Detox photo promo


[CRITIQUE / AVIS SÉRIE] - Avec Manon Azem et Tiphaine Daviot en tête d’affiche, Détox est une des nouvelles productions Netflix qui suit le quotidien de Manon et Léa, deux cousines qui décident de ne plus utiliser leur portable et les réseaux sociaux pendant un mois, chacune pour des raisons différentes. Alors que Léa passe ses journées à stalker son ex sur les réseaux et finit par se faire coller une plainte par ce dernier, Manon, chanteuse en herbe, essaye d’échapper à un bad buzz arrivé lors d’un de ses concerts.


Deux héroïnes accros aux réseaux…

Avec comme thème principal l’addiction numérique, Détox, sous fond d’humour, veut montrer à quel point les réseaux sociaux, les téléphones et autres objets numériques ont pris une trop grande place dans nos vies. On se rend vraiment compte que les téléphones portables sont devenus une extension de nous-mêmes. Alors que Manon et Léa n’ont alors plus accès à cette technologie, c’est une autre façon de vivre qu’il faut qu’elles réapprennent. Léa va donc essayer de ne plus être obsédée par son ex ; tandis que Manon va essayer de poursuivre son rêve : faire une musique qui lui correspond. Bien qu’elles aient des traits de caractères exagérés, les deux héroïnes sont drôles et attachantes, Manon Azem et Tiphaine Daviot incarnent alors un duo frais, pétillant, mais surtout complètement barré. 

Un humour (perché) au rendez-vous

L’humour général de la série est très perché, mais bizarrement, ça fonctionne plutôt bien avec le concept de la série et on se surprend à rire aux éclats à chaque gag. On prend également plaisir à suivre plusieurs membres différents de leur famille, comme le neveu de Léa qui lance un gros mouvement de détox digitale dans son lycée ou encore les parents de Léa, Mireille et Philippe qui ont des difficultés dans leur couple à cause de l’addiction au téléphone portable de ce dernier. 




Une "détox" convaincante ?

Avec seulement 6 épisodes de 30 min, le format de DÉTOX fait qu’on survole des éléments qui auraient été intéressants de développer davantage, notamment le deuil de Manon. On comprend que sa sœur aînée est décédée il y a 10 ans, mais ça reste très peu abordé, c’est dommage. DÉTOX reste une série vraiment loufoque et divertissante, et qui dut aux dernières minutes de l’épisode final, laisse présager une seconde saison tout aussi barge.


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 01/09


Détox, une série française hilarante sur l’addiction digitale

Detox photo promo


[CRITIQUE / AVIS SÉRIE] - Avec Manon Azem et Tiphaine Daviot en tête d’affiche, Détox est une des nouvelles productions Netflix qui suit le quotidien de Manon et Léa, deux cousines qui décident de ne plus utiliser leur portable et les réseaux sociaux pendant un mois, chacune pour des raisons différentes. Alors que Léa passe ses journées à stalker son ex sur les réseaux et finit par se faire coller une plainte par ce dernier, Manon, chanteuse en herbe, essaye d’échapper à un bad buzz arrivé lors d’un de ses concerts.


Deux héroïnes accros aux réseaux…

Avec comme thème principal l’addiction numérique, Détox, sous fond d’humour, veut montrer à quel point les réseaux sociaux, les téléphones et autres objets numériques ont pris une trop grande place dans nos vies. On se rend vraiment compte que les téléphones portables sont devenus une extension de nous-mêmes. Alors que Manon et Léa n’ont alors plus accès à cette technologie, c’est une autre façon de vivre qu’il faut qu’elles réapprennent. Léa va donc essayer de ne plus être obsédée par son ex ; tandis que Manon va essayer de poursuivre son rêve : faire une musique qui lui correspond. Bien qu’elles aient des traits de caractères exagérés, les deux héroïnes sont drôles et attachantes, Manon Azem et Tiphaine Daviot incarnent alors un duo frais, pétillant, mais surtout complètement barré. 

