Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
Concernant les acteurs, l'acteur principal qui interprète Emile a été très pro et il a fait du bon boulot, et on voyait qu'il était intéressé par le projet. Il a vraiment un visage intéressant et une intensité dans le regard qui peut être assez sombre, il était vraiment parfait pour le rôle mais on s'en doutait vu la performance qu'il nous avait livré à la séance de casting. Il avait littéralement renverser la table par terre, impressionnant et terrifiant à la fois. Les scènes de meurtres se sont également bien passées et pour un court-métrage amateur avec des acteurs amateurs, ça rend plutôt bien et c'est ça le plus important. Concernant l'actrice qui interprète Ashley, l'autre personnage principal, le niveau était un peu plus en deçà par rapport à l'autre acteur et elle semblait avoir perdu de l’intérêt au fur et à mesure du tournage. Cependant, ce n'est pas très dérangeant car son personnage était moins important que celui d'Emile. Au final, ses scènes rendait tout de même bien à l'écran.
Un des paramètres auxquels il faut penser durant un tournage sont les faux-raccords, surtout quand on tourne des scènes censées se passer dans la même journée alors qu'on les tourne à des moments différents. Il me semble que le seul faux-raccord qu'on ait est une scène où le personnage féminin n'est pas habillé pareil, n'ayant pas les mêmes chaussures et ayant une veste en cuir en plus que dans la scène précédente et la scène qui la suit mais ce n'est pas si dérangeant que ça car il y a une autre scène totalement différente entre ces plans donc ça ne se remarque pas trop.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Quand le tournage s'est terminé, on était plus que soulagé. On se disait que le montage serait la partie la plus facile du processus mais en fin de compte, loin de là. Il y a surtout eu une difficulté au niveau des voix-off, celle du personnage principal masculin et celle du personnage principal féminin récitant le poème qui est à l'origine du court-métrage. Ces voix-off ne sont pas les voix des acteurs de notre film car on avait besoin de voix ayant un accent anglais parfait. Nous avons donc demandé à nos lecteurs (des étudiants étrangers qui enseignent leur langue dans des établissement scolaires). Cependant, nous étions en période d'examens donc c'était compliqué de trouver un moment pour enregistrer leurs voix, surtout que le lecteur qui devait faire la voix de notre personnage principal masculin a mis beaucoup de temps à répondre à mes mails. Cependant, on a pu trouver un créneau qui arrangeait tout le monde et c'était une chose à faire en moins.
Une autre difficulté à été d'apprivoiser le logiciel Final Cut Pro X. Ce logiciel est tellement complexe qu'on a mis du temps et du temps à découvrir où se trouvait la section pour les effets et les transitions mais aussi pour trouver comment faire un simple générique. Tout ça pour dire qu'on a fini de monter le court-métrage juste une journée avant la projection.
Le fait de n'avoir pas de dialogue pose aussi problème au niveau sonore. Les voix-off sont dispersées tout au long du film, il y a donc des séquences où il n'y a rien du tout. Il fallait donc trouver de la musique pour combler ces vides. Grace à mon logiciel Magix Music Maker, j'ai pu faire la musique du générique de début, celle du générique de fin et deux autres musiques qu'on retrouve dans le film. Ça rend vraiment bien, ça rajoute vraiment un coté unique au court-métrage vu qu'on ne retrouvera la musique nulle part ailleurs. Mais mon logiciel est assez limité et je n'ai pas pu faire toutes les musiques. Vient alors le moment de trouver de la musique qui colle au court-métrage. Une des nombreuses difficultés liées au film, c'est que c'est un thriller, avec notre personnage principal qui tue des jeunes femmes mais qu'en parallèle, on a un autre personnage principal qui a une vie tranquille et qui rencontre des mecs contactés via un site de rencontre. Nous avons donc une musique plutôt sombre pour les scènes avec Emile et une musique plus légère pour les scènes avec Ashley et c'est là que cela se complique car il faut que les deux genres musicaux arrivent à bien se mélanger. Cependant, je pense qu'on a réussi à faire quelque chose de correct sans que ça ne fasse trop cliché. Il y a une composition de Chopin - je ne sais plus laquelle par contre - qui rend vraiment bien avec les scènes d'Emile et des musiques plus modernes, qu'on a trouvé sur Youtube, pour les scènes avec Ashley.
