Le Rewind Club - Working Girl 1988





Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.

WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.

Working Girl 1988


Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.

WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.

Working Girl, une comédie (romantique) dans la corporate jungle.

Le Rewind Club - Working Girl 1988





Porté par l’actrice Melanie Griffith, qui connut sa petite heure de gloire pendant les années 80, et réalisé par Mike Nichols, WORKING GIRL évoque la place de la femme dans le monde du travail et illustre parfaitement cette image de l’american yuppie (terme american inventé dans les années 80 pour décrire une personne ambitieuse et sans scrupules dans le monde du travail) mais surtout de ce qu'on peut obtenir quand on a de l'ambition.

WORKING GIRL suit Tess McGill, jeune femme de la classe ouvrière qui travaille dans une banque d’investissement de Wall Street en tant que secrétaire d’un courtier. Alors qu’elle pense se rendre à un entretien, elle se rend compte qu’elle s’est fait piéger par son patron, qui lui a fixé un rendez-vous arrangé avec un collègue sniffeur de cocaïne, ce qui l’amènera à utiliser le bandeau déroulant pour insulter son patron. Tess se voit donc mutée dans un autre service et devient la secrétaire d’une nouvelle dirigeante, Katharine Parker, incarné par Sigourney Weaver. Katharine semble être une patronne sympathique et à l’écoute des idées de Tess. C’est donc avec stupeur que Tess découvre plus tard que Katharine s’apprêtait à lui voler une de ses idées en la faisant passer pour la sienne. Tess va profiter de absence de Katharine pour se faire passer pour une dirigeante et mener ainsi à bout son idée.

Working Girl 1988


Sous fond de comédie romantique, WORKING GIRL est véritablement une comédie de mœurs qui montre la place de la femme dans le monde de la corporate jungle, chose plutôt rare à l'époque et qui montre également ce qu'est l'american dream. Tess, à force d’ambition, va réussir à s’élever dans le monde du travail et incarne l’image de la self-made woman, elle qui vient de la classe ouvrière et qui a réussi à avoir son diplôme en allant à des cours du soir. Il est tout de même dommage de voir au final l’affrontement de deux femmes ambitieuses car quand bien même Katharine était sur le point de voler l’idée de Tess, Tess quant à elle usurpe en quelque sorte l’identité de Katharine en essayant de changer sa façon de parler pour que son phrasée ressemble à celui de Katharine et en lui piquant ses vêtements chics. D'ailleurs, le fait que Tess change de style s’appelle du power dressing, un courant de mode vestimentaire qui connut son apogée dans les années 80 et qui consiste à avoir un style vestimentaire qui permet aux femmes d'établir leur autorité dans un milieu de travail traditionnellement dominé par les hommes. Il s’avère tout de même que Tess est un personnage beaucoup plus intègre que celui de Katharine puisqu'elle arrive à monter les échelons grâce à ses idées et non avec celles des autres. La romance entre Jack Trainer, incarné par Harrison Ford, et Tess ne prend pas le pas sur l’intrigue principale, ce qui est appréciable. Malgré que le film soit sorti il y a 31 ans, le message qu’il veut faire passer reste d’actualité et établi qu'avec de l'ambition, on peut réussir.

WORKING GIRL est un film qu’on prend plaisir à voir et qu’on attend d’avoir quand on parle de comédie des 80s. Melanie Griffith y délivre une performance convaincante, Tess est une jeune femme ambitieuse, intelligente et prête à tout pour réussir et Griffitth est tout simplement brillante dans ce rôle. Sigourney Weaver est aussi parfaite dans son rôle de femme puissante antagoniste et sans scrupule tandis qu’Harrison Ford est intéressant dans un rôle de golden boy, ce qui l’éloigne un peu de son image de l’époque avec les rôles de Han Solo et Indiana Jones. Les rôles secondaires sont également à saluer avec Joan Cusack dans le rôle de la meilleure amie fantasque ainsi que Alec Baldwin dans le rôle du compagnon bad-boy. L'histoire est tellement bien menée et les personnages si bien interprétés que le long-métrage fut nommé pour de nombreuses récompenses dont l'Oscar du meilleur film en 1988 tandis que Melanie Griffith fut nommé pour l'Oscar de la Meilleur Actrice. WORKING GIRL est un must see qui semble avoir été quelque peu oublié avec le temps et c'est bien dommage tant le film raconte une histoire pertinente, un peu conte de fée certes, mais ancré dans une réalité plus vraie que nature.

