L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.
L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.
L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.
On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.
Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.
Pourquoi les suites de L'Histoire sans Fin n'égalent pas le premier film ?
L'Histoire sans Fin ainsi que ses deux suites sont des films de mon enfance, je ne sais pas combien de fois j'ai pu les regarder. Autant le premier film est toujours agréable à regarder, malgré un petit coup vieux, je ne peux pas en dire autant pour les deux autres films. Je ne vous cache pas que cette idée d'article est sortie de nulle part, vous pouvez remercier mon insomnie, en espérant que ça vous intéresse. Vous pouvez aussi relire ma critique du premier film ici.
L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre (titre original: The NeverEnding Story II: The Next Chapter) est sorti en 1990, soit 6 ans après le premier film. Pour cette suite, il y a un nouveau réalisateur mais aussi un renouvellement du casting, aucun acteur du premier film ne réapparaissant dans ce film à part l'acteur Thomas Hills qui interprète Mr Koreander, le libraire. Jonathan Brandis remplace Barret Oliver dans le rôle de Bastien. La majorité du film se déroule à Fantasia où Bastien retrouve de vieux amis tels que Atreyu et Falcor et s'en fait de nouveaux comme Nimbli. Le méchant de l'histoire est une sorcière, Xayide, qui veut s'emparer de Fantasia et son plan est de faire oublier Bastien qui il est, ce qui lui fera également oublier sa mission de protéger Fantasia en lui faisant faire des vœux via l'Auryn grâce à une machine à souvenir. Le problème avec ce film, c'est qu'on perd toute la magie du premier opus. Je pense aussi que le comportement insupportable de Bastien rend le film long car un héros casse-pieds dans un film, ça agace (et pourtant, ça ne m'avait pas dérangé dans le livre dont le film s'inspire à moitié). On a aussi cette impression que l'intrigue du premier film n'a JAMAIS eu lieu et qu'on repart de zéro et je pense que le changement d'acteur y est pour quelque chose. On ne retrouve pas les visages familiers qui nous avaient touché lors du premier opus.
L'Histoire sans fin 3 : Retour à Fantasia (titre original: The NeverEnding Story III: Escape from Fantasia) est sorti en 1994 et c'est une histoire inédite qui n'a rien avoir avec le roman de base mis à part les personnages, bien qu'on ne retrouve pas celui d'Atreyu. Ici, c'est Jason James Richter (le gamin de Sauvez Willy) qui campe le rôle de Bastien, alors devenu adolescent. Considéré comme le plus mauvais des trois, ce film est un peu un mélange de tout et n'importe quoi. Les méchants de l'histoire sont un gang de lycéens surnommés les Mauvais (The Nasties en VO) qui ont pris possession du livre de L'Histoire sans fin, leur mauvaise influence ayant un impact dangereux sur Fantasia et ses habitants. Certains personnages de Fantasia vont alors se retrouver dans le monde réel. L'idée de base était bonne mais ça ne fonctionne pas, tout va trop vite, les personnages sont insupportables, surtout la demi-sœur de Bastien, nouveau personnage introduit dans le film après que le père de Bastien se soit remarier avec la mère de cette dernière. Personnellement, à l'époque, je le préférais au deuxième, peut-être pour son coté teen-movie et comédie (et parce que quand on a une dizaine d'années, on n'est pas vraiment exigeant). Cependant, je ne vous cache pas que ça reste très mauvais et le deuxième reste meilleur au niveau du scénario. Il y a aussi la même sensation que pour le deuxième film dans le sens où ce film pourrait être un stand alone et ne pas être le troisième film d'une trilogie.
On dit souvent que les suites sont toujours moins bien (il y a bien évidemment des exceptions telles que Terminator 2 : Le Jugement dernier par exemple) c'est pour ça que l'annonce d'une suite effraie toujours un peu. Il y a cette peur qu'elle puisse dénaturer le premier film et c'est exactement ce qui se passe avec L'Histoire Sans Fin 2 et 3, on perd la magie et les valeurs véhiculées par le premier film. Déjà que le premier film n'avait pas du tout plu à l'auteur du roman, je n'imagine pas ce qu'il a dû penser des deux autres suites. Ces deux suites manquent de subtilité et stagnent, et alors que l'univers aurait pu être développé et amené plus loin, c'est tout le contraire qui se produit. Le plus triste est de se dire qu'il y avait du potentiel dans ces deux suites mais qu'il n'est tout simplement pas exploité. Concernant la musique, elle est relativement bien dans le second film mais complètement inexistante dans le troisième et il en est de même concernant les décors, ça fait vraiment faux, surtout dans le deuxième film et très peu de scènes se passent à Fantasia dans le troisième film donc niveau décors, il n'y a pas vraiment eu d'efforts à faire quelque chose de correct.