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
Court-métrage, le tournage et la post-prod.
Alors qu'aujourd'hui a eu lieu la projection publique de notre court-métrage, qui s'est d'ailleurs très bien passé et qui a plu, je reviens avec vous pour le deuxième et dernier article qui clôturera cette catégorie Ça tourne! qui en fin de compte combinera l'expérience du tournage ainsi que celle de la post production. Si vous voulez relire le premier article pour vous remémorer la genèse du film, c'est ici.
LE TOURNAGE
Alors, ce tournage a été compliqué. Sur les trois groupes de notre classe, on est le seul à avoir plusieurs personnages et plusieurs endroits de tournage. Le plus gros soucis a donc été de concorder tous nos emplois du temps et de faire face à certains imprévus. Tout d'abord, il est difficile de produire un film (sans blague) sans être déçu tout au long du tournage dans le sens où nous n'avions aucun budget et on a dû faire avec les moyens du bord et c'est vrai que quand on imaginait les scènes avant de commencer le tournage et qu'on se rend compte au fur et à mesure que le tournage avance qu'on n'aura pas le résultat attendu et imaginé, ça démoralise un peu.
Concernant les acteurs, l'acteur principal qui interprète Emile a été très pro et il a fait du bon boulot, et on voyait qu'il était intéressé par le projet. Il a vraiment un visage intéressant et une intensité dans le regard qui peut être assez sombre, il était vraiment parfait pour le rôle mais on s'en doutait vu la performance qu'il nous avait livré à la séance de casting. Il avait littéralement renverser la table par terre, impressionnant et terrifiant à la fois. Les scènes de meurtres se sont également bien passées et pour un court-métrage amateur avec des acteurs amateurs, ça rend plutôt bien et c'est ça le plus important. Concernant l'actrice qui interprète Ashley, l'autre personnage principal, le niveau était un peu plus en deçà par rapport à l'autre acteur et elle semblait avoir perdu de l’intérêt au fur et à mesure du tournage. Cependant, ce n'est pas très dérangeant car son personnage était moins important que celui d'Emile. Au final, ses scènes rendait tout de même bien à l'écran.
Un des paramètres auxquels il faut penser durant un tournage sont les faux-raccords, surtout quand on tourne des scènes censées se passer dans la même journée alors qu'on les tourne à des moments différents. Il me semble que le seul faux-raccord qu'on ait est une scène où le personnage féminin n'est pas habillé pareil, n'ayant pas les mêmes chaussures et ayant une veste en cuir en plus que dans la scène précédente et la scène qui la suit mais ce n'est pas si dérangeant que ça car il y a une autre scène totalement différente entre ces plans donc ça ne se remarque pas trop.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
On a mis plus d'un mois pour tourner le film, comme je le disais, à cause des emplois différents divergents. Nos principales journées de tournages se déroulaient le mercredi, le vendredi et le dimanche, donc avec toutes les scènes qu'on avait à tourner, ça aurait été impossible à faire en un mois, surtout qu'on avait nos cours et nos devoirs à coté. En tout cas, on était bien contente quand le tournage s'est terminé.
LA POST-PRODUCTION
Quand le tournage s'est terminé, on était plus que soulagé. On se disait que le montage serait la partie la plus facile du processus mais en fin de compte, loin de là. Il y a surtout eu une difficulté au niveau des voix-off, celle du personnage principal masculin et celle du personnage principal féminin récitant le poème qui est à l'origine du court-métrage. Ces voix-off ne sont pas les voix des acteurs de notre film car on avait besoin de voix ayant un accent anglais parfait. Nous avons donc demandé à nos lecteurs (des étudiants étrangers qui enseignent leur langue dans des établissement scolaires). Cependant, nous étions en période d'examens donc c'était compliqué de trouver un moment pour enregistrer leurs voix, surtout que le lecteur qui devait faire la voix de notre personnage principal masculin a mis beaucoup de temps à répondre à mes mails. Cependant, on a pu trouver un créneau qui arrangeait tout le monde et c'était une chose à faire en moins.