Un humour (perché) au rendez-vous

L’humour général de la série est très perché, mais bizarrement, ça fonctionne plutôt bien avec le concept de la série et on se surprend à rire aux éclats à chaque gag. On prend également plaisir à suivre plusieurs membres différents de leur famille, comme le neveu de Léa qui lance un gros mouvement de détox digitale dans son lycée ou encore les parents de Léa, Mireille et Philippe qui ont des difficultés dans leur couple à cause de l’addiction au téléphone portable de ce dernier. 




Une "détox" convaincante ?

Avec seulement 6 épisodes de 30 min, le format de DÉTOX fait qu’on survole des éléments qui auraient été intéressants de développer davantage, notamment le deuil de Manon. On comprend que sa sœur aînée est décédée il y a 10 ans, mais ça reste très peu abordé, c’est dommage. DÉTOX reste une série vraiment loufoque et divertissante, et qui dut aux dernières minutes de l’épisode final, laisse présager une seconde saison tout aussi barge.


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 01/09


L’événement - Anne


[CRITIQUE / AVIS FILM] - Adaptation du roman "auto-socio-biographique" éponyme écrit par Annie Ernaux en 2000 et réalise par Audrey Diwan, L’événement se déroule en 1963 et suit Anne (Anamaria Vartolomei), une jeune étudiante en lettres qui se rend compte qu’elle est enceinte. On suit donc son parcours dans sa volonté de mettre fin à sa grossesse, à une époque où l’avortement est interdit en France et passible d’une peine de prison.


L'ÉVÉNEMENT ne fait pas dans la pudeur, il est sans filtre et ne se gêne pas pour montrer la triste et cruelle vérité avec des scènes parfois insoutenables à visionner, que ce soit Anne qui essaye de se faire avorter seule avec une tige de fer ou quand elle se rend chez une faiseuse d’anges, cette femme qui s’employait à aider d’autres femmes à interrompre leur grossesse. L’avortement est si tabou à l’époque que lorsqu’Anne mentionne le sujet à ses amies, c’est le silence total et la peur d’être impliqué. Anne ne peut compter que sur elle-même, un combat solitaire qui pèse sur elle et qui met en péril ses études. La photographie du métrage est minimaliste et la caméra suit Anne constamment, c’est elle (et nous, le spectateur) contre la société qui lui refuse un droit qui devrait être primordial.

Quand on regarde ce film, on ne peut s’empêcher de penser à son coté, étonnamment, très actuel, notamment suite à la révocation de l’arrêt Roe v. Wade aux États Unis. On réalise alors que dans encore beaucoup de pays, il y a de nombreuses femmes comme Anne qui seront prêtes à tout, quitte à mettre leur santé en danger, pour se faire avorter.

L’événement - Anne et sa mère

L'ÉVÉNEMENT est un long-métrage à l’image immersive et au récit intense et authentique. On ressent toutes les émotions d’Anne, merveilleusement interprétée par Anamaria Vartolomei, par son combat et celles qui sont dans la même situation qu’elle, qu’importe l’époque. Un métrage remarquable et fort qui nous montre un pan important de l’histoire des droits des femmes.


DISPONIBLE SUR MY CANAL


L’événement, l’histoire vraie d’un avortement interdit

L’événement - Anne


[CRITIQUE / AVIS FILM] - Adaptation du roman "auto-socio-biographique" éponyme écrit par Annie Ernaux en 2000 et réalise par Audrey Diwan, L’événement se déroule en 1963 et suit Anne (Anamaria Vartolomei), une jeune étudiante en lettres qui se rend compte qu’elle est enceinte. On suit donc son parcours dans sa volonté de mettre fin à sa grossesse, à une époque où l’avortement est interdit en France et passible d’une peine de prison.


