Muriel's Wedding 1994
De nombreux films ont marqué ma jeunesse et Muriel's Wedding est bien l'un d'entre eux.  Si je me souviens bien, c’est ma sœur qui m’a fait découvrir ce film et je ne regrette pas cette découverte. Long-métrage réalisé par PJ Hogan, peut-être davantage connu pour les films Le Mariage de mon meilleur ami (1997) et Peter Pan (2003), on y suit Muriel (Toni Colette), une jeune femme qui est un peu le vilain petit canard de sa famille et qui vit dans une médiocre ville balnéaire australienne, Porpoise Spit. Muriel n’a pas vraiment d’amis et a du mal à se faire accepter des autres, jusqu’au jour où elle se lie d'amitié avec Rhonda (Rachel Griffiths) et qu’elles décident toutes les deux de partir pour Sydney. Une nouvelle vie commence alors pour Muriel.

Muriel, un personnage incroyablement humain

Ce film apporte une véritable bouffée de fraîcheur, rythmée par les chansons iconiques du groupe ABBA. Muriel est une comédie dramatique qui comporte ses moments drôles et légers mais aussi des scènes plus lourdes en émotions, notamment dans la deuxième partie du film. MURIEL'S WEDDING est le genre de film qui fait plaisir à voir puisqu'on y retrouve un personnage principal authentique auquel il est facile de s'attacher et s'identifier. Somptueusement interprétée par Toni Colette, qui était encore peu connue à l'époque, Muriel est une jeune femme qui n'a pas un physique qui correspond aux diktats de la beauté mais ça ne l’empêche pas d'être une personne enjouée avec la tête pleine de rêves (principalement celui de se marier), bien qu'au fond, cela cache un certain mal-être. Muriel n’est en effet pas acceptée des autres et elle va donc décider de partir et de se réinventer. Se faisant désormais appelé Mariel, elle tente plus que tout de se libérer de son ancienne identité. Muriel est le genre de protagoniste que j'aimerais voir plus souvent dans un film ou bien une série, et même si elle ne fait pas tout le temps des choix judicieux, on ne peut que aimer ce personnage qui finira par grandir par rapport aux choix qu'elle a pu faire. Rhonda, interprétée par Rachel Griffith, est également un personnage incroyable et l'amie dont Muriel avait désespérément besoin. Elle se révèle être une amie fun et qui ne juge pas, contrairement à l'ancien cercle "d'amies" de Muriel.
❝But since I've met you and moved to Sydney, I haven't listened to one ABBA song. That's because my life is as good as an ABBA song. It's as good as Dancing Queen.❞ - Muriel Heslop
Les éléments plus dramatiques de l'histoire tournent surtout autour de la famille de Muriel. Sa fratrie est une bande de bons à rien, son père, Bill, est un politicien véreux qui se contrefout de sa famille et il y a Betty, sa mère qui donne tout pour sa famille mais qui est malgré tout dénigrée par ses enfants mais surtout par son mari. Betty, interprété par Jeanie Drynan, est le personnage qui nous fait le plus mal au cœur car c'est une personne mentalement fragile, qui est cependant toujours là pour sa famille mais qui n'a rien en retour. Ce personnage, malgré qu'il ne soit pas souvent à l'écran, détient malgré tout une place important dans le dénouement du film.


Alors, on regarde ou pas ?

Malgré que le film soit sorti en 1994, il n'a pas vraiment vieilli et au vu des thèmes qu'il aborde, reste plutôt actuel. De plus, le long-métrage est sans prétention mais se révèle plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Au final, Muriel's Wedding est un film aussi drôle que touchant et qui véhicule l'idée qu'il faut pouvoir s'accepter tel qu'on est.

Muriel's Wedding, une comédie dramatique rafraîchissante et poignante.

Muriel's Wedding 1994
De nombreux films ont marqué ma jeunesse et Muriel's Wedding est bien l'un d'entre eux.  Si je me souviens bien, c’est ma sœur qui m’a fait découvrir ce film et je ne regrette pas cette découverte. Long-métrage réalisé par PJ Hogan, peut-être davantage connu pour les films Le Mariage de mon meilleur ami (1997) et Peter Pan (2003), on y suit Muriel (Toni Colette), une jeune femme qui est un peu le vilain petit canard de sa famille et qui vit dans une médiocre ville balnéaire australienne, Porpoise Spit. Muriel n’a pas vraiment d’amis et a du mal à se faire accepter des autres, jusqu’au jour où elle se lie d'amitié avec Rhonda (Rachel Griffiths) et qu’elles décident toutes les deux de partir pour Sydney. Une nouvelle vie commence alors pour Muriel.