Une autre difficulté à été d'apprivoiser le logiciel Final Cut Pro X. Ce logiciel est tellement complexe qu'on a mis du temps et du temps à découvrir où se trouvait la section pour les effets et les transitions mais aussi pour trouver comment faire un simple générique. Tout ça pour dire qu'on a fini de monter le court-métrage juste une journée avant la projection.
Le fait de n'avoir pas de dialogue pose aussi problème au niveau sonore. Les voix-off sont dispersées tout au long du film, il y a donc des séquences où il n'y a rien du tout. Il fallait donc trouver de la musique pour combler ces vides. Grace à mon logiciel Magix Music Maker, j'ai pu faire la musique du générique de début, celle du générique de fin et deux autres musiques qu'on retrouve dans le film. Ça rend vraiment bien, ça rajoute vraiment un coté unique au court-métrage vu qu'on ne retrouvera la musique nulle part ailleurs. Mais mon logiciel est assez limité et je n'ai pas pu faire toutes les musiques. Vient alors le moment de trouver de la musique qui colle au court-métrage. Une des nombreuses difficultés liées au film, c'est que c'est un thriller, avec notre personnage principal qui tue des jeunes femmes mais qu'en parallèle, on a un autre personnage principal qui a une vie tranquille et qui rencontre des mecs contactés via un site de rencontre. Nous avons donc une musique plutôt sombre pour les scènes avec Emile et une musique plus légère pour les scènes avec Ashley et c'est là que cela se complique car il faut que les deux genres musicaux arrivent à bien se mélanger. Cependant, je pense qu'on a réussi à faire quelque chose de correct sans que ça ne fasse trop cliché. Il y a une composition de Chopin - je ne sais plus laquelle par contre - qui rend vraiment bien avec les scènes d'Emile et des musiques plus modernes, qu'on a trouvé sur Youtube, pour les scènes avec Ashley.
Pour conclure, ce fut une belle expérience que j'aimerais pouvoir renouveler mais en ayant un budget et plus de temps à y consacrer, sans avoir des études à coté. Je suis également contente que le court-métrage ait plu au public mais aussi à notre professeur. Même si c'était difficile, je ne regrette pas d'avoir choisi ce cours.
Il semble bien que les années 80 soit encore bel et bien présentent dans les esprits. SING STREET, réalisé par John Carney en 2016, ne manque pas de nous rappeler que les années 80, c'était de la bonne musique, des mix-tapes mais aussi des coupes de cheveux parfois douteuses. Après son fameux film New York Melody, que je n'ai pas vu mais dont j'en ai entendu beaucoup de bien, John Carney nous emmène dans son adolescence et dans son pays d'origine, l’Irlande, dans les années 80. On suit alors Conor, adolescent vivant dans une famille ravagée par le manque d'argent et par l’éventuelle séparation de ses parents. Conor est alors envoyé dans un lycée public et religieux où, dès le premier jour, il tombe sous le charme d'une apprentie mannequin, Raphina. Pour la séduire, il crée un groupe de musique avec ses nouveaux potes.
Malgré un scénario plutôt simple, reprenant les codes du teen-movie ou du coming-of-age story, Carney nous sert ici un film frais et authentique avec de jeunes acteurs qui sont au point. Conor est interprété par l'acteur Ferdia Walsh-Peelo qui fait ses débuts dans ce film (il me fait étrangement penser à l'acteur français Jérémie Duvall). Il dégage beaucoup de fraîcheur et d'innocence et au final, il est surtout très touchant. Il se cherche et évolue tout au long du film, ce qui est d'ailleurs représenté par ses nombreux changements de styles vestimentaires. Conor est aussi guidé par son frère aîné, Brendan (Jack Reynor), qui lui sert alors de guide musical, l'introduisant à plusieurs groupes de rock pour qu'il puisse s'enrichir musicalement et ainsi produire de meilleures chansons.
