que le violeur de son fils n'est pas Charlie Sheen. Sans possibilité d’avoir la version de Corey Haim, le doute persiste donc encore…


The Two Coreys
Corey Feldman sans Corey Haim

Alors que Corey Haim est décédé depuis plusieurs années, et ceci dans un oubli total (il ne fut pas mentionné dans l'hommage "In Memoriam" des 17e Screen Actors Guild Awards ni dans celui de la 83e cérémonie des Oscars en 2011), Corey Feldman ne joue plus dans aucun film et se contente de se rendre à des conventions et à des fan-meet, tout en continuant sa lutte contre la pédophilie à Hollywood. Il s’est cependant investi dans la musique (dans laquelle il s'est essayé depuis la fin des années 80), ce qui lui vaut d'être l'objet de nombreuses moqueries.


Les enfants acteurs à Hollywood 

Alors que Corey Haim et Corey Feldman auraient pu être de grands acteurs, le monde d’Hollywood a fini par les détruire. Leurs premiers rôles au cinéma leur promettaient pourtant une grande carrière. Haim est spectaculaire dans Lucas, où il joue son rôle avec une grande authenticité, tandis que Feldman est époustouflant dans Stand By Me dans le rôle de Teddy, où il a d’ailleurs puisé dans son histoire personnelle (il n'était pas en bons termes avec ses parents et a été émancipé à l'âge de 15 ans) pour livrer une performance très intense. En outre, ils ont tous deux été nominés pour de nombreuses récompenses. Corey Feldman et Corey Haim sont une parfaite représentation des enfants stars qui, par manque de protection, ont vu leur carrière, mais aussi parfois leur vie, détruite. Macauley Culkin et Edward Furlong, deux enfants stars des années 90 qui ont vu leurs carrières décliner à cause des ravages de la drogue, sont également des exemples. 


The Two Coreys, conclusion 

En conclusion, il ne reste rien de la gloire des Two Coreys, si ce n'est quelques vestiges à travers leurs films et de vieilles interviews sur Youtube. Leur histoire montre que tout n'est pas doré dans le monde d'Hollywood et qu’il peut s’avérer néfaste d’entamer une carrière à Hollywood aussi jeune. 



À LIRE : A Tale of Two Coreys, que vaut le téléfilm qui retrace la chute des deux acteurs ?




FOCUS ON : The Two Coreys, de la gloire à la déchéance

The Two Coreys
Qui se cache derrière The Two Coreys ? Deux acteurs qui étaient très populaires auprès du public adolescent dans les années 1980 : Corey Feldman et Corey Haim. Pourtant, leur succès est de courte durée. La cause : victimes d’abus sexuels, consommation de drogues et d’alcool. Retour sur le parcours (plutôt méconnu en France) des Two Coreys !


Même prénom, même âge : le destin ?

Tout a commencé lorsque les deux acteurs, tous deux nés en 1971, se rencontrent dans une salle d'audition pour le film Les Goonies, puis pour le film Lucas. Ils portent le même nom, ont le même âge et auditionnent pour le même rôle, celui de Clark "Mouth" Deveraux pour Les Goonies et celui de Lucas pour le film éponyme. La suite n'est pas une surprise : Corey Feldman obtient le rôle de Mouth et Corey Haim celui de Lucas. C'est le début d'une amitié entre les deux jeunes acteurs, où la drogue et l'alcool feront partie intégrante de leur histoire. Commençons par une brève presentation des deux acteurs. 

Corey Feldman, acteur dès ses trois ans

Corey Feldman commence sa carrière très jeune, à trois ans. Il apparaît alors dans des publicités, notamment une pub pour McDonald's. Après être apparu dans plus de 100 publicités, Feldman commencé sa carrière au cinéma en 1984 dans le film Vendredi 13 : Chapitre final, dans le rôle du jeune Tommy Jervis. Il enchaîne alors les grosses productions, notamment dans Gremlins la même année, Les Goonies en 1985 et Stand by Me en 1986. 


Corey Haim, une carrière plus tardive

Corey Haim commence sa carrière un peu plus tard que son meilleur ami, à l'âge de 10 ans, avec la série canadienne pour enfants The Edison Twins (diffusée en France sur Canal+ en 1984 sous le titre Paul et les Dizygotes). Il joue ensuite dans son premier long métrage, Firstborn, en 1984 (avec au casting Robert Downey Jr. et Sarah Jessica Parker). Il a ensuite joué dans Secret Admirer (Une amie qui vous veut du bien en VF) et Silver Bullet (Peur Bleue en VF) en 1985. En 1986, il obtient le rôle de Lucas dans le film éponyme, qui sera d'ailleurs le premier film où apparaît Winona Ryder.


La naissance des Two Coreys : gloire et popularité

Leur filmographie commune a débuté en 1987, avec le film The Lost Boys (Génération Perdue en VF) de Joel Schumacher. Corey Haim y joue le rôle de Sam Emerson, qui soupçonne son frère Michael d'être devenu un vampire, et Corey Feldman incarne Edgar Frog, un chasseur de vampires autoproclamé. C'est sur ce tournage que les deux Corey ont fumé leur premier joint ensemble. Suivront deux teen movies dans lesquels les deux acteurs campent encore des meilleurs amis, en 1988 avec License to Drive, film dans lequel les acteurs admettront plus tard qu'ils étaient sous l'emprise de drogues pendant tout le tournage, et en 1989 avec Dream a Little Dream.