Séries TV & Nostalgie - Les dessins animés (PART II).
Les dessins animés sont de nouveau à l'honneur dans cet article Séries TV & Nostalgie. Comme dans la première partie, cet article est consacré aux dessins animés de mon enfance et aujourd'hui, on parlera d'une bande de gamins dans une cour de récré, de mutants aux pouvoirs super cools et d'une autre bande de potes qui se battent contre un virus informatique. Bonne lecture !



La cour de récré (6 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - La Cour de Récré

La particularité de La Cour de Récré était qu’on ne voyait les personnages pratiquement que dans l'enceinte de l’école et rarement en dehors ou chez eux. On suivait cette bande de potes à la personnalité bien différente avec T.J, le farceur et meneur de la bande, Spinelli le garçon manqué, Vince le sportif, Gretchen la surdouée, Mikey le gentil géant à l’âme sensible et Gus, le peureux de la bande, pourtant fils de militaire – et maintenant, je me demande bien comment ils pouvaient tous aussi bien s’entendre. Pendant la récréation, les élèves forment à eux seuls une véritable société avec leur propre gouvernement avec des règles à respecter et dirigé par un monarque, Bob, élève de CM2 (en sixième dans la version originale). Dans la série, on voit souvent T.J et sa bande défendre leurs droits et leur liberté, notamment face aux figures d’autorité comme le principal Prickly (drôle de nom quand on sait que prickly signifie irritable en anglais) ainsi que Muriel Finster, surveillante de l'établissement. La série était vraiment cool et intelligente et avec des personnages attachants. Il a récemment été annoncé que La Cour de Récré allait être adapté en live-action dans un court-métrage où les héros seront désormais au lycée, à voir ce que ça donnera mais je doute que le film ait la même essence que la série animée... regarder le générique


x-men evolution (4 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - X-Men Evolution

L’univers des X-Men, c’est avec cette série que je l’ai découvert. En effet, c’est d’abord avec X-Men Evolution que j’ai découvert Wolverine, Malicia, le Professeur X et tous les autres. D’après ce que j’ai pu comprendre, la série était plus ou moins fidèle aux comics bien qu’ici, mis à part Charles Xavier, Magneto, Wolverine et Tornade, les personnages ont tous été rajeunis et sont donc des adolescents au lieu d'être des adultes, ceci pour attirer un public jeune. X-Men Evolution est une série que je suivais vraiment religieusement tous les dimanches matins et je pense avoir vu tous les épisodes. Petite anecdote, c’est grâce à ce dessin animé qu’on doit la création du personnage X-23, qui fut après rajouté aux comics et plus tard repris dans le film Logan. Arrêtée en 2003, la série connut une fausse suite, Wolverine et les X-Men, diffusé à partir de 2009. La série n’était pas une continuation de X-Men Evolution mais c’était la même équipe artistique qui travailla sur la série ainsi que les mêmes comédiens qui doublaient. regarder le générique


code lyoko (4 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - Code Lyoko

Encore un dessin animé avec un générique encrée dans ma mémoire. Code Lyoko est un dessin animé plutôt culte, bien qu’avec le recul, on se rend compte que les épisodes étaient répétitifs et qu’au bout d’un moment, tous les épisodes se ressemblaient. Ayant pris la série en cours de route, je n’avais pas vraiment compris de quoi parlait Code Lyoko et même maintenant, ça reste assez flou mais on félicite l'intrigue plutôt sympa avec des collégiens qui se rendent dans un monde virtuel pour combattre un virus informatique (on notera l'influence du film TRON). Le chara-design n’était pas des plus splendide, on se demande bien pourquoi tous les personnages ont des fronts disproportionnés. De plus, on a attendu des années pour que Ulrich et Yumi s’avouent leur amour et au final, on reste sur notre faim. Code Lyoko est un des dessins animés que j’aurais quand même du mal à regarder à l’heure actuelle car l’histoire globale reste assez confuse à mes yeux et trop répétitive. On évitera également d'évoquer la série en live-action, Code Lyoko Évolution, qui est tout simplement ridicule avec de jeunes acteurs qui ne savaient malheureusement pas jouer. regarder le générique


Séries TV & Nostalgie - Les dessins animés (PART II).