Sachez qu'il existe également un dessin animé et une série live tiré du roman mais je préfère ne même pas vous en parler en détail tellement c'est mauvais... Il est donc très clair que je ne vous recommande pas du tout ces suites qui sont loin d'égaler le premier film.
Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Séries TV & Nostalgie : La Trilogie du Samedi
Cette bonne vieille Trilogie du Samedi (soir) restera à jamais un incontournable de mon enfance. En effet, on peut dire que ça marqua le début de mon histoire d'amour avec les séries. La Trilogie du Samedi était une émission de M6 qui a diffusé des séries américaines de 1997 à 2008. C'était l'époque où ma sœur et moi nous glissions dans le lit de nos parents et attendions avec impatience le fameux générique. À l'époque, nous adorions regarder Buffy contre les vampires et Charmed, et Smallville, qui est arrivé un peu plus tard. De temps en temps, on regardait d'autres séries comme Roswell ou Dark Angel, mais on les regardait moins régulièrement. Aujourd’hui, petit retour vers le passé pour redécouvrir ces séries qui ont bercé mon enfance.
CHARMED (1998-2006)
Charmed restera bien LA série fantastique de mon enfance, bien qu'elle ait pris un petit coup de vieux concernant les effets spéciaux ainsi que le style vestimentaire des sœurs Halliwell (à chaque fois que je regardais un épisode à la télé, ma mère me demandait pourquoi elles étaient toujours à moitié nues). Malgré ça, je prends toujours plaisir à regarder et je l'ai même regardé en VO en intégralité sur Amazon Prime. J'aimais aussi beaucoup le générique que j'adorais chanter à tue-tête (et en yaourt s'il vous plait). C'était vraiment le genre de série unique qui mettait l'accent sur le monde de la magie et des sorcières, mais aussi sur des liens familiaux forts. Je me rappelle que je n'avais pas pu voir la fin de la série à la télé et je l'avais vu seulement quelques années plus tard quand le DVD de la dernière saison était sorti. Charmed se conclue par une belle fin, un chapitre final satisfaisant après huit années de diffusion.
SMALLVILLE (2001-2011)
Ayant été fan de la série Lois et Clark : les nouvelles aventures de Superman quand j'étais petite, c'était une évidence que j'allais accrocher avec Smallville. La série raconte l'adolescence de Clark Kent, bien avant qu'il ne devienne l'homme d'acier. Une sorte de préquel qui a su faire son bout de chemin avant de se terminer après onze ans de diffusion. La série avait la particularité d'évoluer en même temps que Clark, les premieres saisons tenait davantage de la série fantastique pour ados pour évoluer plus tard en une série plus mature. Pendant onze saisons, nous avons pu voir Clark évoluer et se frayer lentement un chemin jusqu'à devenir Superman dans les dernières minutes de l'épisode final. Même maintenant, ça reste toujours un plaisir de se replonger dans quelques épisodes de la série.
BUFFY CONTRE LES VAMPIRES (1997-2003)
Buffy contre les vampires était la série préférée de ma sœur quand elle était adolescente, c'est donc normal que mon enfance fut bercée par cette série. Buffy contre les vampires est une série qui a plutôt bien vieilli, compte tenu du fait qu'elle s'est terminé en 2003. Elle abordait alors des thèmes en avance sur son temps, que ce soit l'émancipation de la femme, l'addiction, l'identité sexuelle, etc. On remercie la série d'avoir dépeint des femmes fortes et indépendantes, notamment avec Buffy, Faith et Willow, qui ont toutes des personnalités différentes, mais qui représente chacune à leur image le pouvoir féminin. J'ai d'ailleurs toujours été fasciné par l'évolution de Willow, une jeune adolescente timide qui finit par devenir une puissante sorcière. We stan !