L'ÉVÉNEMENT ne fait pas dans la pudeur, il est sans filtre et ne se gêne pas pour montrer la triste et cruelle vérité avec des scènes parfois insoutenables à visionner, que ce soit Anne qui essaye de se faire avorter seule avec une tige de fer ou quand elle se rend chez une faiseuse d’anges, cette femme qui s’employait à aider d’autres femmes à interrompre leur grossesse. L’avortement est si tabou à l’époque que lorsqu’Anne mentionne le sujet à ses amies, c’est le silence total et la peur d’être impliqué. Anne ne peut compter que sur elle-même, un combat solitaire qui pèse sur elle et qui met en péril ses études. La photographie du métrage est minimaliste et la caméra suit Anne constamment, c’est elle (et nous, le spectateur) contre la société qui lui refuse un droit qui devrait être primordial.

Quand on regarde ce film, on ne peut s’empêcher de penser à son coté, étonnamment, très actuel, notamment suite à la révocation de l’arrêt Roe v. Wade aux États Unis. On réalise alors que dans encore beaucoup de pays, il y a de nombreuses femmes comme Anne qui seront prêtes à tout, quitte à mettre leur santé en danger, pour se faire avorter.

L’événement - Anne et sa mère

L'ÉVÉNEMENT est un long-métrage à l’image immersive et au récit intense et authentique. On ressent toutes les émotions d’Anne, merveilleusement interprétée par Anamaria Vartolomei, par son combat et celles qui sont dans la même situation qu’elle, qu’importe l’époque. Un métrage remarquable et fort qui nous montre un pan important de l’histoire des droits des femmes.


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Partner Track - personnages de la série


Créée par Georgia Lee et inspirée du roman éponyme écrit par Helen Wan, Partner Track (Plan de carrière en VF) suit Ingrid Yun (Arden Cho), une avocate d’origine coréenne qui travaille corps et âme pour devenir partenaire au sein du cabinet juridique Parsons Valentine. C’est sans compter l’apparition soudaine de Jeff Murphy (Dominic Sherwood), un avocat britannique avec qui elle a partagé une nuit 6 ans plus tôt, et sa rencontre avec Nick Laren (Rob Heaps), un socialite new-yorkais. 


Une femme dans un monde d’homme

En commençant Partner Track, on peut s’attendre à une comédie romantique des plus lambda et pourtant, à travers sa représentation du sexisme, du racisme et les problèmes de minorités et d’inclusion au sein du travail, la série parvient à bien mettre en lumière ces problématiques sociales et sociétales qui font encore rage à l’heure actuelle. Ingrid est montrée comme une femme de couleur qui doit fournir plus de travail que les autres pour que son travail soit reconnu. La série a l’habilité de ne pas seulement raconter, mais montrer, notamment à travers une des scènes du premier épisode où, lors d’une réunion, Ingrid se retrouve être la seule femme autour d’une table avec seulement des hommes blancs. Cette scène d’apparence toute simple, dégage une telle force en montrant une absence flagrante de parité. 

Une romance sans papillon dans le ventre 

Malheureusement, la série devient subitement moins accrocheuse quand elle se focalise sur le genre de la romance. En usant du fameux triangle amoureux, un trope maintes fois éculé, PARTNER TRACK bascule dans le cliché. De plus, avec un manque de construction et de développement des deux relations, on fini par vite se lasser des déboires amoureux d’Ingrid. Il est d’ailleurs parfois difficile d’apprécier ce personnage principal qui est prêt à ruiner ses amitiés pour son job et qui n’a presque aucun regret à tromper son fiancé avec son collègue.

Partner Track - personnages de la série



On aurait préféré un format long-métrage…

En somme, à cause d’une sensation de faire du surplace au fur et à mesure que les épisodes défilent, la série aurait peut-être été plus convaincante et dynamique dans la forme d’un long-métrage. Avec une réflexion forte sur les problèmes de diversité et d’inclusion au sein d’une entreprise, mais une partie avec des histoires d’amour faibles et expéditives, on ressort plutôt mitigé de ce premier visionnage. PARTNER TRACK n'a pas encore été renouvelée pour une deuxième saison, et malgré ses quelques défauts, il y aurait beaucoup de nouvelles intrigues à explorer dans une éventuelle deuxième saison. Affaire à suivre !