Séries TV & Nostalgie - Les dessins animés (PART II).
Les dessins animés sont de nouveau à l'honneur dans cet article Séries TV & Nostalgie. Comme dans la première partie, cet article est consacré aux dessins animés de mon enfance et aujourd'hui, on parlera d'une bande de gamins dans une cour de récré, de mutants aux pouvoirs super cools et d'une autre bande de potes qui se battent contre un virus informatique. Bonne lecture !



La cour de récré (6 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - La Cour de Récré

La particularité de La Cour de Récré était qu’on ne voyait les personnages pratiquement que dans l'enceinte de l’école et rarement en dehors ou chez eux. On suivait cette bande de potes à la personnalité bien différente avec T.J, le farceur et meneur de la bande, Spinelli le garçon manqué, Vince le sportif, Gretchen la surdouée, Mikey le gentil géant à l’âme sensible et Gus, le peureux de la bande, pourtant fils de militaire – et maintenant, je me demande bien comment ils pouvaient tous aussi bien s’entendre. Pendant la récréation, les élèves forment à eux seuls une véritable société avec leur propre gouvernement avec des règles à respecter et dirigé par un monarque, Bob, élève de CM2 (en sixième dans la version originale). Dans la série, on voit souvent T.J et sa bande défendre leurs droits et leur liberté, notamment face aux figures d’autorité comme le principal Prickly (drôle de nom quand on sait que prickly signifie irritable en anglais) ainsi que Muriel Finster, surveillante de l'établissement. La série était vraiment cool et intelligente et avec des personnages attachants. Il a récemment été annoncé que La Cour de Récré allait être adapté en live-action dans un court-métrage où les héros seront désormais au lycée, à voir ce que ça donnera mais je doute que le film ait la même essence que la série animée... regarder le générique


x-men evolution (4 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - X-Men Evolution

L’univers des X-Men, c’est avec cette série que je l’ai découvert. En effet, c’est d’abord avec X-Men Evolution que j’ai découvert Wolverine, Malicia, le Professeur X et tous les autres. D’après ce que j’ai pu comprendre, la série était plus ou moins fidèle aux comics bien qu’ici, mis à part Charles Xavier, Magneto, Wolverine et Tornade, les personnages ont tous été rajeunis et sont donc des adolescents au lieu d'être des adultes, ceci pour attirer un public jeune. X-Men Evolution est une série que je suivais vraiment religieusement tous les dimanches matins et je pense avoir vu tous les épisodes. Petite anecdote, c’est grâce à ce dessin animé qu’on doit la création du personnage X-23, qui fut après rajouté aux comics et plus tard repris dans le film Logan. Arrêtée en 2003, la série connut une fausse suite, Wolverine et les X-Men, diffusé à partir de 2009. La série n’était pas une continuation de X-Men Evolution mais c’était la même équipe artistique qui travailla sur la série ainsi que les mêmes comédiens qui doublaient. regarder le générique


code lyoko (4 SAISONS)
Séries TV & Nostalgie - Code Lyoko

Encore un dessin animé avec un générique encrée dans ma mémoire. Code Lyoko est un dessin animé plutôt culte, bien qu’avec le recul, on se rend compte que les épisodes étaient répétitifs et qu’au bout d’un moment, tous les épisodes se ressemblaient. Ayant pris la série en cours de route, je n’avais pas vraiment compris de quoi parlait Code Lyoko et même maintenant, ça reste assez flou mais on félicite l'intrigue plutôt sympa avec des collégiens qui se rendent dans un monde virtuel pour combattre un virus informatique (on notera l'influence du film TRON). Le chara-design n’était pas des plus splendide, on se demande bien pourquoi tous les personnages ont des fronts disproportionnés. De plus, on a attendu des années pour que Ulrich et Yumi s’avouent leur amour et au final, on reste sur notre faim. Code Lyoko est un des dessins animés que j’aurais quand même du mal à regarder à l’heure actuelle car l’histoire globale reste assez confuse à mes yeux et trop répétitive. On évitera également d'évoquer la série en live-action, Code Lyoko Évolution, qui est tout simplement ridicule avec de jeunes acteurs qui ne savaient malheureusement pas jouer. regarder le générique


Sweetbitter, une série initiatique plaisante mais déjà-vu.