The Two Coreys



Malgré leur grande amitié, les deux acteurs décident après ce dernier film de faire une courte pause et de ne plus faire de films ensemble pendant un certain temps. Ils prennent alors des chemins différents. Malheureusement, les films dans lesquels ils jouent n'ont pas eu le même succès que leurs films en collaboration. Parmi eux, Rock 'n' Roll High School Forever pour Corey Feldman et The Double 0 Kid pour Corey Haim. En 1993, quatre ans après leur dernier film ensemble, Feldman et Haim se retrouvent pour tourner dans le thriller érotique Blown Away

La déchéance des deux acteurs

Dans les années 90, les deux jeunes acteurs n'ont plus de succès. Ils continuent cependant de travailler ensemble, notamment dans la suite de Dream a Little Dream, sortie en 1995. Cependant, force est de constater qu’ils ne sont plus dans le coup et enchaînent les navets qui sortent en direct-to-video (National Lampoon's Last Resort en 1994 et Busted, première réalisation de Corey Feldman, en 1997). Les deux amis se font alors de plus en plus rares dans les productions. Au début des années 2000, Haim est fauché et, dans un geste désespéré, commence à vendre ses cheveux et ses dents sur eBay pour se procurer de la drogue.


Un retour sur le petit écran 

Beaucoup plus tard, en 2007, les deux acteurs ont leur propre émission de télé-réalité intitulée The Two Corey. On suit les deux acteurs alors que Haim emménage chez Feldman et son épouse de l'époque, Susie. L'émission s’arrête à la deuxième saison en raison du refus de Corey Feldman de travailler avec Haim tant qu'il n'aurait pas réglé ses problèmes de dépendance aux drogues. En effet, alors que Feldman se dit clean depuis le milieu des années 90, Haim a du mal à échapper à ses démons et alterne entre abstinence et prises de drogues. Malgré sa volonté de se désintoxiquer, il n'a jamais échappé à ses addictions et meurt d'une pneumonie et d’une hypertrophie du cœur le 10 mars 2010, à l'âge de 38 ans. Feldman affirme que la dépendance aux drogues de Haim était fortement liée au réseau pédophile dont lui et Haim ont été victimes dans les années 1980.


Pédophilie à Hollywood

Cela fait plusieurs années que Corey Feldman tente de dénoncer la pédophilie à Hollywood, que ça soit à travers divers interviews, son autobiographie Coreyography (2013), mais également son documentaire My Truth: The Rape of 2 Coreys (2020). En 2008, dans le premier épisode de la saison 2 de The Two Coreys, des secrets d'enfance troublants et inquiétants sont révélés : Corey Feldman et Corey Haim ont été abusés sexuellement au début de leur carrière. On découvre notamment que Corey Haim a été violé par un homme pendant le tournage du film Lucas. Corey Feldman accusera Charlie Sheen en 2020, mais ce dernier nie l'accusation. Judy Haim, la mère de Corey Haim, affirme également que le violeur de son fils n'est pas Charlie Sheen. Sans possibilité d’avoir la version de Corey Haim, le doute persiste donc encore…


The Two Coreys
Corey Feldman sans Corey Haim

Alors que Corey Haim est décédé depuis plusieurs années, et ceci dans un oubli total (il ne fut pas mentionné dans l'hommage "In Memoriam" des 17e Screen Actors Guild Awards ni dans celui de la 83e cérémonie des Oscars en 2011), Corey Feldman ne joue plus dans aucun film et se contente de se rendre à des conventions et à des fan-meet, tout en continuant sa lutte contre la pédophilie à Hollywood. Il s’est cependant investi dans la musique (dans laquelle il s'est essayé depuis la fin des années 80), ce qui lui vaut d'être l'objet de nombreuses moqueries.


Les enfants acteurs à Hollywood 

Alors que Corey Haim et Corey Feldman auraient pu être de grands acteurs, le monde d’Hollywood a fini par les détruire. Leurs premiers rôles au cinéma leur promettaient pourtant une grande carrière. Haim est spectaculaire dans Lucas, où il joue son rôle avec une grande authenticité, tandis que Feldman est époustouflant dans Stand By Me dans le rôle de Teddy, où il a d’ailleurs puisé dans son histoire personnelle (il n'était pas en bons termes avec ses parents et a été émancipé à l'âge de 15 ans) pour livrer une performance très intense. En outre, ils ont tous deux été nominés pour de nombreuses récompenses. Corey Feldman et Corey Haim sont une parfaite représentation des enfants stars qui, par manque de protection, ont vu leur carrière, mais aussi parfois leur vie, détruite. Macauley Culkin et Edward Furlong, deux enfants stars des années 90 qui ont vu leurs carrières décliner à cause des ravages de la drogue, sont également des exemples. 


The Two Coreys, conclusion 

En conclusion, il ne reste rien de la gloire des Two Coreys, si ce n'est quelques vestiges à travers leurs films et de vieilles interviews sur Youtube. Leur histoire montre que tout n'est pas doré dans le monde d'Hollywood et qu’il peut s’avérer néfaste d’entamer une carrière à Hollywood aussi jeune. 



À LIRE : A Tale of Two Coreys, que vaut le téléfilm qui retrace la chute des deux acteurs ?




Films animation enfance

L'enfance rime souvent avec dessins animés ou plus précisément ici avec les films d'animations. Je partage donc aujourd’hui une partie de mon enfance en vous proposant une sélection de films d'animations que je pouvais regarder des dizaines de fois sans me lasser - et tous ne sont pas des Disney. Je suis assez nostalgique de ces films, je fait partie de cette catégorie de personne qui préfère l'animation traditionnelle (dessins faits à la main) et en 2D plutôt que l'animation 3D, bien que je ne dénigre pas cette dernière, bien évidemment.  C'est parti pour cette sélection de quatre films qui ont bercés mon enfance.