La magie de la musique
En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.
Les chansons chantées par le groupe sont super cools, avec un petit air délicieusement rétro très plaisant à l'oreille et qui restent très vite en tête bien qu'elles sonnent un peu trop bien pour un groupe de lycéens. Le film est également rythmé par des chansons des années 80 tels que Waiting For A Train de Flash And The Pan ou encore In Between Days de The Cure.
Il y a malheureusement quelques anachronismes dans le film qui feront tiqués les aficionados de la pop culture des années 80, notamment par rapport à Retour vers le Futur, qui est mentionnée plusieurs fois dans le film. En effet, l'intrigue du film se passe au début de l'année 1985 et Retour vers le Futur est seulement sorti en décembre 85 en Irlande. Cependant, ça ne reste qu'un détail qui n'est pas vraiment dérangeant en soit.Un film sur la famille et les amis
SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.
INSTANT CINOCHE • Sing Street de John Carney (2016).
Il semble bien que les années 80 soit encore bel et bien présentent dans les esprits. SING STREET, réalisé par John Carney en 2016, ne manque pas de nous rappeler que les années 80, c'était de la bonne musique, des mix-tapes mais aussi des coupes de cheveux parfois douteuses. Après son fameux film New York Melody, que je n'ai pas vu mais dont j'en ai entendu beaucoup de bien, John Carney nous emmène dans son adolescence et dans son pays d'origine, l’Irlande, dans les années 80. On suit alors Conor, adolescent vivant dans une famille ravagée par le manque d'argent et par l’éventuelle séparation de ses parents. Conor est alors envoyé dans un lycée public et religieux où, dès le premier jour, il tombe sous le charme d'une apprentie mannequin, Raphina. Pour la séduire, il crée un groupe de musique avec ses nouveaux potes.
Malgré un scénario plutôt simple, reprenant les codes du teen-movie ou du coming-of-age story, Carney nous sert ici un film frais et authentique avec de jeunes acteurs qui sont au point. Conor est interprété par l'acteur Ferdia Walsh-Peelo qui fait ses débuts dans ce film (il me fait étrangement penser à l'acteur français Jérémie Duvall). Il dégage beaucoup de fraîcheur et d'innocence et au final, il est surtout très touchant. Il se cherche et évolue tout au long du film, ce qui est d'ailleurs représenté par ses nombreux changements de styles vestimentaires. Conor est aussi guidé par son frère aîné, Brendan (Jack Reynor), qui lui sert alors de guide musical, l'introduisant à plusieurs groupes de rock pour qu'il puisse s'enrichir musicalement et ainsi produire de meilleures chansons.
La magie de la musique
En parlant de musique, les chansons ont une place à part entière dans SING STREET et elles apportent un coté très émotionnel au long-métrage. La musique est la force du film. En effet, c'est la musique qui permet à Conor de se faire des amis, qui permet à Brendan de se rendre compte à quel point il gaspille sa vie, mais c'est aussi la musique qui rassemble Conor et Raphina ensemble, surtout à travers les mix-tapes qu'il fait pour elle. Cela permet également à Conor de chercher qu'il est réellement, en passant par plusieurs styles et de genre musicaux, pour enfin réussir à savoir ce qu'il veut vraiment pour lui-même.
Les chansons chantées par le groupe sont super cools, avec un petit air délicieusement rétro très plaisant à l'oreille et qui restent très vite en tête bien qu'elles sonnent un peu trop bien pour un groupe de lycéens. Le film est également rythmé par des chansons des années 80 tels que Waiting For A Train de Flash And The Pan ou encore In Between Days de The Cure.