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
Court-métrage, le tournage et la post-prod.
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
La magie de la musique
En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.Un film sur la famille et les amis
SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.
INSTANT CINOCHE • Sing Street de John Carney (2016).
La magie de la musique
En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.Un film sur la famille et les amis
SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.
Quel plaisir de lire un roman aussi beau et puissant que Kids of Appetite, avec ses personnages divers et superbement bien écrits et développés et qui ont chacun leur propre histoire dramatique. Le premier chapitre commence dans un commissariat, dans une salle d'interrogatoire où un des personnages centrales du roman, Bruno Victor Benucci III, plus communément appelé Vic, se fait interroger par la Sergente Mendes. Ensuite, nous sommes propulsés 8 jours plus tôt avec le réel début de toute la trame du roman. Le roman a deux narrateurs, Vic et Mad, deux voix distinctes qui se mêlent très bien. Chaque chapitre commence par l'interrogatoire, soit de Vic, soit de Mad, selon le narrateur du chapitre. Ce genre de format peut faire brouillon et on pourrait vite se perdre mais ce n'est pas le cas ici.
“We are all part of the same story, each of us different chapters. We may not have the power to choose setting or plot, but we can choose what kind of character we want to be.”
BOOK REVIEW • Kids of Appetite de David Arnold.
Quel plaisir de lire un roman aussi beau et puissant que Kids of Appetite, avec ses personnages divers et superbement bien écrits et développés et qui ont chacun leur propre histoire dramatique. Le premier chapitre commence dans un commissariat, dans une salle d'interrogatoire où un des personnages centrales du roman, Bruno Victor Benucci III, plus communément appelé Vic, se fait interroger par la Sergente Mendes. Ensuite, nous sommes propulsés 8 jours plus tôt avec le réel début de toute la trame du roman. Le roman a deux narrateurs, Vic et Mad, deux voix distinctes qui se mêlent très bien. Chaque chapitre commence par l'interrogatoire, soit de Vic, soit de Mad, selon le narrateur du chapitre. Ce genre de format peut faire brouillon et on pourrait vite se perdre mais ce n'est pas le cas ici.
“We are all part of the same story, each of us different chapters. We may not have the power to choose setting or plot, but we can choose what kind of character we want to be.”
Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.
We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.
Mes deux dernières lectures: un roman YA et un classique des années 60.
Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.
We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.
Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?
Pretty in Pink, relations et cliques sociales
“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie
La mode, un facteur de statut social ?
Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.Alors, on regarde ou pas ?
Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.BACK TO THE EIGHTIES • Pretty in Pink (1986).
Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?
Pretty in Pink, relations et cliques sociales
“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie
La mode, un facteur de statut social ?
Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.Alors, on regarde ou pas ?
Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.
Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.
J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série à ma maman donc pourquoi pas vous?
Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.
D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...
Séries TV & Nostalgie • Chuck, Merlin et Veronica Mars.
Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.
J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série à ma maman donc pourquoi pas vous?
Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.
D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Freaks and Geeks, une série culte annulée trop tôt.
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Il me semble que ça fait pas mal de temps que je ne vous ai pas présenté une book wishlist - oui, en effet, ça fait un an et demi, oops. J’hésite en ce moment à me faire une petite commande de livres car si je me m’écoutais, je viderais probablement mon compte en banque en bouquins. Je vous présente donc six livres qui traînent dans mon panier Amazon depuis un petit moment déjà sans que je me décide à passer commande.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
BOOK WISHLIST • Comme une envie de livres.
Il me semble que ça fait pas mal de temps que je ne vous ai pas présenté une book wishlist - oui, en effet, ça fait un an et demi, oops. J’hésite en ce moment à me faire une petite commande de livres car si je me m’écoutais, je viderais probablement mon compte en banque en bouquins. Je vous présente donc six livres qui traînent dans mon panier Amazon depuis un petit moment déjà sans que je me décide à passer commande.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
NewRetroWave, le paradis du synthwave.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.
Court-métrage, la naissance du scénario.
Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.
Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !
Crazyhead
On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.
Chewing Gum
Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.
Crazyhead et Chewing Gum, deux séries british déjantées.
Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !
Crazyhead
On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.
Chewing Gum
Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.