Muriel, un personnage incroyablement humain

Ce film apporte une véritable bouffée de fraîcheur, rythmée par les chansons iconiques du groupe ABBA. Muriel est une comédie dramatique qui comporte ses moments drôles et légers mais aussi des scènes plus lourdes en émotions, notamment dans la deuxième partie du film. MURIEL'S WEDDING est le genre de film qui fait plaisir à voir puisqu'on y retrouve un personnage principal authentique auquel il est facile de s'attacher et s'identifier. Somptueusement interprétée par Toni Colette, qui était encore peu connue à l'époque, Muriel est une jeune femme qui n'a pas un physique qui correspond aux diktats de la beauté mais ça ne l’empêche pas d'être une personne enjouée avec la tête pleine de rêves (principalement celui de se marier), bien qu'au fond, cela cache un certain mal-être. Muriel n’est en effet pas acceptée des autres et elle va donc décider de partir et de se réinventer. Se faisant désormais appelé Mariel, elle tente plus que tout de se libérer de son ancienne identité. Muriel est le genre de protagoniste que j'aimerais voir plus souvent dans un film ou bien une série, et même si elle ne fait pas tout le temps des choix judicieux, on ne peut que aimer ce personnage qui finira par grandir par rapport aux choix qu'elle a pu faire. Rhonda, interprétée par Rachel Griffith, est également un personnage incroyable et l'amie dont Muriel avait désespérément besoin. Elle se révèle être une amie fun et qui ne juge pas, contrairement à l'ancien cercle "d'amies" de Muriel.
❝But since I've met you and moved to Sydney, I haven't listened to one ABBA song. That's because my life is as good as an ABBA song. It's as good as Dancing Queen.❞ - Muriel Heslop
Les éléments plus dramatiques de l'histoire tournent surtout autour de la famille de Muriel. Sa fratrie est une bande de bons à rien, son père, Bill, est un politicien véreux qui se contrefout de sa famille et il y a Betty, sa mère qui donne tout pour sa famille mais qui est malgré tout dénigrée par ses enfants mais surtout par son mari. Betty, interprété par Jeanie Drynan, est le personnage qui nous fait le plus mal au cœur car c'est une personne mentalement fragile, qui est cependant toujours là pour sa famille mais qui n'a rien en retour. Ce personnage, malgré qu'il ne soit pas souvent à l'écran, détient malgré tout une place important dans le dénouement du film.


Alors, on regarde ou pas ?

Malgré que le film soit sorti en 1994, il n'a pas vraiment vieilli et au vu des thèmes qu'il aborde, reste plutôt actuel. De plus, le long-métrage est sans prétention mais se révèle plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Au final, Muriel's Wedding est un film aussi drôle que touchant et qui véhicule l'idée qu'il faut pouvoir s'accepter tel qu'on est.
Le Rewind Club: Séries TV & Nostalgie • Dawson, Degrassi et Skins
Le teen show ou teen drama est un des genres que j'apprécie le plus, ce sont des séries que j'ai regardé en masse pendant mon enfance et mon adolescence et qui tiennent une place spéciale dans mon cœur (pareil avec les teen movies). Dans cet article Séries TV & Nostalgie, on va donc discuter de trois teen shows qui ont marqué mon enfance et mon adolescence.


Dawson, le teen drama pionner du genre ? (1998-2003)
Le Rewind Club: Dawson's Creek
A Capeside, Dawson découvre les aléas de l'adolescence et voit ses relations avec Joey et Pacey, ses amis de toujours, mises à rude épreuve.
Qu'on aime ou non cette série, on ne peut pas nier que DAWSON est un des teen dramas les plus cultes des années 90/début des années 2000. J'ai toujours connu cette série car ma sœur la regardait mais j'ai réellement découvert Dawson quand j'étais en seconde, soit environ 8 ans après l’arrêt de la série, en 2003. Dawson est une série qui aborde la complexité du stade de l'adolescence à travers les thèmes typiques tels que l'amitié, des premiers amours, de la sexualité etc. La série n'était toute fois pas sans défaut, notamment son personnage principal, Dawson Leery. Interprété par James Van Der Beek, Dawson est tout simplement insupportable, ce qui est bien problématique vu que la série tourne autour de lui et je lui préfère de loin son meilleur ami, Pacey, interprété par Joshua Jackson (oui, je suis clairement Team Pacey). Un autre point, j'ai toujours trouvé que les adolescents de cette série avaient un coté un peu trop mature pour leur âge, ce qui fait que la série perdait parfois en crédibilité (paradoxalement, ils manquaient parfois de maturité sur certains sujets). Néanmoins, Dawson est une série que j'apprécie beaucoup et je trouve que la série dégage à présent une certaine nostalgie et je ne sais pas pour vous mais moi, la petite ville de Capeside m'a toujours vendu du rêve.


