Lucky Man: a memoir - Michael J. Fox


Je pense être dans le vrai en disant que la majorité d’entre nous connaissent Michael J. Fox à travers son rôle de Marty McFly dans la Trilogie Retour vers le Futur (1985-1990). Si vous connaissez les détails les plus connus de sa vie, vous savez également que Michael J. Fox est atteint de la maladie de Parkinson et alors que cette maladie qu’on pense être en majorité associée aux personnes âgées, lui à découvert en être atteint à seulement 30 ans. Je ne savais pas non plus qu'il avait écrit un livre - il en a même écrit trois - Lucky Man étant le premier qu'il ait écrit, publié en 2002. Dans cette autobiographie, Michael J. Fox se livre en nous racontant divers moments de sa vie, de son enfance à son adolescence, son arrivée à Los Angeles et le début de sa carrière d’acteur et bien entendu, sa “relation” avec sa maladie. Je partage avec vous mon opinion sur cette autobiographie.     

I woke up to find the message in my left hand. It had me trembling. It wasn't a fax, telegram, memo, or the usual sort of missive bringing disturbing news. In fact, my hand held nothing at all. The trembling was the message.
C'était la première fois que je lisais ce type d'ouvrage et ce fut un réel plaisir de commencer avec une aussi belle lecture. Lire Lucky Man a fait naître un tas d’émotions et de sensations: colère, compassion, joie, etc. D’ailleurs, je ne m'attendais vraiment pas à rire en lisant ce livre, il y a des passages assez drôles qui reflètent le coté comique de Michael J. Fox. Je ne savais pas énormément de choses sur cet acteur, je connaissais des éléments lié à sa carrière mais pas vraiment sur sa vie personnelle. Les passages sur son enfance, adolescence et le début de sa carrière sont ceux qui m’ont le plus captivés et m’ont presque donnés la sensation d’être proche de lui. Les passages qui traitent de la célébrité sont également très intéressant car c’est une réelle réflexion sur l’envers du décor et que tout n’est pas forcément beau quand on est célèbre et on comprend alors qu’on peut vite s’y perdre.
Everywhere I looked, I saw my image reflected back at me. But that was the thing – none of them was a true representation of my real self, whoever that was; it was more like a hall of mirrors.
Il aborde également les événements entourant son mariage avec Tracy Pollan où il explique comment les journalistes et les paparazzis avaient essayé d'infiltrer son mariage alors que lui et sa femme avaient refusé toutes exclusivités, voulant une cérémonie en toute simplicité avec la famille et les amis proches. Ce passage illustre à quel point être célèbre à ses inconvénients.
Stubbornly, I clung to fantasies of escape, hoping against hope that somehow my diagnosis would turn out to be a mistake.
Les passages les plus touchant sont ceux qui traite de comment Michael J. Fox a réagi quand il apprit qu'il était atteint de la maladie de Parkinson et comment il a agi face à la maladie par la suite. On est vite touché quand Michael J. Fox explique son très long parcours dans l’acceptation de sa maladie. Il nous fait savoir à quel point, au début, il était dans le déni et que sa seule solution pour oublier sa situation fut l'alcool.
With my diagnosis in 1991 came another shift in my relationship with alcohol. The quantity of my drinking was still down from eighties level, but the quality of that drinking had changed ominously. I always knew, somewhere in the back of my mind, that my drinking was about filling a void, masking a need to be something more than I was.
J’ai trouvé le parcours de cet homme plutôt incroyable, d’un homme qui n’ose pas reconnaître qu’il est atteint de la maladie de Parkinson, qui préfère oublier dans l’alcool, il finit peu à peu par accepter sa maladie et il finit même par devenir militant, créant par la suite sa propre association, The Michael J. Fox Foundation qui a pour but de trouver un remède contre la maladie de Parkinson grâce à des recherches financées et à la mise au point de traitements améliorés pour les personnes atteintes de la maladie.

Lucky Man: a memoir fut un réel coup de cœur. Je ne pense pas qu’on doit forcément être un fan de l’acteur pour apprécier cette oeuvre car, de me point vue, cette lecture permet de voir l’homme derrière l’acteur. On y voit cet homme faire face à la maladie à seulement 30 ans alors qu’il était à l’apogée de sa carrière et dans le début d’une vie de famille et le voir dévoiler ses faiblesses et ses forces sans aucune honte vaut le coup de lire cette autobiographie. Il a été traduit en français sous le titre La chance de ma vie mais malheureusement, le livre semble ne plus être édité. 







Lucky Man de Michael J. Fox, une autobiographie captivante et touchante.