Je n'avais jamais entendu parler de Sweetbitter jusqu'à ce que je la trouve par hasard sur un site de streaming (mais je connaissais de nom du livre dont la série est une adaptation). Diffusée à partir de mai 2018, Sweetbitter est une série initiatique où on suit Tess qui décide sur un coup de tête de quitter sa ville natale pour aller vivre à New-York. Elle réussira à se faire embaucher dans un restaurant chic en tant que serveuse mais ça ne sera pas de tout repos. REGARDER LE TRAILER SAISON 1

Une histoire déjà-vu mais qui fonctionne
Sur le papier, Sweetbitter ne fait pas dans l'originalité, c'est même un peu du déjà-vu et pourtant, la série vaut le coup d’œil.  J'ai beaucoup aimé l'atmosphère de la série, qui se passe principalement dans le restaurant. La série arrive vraiment à faire ressentir le coté frénétique lié à l'ambiance d'une cuisine d'un restaurant, autant dans le fond que dans la forme puisque la saison s'étend sur seulement six épisodes d'une durée de 30 minutes. Je trouve d'ailleurs que le récit est vraiment bien réparti malgré le peu d'épisodes. Ceci-dit, l'histoire reste plutôt convenue et ne sort pas des sentiers battus.
Sweetbitter, une série initiatique plaisante mais déjà-vu.
Des personnages sympathiques mais stéréotypés
Tess, incarnée par l'actrice Ella Purnell, est une une jeune femme un peu naïve qui se lance dans le métier de serveuse car c'est un moyen facile et rapide pour se faire de l'argent mais elle va vite se rendre compte que c'est loin d'être facile. Déterminée, elle va s'acharner à exceller dans son métier en apprenant à transporter trois assiettes lors d'un service ou en étudiant la complexité de l’œnologie (l'étude du vin). Le synopsis annonce que Tess va être introduite aux drogues, à l'amour et à la luxure et c'est totalement vrai mais dit comme ça, je pensais que ça allait nuire à Tess et au final, pas vraiment, ce qui peut être un peu décevant. Il aurait été intéressant qu'il y ait de vraies embûches sur le chemin de Tess et on a vraiment l'impression que tout ses problèmes se résolvent avec beaucoup trop de facilité. Il est aussi décevant que les personages secondaires ne soient pas mieux exploités car au final, ils restent assez en retrait et on n'apprend pas vraiment à les connaitre. Ce que je retiens, c'est que l'écriture des personnages laisse à désirer, Tess est le cliché de la jeune femme qui veut faire sa vie à New-York tandis que son love-interest, Jake (Tom Sturridge) incarne le parfait stéréotype du mec ténébreux au passé tortueux.

Alors, on regarde ou pas ?
Avec une première saison assez convaincante, je dirais que Sweetbitter est une série plaisante, qui se regarde vite, qu'on apprécie sur le moment mais qui est loin d'être inoubliable. La saison 2 est actuellement en cours de diffusion et je ne sais pas si j'ai envie de continuer car oui, j'ai bien aimé la série, je l'ai même binge-watché mais au bout du compte, je n'étais pas si investie que ça dans l'histoire et même si le personnage de Tess est sympathique, je ne me suis pas particulièrement attachée à elle. Je me laisse un temps de réflexion pour savoir si je continue l'aventure ou non.

Sweetbitter, une série initiatique plaisante mais déjà-vu.

Sweetbitter, une série initiatique plaisante mais déjà-vu.







Je n'avais jamais entendu parler de Sweetbitter jusqu'à ce que je la trouve par hasard sur un site de streaming (mais je connaissais de nom du livre dont la série est une adaptation). Diffusée à partir de mai 2018, Sweetbitter est une série initiatique où on suit Tess qui décide sur un coup de tête de quitter sa ville natale pour aller vivre à New-York. Elle réussira à se faire embaucher dans un restaurant chic en tant que serveuse mais ça ne sera pas de tout repos. REGARDER LE TRAILER SAISON 1