Degrassi, le meilleur teen show de tous les temps ? (2001-2015)
Le Rewind Club: Degrassi
Emma, Tobby, JT, Liberty, Sean, Ashley, Paige, Terri, Spinner et Jimmy forment la bande de Degrassi. Ils s'assoient sur les mêmes bancs d'école que leurs parents. L'amitié est la valeur sûre pour affronter tous les problèmes, chagrin d'amour ou violence familiale, pertes de repères ou maladie grave..
DEGRASSI est incontestablement le teen show qui marqua mon enfance et mon adolescence. Il faut savoir que Degrassi est une série canadienne qui débuta en 1987 et se termina en 1991 et qui était intitulé en France Les Années collège. Degrassi: La Nouvelle Génération est son spin-off et fut diffusé à partir d'octobre 2001. La série dura 14 ans, ce qui a permis de suivre une multitude de personnages grandir sous nos yeux et d'en découvrir de nouveaux à chaque nouvelle saison. Selon moi, Degrassi  reste le meilleur teen show de ces dernières années, de nombreux thématiques y étaient abordés, entre autres la sexualité, le cancer, les mères adolescentes, les troubles mentaux, etc. Cette série exploita donc de nombreux thèmes majeurs dans la vie des adolescents, ce qu'on ne voyait pas forcément partout et elle a su innover au fur et à mesure que les nouvelles technologies prirent une place importante dans le quotidien (par exemple, le cyberharcèlement sur les réseaux sociaux). Il est important de souligner que la plupart des acteurs étaient proche de l'âge de leur personnages, ce qui devient assez rare dans les teen shows. La série connu un autre spin-off, Degrassi Next Class qui ne dura malheureusement qu'un an et qui fut officiellement annulée en 2019, à mon plus grand désarroi. Degrassi restera mon teen drama préféré de tous les temps.


Skins, une jeunesse complètement décomplexée. (2007-2013)
Le Rewind Club: Skins
Un groupe de jeunes adolescents britanniques vivent à Bristol et font leurs premières expériences du monde adulte, en se déchirant autour de sujets comme la religion, la sexualité, la drogue, les déséquilibres alimentaires...
J'ai vraiment découvert SKINS avec la seconde génération, c'est à dire à partir de la saison 3, avec Effy en tant que personnage central. Skins est une série britannique qui a eu l'audace de dépeindre une jeunesse plus folle et dévergondée, là où d'autres teen dramas avaient tendance à montrer une jeunesse plus sage et aseptisé. Cette série a su donc réinventer le teen drama en ajoutant un gros grain de folie, et c'est aussi peut-être pour ça que c'est celle aussi où je me suis le moins reconnue dans les personnages, force de constater que la jeunesse dépeinte dans Skins est loin d’être ressemblante à celle que j'ai vécu. Cela ne m'a pourtant pas empêché d'apprécier la série et de m'attacher à certains personnages (en particulier JJ interprété par Ollie Barbieri) et cela, grâce à la performance des acteurs qui sont tous très talentueux et certains d'entre eux, je pense surtout à Nicholas Hoult, Dev Patel et Kaya Scodelario, ont même réussi à conquérir Hollywood. Les personnages sont touchant grâce à leurs imperfections et leurs faiblesses et il faut se rendre à l'évidence, Skins nous a offert des scènes vraiment forte en émotion qui avaient le don de déchirer le coeur.


sondage twitter: quel est votre teen drama préféré ?

1. One Tree Hill
2. Dawson
3. Euphoria 
4. Newport Beach
5. Freaks and Geeks


Séries TV & Nostalgie • Dawson, Degrassi et Skins.