Lucky Man: a memoir - Michael J. Fox


Je pense être dans le vrai en disant que la majorité d’entre nous connaissent Michael J. Fox à travers son rôle de Marty McFly dans la Trilogie Retour vers le Futur (1985-1990). Si vous connaissez les détails les plus connus de sa vie, vous savez également que Michael J. Fox est atteint de la maladie de Parkinson et alors que cette maladie qu’on pense être en majorité associée aux personnes âgées, lui à découvert en être atteint à seulement 30 ans. Je ne savais pas non plus qu'il avait écrit un livre - il en a même écrit trois - Lucky Man étant le premier qu'il ait écrit, publié en 2002. Dans cette autobiographie, Michael J. Fox se livre en nous racontant divers moments de sa vie, de son enfance à son adolescence, son arrivée à Los Angeles et le début de sa carrière d’acteur et bien entendu, sa “relation” avec sa maladie. Je partage avec vous mon opinion sur cette autobiographie.     

I woke up to find the message in my left hand. It had me trembling. It wasn't a fax, telegram, memo, or the usual sort of missive bringing disturbing news. In fact, my hand held nothing at all. The trembling was the message.
C'était la première fois que je lisais ce type d'ouvrage et ce fut un réel plaisir de commencer avec une aussi belle lecture. Lire Lucky Man a fait naître un tas d’émotions et de sensations: colère, compassion, joie, etc. D’ailleurs, je ne m'attendais vraiment pas à rire en lisant ce livre, il y a des passages assez drôles qui reflètent le coté comique de Michael J. Fox. Je ne savais pas énormément de choses sur cet acteur, je connaissais des éléments lié à sa carrière mais pas vraiment sur sa vie personnelle. Les passages sur son enfance, adolescence et le début de sa carrière sont ceux qui m’ont le plus captivés et m’ont presque donnés la sensation d’être proche de lui. Les passages qui traitent de la célébrité sont également très intéressant car c’est une réelle réflexion sur l’envers du décor et que tout n’est pas forcément beau quand on est célèbre et on comprend alors qu’on peut vite s’y perdre.
Everywhere I looked, I saw my image reflected back at me. But that was the thing – none of them was a true representation of my real self, whoever that was; it was more like a hall of mirrors.
Il aborde également les événements entourant son mariage avec Tracy Pollan où il explique comment les journalistes et les paparazzis avaient essayé d'infiltrer son mariage alors que lui et sa femme avaient refusé toutes exclusivités, voulant une cérémonie en toute simplicité avec la famille et les amis proches. Ce passage illustre à quel point être célèbre à ses inconvénients.
Stubbornly, I clung to fantasies of escape, hoping against hope that somehow my diagnosis would turn out to be a mistake.
Les passages les plus touchant sont ceux qui traite de comment Michael J. Fox a réagi quand il apprit qu'il était atteint de la maladie de Parkinson et comment il a agi face à la maladie par la suite. On est vite touché quand Michael J. Fox explique son très long parcours dans l’acceptation de sa maladie. Il nous fait savoir à quel point, au début, il était dans le déni et que sa seule solution pour oublier sa situation fut l'alcool.
With my diagnosis in 1991 came another shift in my relationship with alcohol. The quantity of my drinking was still down from eighties level, but the quality of that drinking had changed ominously. I always knew, somewhere in the back of my mind, that my drinking was about filling a void, masking a need to be something more than I was.
J’ai trouvé le parcours de cet homme plutôt incroyable, d’un homme qui n’ose pas reconnaître qu’il est atteint de la maladie de Parkinson, qui préfère oublier dans l’alcool, il finit peu à peu par accepter sa maladie et il finit même par devenir militant, créant par la suite sa propre association, The Michael J. Fox Foundation qui a pour but de trouver un remède contre la maladie de Parkinson grâce à des recherches financées et à la mise au point de traitements améliorés pour les personnes atteintes de la maladie.

Lucky Man: a memoir fut un réel coup de cœur. Je ne pense pas qu’on doit forcément être un fan de l’acteur pour apprécier cette oeuvre car, de me point vue, cette lecture permet de voir l’homme derrière l’acteur. On y voit cet homme faire face à la maladie à seulement 30 ans alors qu’il était à l’apogée de sa carrière et dans le début d’une vie de famille et le voir dévoiler ses faiblesses et ses forces sans aucune honte vaut le coup de lire cette autobiographie. Il a été traduit en français sous le titre La chance de ma vie mais malheureusement, le livre semble ne plus être édité. 








Ce qui est parti dans l'idée d'un tweet est venu se développer dans un article. Initialement, je voulais faire un thread sur Twitter concernant les séries que j'ai décidé d’arrêter de regarder, celles en suspens et celles que je continue de regarder. Cependant, étant limité sur Twitter, je me suis dit que cela serait plus intéressant pour vous de lire ceci sous la forme d'un article.