Hercule de John Musker et Ron Clements (1997)
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d'Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l'Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, apres avoir eliminé le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule. — Allociné

Je me demande bien si mon intérêt pour la mythologie grecque est venu de ce film. Je n'ai jamais eu ce film d'animation en VHS mais il était possible à l'ancien boulot de ma mère d'emprunter des VHS et à chaque fois, je lui demandais de me prendre Hercule. Les chansons sont cools et entraînantes et même si ce n'est pas forcement très authentique par rapport au mythe d'Hercules et que beaucoup de libertés ont été prises (Vu que le film se passe durant la période de la Grèce Antique, Hercule aurait dû s'appeler Héraclès, Hercule étant le nom latin du héros), ça permet quand même d'apprendre les notions de bases tout en passant un bon moment. Hercule est un film d'animation qui respire la joie, les chansons sont entraînante et les personnages sont drôles, de quoi passer un moment très sympathique devant. D'ailleurs, une série a vu le jour, diffusé entre 1998 et 1999, servant de préquelle à la deuxième partie film où Hercule est adolescent et encore en entrainement pour devenir un héros.


Anastasia de Don Bluth et Gary Goldman (1997)
Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie... — Allociné

Souvent pris pour un Disney et bien que Don Bluth ait travailé pour Disney avant de quitter le navire au début des années 80, Anastasia est une production des studios Fox Animation Studios. Plutôt habituée à l'époque aux films d’animation Disney, Anastasia avait cette particularité de sortir du lot avec son contexte historique, bien que cette théorie comme quoi Anastasia Romanov ait survécu à l’assassinat de la famille impériale russe ait été réfutée. Il a tout de même cette touche de magie qui avait su me transporter et aussi les chansons que je ne me lassais pas de chanter, la chanson Voyage dans le temps étant ma préférée.  Le personnage d’Anya est juste incroyable, une jeune femme forte qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui n’a pas sa langue dans sa poche, il est facile de s’attacher à elle car elle reste un personnage très authentique, avec ses qualités et ses défauts. En conclusion, Anastasia reste LE film d’animation que je préfère pour son coté historique mais aussi pour ses personnages aux nombreuses facettes.


Le Géant de Fer de Brad Bird (1999)
Quelque chose de gigantesque se profile à l’horizon. Hogarth Hugues vient tout juste de sauver un énorme robot tombé du ciel. Le jeune Hogarth a désormais un très grand ami et un problème encore plus grand : Comment garder secrète l’existence d’un géant de 15m, mangeur d’acier (avec un penchant pour les voitures de la décharge qui sont délicieuses) ? Cette mission se complique encore plus lorsqu’un agent du gouvernement un peu trop curieux arrive en ville pour chasser « l’envahisseur alien » — Allociné

Ce film d’animation, je l'avais en VHS enregistré et j'ai d'ailleurs essayé de la retrouver pour la mettre sur la photo mais impossible de la retrouver parmi la cinquantaines de K7 que ma famille a. Ce film, malgré ses excellentes critiques, a échoué au box-office à cause du manque de promotion mais ça n'a pas empêché Le Géant de Fer de tout de même devenir un classique parmi les films d'animation, obtenant ainsi le statut de film culte. Le film illustre une belle et émouvante histoire d'amitié entre Hogarth et un robot d'origine extraterrestre et comment ce petit garçon va rendre ce robot plus humain que les humains eux-même et c'est des thèmes principales du film: la nature humaine. Ce film est très émouvant mais délivre aussi des moments drôles et des scènes plus mouvementées. Au tout début du projet, le film était prévu d'être musical et bon dieu, heureusement que ça ne s'est pas fait car Le Géant de Fer n'aurait pas été ce qu'il est aujourd'hui. Pour être dans l'actualité, le personnage du Géant de Fer apparaît dans le trailer du film Ready Player One et tiendra apparemment une place importance dans le film.


Taram et le Chaudron Magique de Ted Berman et Richard Rich (1985).
Au pays enchanté de Prydain. Taram, un valet de ferme, rêve d'exploits. Son maître, le vieux mage Dalben, lui confie une mission périlleuse : empêcher le seigneur des Ténèbres de s'approprier un mystérieux chaudron noir qui donne le pouvoir absolu. Seul le petit cochon Tirlir, qui prédit l'avenir, peut lui révéler son emplacement. Mais Tirlir est enlevé par le seigneur des Ténèbres. Taram part le délivrer. — Programme-tv.net

Le petit mouton noir de Disney. Renié par ses créateurs, Taram et le Chaudron Magique reste tout de même très apprécié. Pourtant sorti 10 ans avant ma naissance, ce film fait partie intégrante de mon enfance. Je ne me souviens pas avoir eu vraiment peur de ce dessin animé même si, je vous l'accorde, le Seigneur des Tenevres peut être flippant quand on est jeune.
C'est ça que je trouve excellent avec Taram et le Chaudron Magique, c'est qu'il sort des sentiers battus et il se démarque des autres Disney pour son coté fantasy et sombre mais aussi pour l’absence total de chants, ce qui pour ma part, ne me dérange absolument pas car ça ajoute cette touche d’originalité qui fait que Taram et le Chaudron Magique est unique en son genre. Ce film est aussi le premier Disney a utilisé des effets spéciaux numériques. Je trouve que ce film mériterait plus d'éloges et on vit à une époque où les films d'animations ne sont plus que pour les enfants, peut-être donc que Taram et le Chaudron mérite un peu plus de ce qu'il a reçu il y a 32 ans.