Le Rewind Club: Séries TV & Nostalgie • Dawson, Degrassi et Skins
Le teen show ou teen drama est un des genres que j'apprécie le plus, ce sont des séries que j'ai regardé en masse pendant mon enfance et mon adolescence et qui tiennent une place spéciale dans mon cœur (pareil avec les teen movies). Dans cet article Séries TV & Nostalgie, on va donc discuter de trois teen shows qui ont marqué mon enfance et mon adolescence.


Dawson, le teen drama pionner du genre ? (1998-2003)
Le Rewind Club: Dawson's Creek
A Capeside, Dawson découvre les aléas de l'adolescence et voit ses relations avec Joey et Pacey, ses amis de toujours, mises à rude épreuve.
Qu'on aime ou non cette série, on ne peut pas nier que DAWSON est un des teen dramas les plus cultes des années 90/début des années 2000. J'ai toujours connu cette série car ma sœur la regardait mais j'ai réellement découvert Dawson quand j'étais en seconde, soit environ 8 ans après l’arrêt de la série, en 2003. Dawson est une série qui aborde la complexité du stade de l'adolescence à travers les thèmes typiques tels que l'amitié, des premiers amours, de la sexualité etc. La série n'était toute fois pas sans défaut, notamment son personnage principal, Dawson Leery. Interprété par James Van Der Beek, Dawson est tout simplement insupportable, ce qui est bien problématique vu que la série tourne autour de lui et je lui préfère de loin son meilleur ami, Pacey, interprété par Joshua Jackson (oui, je suis clairement Team Pacey). Un autre point, j'ai toujours trouvé que les adolescents de cette série avaient un coté un peu trop mature pour leur âge, ce qui fait que la série perdait parfois en crédibilité (paradoxalement, ils manquaient parfois de maturité sur certains sujets). Néanmoins, Dawson est une série que j'apprécie beaucoup et je trouve que la série dégage à présent une certaine nostalgie et je ne sais pas pour vous mais moi, la petite ville de Capeside m'a toujours vendu du rêve.


Degrassi, le meilleur teen show de tous les temps ? (2001-2015)
Le Rewind Club: Degrassi
Emma, Tobby, JT, Liberty, Sean, Ashley, Paige, Terri, Spinner et Jimmy forment la bande de Degrassi. Ils s'assoient sur les mêmes bancs d'école que leurs parents. L'amitié est la valeur sûre pour affronter tous les problèmes, chagrin d'amour ou violence familiale, pertes de repères ou maladie grave..
DEGRASSI est incontestablement le teen show qui marqua mon enfance et mon adolescence. Il faut savoir que Degrassi est une série canadienne qui débuta en 1987 et se termina en 1991 et qui était intitulé en France Les Années collège. Degrassi: La Nouvelle Génération est son spin-off et fut diffusé à partir d'octobre 2001. La série dura 14 ans, ce qui a permis de suivre une multitude de personnages grandir sous nos yeux et d'en découvrir de nouveaux à chaque nouvelle saison. Selon moi, Degrassi  reste le meilleur teen show de ces dernières années, de nombreux thématiques y étaient abordés, entre autres la sexualité, le cancer, les mères adolescentes, les troubles mentaux, etc. Cette série exploita donc de nombreux thèmes majeurs dans la vie des adolescents, ce qu'on ne voyait pas forcément partout et elle a su innover au fur et à mesure que les nouvelles technologies prirent une place importante dans le quotidien (par exemple, le cyberharcèlement sur les réseaux sociaux). Il est important de souligner que la plupart des acteurs étaient proche de l'âge de leur personnages, ce qui devient assez rare dans les teen shows. La série connu un autre spin-off, Degrassi Next Class qui ne dura malheureusement qu'un an et qui fut officiellement annulée en 2019, à mon plus grand désarroi. Degrassi restera mon teen drama préféré de tous les temps.