Les séries que j'ai abandonné
The Flash 
C'est depuis plusieurs semaines déjà que j'ai décidé que je ne continuerai pas de regarder The Flash. La série peine à se renouveler et honnêtement, j'ai de plus en plus de mal avec les personnages. J’espérai vraiment que cette saison allait développer le personnage de Caitlin Snow, notamment avec sa personnalité de Killer Frost mais j'ai l'impression que ce personnage n'est là que pour sauver la mise quand il n'y a pas d'autres recours. Je trouve que la série patauge vraiment et que les show runners ont du mal à trouver des idées qui pourrait donner un coup de fouet à la série et honnêtement, je m'ennuie plus qu'autre chose devant alors que The Flash, à ses débuts, était vite devenue une de mes séries préférées. Je n'ai aucun regrets bien que je continue tout de même pour le moment à me tenir informée sur ce qui se passe dans la série et en tout honnêteté, je ne rate rien en ayant arrêté la série.

The Good Doctor
J'ai arrêté de regarder The Good Doctor, une série plutôt récente qui n'en est qu'à sa première saison, quand je me suis rendue compte que je regardais seulement pour son interprète principal, l'acteur britannique Freddie Highmore, plutôt que pour la série en elle-même. Je ne suis pas fan des séries qui se passe dans des hôpitaux et même si The Good Doctor sort de l’ordinaire avec son personnage principale chirurgien atteint d’autisme, elle ne me divertit pas tant que ça donc je me suis dit qu'il valait mieux arrêter maintenant, en ayant seulement regardé 13 épisodes sur les 18.

Game of Thrones
J'ai tout simplement décidé d’arrêté cette série quand j'ai réalisé que je la regardais uniquement pour faire comme tout le monde alors que je ne l'appréciais pas plus que ça. Ça ne me dérangait pas d'être spoiler et je ne me jetais pas directement sur un épisode lors de sa sortie et quand j'ai eu quelques épisodes de retard, je me suis rendue compte que la série ne me manquait pas donc autant arrêter de regarder... 

J'ai également arrêté: Once Upon a Time car l'intrigue de la septième saison ne m’intéressait pas et la fin de la saison 6 était une fin satisfaisante pour l'ensemble de la série (et j'ai bien fait vu que cette saison 7 sera la dernière de la série); Shameless car je trouvais que c'était toujours un peu la même choses et je me suis lassée des personnages; Sense8 car, même si j'avais bien aimé la première saison, lorsque que la saison 2 est sortie, la série ne me tentait plus et ne m'a pas tenté depuis; The 100 car je me suis tout simplement lassé et j'ai abandonné à la fin de la saison 2. 


Les séries en suspens/que j'envisage d’arrêter.
iZombie
iZombie a perdu de son mordant et de sa fraîcheur. J'ai vraiment du mal à pleinement apprécié la quatrième saison et l'intrigue m'ennuie un peu. Alors que la série était tellement originale et pleine d'humour, j'ai l'impression que la série devient peut-être plus sérieuse ou l'humour n'est plus vraiment le même qu'au début. La tournant pris à la fin de la saison 3 ne m'enchante pas des masses et je trouve certains éléments, notamment Liv et ses changements de personnalité dus à sa consommation de cerveaux, assez redondants.

This is Us
J'ai une relation assez étrange avec cette série, je l'aime bien et effectivement elle mérite amplement tous les mérites qu'on lui vante mais je n'ai pas cette facilité à me diriger vers elle. J'en suis actuellement à l'épisode 9 de la saison 2 mais ça fait un petit moment que je n'ai pas regardé la série. Le plus ahurissant c'est que je n'ai rien à reprocher à la série, les personnages sont bien écrits et les acteurs sont de très bons interprètes, c'est riche en émotions mais je ne sais pas, j'ai du mal à vraiment accrocher avec la série.  


Les séries que je continue de regarder (et qui deviennent meilleures de saisons en saisons).
Gotham
Je ne remercierai jamais assez Amandine de m'avoir convaincue de commencer à regarder Gotham. Ce fut un réel coup de cœur. La série en est à sa quatrième saison et elle s'est bonifiée de saison en saison. Les méchants sont incroyables et l'évolution des personnages est présente et ils ont tous superbement bien changé depuis la première saison. L’atmosphère est toujours aussi prenante et c'est toujours avec plaisir que je me plonge dans un épisode. La quatrième saison arrive bientôt à son terme et j'espère vraiment que Gotham sera renouvelée pour une cinquième saison. Vous pouvez lire mon avis sur la série plus en détail ici

The Magicians
Encore une série qui ne m'a pas encore déçue. La série a superbement bien évolué depuis sa première saison, diffusé en 2015. Les petits étudiants plus ou moins novices de la première saison ont su mûrir et faire face aux dangers sur leur route. Ça me peine de voir que cette série n'est pas aussi mise en avant que d'autres alors qu'elle n'a rien à envier aux séries plus populaires. Chaque fin de saison se finit toujours de façon incroyable et qui fait que l'attente pour la prochaine saison est toujours difficile. Vous pouvez lire mon avis sur la première saison ici


Récapitulatif des séries que je continue ou non de regarder.