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 26/08.


Partner Track, zoom sur la place de la femme dans un cabinet juridique

Partner Track - personnages de la série


Créée par Georgia Lee et inspirée du roman éponyme écrit par Helen Wan, Partner Track (Plan de carrière en VF) suit Ingrid Yun (Arden Cho), une avocate d’origine coréenne qui travaille corps et âme pour devenir partenaire au sein du cabinet juridique Parsons Valentine. C’est sans compter l’apparition soudaine de Jeff Murphy (Dominic Sherwood), un avocat britannique avec qui elle a partagé une nuit 6 ans plus tôt, et sa rencontre avec Nick Laren (Rob Heaps), un socialite new-yorkais. 


Une femme dans un monde d’homme

En commençant Partner Track, on peut s’attendre à une comédie romantique des plus lambda et pourtant, à travers sa représentation du sexisme, du racisme et les problèmes de minorités et d’inclusion au sein du travail, la série parvient à bien mettre en lumière ces problématiques sociales et sociétales qui font encore rage à l’heure actuelle. Ingrid est montrée comme une femme de couleur qui doit fournir plus de travail que les autres pour que son travail soit reconnu. La série a l’habilité de ne pas seulement raconter, mais montrer, notamment à travers une des scènes du premier épisode où, lors d’une réunion, Ingrid se retrouve être la seule femme autour d’une table avec seulement des hommes blancs. Cette scène d’apparence toute simple, dégage une telle force en montrant une absence flagrante de parité. 

Une romance sans papillon dans le ventre 

Malheureusement, la série devient subitement moins accrocheuse quand elle se focalise sur le genre de la romance. En usant du fameux triangle amoureux, un trope maintes fois éculé, PARTNER TRACK bascule dans le cliché. De plus, avec un manque de construction et de développement des deux relations, on fini par vite se lasser des déboires amoureux d’Ingrid. Il est d’ailleurs parfois difficile d’apprécier ce personnage principal qui est prêt à ruiner ses amitiés pour son job et qui n’a presque aucun regret à tromper son fiancé avec son collègue.

Partner Track - personnages de la série



On aurait préféré un format long-métrage…

En somme, à cause d’une sensation de faire du surplace au fur et à mesure que les épisodes défilent, la série aurait peut-être été plus convaincante et dynamique dans la forme d’un long-métrage. Avec une réflexion forte sur les problèmes de diversité et d’inclusion au sein d’une entreprise, mais une partie avec des histoires d’amour faibles et expéditives, on ressort plutôt mitigé de ce premier visionnage. PARTNER TRACK n'a pas encore été renouvelée pour une deuxième saison, et malgré ses quelques défauts, il y aurait beaucoup de nouvelles intrigues à explorer dans une éventuelle deuxième saison. Affaire à suivre !


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 26/08.


Look Both Ways images du film


Nouvelle comédie romantique Netflix avec Lili Reinhart en tête d’affiche, Look Both Ways (ou Une vie ou l’autre en VF) a comme concept la causalité (la cause à effet), ou comment un événement ou un choix contribue à la naissance d’une autre événement. Le métrage a donc la particularité de suivre Natalie, le personnage principal, sur deux vies parallèles : l’une où elle tombe enceinte après une nuit avec Gabe, son meilleur ami, et l’autre où elle n’est pas tombé enceinte après cette nuit. Une nuit, un choix, une conséquence qui change toute une vie.

L’idée de base du film était vraiment convaincante et intéressante, et malgré le fait que Look Both Ways reste une comédie romantique (mais au final pas si romantique que ça) divertissante, le récit reste en somme sans surprise et au final, suit une storyline des plus classiques. On suit Natalie sur deux situations/vies parallèles, celle où elle mène sa grossesse à bout et devient mère et sa co-parentalité avec Gabe, et l’autre où elle n’est pas enceinte et part à Los Angeles avec sa meilleure amie Cara pour trouver le job de ses rêves. Avec les scènes des deux vies superposées, on observe le quotidien de ces deux chemins de vie.