Skins, une jeunesse complètement décomplexée. (2007-2013)
Le Rewind Club: Skins
Un groupe de jeunes adolescents britanniques vivent à Bristol et font leurs premières expériences du monde adulte, en se déchirant autour de sujets comme la religion, la sexualité, la drogue, les déséquilibres alimentaires...
J'ai vraiment découvert SKINS avec la seconde génération, c'est à dire à partir de la saison 3, avec Effy en tant que personnage central. Skins est une série britannique qui a eu l'audace de dépeindre une jeunesse plus folle et dévergondée, là où d'autres teen dramas avaient tendance à montrer une jeunesse plus sage et aseptisé. Cette série a su donc réinventer le teen drama en ajoutant un gros grain de folie, et c'est aussi peut-être pour ça que c'est celle aussi où je me suis le moins reconnue dans les personnages, force de constater que la jeunesse dépeinte dans Skins est loin d’être ressemblante à celle que j'ai vécu. Cela ne m'a pourtant pas empêché d'apprécier la série et de m'attacher à certains personnages (en particulier JJ interprété par Ollie Barbieri) et cela, grâce à la performance des acteurs qui sont tous très talentueux et certains d'entre eux, je pense surtout à Nicholas Hoult, Dev Patel et Kaya Scodelario, ont même réussi à conquérir Hollywood. Les personnages sont touchant grâce à leurs imperfections et leurs faiblesses et il faut se rendre à l'évidence, Skins nous a offert des scènes vraiment forte en émotion qui avaient le don de déchirer le coeur.


sondage twitter: quel est votre teen drama préféré ?

1. One Tree Hill
2. Dawson
3. Euphoria 
4. Newport Beach
5. Freaks and Geeks


Daybreak Netflix



Si vous êtes à la recherche d’une série à regarder sans prise de tête, que le gore ne vous fait pas éprouver du dégoût et que vous aimez le genre post-apocalyptique déjanté, je ne peux que vous conseiller de commencer Daybreak. Adapté du comics éponyme, Daybreak suit Josh, un adolescent de 17 ans qui est à la recherche de sa petite amie Sam après que sa ville, Greendale, fut bombardé par une arme chimique, ce qui transforma les adultes en Ghoulies (aka des zombies). Il sera rejoint dans sa quête par Angelica, une jeune fille surdouée et pyromane ainsi que de Weasley, ancien bully qui souhaite se repentir et qui est donc devenu un samouraï pacifiste. Tous les ados de la ville sont réunis en plusieurs clans, ce qui n’est pas sans rappeler les classes sociales typiques qu'on trouve dans l’enceinte d’un lycée, et passent la majorité du temps à s'entretuer.

Si on devait définir DAYBREAK, je dirais que c’est un mélange entre Mad Max et La Folle Journée de Ferris Bueller. Entre la série horrifique et le teen show classique, Daybreak est une série de pur divertissement et sans prise de tête. Les premiers épisodes sont excellents et très prenant et c’est assez dommage que la série ait une petite baisse de régime au milieu pour que l’action reprenne de plus belle des les deux derniers épisodes. On regrettera tout de même le manque de cohérence et de logique, la prévisibilité des plot-twists mais aussi la présence trop rare des Ghoulies, compte tenu de la nature de la série. Avec l’idée des gangs et des clans sociaux, on ne peut que dire que la série s’enfonce parfois dans les clichés mais on saluera les quelques discours, qui sont pour la plupart évoqués par des personnages féminins, qui se révèlent être justes et actuels. Il est clair que Daybreak n’a pas pour but d’analyser et de mieux comprendre les ados.

Daybreak Netflix


Sam, le personnage principal, est interprété par Colin Ford (précédemment vu dans Under the Dome) et on ne va pas se mentir, c’est un protagoniste plus que banal et qui ne se démarque absolument pas de la figure générique du gars qu’on retrouve généralement dans les teen movies ou teen dramas. La petite originalité du personnage est qu’il brise constamment le quatrième mur, ce qui est d’ailleurs un énorme clin d'oeil à Ferris Bueller. Le personnage qui se démarque le plus dans cette série, c’est indéniablement Angelica, interprété par la jeune Alyvia Alyn Lind. Âgée de 12 ans, l’actrice interprète un personnage avec une personnalité qui ne correspond pas normalement à une gamine de son âge. Angelica est une surdouée, à un langage outrancier et ne laisse pas marcher sur les pieds et tout au long de la série, c’est celle qui livrera les répliques les plus cinglantes. On retrouve également Matthew Broderick au casting. Sa présence est en soit un gros clin d’oeil au film La Folle Journée de Ferris Bueller, dont la série rend clairement un hommage. Broderick est surprenant dans son rôle, lui qui se fait très rare sur les écrans depuis le début des années 2000 et il prouve pourtant ici qu’il mérite bien sa place.