Ce qui est parti dans l'idée d'un tweet est venu se développer dans un article. Initialement, je voulais faire un thread sur Twitter concernant les séries que j'ai décidé d’arrêter de regarder, celles en suspens et celles que je continue de regarder. Cependant, étant limité sur Twitter, je me suis dit que cela serait plus intéressant pour vous de lire ceci sous la forme d'un article.



Les séries que j'ai abandonné
The Flash 
C'est depuis plusieurs semaines déjà que j'ai décidé que je ne continuerai pas de regarder The Flash. La série peine à se renouveler et honnêtement, j'ai de plus en plus de mal avec les personnages. J’espérai vraiment que cette saison allait développer le personnage de Caitlin Snow, notamment avec sa personnalité de Killer Frost mais j'ai l'impression que ce personnage n'est là que pour sauver la mise quand il n'y a pas d'autres recours. Je trouve que la série patauge vraiment et que les show runners ont du mal à trouver des idées qui pourrait donner un coup de fouet à la série et honnêtement, je m'ennuie plus qu'autre chose devant alors que The Flash, à ses débuts, était vite devenue une de mes séries préférées. Je n'ai aucun regrets bien que je continue tout de même pour le moment à me tenir informée sur ce qui se passe dans la série et en tout honnêteté, je ne rate rien en ayant arrêté la série.

The Good Doctor
J'ai arrêté de regarder The Good Doctor, une série plutôt récente qui n'en est qu'à sa première saison, quand je me suis rendue compte que je regardais seulement pour son interprète principal, l'acteur britannique Freddie Highmore, plutôt que pour la série en elle-même. Je ne suis pas fan des séries qui se passe dans des hôpitaux et même si The Good Doctor sort de l’ordinaire avec son personnage principale chirurgien atteint d’autisme, elle ne me divertit pas tant que ça donc je me suis dit qu'il valait mieux arrêter maintenant, en ayant seulement regardé 13 épisodes sur les 18.

Game of Thrones
J'ai tout simplement décidé d’arrêté cette série quand j'ai réalisé que je la regardais uniquement pour faire comme tout le monde alors que je ne l'appréciais pas plus que ça. Ça ne me dérangait pas d'être spoiler et je ne me jetais pas directement sur un épisode lors de sa sortie et quand j'ai eu quelques épisodes de retard, je me suis rendue compte que la série ne me manquait pas donc autant arrêter de regarder... 

J'ai également arrêté: Once Upon a Time car l'intrigue de la septième saison ne m’intéressait pas et la fin de la saison 6 était une fin satisfaisante pour l'ensemble de la série (et j'ai bien fait vu que cette saison 7 sera la dernière de la série); Shameless car je trouvais que c'était toujours un peu la même choses et je me suis lassée des personnages; Sense8 car, même si j'avais bien aimé la première saison, lorsque que la saison 2 est sortie, la série ne me tentait plus et ne m'a pas tenté depuis; The 100 car je me suis tout simplement lassé et j'ai abandonné à la fin de la saison 2. 


Les séries en suspens/que j'envisage d’arrêter.
iZombie
iZombie a perdu de son mordant et de sa fraîcheur. J'ai vraiment du mal à pleinement apprécié la quatrième saison et l'intrigue m'ennuie un peu. Alors que la série était tellement originale et pleine d'humour, j'ai l'impression que la série devient peut-être plus sérieuse ou l'humour n'est plus vraiment le même qu'au début. La tournant pris à la fin de la saison 3 ne m'enchante pas des masses et je trouve certains éléments, notamment Liv et ses changements de personnalité dus à sa consommation de cerveaux, assez redondants.

This is Us
J'ai une relation assez étrange avec cette série, je l'aime bien et effectivement elle mérite amplement tous les mérites qu'on lui vante mais je n'ai pas cette facilité à me diriger vers elle. J'en suis actuellement à l'épisode 9 de la saison 2 mais ça fait un petit moment que je n'ai pas regardé la série. Le plus ahurissant c'est que je n'ai rien à reprocher à la série, les personnages sont bien écrits et les acteurs sont de très bons interprètes, c'est riche en émotions mais je ne sais pas, j'ai du mal à vraiment accrocher avec la série.  


Les séries que je continue de regarder (et qui deviennent meilleures de saisons en saisons).
Gotham
Je ne remercierai jamais assez Amandine de m'avoir convaincue de commencer à regarder Gotham. Ce fut un réel coup de cœur. La série en est à sa quatrième saison et elle s'est bonifiée de saison en saison. Les méchants sont incroyables et l'évolution des personnages est présente et ils ont tous superbement bien changé depuis la première saison. L’atmosphère est toujours aussi prenante et c'est toujours avec plaisir que je me plonge dans un épisode. La quatrième saison arrive bientôt à son terme et j'espère vraiment que Gotham sera renouvelée pour une cinquième saison. Vous pouvez lire mon avis sur la série plus en détail ici