J'aurais très bien pu vous citer Toy Story, Mulan, Pocahantas ou encore Aladdin mais ce sont un peu les films d'animation basiques. L'article, de base, devait être composé de huit films mais je me suis rendu compte que ça faisait beaucoup à lire pour un seul article, ce qui veut dire qu'il y aura une deuxième partie, probablement publié après ma longue semaine de vacances. En effet, je pars du vendredi 11 août jusqu'au mardi 22, et je n'aurais pas de wi-fi là-bas, donc il n'y aura pas d'article pendant cette période-là. Sur ces derniers mots, j'espère que l'article vous aura permis de retomber un peu en enfance car la nostalgie, ça fait du bien parfois.




Les films d'animation de mon enfance, première partie.

Films animation enfance

L'enfance rime souvent avec dessins animés ou plus précisément ici avec les films d'animations. Je partage donc aujourd’hui une partie de mon enfance en vous proposant une sélection de films d'animations que je pouvais regarder des dizaines de fois sans me lasser - et tous ne sont pas des Disney. Je suis assez nostalgique de ces films, je fait partie de cette catégorie de personne qui préfère l'animation traditionnelle (dessins faits à la main) et en 2D plutôt que l'animation 3D, bien que je ne dénigre pas cette dernière, bien évidemment.  C'est parti pour cette sélection de quatre films qui ont bercés mon enfance.



Hercule de John Musker et Ron Clements (1997)
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d'Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l'Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, apres avoir eliminé le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule. — Allociné

Je me demande bien si mon intérêt pour la mythologie grecque est venu de ce film. Je n'ai jamais eu ce film d'animation en VHS mais il était possible à l'ancien boulot de ma mère d'emprunter des VHS et à chaque fois, je lui demandais de me prendre Hercule. Les chansons sont cools et entraînantes et même si ce n'est pas forcement très authentique par rapport au mythe d'Hercules et que beaucoup de libertés ont été prises (Vu que le film se passe durant la période de la Grèce Antique, Hercule aurait dû s'appeler Héraclès, Hercule étant le nom latin du héros), ça permet quand même d'apprendre les notions de bases tout en passant un bon moment. Hercule est un film d'animation qui respire la joie, les chansons sont entraînante et les personnages sont drôles, de quoi passer un moment très sympathique devant. D'ailleurs, une série a vu le jour, diffusé entre 1998 et 1999, servant de préquelle à la deuxième partie film où Hercule est adolescent et encore en entrainement pour devenir un héros.


Anastasia de Don Bluth et Gary Goldman (1997)
Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie... — Allociné

Souvent pris pour un Disney et bien que Don Bluth ait travailé pour Disney avant de quitter le navire au début des années 80, Anastasia est une production des studios Fox Animation Studios. Plutôt habituée à l'époque aux films d’animation Disney, Anastasia avait cette particularité de sortir du lot avec son contexte historique, bien que cette théorie comme quoi Anastasia Romanov ait survécu à l’assassinat de la famille impériale russe ait été réfutée. Il a tout de même cette touche de magie qui avait su me transporter et aussi les chansons que je ne me lassais pas de chanter, la chanson Voyage dans le temps étant ma préférée.  Le personnage d’Anya est juste incroyable, une jeune femme forte qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui n’a pas sa langue dans sa poche, il est facile de s’attacher à elle car elle reste un personnage très authentique, avec ses qualités et ses défauts. En conclusion, Anastasia reste LE film d’animation que je préfère pour son coté historique mais aussi pour ses personnages aux nombreuses facettes.


Le Géant de Fer de Brad Bird (1999)
Quelque chose de gigantesque se profile à l’horizon. Hogarth Hugues vient tout juste de sauver un énorme robot tombé du ciel. Le jeune Hogarth a désormais un très grand ami et un problème encore plus grand : Comment garder secrète l’existence d’un géant de 15m, mangeur d’acier (avec un penchant pour les voitures de la décharge qui sont délicieuses) ? Cette mission se complique encore plus lorsqu’un agent du gouvernement un peu trop curieux arrive en ville pour chasser « l’envahisseur alien » — Allociné

Ce film d’animation, je l'avais en VHS enregistré et j'ai d'ailleurs essayé de la retrouver pour la mettre sur la photo mais impossible de la retrouver parmi la cinquantaines de K7 que ma famille a. Ce film, malgré ses excellentes critiques, a échoué au box-office à cause du manque de promotion mais ça n'a pas empêché Le Géant de Fer de tout de même devenir un classique parmi les films d'animation, obtenant ainsi le statut de film culte. Le film illustre une belle et émouvante histoire d'amitié entre Hogarth et un robot d'origine extraterrestre et comment ce petit garçon va rendre ce robot plus humain que les humains eux-même et c'est des thèmes principales du film: la nature humaine. Ce film est très émouvant mais délivre aussi des moments drôles et des scènes plus mouvementées. Au tout début du projet, le film était prévu d'être musical et bon dieu, heureusement que ça ne s'est pas fait car Le Géant de Fer n'aurait pas été ce qu'il est aujourd'hui. Pour être dans l'actualité, le personnage du Géant de Fer apparaît dans le trailer du film Ready Player One et tiendra apparemment une place importance dans le film.