Daybreak est définitivement la série avec le cas de figure du “ça passe ou ça casse”. Elle ne joue par la carte de l'originalité, a des faiblesses évidentes mais bon sang, c’est la plupart du temps jouissif et c’est un plaisir à binge-watcher. La fin laisse un bon nombre de questions sans réponses, ce qui laisse la place pour une éventuelle saison 2 pour y répondre.


La saison 1 est disponible sur Netflix depuis le 24 octobre 2019.

Daybreak, une série post-apocalyptique absolument déjantée.

Daybreak Netflix



Si vous êtes à la recherche d’une série à regarder sans prise de tête, que le gore ne vous fait pas éprouver du dégoût et que vous aimez le genre post-apocalyptique déjanté, je ne peux que vous conseiller de commencer Daybreak. Adapté du comics éponyme, Daybreak suit Josh, un adolescent de 17 ans qui est à la recherche de sa petite amie Sam après que sa ville, Greendale, fut bombardé par une arme chimique, ce qui transforma les adultes en Ghoulies (aka des zombies). Il sera rejoint dans sa quête par Angelica, une jeune fille surdouée et pyromane ainsi que de Weasley, ancien bully qui souhaite se repentir et qui est donc devenu un samouraï pacifiste. Tous les ados de la ville sont réunis en plusieurs clans, ce qui n’est pas sans rappeler les classes sociales typiques qu'on trouve dans l’enceinte d’un lycée, et passent la majorité du temps à s'entretuer.

Si on devait définir DAYBREAK, je dirais que c’est un mélange entre Mad Max et La Folle Journée de Ferris Bueller. Entre la série horrifique et le teen show classique, Daybreak est une série de pur divertissement et sans prise de tête. Les premiers épisodes sont excellents et très prenant et c’est assez dommage que la série ait une petite baisse de régime au milieu pour que l’action reprenne de plus belle des les deux derniers épisodes. On regrettera tout de même le manque de cohérence et de logique, la prévisibilité des plot-twists mais aussi la présence trop rare des Ghoulies, compte tenu de la nature de la série. Avec l’idée des gangs et des clans sociaux, on ne peut que dire que la série s’enfonce parfois dans les clichés mais on saluera les quelques discours, qui sont pour la plupart évoqués par des personnages féminins, qui se révèlent être justes et actuels. Il est clair que Daybreak n’a pas pour but d’analyser et de mieux comprendre les ados.

Daybreak Netflix


Sam, le personnage principal, est interprété par Colin Ford (précédemment vu dans Under the Dome) et on ne va pas se mentir, c’est un protagoniste plus que banal et qui ne se démarque absolument pas de la figure générique du gars qu’on retrouve généralement dans les teen movies ou teen dramas. La petite originalité du personnage est qu’il brise constamment le quatrième mur, ce qui est d’ailleurs un énorme clin d'oeil à Ferris Bueller. Le personnage qui se démarque le plus dans cette série, c’est indéniablement Angelica, interprété par la jeune Alyvia Alyn Lind. Âgée de 12 ans, l’actrice interprète un personnage avec une personnalité qui ne correspond pas normalement à une gamine de son âge. Angelica est une surdouée, à un langage outrancier et ne laisse pas marcher sur les pieds et tout au long de la série, c’est celle qui livrera les répliques les plus cinglantes. On retrouve également Matthew Broderick au casting. Sa présence est en soit un gros clin d’oeil au film La Folle Journée de Ferris Bueller, dont la série rend clairement un hommage. Broderick est surprenant dans son rôle, lui qui se fait très rare sur les écrans depuis le début des années 2000 et il prouve pourtant ici qu’il mérite bien sa place.

Daybreak est définitivement la série avec le cas de figure du “ça passe ou ça casse”. Elle ne joue par la carte de l'originalité, a des faiblesses évidentes mais bon sang, c’est la plupart du temps jouissif et c’est un plaisir à binge-watcher. La fin laisse un bon nombre de questions sans réponses, ce qui laisse la place pour une éventuelle saison 2 pour y répondre.


La saison 1 est disponible sur Netflix depuis le 24 octobre 2019.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.