The Magicians
Encore une série qui ne m'a pas encore déçue. La série a superbement bien évolué depuis sa première saison, diffusé en 2015. Les petits étudiants plus ou moins novices de la première saison ont su mûrir et faire face aux dangers sur leur route. Ça me peine de voir que cette série n'est pas aussi mise en avant que d'autres alors qu'elle n'a rien à envier aux séries plus populaires. Chaque fin de saison se finit toujours de façon incroyable et qui fait que l'attente pour la prochaine saison est toujours difficile. Vous pouvez lire mon avis sur la première saison ici


My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix

Je n'ai jamais été une grande fan d'horreur, bien que plus le temps passe et plus le genre m'effraie de moins en moins. Je me suis toujours dit que je ne regarderai jamais l'Exorciste car même si je sais que le film a mal vieilli, je pense que si on est comme moi et qu'on croit à ce genre de chose, ça peut vite nous travailler et nous déstabiliser, pourtant je n'ai jamais eu de doute quand j'ai commandé My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix. Je savais que l'histoire allait me plaire.

Lycéennes en deuxième année, Abby et Gretchen sont meilleures amies depuis le CM1. Après un bain de minuit qui a tourné au désastre, Gretchen commence à agir...différemment. Elle est lunatique et irritable. Des incidents bizarres ne cesse d'arriver quand elle est a proximité. L'enquête d'Abby l'amène à des découvertes surprenantes - et au moment où leur histoire arrive à sa conclusion terrifiante, le sort d'Abby et de Gretchen sera résolu par une seule question: leur amitié est-elle assez puissante pour battre le diable? Comme un hybride profane entre Au fil de la vie et de L'Exorciste, My Best Friend's Exorcism mélange l'angoisse existentielle, le drame adolescent, des horreurs indescriptibles et un mélange de chansons pop des années 80 dans un thriller surnaturel palpitant. - Quatrième de couverture traduit par mes soins.

J'ai commencé à lire My Best Friend's Exorcism le 30 mars, mais je n'étais pas à fond dedans au début même si j'appréciais la tournure que prenait de l'histoire. Sur les 330 pages du roman, j'avais lu seulement 100 pages en 4 jours et c'est le seulement cinquième jour où j'ai commencé à mon plonger davantage dans le roman, pour au final ne plus pouvoir le déposer et le finir en une matinée. Je ne pouvais plus m’arrêter tellement l'histoire devenait de plus en plus intense et terrifiante au fil des pages. Les descriptions faites par l'auteur pour décrire peu à peu le changement physique et psychologique de Gretchen étaient tout simplement glaçantes, mais tellement visuelles que je les imaginais de manière très claire dans ma tête. Le roman ne fait pas peur à proprement parler, cependant il glace le sang, car on assiste à la déchéance de Gretchen alors qu'elle est peu à peu submergée par un démon. On assiste également à l'impuissance d'Abby qui se retrouve seule alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, aider sa meilleure amie alors que cette dernière, possédée par un démon ne cesse de répandre le chaos autour d'elle. On ressent donc de la compassion pour Abby et on admire sa combativité alors même que le démon fait littéralement tout pour lui pourrir la vie en lui enlevant toute crédibilité et en l'isolant. Tout au long du roman, on se demande bien ce qui va arriver aux personnages secondaires et quels mauvais tours Gretchen va jouer.

Le roman se passe durant l'année 1988 et bien évidemment, l'auteur fait quelques références à la pop culture de l'époque. Le roman comporte la juste dose de références et j'ai trouvé sympathique le fait que chaque chapitre soit le titre d'une chanson sortie durant cette décennie. Le roman a quelques défauts avec quelques parts d'ombres qui ne sont pas vraiment élucidés - par exemple, on ne sait pas de manière précise comment Gretchen s'est fait posséder par un démon - mais ce n'est pas si dérangeant que ça, car ce n'est pas une trop grosse entrave à la compréhension de l’histoire et ça n’empêche pas de l’apprécier.

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix


C’était donc la première fois que je lisais ce genre de roman et j’ai trouvé l’histoire brillante, car même si c’est une histoire d’horreur et de possession démoniaque, on remarque que c’est surtout une histoire d’amitié, avec Abby qui est prête à n’importe quoi pour aider sa meilleure amie. En lisant le roman, je pensais parfois au film Jennifer’s Body où une lycéenne prénommée Jennifer, incarnée par Megan Fox, se voit posséder par un succube lors d’un rituel satanique, tandis que sa meilleure amie Needy, interprétée par Amanda Seyfried, va tout faire pour protéger son petit-ami et prendra plus tard la décision de tuer Jennifer. Assez ressemblant, mise à part que dans My Best Friend's Exorcism, Abby ne renonce jamais à Gretchen et ne souhaite qu'une chose, c'est de la sauver.