Une histoire déjà-vu mais qui fonctionne
Sur le papier, Sweetbitter ne fait pas dans l'originalité, c'est même un peu du déjà-vu et pourtant, la série vaut le coup d’œil.  J'ai beaucoup aimé l'atmosphère de la série, qui se passe principalement dans le restaurant. La série arrive vraiment à faire ressentir le coté frénétique lié à l'ambiance d'une cuisine d'un restaurant, autant dans le fond que dans la forme puisque la saison s'étend sur seulement six épisodes d'une durée de 30 minutes. Je trouve d'ailleurs que le récit est vraiment bien réparti malgré le peu d'épisodes. Ceci-dit, l'histoire reste plutôt convenue et ne sort pas des sentiers battus.
Sweetbitter, une série initiatique plaisante mais déjà-vu.
Des personnages sympathiques mais stéréotypés
Tess, incarnée par l'actrice Ella Purnell, est une une jeune femme un peu naïve qui se lance dans le métier de serveuse car c'est un moyen facile et rapide pour se faire de l'argent mais elle va vite se rendre compte que c'est loin d'être facile. Déterminée, elle va s'acharner à exceller dans son métier en apprenant à transporter trois assiettes lors d'un service ou en étudiant la complexité de l’œnologie (l'étude du vin). Le synopsis annonce que Tess va être introduite aux drogues, à l'amour et à la luxure et c'est totalement vrai mais dit comme ça, je pensais que ça allait nuire à Tess et au final, pas vraiment, ce qui peut être un peu décevant. Il aurait été intéressant qu'il y ait de vraies embûches sur le chemin de Tess et on a vraiment l'impression que tout ses problèmes se résolvent avec beaucoup trop de facilité. Il est aussi décevant que les personages secondaires ne soient pas mieux exploités car au final, ils restent assez en retrait et on n'apprend pas vraiment à les connaitre. Ce que je retiens, c'est que l'écriture des personnages laisse à désirer, Tess est le cliché de la jeune femme qui veut faire sa vie à New-York tandis que son love-interest, Jake (Tom Sturridge) incarne le parfait stéréotype du mec ténébreux au passé tortueux.

Alors, on regarde ou pas ?
Avec une première saison assez convaincante, je dirais que Sweetbitter est une série plaisante, qui se regarde vite, qu'on apprécie sur le moment mais qui est loin d'être inoubliable. La saison 2 est actuellement en cours de diffusion et je ne sais pas si j'ai envie de continuer car oui, j'ai bien aimé la série, je l'ai même binge-watché mais au bout du compte, je n'étais pas si investie que ça dans l'histoire et même si le personnage de Tess est sympathique, je ne me suis pas particulièrement attachée à elle. Je me laisse un temps de réflexion pour savoir si je continue l'aventure ou non.
80s All the Way, musical playlist.
Voilà bien longtemps que je n'avais pas proposé une playlist avec seulement des chansons des années 80 et ça m'avait manqué d'ailleurs. Je me rends compte qu'avec la découverte de la synthwave, j'écoutais moins de sons des années 80 qu'auparavant et j'ai remédié à ça lors d'un trajet en voiture avec ma meilleure amie alors que nous partions pour Honfleur. J'avais alors sélectionné une playlist Spotify intitulée All Out 80s, qui semble d'ailleurs personnalisée puisque j'ai comparé avec celle du compte Spotify de ma mère et ce ne sont pas les mêmes chansons. Dans cette playlist, j'ai eu des coups de cœur pour de nombreuses chansons, je les ai donc rassemblé dans une ma propre playlist que j'ai intitulé 80s All the Way. Si vous me suivez sur Instagram, les chansons vous seront familières puisque j'en ai partagé une bonne partie dans mes stories mais je me suis dit que c'était une bonne idée de la partager ici également, je vous souhaite donc une bonne écoute!




80s All the Way, musical playlist.

80s All the Way, musical playlist.
Voilà bien longtemps que je n'avais pas proposé une playlist avec seulement des chansons des années 80 et ça m'avait manqué d'ailleurs. Je me rends compte qu'avec la découverte de la synthwave, j'écoutais moins de sons des années 80 qu'auparavant et j'ai remédié à ça lors d'un trajet en voiture avec ma meilleure amie alors que nous partions pour Honfleur. J'avais alors sélectionné une playlist Spotify intitulée All Out 80s, qui semble d'ailleurs personnalisée puisque j'ai comparé avec celle du compte Spotify de ma mère et ce ne sont pas les mêmes chansons. Dans cette playlist, j'ai eu des coups de cœur pour de nombreuses chansons, je les ai donc rassemblé dans une ma propre playlist que j'ai intitulé 80s All the Way. Si vous me suivez sur Instagram, les chansons vous seront familières puisque j'en ai partagé une bonne partie dans mes stories mais je me suis dit que c'était une bonne idée de la partager ici également, je vous souhaite donc une bonne écoute!




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