A force de voir la pub sur TFX et de voir par la suite que la série était disponible sur Prime Video, il n'en fallait pas plus pour que je me lance dans The Goldbergs et ce fut la meilleure décision de mon mois de septembre. Sitcom lancée en 2013, The Goldbergs est une série créer par Adam F. Goldberg qui, sous forme de fiction, rend hommage à sa propre famille. On suit donc les tribulations dans cette famille fantasque pendant les années 80 et qui est narré par une version fictive et âgé de Adam F. Goldberg, interprété par l’acteur Patton Oswalt.

De toutes les séries familiales que j'ai pu regarder, THE GOLDBERGS est devenue en peu de temps une de mes préférées. C'est drôle et parfois touchant, bien que la trame des épisodes est souvent répétitive (mais j’ai l’impression que c’est assez propre aux sitcoms). Dans le premier épisode, on fait donc la connaissance de cette drôle de famille: il y a Beverly (‎Wendi McLendon-Covey), la mère au foyer aimante et surprotectrice et Murray (Jeff Garlin), le père qui n'exprime pas ses sentiments et quand il n'est pas au boulot passe son temps devant la télé. Les enfants sont au nombre de trois avec Erica (Hayley Orrantia), l'aînée et élève populaire au lycée qui a une passion pour la musique, Barry (Troy Gentile), le cadet, est le genre de frère qui prend plaisir à malmener son petit frère et on finit donc par Adam (Sean Giambrone), le benjamin, le nerd qui aime les films et les figurines et qui adore créer ses propres films. Il y a également Pops (George Segal), le grand-père maternelle, encore très jeune dans sa tête et qui adore passer du temps avec Adam. Bien que les Goldberg soient une famille excentrique qui ne passe pas inaperçue, ils sont incroyablement attachants.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.


La série a la particularité de se passer dans les années 80, sans que l’année exacte ne soit jamais mentionné, procédé qui permet d’exploiter toute la pop culture des 80s. Ce procédé n'est évidemment pas sans défaut et c'est vrai que ce manque de continuité et de chronologie peut en déstabiliser plus d’un (par exemple, on ne sait pas vraiment combien d'années séparent vraiment la fratrie; au cours de la série, Adam fêtera deux fois ses 16 ans: une fois dans la saison 4 et l'autre fois dans la saison 5). Bref, au niveau de la temporalité, c'est un vrai capharnaüm. Il n’empêche que la série dégage une certaine nostalgie qui peut toucher un grand nombre de personne. Bien que The Goldbergs soit une lettre d’amour d’Adam F. Goldberg pour sa famille, c’est aussi une lettre d’amour pour les années 80 et il y a donc de nombreux hommages à divers films, séries et chansons tout au long de la série. Il y a d'ailleurs toujours un hommage principal le temps d’un épisode où les personnages reproduisent en quelque sortes les événements du film auquel il rend hommage. Il y a, par exemple, un épisode qui rend hommage au film Les Goonies dans la saison 1, où Adam se lance dans une chasse aux trésors, les personnages sont habillé comme les personnages du film et encore mieux, le grenier des Goldberg est pratiquement identique à celui de la famille de Mikey et Brand Walsh des Goonies. Si vous êtes fan des 80s comme moi, toutes ces références devraient vous plaire.

The Goldbergs a un côté très léger et feel good mais ça n'empêche pas d’avoir des personnages qui font face à différentes situations, certaines plus difficiles que d’autres, ce qui fait qu’on pourra s’identifier à certains d'entre eux. Pendant les 6 saisons, on verra notamment la fratrie grandir et faire face aux différents problèmes liés à l'adolescence. Cependant, on ne va se voiler la face, la série ne fait pas dans l’originale et fait extrêmement penser à d’autres séries qui ont été fait avant, notamment Malcolm et The Middle mais le contexte et l'interprétation des acteurs font qu'on continue tout de même de regarder. Le jeu des acteurs est parfois dans l’excès mais c'est ce qui fait fait le charme de la série et de ses personnages.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.

The Goldbergs fut un véritable coup de cœur et en l'espace de deux semaines, j'ai regardé l'intégralité de la série et mise à part une petite baisse de régime dans une petite flopée d’épisodes de la saison 6, j'ai savouré tous les épisodes. La série compte pour le moment 6 saisons et la septième est en cours de diffusion depuis le 25 septembre 2019 sur ABC.

Les saisons 1 à 5 sont disponibles sur Prime Video.


The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.