My Best Friend's Exorcism est le genre de roman qui marque, car la trame de l'histoire n'est pas légère et même si l'histoire principale traite de possession démoniaque, on retient surtout l'histoire d'amitié entre les deux personnages principaux et aussi l'espoir qu'entretient Abby pour libérer sa meilleure amie. La plume de l'auteur est claire et directe, ce qui fait de ce roman une lecture addictive, divertissante, angoissante mais aussi émouvante. Je ne sais pas si ce roman finira par être traduit en français mais le niveau de langue n'est pas trop compliqué. Bref, je recommande cette lecture digne d'un film d'horreur pour adolescents.






My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix, un roman hybride entre horreur et teen drama

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix

Je n'ai jamais été une grande fan d'horreur, bien que plus le temps passe et plus le genre m'effraie de moins en moins. Je me suis toujours dit que je ne regarderai jamais l'Exorciste car même si je sais que le film a mal vieilli, je pense que si on est comme moi et qu'on croit à ce genre de chose, ça peut vite nous travailler et nous déstabiliser, pourtant je n'ai jamais eu de doute quand j'ai commandé My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix. Je savais que l'histoire allait me plaire.

Lycéennes en deuxième année, Abby et Gretchen sont meilleures amies depuis le CM1. Après un bain de minuit qui a tourné au désastre, Gretchen commence à agir...différemment. Elle est lunatique et irritable. Des incidents bizarres ne cesse d'arriver quand elle est a proximité. L'enquête d'Abby l'amène à des découvertes surprenantes - et au moment où leur histoire arrive à sa conclusion terrifiante, le sort d'Abby et de Gretchen sera résolu par une seule question: leur amitié est-elle assez puissante pour battre le diable? Comme un hybride profane entre Au fil de la vie et de L'Exorciste, My Best Friend's Exorcism mélange l'angoisse existentielle, le drame adolescent, des horreurs indescriptibles et un mélange de chansons pop des années 80 dans un thriller surnaturel palpitant. - Quatrième de couverture traduit par mes soins.

J'ai commencé à lire My Best Friend's Exorcism le 30 mars, mais je n'étais pas à fond dedans au début même si j'appréciais la tournure que prenait de l'histoire. Sur les 330 pages du roman, j'avais lu seulement 100 pages en 4 jours et c'est le seulement cinquième jour où j'ai commencé à mon plonger davantage dans le roman, pour au final ne plus pouvoir le déposer et le finir en une matinée. Je ne pouvais plus m’arrêter tellement l'histoire devenait de plus en plus intense et terrifiante au fil des pages. Les descriptions faites par l'auteur pour décrire peu à peu le changement physique et psychologique de Gretchen étaient tout simplement glaçantes, mais tellement visuelles que je les imaginais de manière très claire dans ma tête. Le roman ne fait pas peur à proprement parler, cependant il glace le sang, car on assiste à la déchéance de Gretchen alors qu'elle est peu à peu submergée par un démon. On assiste également à l'impuissance d'Abby qui se retrouve seule alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, aider sa meilleure amie alors que cette dernière, possédée par un démon ne cesse de répandre le chaos autour d'elle. On ressent donc de la compassion pour Abby et on admire sa combativité alors même que le démon fait littéralement tout pour lui pourrir la vie en lui enlevant toute crédibilité et en l'isolant. Tout au long du roman, on se demande bien ce qui va arriver aux personnages secondaires et quels mauvais tours Gretchen va jouer.

Le roman se passe durant l'année 1988 et bien évidemment, l'auteur fait quelques références à la pop culture de l'époque. Le roman comporte la juste dose de références et j'ai trouvé sympathique le fait que chaque chapitre soit le titre d'une chanson sortie durant cette décennie. Le roman a quelques défauts avec quelques parts d'ombres qui ne sont pas vraiment élucidés - par exemple, on ne sait pas de manière précise comment Gretchen s'est fait posséder par un démon - mais ce n'est pas si dérangeant que ça, car ce n'est pas une trop grosse entrave à la compréhension de l’histoire et ça n’empêche pas de l’apprécier.

My Best Friend's Exorcism de Grady Hendrix


C’était donc la première fois que je lisais ce genre de roman et j’ai trouvé l’histoire brillante, car même si c’est une histoire d’horreur et de possession démoniaque, on remarque que c’est surtout une histoire d’amitié, avec Abby qui est prête à n’importe quoi pour aider sa meilleure amie. En lisant le roman, je pensais parfois au film Jennifer’s Body où une lycéenne prénommée Jennifer, incarnée par Megan Fox, se voit posséder par un succube lors d’un rituel satanique, tandis que sa meilleure amie Needy, interprétée par Amanda Seyfried, va tout faire pour protéger son petit-ami et prendra plus tard la décision de tuer Jennifer. Assez ressemblant, mise à part que dans My Best Friend's Exorcism, Abby ne renonce jamais à Gretchen et ne souhaite qu'une chose, c'est de la sauver.