Taram et le Chaudron Magique de Ted Berman et Richard Rich (1985).
Au pays enchanté de Prydain. Taram, un valet de ferme, rêve d'exploits. Son maître, le vieux mage Dalben, lui confie une mission périlleuse : empêcher le seigneur des Ténèbres de s'approprier un mystérieux chaudron noir qui donne le pouvoir absolu. Seul le petit cochon Tirlir, qui prédit l'avenir, peut lui révéler son emplacement. Mais Tirlir est enlevé par le seigneur des Ténèbres. Taram part le délivrer. — Programme-tv.net

Le petit mouton noir de Disney. Renié par ses créateurs, Taram et le Chaudron Magique reste tout de même très apprécié. Pourtant sorti 10 ans avant ma naissance, ce film fait partie intégrante de mon enfance. Je ne me souviens pas avoir eu vraiment peur de ce dessin animé même si, je vous l'accorde, le Seigneur des Tenevres peut être flippant quand on est jeune.
C'est ça que je trouve excellent avec Taram et le Chaudron Magique, c'est qu'il sort des sentiers battus et il se démarque des autres Disney pour son coté fantasy et sombre mais aussi pour l’absence total de chants, ce qui pour ma part, ne me dérange absolument pas car ça ajoute cette touche d’originalité qui fait que Taram et le Chaudron Magique est unique en son genre. Ce film est aussi le premier Disney a utilisé des effets spéciaux numériques. Je trouve que ce film mériterait plus d'éloges et on vit à une époque où les films d'animations ne sont plus que pour les enfants, peut-être donc que Taram et le Chaudron mérite un peu plus de ce qu'il a reçu il y a 32 ans.


J'aurais très bien pu vous citer Toy Story, Mulan, Pocahantas ou encore Aladdin mais ce sont un peu les films d'animation basiques. L'article, de base, devait être composé de huit films mais je me suis rendu compte que ça faisait beaucoup à lire pour un seul article, ce qui veut dire qu'il y aura une deuxième partie, probablement publié après ma longue semaine de vacances. En effet, je pars du vendredi 11 août jusqu'au mardi 22, et je n'aurais pas de wi-fi là-bas, donc il n'y aura pas d'article pendant cette période-là. Sur ces derniers mots, j'espère que l'article vous aura permis de retomber un peu en enfance car la nostalgie, ça fait du bien parfois.




Cinq livres que je vous recommande (#1).

Dans l'article d'aujourd'hui, je propose de partager avec vous cinq lectures que j'ai adoré et que je vous recommande fortement. Je pense également que ce premier article sera le premier d'une longue ligné car avec tout ce que j'ai pu lire dans mon existence, j'ai bien plus que cinq livres à vous recommander. 



Le Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde
Un classique de l'époque victorienne. Le Portrait de Dorian Gray est le seul roman qu'Oscar Wilde ait écrit, ayant rédigé principalement des pièces de théâtres et des nouvelle. J'adore ce roman, il explore la double facette que l'être humain peut avoir, mais montre également comment l'homme peut vite devenir méprisant et débauché.  De plus, je trouve ce roman tellement poétique, la plume d'Oscar Wilde étant toute en élégance. Un classique que je recommande vivement et éloignez-vous de toutes les adaptations cinématographiques, mis à part celle de 1945.

Ready Player One d'Ernest Cline
J'avais déja écrit ma revue sur ce roman il y a quelques années mais en gros, Ready Player One est un de mes romans favoris. En plus d’être un roman dystopique avec pas mal d'action, c'est une sorte de lettre d'amour pour la pop culture des années 80. De nombreux films sont cités dans le roman et font parfois même partie intégrante de l'action. J'ai vraiment hâte de voir ce que va donner l'adaptation cinématographique de Spielberg bien que je reste assez mitigé par le trailer dévoilé à la SDCC.

The Humans de Matt Haig
The Humans est un roman écrit par le point de vue d’un alien qui vit incognito parmi les humains, après avoir pris possession du corps d'un professeur universitaire ayant résolu une formule mathématique, dont les répercussions chambouleraient la vie humaine. Lors de son arrivé sur Terre, il est perdu et ne comprends rien aux humains. Il va alors essayer de s'adapter. Alors que l'être humain lui est incompréhensible, il va peu à peu commencer à les comprendre. Matt Haig, sous la forme d’un roman de fiction, présente alors une œuvre d’introspection sur le genre humain. Grace à ce roman, on réapprend ce qui est vraiment important dans la vie. The Humans est un très bon livre, qui se révèle être plus profond qu'il n'y parait au début et je vous le recommande.

L'Enchanteur de René Barjavel
L'Enchanteur est un des derniers livres écrits par René Barjavel, en 1984. Dans ce roman merveilleux, Barjavel réinterprète à sa façon les mythes arthuriens, notamment la quête du Graal. J'ai adoré ce roman. Les mythes arthuriens me passionnent et j'ai vraiment trouvé originale la façon dont Barjavel à exploité cet univers, notamment pour le coté moderne et parfois comique qu'il y a apporté, sans s'éloigner pour autant de la trame originale. Dans ce roman, Merlin est dépeint comme un personnage solitaire et mystérieux, tiraillé par ses démons, ce que je trouve assez intéressant pour un personnage qu'on voit habituellement comme un mage à grosse barbe qui n'est là que pour aider Arthur. Ce roman vous fera sourire avec ces nombreux anachronismes mais vous émerveillera si, comme moi, l'univers autour de Merlin l'enchanteur vous passionne.