Il y a malheureusement quelques anachronismes dans le film qui feront tiqués les aficionados de la pop culture des années 80, notamment par rapport à Retour vers le Futur, qui est mentionnée plusieurs fois dans le film. En effet, l'intrigue du film se passe au début de l'année 1985 et Retour vers le Futur est seulement sorti en décembre 85 en Irlande. Cependant, ça ne reste qu'un détail qui n'est pas vraiment dérangeant en soit.Un film sur la famille et les amis
SING STREET traite également des problèmes familiaux. Conor vit parmi une famille dysfonctionnelle avec des parents qui sont sur le point de se séparer. Le seul roc de la famille est le frère aîné de Conor, Brendan. Tout au long du film, Brendan guidera Conor dans la musique, il lui donnera aussi en quelque sorte des leçons sur la vie et qu'il faut en profiter pleinement et réaliser ses rêves, contrairement à lui-même qui semble avoir abandonné les siens, ne voulant pas ainsi que son petit frère reproduise les mêmes erreurs que lui. J'ai donc vraiment apprécié comment était abordé leur relation fraternelle. Cependant, il m'a peut être un peu manqué le coté amitié dans ce film. Je n'ai retrouvé aucun lien fort entre les membres du groupes, on en finit même par oublier leurs prénoms, car ils ne sont pas assez mis en avant dans le film, ce qui est assez dommage. Par contre, on sent une réelle alchimie entre Conor et Eamon (Mark McKenna) quand ils créent leur musique ensemble et ça ne m'étonne pas de voir que les deux acteurs soient pratiquement devenus inséparable dans la vraie vie.Par conséquent, SING STREET se révèle être une lettre d'amour à Dublin et à la musique des années 80. C'est un film feel-good qui devrait en réjouir plus d'un grâce à ses personnages attrayants et son ambiance rétro.
Quel plaisir de lire un roman aussi beau et puissant que Kids of Appetite, avec ses personnages divers et superbement bien écrits et développés et qui ont chacun leur propre histoire dramatique. Le premier chapitre commence dans un commissariat, dans une salle d'interrogatoire où un des personnages centrales du roman, Bruno Victor Benucci III, plus communément appelé Vic, se fait interroger par la Sergente Mendes. Ensuite, nous sommes propulsés 8 jours plus tôt avec le réel début de toute la trame du roman. Le roman a deux narrateurs, Vic et Mad, deux voix distinctes qui se mêlent très bien. Chaque chapitre commence par l'interrogatoire, soit de Vic, soit de Mad, selon le narrateur du chapitre. Ce genre de format peut faire brouillon et on pourrait vite se perdre mais ce n'est pas le cas ici.
DES PERSONNAGES HÉTÉROCLITES AU PASSÉ SOMBRE
La relation entre les personnages m'a fait penser à celle des personnages du film The Breakfast Club, car dans KOA, les personnages sont très différents des uns des autres, sont même d'âges différents mais ils sont pourtant amis et forment même une famille. Il y a donc cette même idée qu’être différent des uns des autres n’empêche pas de pouvoir être amis. Chaque personnage a son histoire et son passé trouble. Vic est atteint du syndrome de Moebius, qui lui vaut d'avoir un visage figé, il ne peut ni sourire ni cligner des yeux. Une particularité physique qui déroutent la majorité des gens qu'il croise. Quand on lit le roman, on réalise que Vic n'a pas d'amis, jusqu’à ce qu'il rencontre Mad, Baz, Zuz et Coco, une bande de gamins orphelins qui traîne dans la rue. Baz et Zuz sont frères et sont des réfugiés congolais, Coco est une fille de onze ans extrêmement grossière et qui a beaucoup de bagou et pour finir, il y a Mad, qui ne cesse de lire The Outsiders et qui porte un secret. Au fur et à mesure de l'histoire, on apprend que chaque personnage porte un fardeau, celui d'un passé douloureux où le deuil est présent, cependant, ça ne les empêche pas de vivre une vie hors du commun.
“We are all part of the same story, each of us different chapters. We may not have the power to choose setting or plot, but we can choose what kind of character we want to be.”