Un des points positifs du métrage est de montrer que les deux vies ont des hauts et des bas et que l’une n’est pas meilleure que l’autre. Le film traite alors de la recherche de soi et comment trouver sa voie (et voix) malgré les embûches de la vie qui se mettent sur notre route. Cependant, LOOK BOTH WAYS ne va jamais jusqu’au bout des choses et reste en surface sans réellement explorer davantage les thèmes qu’il aborde. Quant à Lili Reinhart, bien que les deux versions de Natalie ne soient pas drastiquement différentes, elle est convaincante dans les deux versions du personnage qu’elle interprète. Les autres personnages sont malheureusement peu développés et assez génériques.

Look Both Ways - Cara et Natalie



Loin d’être extraordinaire et inoubliable, LOOK BOTH WAYS reste néanmoins un portrait correct du début de l'âge adulte, sur la façon dont nos projets de vie peuvent changer du jour au lendemain. On peut donc facilement s’identifier et se reconnaître dans certains éléments qui sont racontés dans le film. Le long-métrage trouve donc son intérêt principal dans le message qu’il véhicule : qu’importe les choix que nous faisons et ce que la vie nous réserve, tout ira bien. 


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 17/08.

Look Both Ways, une comédie romantique sur les choix et les chemins de la vie

Look Both Ways images du film


Nouvelle comédie romantique Netflix avec Lili Reinhart en tête d’affiche, Look Both Ways (ou Une vie ou l’autre en VF) a comme concept la causalité (la cause à effet), ou comment un événement ou un choix contribue à la naissance d’une autre événement. Le métrage a donc la particularité de suivre Natalie, le personnage principal, sur deux vies parallèles : l’une où elle tombe enceinte après une nuit avec Gabe, son meilleur ami, et l’autre où elle n’est pas tombé enceinte après cette nuit. Une nuit, un choix, une conséquence qui change toute une vie.

L’idée de base du film était vraiment convaincante et intéressante, et malgré le fait que Look Both Ways reste une comédie romantique (mais au final pas si romantique que ça) divertissante, le récit reste en somme sans surprise et au final, suit une storyline des plus classiques. On suit Natalie sur deux situations/vies parallèles, celle où elle mène sa grossesse à bout et devient mère et sa co-parentalité avec Gabe, et l’autre où elle n’est pas enceinte et part à Los Angeles avec sa meilleure amie Cara pour trouver le job de ses rêves. Avec les scènes des deux vies superposées, on observe le quotidien de ces deux chemins de vie.

Un des points positifs du métrage est de montrer que les deux vies ont des hauts et des bas et que l’une n’est pas meilleure que l’autre. Le film traite alors de la recherche de soi et comment trouver sa voie (et voix) malgré les embûches de la vie qui se mettent sur notre route. Cependant, LOOK BOTH WAYS ne va jamais jusqu’au bout des choses et reste en surface sans réellement explorer davantage les thèmes qu’il aborde. Quant à Lili Reinhart, bien que les deux versions de Natalie ne soient pas drastiquement différentes, elle est convaincante dans les deux versions du personnage qu’elle interprète. Les autres personnages sont malheureusement peu développés et assez génériques.

Look Both Ways - Cara et Natalie



Loin d’être extraordinaire et inoubliable, LOOK BOTH WAYS reste néanmoins un portrait correct du début de l'âge adulte, sur la façon dont nos projets de vie peuvent changer du jour au lendemain. On peut donc facilement s’identifier et se reconnaître dans certains éléments qui sont racontés dans le film. Le long-métrage trouve donc son intérêt principal dans le message qu’il véhicule : qu’importe les choix que nous faisons et ce que la vie nous réserve, tout ira bien. 


DISPONIBLE SUR NETFLIX DEPUIS LE 17/08.

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