Two Boys Kissing de David Lavithan
Ce livre est un petit joyau. Two Boys Kissing suit sept adolescent de la communauté LGBT+ dont l'histoire est raconté par des hommes homosexuels morts du sida. L'histoire est merveilleusement bien écrite, c'est poétique et j'ai adoré tellement de passages dans ce livre qui m'ont touché et troublé. Bien que cette histoire soit à propos de jeunes homosexuels, tout jeune peut se reconnaître dans cette recherche d'identité, cette quête d'amour ou tout simplement la manière de vivre sa vie. Je conseille vraiment ce livre qui juste une histoire écrit avec réalisme et qui est unique de part le concept de l'écriture. C'est tout une histoire qui transporte un message sur la liberté, l'égalité et l’acceptation de soi.


Et vous, avez-vous des romans à me recommander ?


Cinq livres que je vous recommande (#1).

Cinq livres que je vous recommande (#1).

Dans l'article d'aujourd'hui, je propose de partager avec vous cinq lectures que j'ai adoré et que je vous recommande fortement. Je pense également que ce premier article sera le premier d'une longue ligné car avec tout ce que j'ai pu lire dans mon existence, j'ai bien plus que cinq livres à vous recommander. 



Le Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde
Un classique de l'époque victorienne. Le Portrait de Dorian Gray est le seul roman qu'Oscar Wilde ait écrit, ayant rédigé principalement des pièces de théâtres et des nouvelle. J'adore ce roman, il explore la double facette que l'être humain peut avoir, mais montre également comment l'homme peut vite devenir méprisant et débauché.  De plus, je trouve ce roman tellement poétique, la plume d'Oscar Wilde étant toute en élégance. Un classique que je recommande vivement et éloignez-vous de toutes les adaptations cinématographiques, mis à part celle de 1945.

Ready Player One d'Ernest Cline
J'avais déja écrit ma revue sur ce roman il y a quelques années mais en gros, Ready Player One est un de mes romans favoris. En plus d’être un roman dystopique avec pas mal d'action, c'est une sorte de lettre d'amour pour la pop culture des années 80. De nombreux films sont cités dans le roman et font parfois même partie intégrante de l'action. J'ai vraiment hâte de voir ce que va donner l'adaptation cinématographique de Spielberg bien que je reste assez mitigé par le trailer dévoilé à la SDCC.

The Humans de Matt Haig
The Humans est un roman écrit par le point de vue d’un alien qui vit incognito parmi les humains, après avoir pris possession du corps d'un professeur universitaire ayant résolu une formule mathématique, dont les répercussions chambouleraient la vie humaine. Lors de son arrivé sur Terre, il est perdu et ne comprends rien aux humains. Il va alors essayer de s'adapter. Alors que l'être humain lui est incompréhensible, il va peu à peu commencer à les comprendre. Matt Haig, sous la forme d’un roman de fiction, présente alors une œuvre d’introspection sur le genre humain. Grace à ce roman, on réapprend ce qui est vraiment important dans la vie. The Humans est un très bon livre, qui se révèle être plus profond qu'il n'y parait au début et je vous le recommande.

L'Enchanteur de René Barjavel
L'Enchanteur est un des derniers livres écrits par René Barjavel, en 1984. Dans ce roman merveilleux, Barjavel réinterprète à sa façon les mythes arthuriens, notamment la quête du Graal. J'ai adoré ce roman. Les mythes arthuriens me passionnent et j'ai vraiment trouvé originale la façon dont Barjavel à exploité cet univers, notamment pour le coté moderne et parfois comique qu'il y a apporté, sans s'éloigner pour autant de la trame originale. Dans ce roman, Merlin est dépeint comme un personnage solitaire et mystérieux, tiraillé par ses démons, ce que je trouve assez intéressant pour un personnage qu'on voit habituellement comme un mage à grosse barbe qui n'est là que pour aider Arthur. Ce roman vous fera sourire avec ces nombreux anachronismes mais vous émerveillera si, comme moi, l'univers autour de Merlin l'enchanteur vous passionne.

Two Boys Kissing de David Lavithan
Ce livre est un petit joyau. Two Boys Kissing suit sept adolescent de la communauté LGBT+ dont l'histoire est raconté par des hommes homosexuels morts du sida. L'histoire est merveilleusement bien écrite, c'est poétique et j'ai adoré tellement de passages dans ce livre qui m'ont touché et troublé. Bien que cette histoire soit à propos de jeunes homosexuels, tout jeune peut se reconnaître dans cette recherche d'identité, cette quête d'amour ou tout simplement la manière de vivre sa vie. Je conseille vraiment ce livre qui juste une histoire écrit avec réalisme et qui est unique de part le concept de l'écriture. C'est tout une histoire qui transporte un message sur la liberté, l'égalité et l’acceptation de soi.


Et vous, avez-vous des romans à me recommander ?


Gotham série TV





L'été est souvent une période creuse au niveau des séries, vu qu'elles sont généralement en pause ou que la saison est tout simplement terminée. On doit donc attendre la rentrée pour revoir à l'écran nos séries favorites. Avec ce manque de séries, je me suis dit qu'il était temps que je me mette à regarder Gotham, que ma chère Amandine m'avait recommandé il y a quelques temps déjà. Résultat: gros binge-watch et une addiction que je n'aurais pas imaginé. 