My Best Friend's Exorcism est le genre de roman qui marque, car la trame de l'histoire n'est pas légère et même si l'histoire principale traite de possession démoniaque, on retient surtout l'histoire d'amitié entre les deux personnages principaux et aussi l'espoir qu'entretient Abby pour libérer sa meilleure amie. La plume de l'auteur est claire et directe, ce qui fait de ce roman une lecture addictive, divertissante, angoissante mais aussi émouvante. Je ne sais pas si ce roman finira par être traduit en français mais le niveau de langue n'est pas trop compliqué. Bref, je recommande cette lecture digne d'un film d'horreur pour adolescents.






On My Block 2018 Netflix

Je n'attendais pas grand chose de cette série, j'avais vu la bande annonce et sur le moment, ça ne me disait trop rien. Cependant, je voulais faire une petite pause avec les animes et j'ai décidé un matin de commencer On My Block. Comment vous dire que j'ai reçu une petite claque émotionnelle. Je vous en parle dès maintenant en partageant mon avis avec vous. On My Block se passe dans un quartier difficile de Los Angeles où une guerre des gangs fait rage. On y suit quatre jeunes adolescents amis depuis l'enfance: Monse, la seule fille du groupe, Cesar, Ruben dit Ruby et Jamal. Les vacances d'été finies, ils font tous leur rentrée au lycée, sans compter l'arrivée d'Olivia, qui vit désormais chez la famille de Ruby. Cette série initiatique met en scène leurs problèmes de cœurs mais également le sens de l'amitié et les tumultes qui les accompagne depuis que Cesar à rejoint le gang de son frère.

Une vent de fraîcheur dans le genre du teen show 

Bien loin des séries typiques tels que Riverdale ou Pretty Little Liars, On My Block apporte une fraîcheur dans le genre en nous présentant des adolescents crédibles et les divers problèmes qui se présentent sur leur route. La bande-annonce laissait présager une série portée sur l'humour, mais la série se révèle plus profonde alors qu'elle met en relief l'amitié, les premiers amours, autant les bons que les mauvais côtés.

Une des intrigues principales tourne autour de Cesar qui vient d'une famille de gang. Alors qu'il était seulement affilié au gang, la sortie précoce de son frère aîné de prison le propulse directement dans le gang. Son groupe d'amis souhaite alors à tout prix le faire sortir de cette situation. Je trouve que cette intrigue sort de l'ordinaire pour une séries destinés aux jeunes adultes et apporte une certaine réflexion sur la réalité des gangs et que certains membres sont jeunes et engrainés contre leur volonté.

Adolescence : le temps des premiers amours 

Bien sûr, que serait une série mettant en scène des ados sans histoire d'amour : entre triangle voir rectangle amoureux et l'amour non réciproque, je trouve que la série exploite plutôt bien les relations sans trop tomber dans le cliché et dans le futile. Elle reste alors extrêmement crédible. Dès le premier épisode, on sent une réelle alchimie entre Cesar et Monse et la série va aussi beaucoup tourner autour de cette relation compliquée qui met en question tout la cohésion de ce groupe d'amis qui se considère comme une famille.


On My Block 2018 Netflix


Des ados incroyablement attachants 

J'ai adoré les personnages et la fraîcheur qu'ils apportent. Ils sont extrêmement attachants et j'ai vraiment apprécié l’absence total de clichés. Aucun des personnages n'est un personnage type (stock character en anglais — un personnage type qui constitue un cliché et un modèle pour créer des personnages fictionnels dans l'activité de scénarisation - merci Wikipédia). J'ai apprécié la loufoquerie de Jamal, la persévérance de Monse, la gentillesse de Ruby et la loyauté de Cesar. Le fait que les acteurs soient des inconnus renforce le coté frais de On My Block et même si, dans la majorité, ils approchent tous de la vingtaine, je les ai trouvé très convaincant dans leur rôle d'ados de 14-15 ans. Je trouve ça tellement émouvant à quel point ce groupe d'amis se serrent les coudes. Il y a un vrai sentiment d'amitié et comme les personnages le répètent à de nombreuses reprises tout au long de la série, ils sont plus que des amis, ils sont une famille et vraiment, ce sens de l'amitié fait plaisir à voir.

Un casting entièrement racisé (on aime ça)

Un des nombreux bons points de cette série, qui a de nombreuses fois été souligné, est sa diversité. Monse est métisse (une mère latina et un père afro-américain), Jamal est afro-américain tandis que Ruby et Cesar viennent de familles mexicaines. C'est vraiment rafraîchissant de voir un cast où les personnages ne sont pas 100% blancs et fortunés. Alors même qu'ils vivent dans un quartier difficile, les personnages ne vivent pas dans une peur constante et ils arrivent même à apporter un coté comique à leur situation alors qu'ils essayent de reconnaître, tel un jeu, le calibre des armes lorsqu'il y a des fusillades.

Vous l'aurez compris, je vous recommande On My Block à 200%, elle m'a émue et m'a donné de nombreux frissons. De plus, la saison se regarde vite avec 10 épisodes de 25 minutes et honnêtement, vous n'en ressortirez pas indemne. Je trouve le manque de promotion autour de cette série décevan, car elle mérite vraiment d'être davantage connue. J'espère que la série aura droit à une seconde saison.