A force de voir la pub sur TFX et de voir par la suite que la série était disponible sur Prime Video, il n'en fallait pas plus pour que je me lance dans The Goldbergs et ce fut la meilleure décision de mon mois de septembre. Sitcom lancée en 2013, The Goldbergs est une série créer par Adam F. Goldberg qui, sous forme de fiction, rend hommage à sa propre famille. On suit donc les tribulations dans cette famille fantasque pendant les années 80 et qui est narré par une version fictive et âgé de Adam F. Goldberg, interprété par l’acteur Patton Oswalt.

De toutes les séries familiales que j'ai pu regarder, THE GOLDBERGS est devenue en peu de temps une de mes préférées. C'est drôle et parfois touchant, bien que la trame des épisodes est souvent répétitive (mais j’ai l’impression que c’est assez propre aux sitcoms). Dans le premier épisode, on fait donc la connaissance de cette drôle de famille: il y a Beverly (‎Wendi McLendon-Covey), la mère au foyer aimante et surprotectrice et Murray (Jeff Garlin), le père qui n'exprime pas ses sentiments et quand il n'est pas au boulot passe son temps devant la télé. Les enfants sont au nombre de trois avec Erica (Hayley Orrantia), l'aînée et élève populaire au lycée qui a une passion pour la musique, Barry (Troy Gentile), le cadet, est le genre de frère qui prend plaisir à malmener son petit frère et on finit donc par Adam (Sean Giambrone), le benjamin, le nerd qui aime les films et les figurines et qui adore créer ses propres films. Il y a également Pops (George Segal), le grand-père maternelle, encore très jeune dans sa tête et qui adore passer du temps avec Adam. Bien que les Goldberg soient une famille excentrique qui ne passe pas inaperçue, ils sont incroyablement attachants.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.


La série a la particularité de se passer dans les années 80, sans que l’année exacte ne soit jamais mentionné, procédé qui permet d’exploiter toute la pop culture des 80s. Ce procédé n'est évidemment pas sans défaut et c'est vrai que ce manque de continuité et de chronologie peut en déstabiliser plus d’un (par exemple, on ne sait pas vraiment combien d'années séparent vraiment la fratrie; au cours de la série, Adam fêtera deux fois ses 16 ans: une fois dans la saison 4 et l'autre fois dans la saison 5). Bref, au niveau de la temporalité, c'est un vrai capharnaüm. Il n’empêche que la série dégage une certaine nostalgie qui peut toucher un grand nombre de personne. Bien que The Goldbergs soit une lettre d’amour d’Adam F. Goldberg pour sa famille, c’est aussi une lettre d’amour pour les années 80 et il y a donc de nombreux hommages à divers films, séries et chansons tout au long de la série. Il y a d'ailleurs toujours un hommage principal le temps d’un épisode où les personnages reproduisent en quelque sortes les événements du film auquel il rend hommage. Il y a, par exemple, un épisode qui rend hommage au film Les Goonies dans la saison 1, où Adam se lance dans une chasse aux trésors, les personnages sont habillé comme les personnages du film et encore mieux, le grenier des Goldberg est pratiquement identique à celui de la famille de Mikey et Brand Walsh des Goonies. Si vous êtes fan des 80s comme moi, toutes ces références devraient vous plaire.

The Goldbergs a un côté très léger et feel good mais ça n'empêche pas d’avoir des personnages qui font face à différentes situations, certaines plus difficiles que d’autres, ce qui fait qu’on pourra s’identifier à certains d'entre eux. Pendant les 6 saisons, on verra notamment la fratrie grandir et faire face aux différents problèmes liés à l'adolescence. Cependant, on ne va se voiler la face, la série ne fait pas dans l’originale et fait extrêmement penser à d’autres séries qui ont été fait avant, notamment Malcolm et The Middle mais le contexte et l'interprétation des acteurs font qu'on continue tout de même de regarder. Le jeu des acteurs est parfois dans l’excès mais c'est ce qui fait fait le charme de la série et de ses personnages.

Le Rewind Club : The Goldbergs, une sitcom qui rend hommage à la famille et aux 80s.

The Goldbergs fut un véritable coup de cœur et en l'espace de deux semaines, j'ai regardé l'intégralité de la série et mise à part une petite baisse de régime dans une petite flopée d’épisodes de la saison 6, j'ai savouré tous les épisodes. La série compte pour le moment 6 saisons et la septième est en cours de diffusion depuis le 25 septembre 2019 sur ABC.

Les saisons 1 à 5 sont disponibles sur Prime Video.


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