Gotham est une série américaine réalisée par  Bruno Heller et diffusée sur la Fox depuis 2014 et compte trois saisons à son actif (les deux premières saisons étant également disponibles sur Netflix France). Gotham, c'est tout simplement le Smallville de Batman. La série commence avec le meurtre des parents du jeune Bruce Wayne, interprété par David Mazouz. Bien que Bruce tient une place importante dans la série, le réel personnage principal ici, c'est Jim Gordon,  interprété par Ben McKenzie. Gordon est le seul flic encore intègre de la GCPD quand tous les autres flics sont corrompus par la mafia. Gordon jure au jeune Bruce de retrouver le meurtrier de ses parents. Je n'ai jamais été une grande fan de Batman, j'aimais bien les dessins animées et les films des années 80-90 mais c'est tout et je connaissais le minimum syndical. Je ne pensais pas que cette série me plairait autant. L'intrigue tourne autour du meurtre des parents de Bruce mais également sur la corruption qui règne sur Gotham. Le truc avec cette série, c'est que vous n'allait pas être séduit par les good guys mais plutôt par les villains.


Gotham série TV; Pingouin, Alfred et Bruce, Gordon et Bullock

Coté méchants, il y a Oswald Cobblepot alias le Pingouin, interprété par Robin Lord Taylor qui est tout simplement FANTASTIQUE. Alors que la seule image du Pingouin que j'avais, c'était l’interprétation de Danny DeVito dans Batman Returns, j'ai été juste estomaqué par l’interprétation de Robin Lord Taylor qui est très différente de celle de Danny DeVito. Il rend le personnage du Pingouin tellement intéressant avec de nombreuses de facettes. Car bien que le personnage soit complètement taré, ça ne l’empêche pas d'être un personnage attachant. C'est un personnage intelligent que l'on va sous-estimé, pensant qu'il n'est qu'un sous-fifre mais Oswald se révèle être un homme manipulateur, près à tout pour être le numéro 1. J'ai aussi beaucoup aimé que, malgré qu'il soit un villain, il entretient une relation très fusionnelle avec sa mère, ce qui permet de garder le personnage très humain.

Coté flics, il y a bien évidemment Jim Gordon, qui est un des personnage dont l'évolution est assez intéressante. C'est le petit nouveau et il ne comprend pas que la police soit aussi corrompu alors qu'elle est censée être un visage de justice. Pourtant, au fur et à mesure des épisodes et des saisons, on voit apparaître un visage plus sombre de Gordon, découvrant que c'est un personnage plus complexe qu'on aurait pu penser. Il y a aussi Harvey Bullock, interprété par Donal Logue, que vous reconnaîtrez surement comme le patriarche de la famille Finnerty dans la serie Parents à tout prix. Bullock est un flic pourri et égoïste, comme les autres mais la présence de Jim changera un peu dans la donne et Bullock se relève alors être un homme sur qui Jim pourra compter.

Que serait l'univers de Batman sans Bruce Wayne ? Ici, Bruce a une douzaine d'année lors de la première saison. Il est assez naïf bien que très intelligent pour un enfant de son âge. Lui aussi va connaitre une évolution le menant petit à petit à son alter-ego de justicier. J'ai aussi beaucoup aimé la relation qu'il entretient avec Alfred, que j'ai toujours vu comme un simple majordome au service de Bruce/Batman. Alfred, bien que majordome, est un ancien soldat, il sait donc se battre et se défendre comme il se doit aux moments critiques. Il représente également une figure paternelle pour le jeune Bruce.

Gotham série TV; Selina et Bruce







On peut également compter sur la présence de Selina Kyle, la future Catwoman, jouée ici par Camren Bicondova qui interprète le rôle avec excellence. Le fait que Camren soit danseuse aide beaucoup pour l'aspect acrobate du personnage, c'est vraiment un plus. Elle incarne alors avec perfection ce rôle d'anti-héroine. Elle change de camps à de nombreuses reprises, tantôt du coté des gentils et tantôt du coté des méchants, tout ceci selon son propre intérêt et de son instinct de survie. Malgré ça, elle reste plus au moins tout le temps fidèle à Bruce et je trouve qu'ils forment un bon duo.

J'ai aussi beaucoup apprécié l'ambiance de la série, sombre et comme figé dans le temps. On ne pourrait pas mettre une époque ou une année pour situer quand se déroule la série. Les flics sont habillés en costards, ils ont des téléphones fixes rétro mais ont également des téléphones portables (sans pour autant que ce soit des smartphones). J'aime donc beaucoup cet aspect intemporel, qui représente assez bien l'univers de Batman. Concernant les intrigues, elles sont en générale très prenantes quoique parfois longues mais je préfère ne pas trop vous en parler en détails, pour ne pas vous spoiler.

Je sais que c'est une série qui ne plaira pas à tout le monde mais il faut au moins regarder le premier épisode pour se faire une idée de l'univers de la série. Me concernant, j'ai vraiment accroché avec cette série, je me suis attachée aux personnages, autant aux gentils qu'aux méchants, bien qu'en analysant bien les personnages, on se rend compte qu'ils ont une dimension plus profonde que la notion de mal ou de bien, ils ont chacun une part de noirceur ainsi qu'un bon fond. Bref, il me tarde de retrouver la série avec sa quatrième saison qui sera diffusée en septembre.


L'article vous a-t-il convaincu de regarder la série ? Si l'inverse, pourquoi ?




J'ai binge-watché Gotham.

Gotham série TV





L'été est souvent une période creuse au niveau des séries, vu qu'elles sont généralement en pause ou que la saison est tout simplement terminée. On doit donc attendre la rentrée pour revoir à l'écran nos séries favorites. Avec ce manque de séries, je me suis dit qu'il était temps que je me mette à regarder Gotham, que ma chère Amandine m'avait recommandé il y a quelques temps déjà. Résultat: gros binge-watch et une addiction que je n'aurais pas imaginé. 