On My Block, une série initiatique Netflix qui sort de l'ordinaire

On My Block 2018 Netflix

Je n'attendais pas grand chose de cette série, j'avais vu la bande annonce et sur le moment, ça ne me disait trop rien. Cependant, je voulais faire une petite pause avec les animes et j'ai décidé un matin de commencer On My Block. Comment vous dire que j'ai reçu une petite claque émotionnelle. Je vous en parle dès maintenant en partageant mon avis avec vous. On My Block se passe dans un quartier difficile de Los Angeles où une guerre des gangs fait rage. On y suit quatre jeunes adolescents amis depuis l'enfance: Monse, la seule fille du groupe, Cesar, Ruben dit Ruby et Jamal. Les vacances d'été finies, ils font tous leur rentrée au lycée, sans compter l'arrivée d'Olivia, qui vit désormais chez la famille de Ruby. Cette série initiatique met en scène leurs problèmes de cœurs mais également le sens de l'amitié et les tumultes qui les accompagne depuis que Cesar à rejoint le gang de son frère.

Une vent de fraîcheur dans le genre du teen show 

Bien loin des séries typiques tels que Riverdale ou Pretty Little Liars, On My Block apporte une fraîcheur dans le genre en nous présentant des adolescents crédibles et les divers problèmes qui se présentent sur leur route. La bande-annonce laissait présager une série portée sur l'humour, mais la série se révèle plus profonde alors qu'elle met en relief l'amitié, les premiers amours, autant les bons que les mauvais côtés.

Une des intrigues principales tourne autour de Cesar qui vient d'une famille de gang. Alors qu'il était seulement affilié au gang, la sortie précoce de son frère aîné de prison le propulse directement dans le gang. Son groupe d'amis souhaite alors à tout prix le faire sortir de cette situation. Je trouve que cette intrigue sort de l'ordinaire pour une séries destinés aux jeunes adultes et apporte une certaine réflexion sur la réalité des gangs et que certains membres sont jeunes et engrainés contre leur volonté.

Adolescence : le temps des premiers amours 

Bien sûr, que serait une série mettant en scène des ados sans histoire d'amour : entre triangle voir rectangle amoureux et l'amour non réciproque, je trouve que la série exploite plutôt bien les relations sans trop tomber dans le cliché et dans le futile. Elle reste alors extrêmement crédible. Dès le premier épisode, on sent une réelle alchimie entre Cesar et Monse et la série va aussi beaucoup tourner autour de cette relation compliquée qui met en question tout la cohésion de ce groupe d'amis qui se considère comme une famille.


On My Block 2018 Netflix


Des ados incroyablement attachants 

J'ai adoré les personnages et la fraîcheur qu'ils apportent. Ils sont extrêmement attachants et j'ai vraiment apprécié l’absence total de clichés. Aucun des personnages n'est un personnage type (stock character en anglais — un personnage type qui constitue un cliché et un modèle pour créer des personnages fictionnels dans l'activité de scénarisation - merci Wikipédia). J'ai apprécié la loufoquerie de Jamal, la persévérance de Monse, la gentillesse de Ruby et la loyauté de Cesar. Le fait que les acteurs soient des inconnus renforce le coté frais de On My Block et même si, dans la majorité, ils approchent tous de la vingtaine, je les ai trouvé très convaincant dans leur rôle d'ados de 14-15 ans. Je trouve ça tellement émouvant à quel point ce groupe d'amis se serrent les coudes. Il y a un vrai sentiment d'amitié et comme les personnages le répètent à de nombreuses reprises tout au long de la série, ils sont plus que des amis, ils sont une famille et vraiment, ce sens de l'amitié fait plaisir à voir.

Un casting entièrement racisé (on aime ça)

Un des nombreux bons points de cette série, qui a de nombreuses fois été souligné, est sa diversité. Monse est métisse (une mère latina et un père afro-américain), Jamal est afro-américain tandis que Ruby et Cesar viennent de familles mexicaines. C'est vraiment rafraîchissant de voir un cast où les personnages ne sont pas 100% blancs et fortunés. Alors même qu'ils vivent dans un quartier difficile, les personnages ne vivent pas dans une peur constante et ils arrivent même à apporter un coté comique à leur situation alors qu'ils essayent de reconnaître, tel un jeu, le calibre des armes lorsqu'il y a des fusillades.

Vous l'aurez compris, je vous recommande On My Block à 200%, elle m'a émue et m'a donné de nombreux frissons. De plus, la saison se regarde vite avec 10 épisodes de 25 minutes et honnêtement, vous n'en ressortirez pas indemne. Je trouve le manque de promotion autour de cette série décevan, car elle mérite vraiment d'être davantage connue. J'espère que la série aura droit à une seconde saison.





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