Vic sera en quelque sorte recueilli par le groupe après que le petit-ami de sa mère, qu'il ne porte pas dans son cœur, la demande en mariage. Vic s'enfui de la maison en emportant l'urne de son père. Il finira par l'ouvrir et en plus des cendre, y découvrira un message. Une partie des péripéties de l'histoire repose sur ce message et la bande, qui se fera au court du roman appeler the Kids of Appetite, aideront Vic à accomplir les instructions dictés par ce même message.
UN ROMAN QUI REPOSE SUR LE VISUEL
Ce roman est merveilleusement bien écrit, c'est beau, presque poétique. Chaque narration de Vic est une ode à l'art visuel, à la musique, à la beauté ou à l’absence de beauté. Vic est fan de Matisse et du fauvisme, il mentionne beaucoup le peintre et ses œuvres, fasciné par la juxtaposition de couleurs présente dans le tableaux du peintre. J'ai vraiment préféré les parties narrées par Vic pour ce coté artistique et poétique et je pense avoir été conquise dès la première ligne du roman: “Consider this: billions of people in the world, each with billions of I ams. I am a quiet observer, a champion wallflower. I am a lover of art, the Mets, the memory of Dad. I represent approximately one seven-billionth of the population; these are my momentous multitudes, and that’s just for starters.” Ce roman est selon moi très visuel, on imagine avec facilité les personnages et c'est pour moi, un roman qui mériterait d’être adapté au cinéma, bien que ce serait un très gros challenge car on pourrait perdre la beauté de l'écriture du roman.
Ce roman Young Adult se démarque par la plume de son auteur mais aussi pour l'originalité de l'histoire et comment elle est menée jusqu’à sa fin. David Arnold n'en fait ni trop ni pas assez, il est dans une justesse incroyable, ce qui fait que son roman est beau, touchant mais surtout surprenant. J'aurais vraiment pu le lire plus vite si je n'avais pas eu autant de boulot pour la fac. Un roman d'apprentissage touchant, déchirant, magnifique et qui restera probablement intemporel. A lire d'urgence !
BOOK REVIEW • Kids of Appetite de David Arnold.
Quel plaisir de lire un roman aussi beau et puissant que Kids of Appetite, avec ses personnages divers et superbement bien écrits et développés et qui ont chacun leur propre histoire dramatique. Le premier chapitre commence dans un commissariat, dans une salle d'interrogatoire où un des personnages centrales du roman, Bruno Victor Benucci III, plus communément appelé Vic, se fait interroger par la Sergente Mendes. Ensuite, nous sommes propulsés 8 jours plus tôt avec le réel début de toute la trame du roman. Le roman a deux narrateurs, Vic et Mad, deux voix distinctes qui se mêlent très bien. Chaque chapitre commence par l'interrogatoire, soit de Vic, soit de Mad, selon le narrateur du chapitre. Ce genre de format peut faire brouillon et on pourrait vite se perdre mais ce n'est pas le cas ici.
DES PERSONNAGES HÉTÉROCLITES AU PASSÉ SOMBRE
La relation entre les personnages m'a fait penser à celle des personnages du film The Breakfast Club, car dans KOA, les personnages sont très différents des uns des autres, sont même d'âges différents mais ils sont pourtant amis et forment même une famille. Il y a donc cette même idée qu’être différent des uns des autres n’empêche pas de pouvoir être amis. Chaque personnage a son histoire et son passé trouble. Vic est atteint du syndrome de Moebius, qui lui vaut d'avoir un visage figé, il ne peut ni sourire ni cligner des yeux. Une particularité physique qui déroutent la majorité des gens qu'il croise. Quand on lit le roman, on réalise que Vic n'a pas d'amis, jusqu’à ce qu'il rencontre Mad, Baz, Zuz et Coco, une bande de gamins orphelins qui traîne dans la rue. Baz et Zuz sont frères et sont des réfugiés congolais, Coco est une fille de onze ans extrêmement grossière et qui a beaucoup de bagou et pour finir, il y a Mad, qui ne cesse de lire The Outsiders et qui porte un secret. Au fur et à mesure de l'histoire, on apprend que chaque personnage porte un fardeau, celui d'un passé douloureux où le deuil est présent, cependant, ça ne les empêche pas de vivre une vie hors du commun.