Gotham est une série américaine réalisée par  Bruno Heller et diffusée sur la Fox depuis 2014 et compte trois saisons à son actif (les deux premières saisons étant également disponibles sur Netflix France). Gotham, c'est tout simplement le Smallville de Batman. La série commence avec le meurtre des parents du jeune Bruce Wayne, interprété par David Mazouz. Bien que Bruce tient une place importante dans la série, le réel personnage principal ici, c'est Jim Gordon,  interprété par Ben McKenzie. Gordon est le seul flic encore intègre de la GCPD quand tous les autres flics sont corrompus par la mafia. Gordon jure au jeune Bruce de retrouver le meurtrier de ses parents. Je n'ai jamais été une grande fan de Batman, j'aimais bien les dessins animées et les films des années 80-90 mais c'est tout et je connaissais le minimum syndical. Je ne pensais pas que cette série me plairait autant. L'intrigue tourne autour du meurtre des parents de Bruce mais également sur la corruption qui règne sur Gotham. Le truc avec cette série, c'est que vous n'allait pas être séduit par les good guys mais plutôt par les villains.


Gotham série TV; Pingouin, Alfred et Bruce, Gordon et Bullock

Coté méchants, il y a Oswald Cobblepot alias le Pingouin, interprété par Robin Lord Taylor qui est tout simplement FANTASTIQUE. Alors que la seule image du Pingouin que j'avais, c'était l’interprétation de Danny DeVito dans Batman Returns, j'ai été juste estomaqué par l’interprétation de Robin Lord Taylor qui est très différente de celle de Danny DeVito. Il rend le personnage du Pingouin tellement intéressant avec de nombreuses de facettes. Car bien que le personnage soit complètement taré, ça ne l’empêche pas d'être un personnage attachant. C'est un personnage intelligent que l'on va sous-estimé, pensant qu'il n'est qu'un sous-fifre mais Oswald se révèle être un homme manipulateur, près à tout pour être le numéro 1. J'ai aussi beaucoup aimé que, malgré qu'il soit un villain, il entretient une relation très fusionnelle avec sa mère, ce qui permet de garder le personnage très humain.

Coté flics, il y a bien évidemment Jim Gordon, qui est un des personnage dont l'évolution est assez intéressante. C'est le petit nouveau et il ne comprend pas que la police soit aussi corrompu alors qu'elle est censée être un visage de justice. Pourtant, au fur et à mesure des épisodes et des saisons, on voit apparaître un visage plus sombre de Gordon, découvrant que c'est un personnage plus complexe qu'on aurait pu penser. Il y a aussi Harvey Bullock, interprété par Donal Logue, que vous reconnaîtrez surement comme le patriarche de la famille Finnerty dans la serie Parents à tout prix. Bullock est un flic pourri et égoïste, comme les autres mais la présence de Jim changera un peu dans la donne et Bullock se relève alors être un homme sur qui Jim pourra compter.

Que serait l'univers de Batman sans Bruce Wayne ? Ici, Bruce a une douzaine d'année lors de la première saison. Il est assez naïf bien que très intelligent pour un enfant de son âge. Lui aussi va connaitre une évolution le menant petit à petit à son alter-ego de justicier. J'ai aussi beaucoup aimé la relation qu'il entretient avec Alfred, que j'ai toujours vu comme un simple majordome au service de Bruce/Batman. Alfred, bien que majordome, est un ancien soldat, il sait donc se battre et se défendre comme il se doit aux moments critiques. Il représente également une figure paternelle pour le jeune Bruce.

Gotham série TV; Selina et Bruce







On peut également compter sur la présence de Selina Kyle, la future Catwoman, jouée ici par Camren Bicondova qui interprète le rôle avec excellence. Le fait que Camren soit danseuse aide beaucoup pour l'aspect acrobate du personnage, c'est vraiment un plus. Elle incarne alors avec perfection ce rôle d'anti-héroine. Elle change de camps à de nombreuses reprises, tantôt du coté des gentils et tantôt du coté des méchants, tout ceci selon son propre intérêt et de son instinct de survie. Malgré ça, elle reste plus au moins tout le temps fidèle à Bruce et je trouve qu'ils forment un bon duo.

J'ai aussi beaucoup apprécié l'ambiance de la série, sombre et comme figé dans le temps. On ne pourrait pas mettre une époque ou une année pour situer quand se déroule la série. Les flics sont habillés en costards, ils ont des téléphones fixes rétro mais ont également des téléphones portables (sans pour autant que ce soit des smartphones). J'aime donc beaucoup cet aspect intemporel, qui représente assez bien l'univers de Batman. Concernant les intrigues, elles sont en générale très prenantes quoique parfois longues mais je préfère ne pas trop vous en parler en détails, pour ne pas vous spoiler.

Je sais que c'est une série qui ne plaira pas à tout le monde mais il faut au moins regarder le premier épisode pour se faire une idée de l'univers de la série. Me concernant, j'ai vraiment accroché avec cette série, je me suis attachée aux personnages, autant aux gentils qu'aux méchants, bien qu'en analysant bien les personnages, on se rend compte qu'ils ont une dimension plus profonde que la notion de mal ou de bien, ils ont chacun une part de noirceur ainsi qu'un bon fond. Bref, il me tarde de retrouver la série avec sa quatrième saison qui sera diffusée en septembre.


L'article vous a-t-il convaincu de regarder la série ? Si l'inverse, pourquoi ?




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