“We are all part of the same story, each of us different chapters. We may not have the power to choose setting or plot, but we can choose what kind of character we want to be.”
Vic sera en quelque sorte recueilli par le groupe après que le petit-ami de sa mère, qu'il ne porte pas dans son cœur, la demande en mariage. Vic s'enfui de la maison en emportant l'urne de son père. Il finira par l'ouvrir et en plus des cendre, y découvrira un message. Une partie des péripéties de l'histoire repose sur ce message et la bande, qui se fera au court du roman appeler the Kids of Appetite, aideront Vic à accomplir les instructions dictés par ce même message.
UN ROMAN QUI REPOSE SUR LE VISUEL
Ce roman est merveilleusement bien écrit, c'est beau, presque poétique. Chaque narration de Vic est une ode à l'art visuel, à la musique, à la beauté ou à l’absence de beauté. Vic est fan de Matisse et du fauvisme, il mentionne beaucoup le peintre et ses œuvres, fasciné par la juxtaposition de couleurs présente dans le tableaux du peintre. J'ai vraiment préféré les parties narrées par Vic pour ce coté artistique et poétique et je pense avoir été conquise dès la première ligne du roman: “Consider this: billions of people in the world, each with billions of I ams. I am a quiet observer, a champion wallflower. I am a lover of art, the Mets, the memory of Dad. I represent approximately one seven-billionth of the population; these are my momentous multitudes, and that’s just for starters.” Ce roman est selon moi très visuel, on imagine avec facilité les personnages et c'est pour moi, un roman qui mériterait d’être adapté au cinéma, bien que ce serait un très gros challenge car on pourrait perdre la beauté de l'écriture du roman.
Ce roman Young Adult se démarque par la plume de son auteur mais aussi pour l'originalité de l'histoire et comment elle est menée jusqu’à sa fin. David Arnold n'en fait ni trop ni pas assez, il est dans une justesse incroyable, ce qui fait que son roman est beau, touchant mais surtout surprenant. J'aurais vraiment pu le lire plus vite si je n'avais pas eu autant de boulot pour la fac. Un roman d'apprentissage touchant, déchirant, magnifique et qui restera probablement intemporel. A lire d'urgence !
Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.
The Last Time We Say Goodbye est un roman qui parle d’un sujet sérieux et sensible: le suicide ainsi que le deuil et les répercussions qui s'en suivent au sein de la famille du défunt. Je pensais retrouver une ribambelle d’émotions, pourtant, j’ai trouvé l’histoire plutôt banale même si elle reste bien écrite. Ne vous méprenez pas, l’histoire est touchante mais pas aussi touchante que All the Bright Places de Jennifer Niven par exemple. J’ai trouvé que certains passages du roman restaient assez sombre dans le sens qu’à la fin, on peut encore se poser quelques questions. J'ai apprécié le format du livre où certains chapitre sont des extraits du journal que Lex, le personnage principal dont le petit frère s'est suicidé, doit écrire pour sa thérapie. Selon moi, le personnage de Lex aurait pu être mieux développé et mené beaucoup plus loin. C'est en écrivant cette revue que je me rends compte que, malgré que j'ai apprécié l'histoire, ça reste un roman YA tout ce qu'il y a de plus banale et que je n'en garde pas beaucoup de souvenir. Ce n'est pas une lecture qui chamboule et bouleverse alors que le thème de l'histoire en donnait l'occasion. Je lui ai mis 4/5 sur Goodreads, mais il veut peut être plus un 3,5/5. En conclusion, c'est un bon roman mais vous ne ratez rien d’extraordinaire si vous ne le lisez pas.
We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.
We Have Always Lived in the Castle est une histoire assez simple avec assez peu de personnages. C’est très bien écrit, bien qu'au fur et à mesure de la lecture, le dénouement de l’histoire est de plus en plus prévisible et on devine assez vite les choses. Le personnage principal, Merricat, est une jeune femme surprenante et je me suis beaucoup attaché à elle malgré son comportement quelque peu étrange. On s’attache d’ailleurs à toute la famille, les membres restant de la famille Blackwood, c’est-à-dire Merricat, sa sœur aînée Constance et son oncle Julian et qui malgré la tragédie qui les a frappé, vivent une vie tranquille, à l’écart des autres habitants du village. On est alors introduit dans leur routine qui ne laisse pas beaucoup de place aux imprévus jusqu’à ce qu’un de leur cousin arrive au manoir. C’est à partir de ce moment là que la routine des Blackwood va commencer à se briser et cela ne plaira pas du tout à Merricat. La relation entre Constance et Merricat est très affectueuse et fusionnelle bien qu’un peu surréelle vu que les deux sœurs ne se disputent jamais et Constance laisse Merricat faire un peu ce qu’elle veut mais on remarque vite qu’elles se protègent l’une l’autre, et c’est ça la force de leur relation de sœurs. Ce fut une bonne lecture, je m’attendais à mieux mais ça reste tout de même un très bon roman intriguant, bien mené et empli de mystère.
Et vous, quelles sont vos dernières lectures ?
Mes deux dernières lectures: un roman YA et un classique des années 60.
Me voilà de retour, pour de bon j'espère, avec un nouvel article, un peu court je vous l'avoue, sur mes deux dernières lectures. Je stagne un peu niveau lecture mais je ne suis pas en retard au niveau de mon challenge Goodreads, donc c'est plutôt chouette. J'espère tout de même profiter de mes vacances pour pouvoir lire quelques romans et ainsi vous faire peut-être découvrir quelques livres.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hart.
The Last Time We Say Goodbye est un roman qui parle d’un sujet sérieux et sensible: le suicide ainsi que le deuil et les répercussions qui s'en suivent au sein de la famille du défunt. Je pensais retrouver une ribambelle d’émotions, pourtant, j’ai trouvé l’histoire plutôt banale même si elle reste bien écrite. Ne vous méprenez pas, l’histoire est touchante mais pas aussi touchante que All the Bright Places de Jennifer Niven par exemple. J’ai trouvé que certains passages du roman restaient assez sombre dans le sens qu’à la fin, on peut encore se poser quelques questions. J'ai apprécié le format du livre où certains chapitre sont des extraits du journal que Lex, le personnage principal dont le petit frère s'est suicidé, doit écrire pour sa thérapie. Selon moi, le personnage de Lex aurait pu être mieux développé et mené beaucoup plus loin. C'est en écrivant cette revue que je me rends compte que, malgré que j'ai apprécié l'histoire, ça reste un roman YA tout ce qu'il y a de plus banale et que je n'en garde pas beaucoup de souvenir. Ce n'est pas une lecture qui chamboule et bouleverse alors que le thème de l'histoire en donnait l'occasion. Je lui ai mis 4/5 sur Goodreads, mais il veut peut être plus un 3,5/5. En conclusion, c'est un bon roman mais vous ne ratez rien d’extraordinaire si vous ne le lisez pas.
We Have Always Lived in the Castle de Shirley Jackson.
We Have Always Lived in the Castle est une histoire assez simple avec assez peu de personnages. C’est très bien écrit, bien qu'au fur et à mesure de la lecture, le dénouement de l’histoire est de plus en plus prévisible et on devine assez vite les choses. Le personnage principal, Merricat, est une jeune femme surprenante et je me suis beaucoup attaché à elle malgré son comportement quelque peu étrange. On s’attache d’ailleurs à toute la famille, les membres restant de la famille Blackwood, c’est-à-dire Merricat, sa sœur aînée Constance et son oncle Julian et qui malgré la tragédie qui les a frappé, vivent une vie tranquille, à l’écart des autres habitants du village. On est alors introduit dans leur routine qui ne laisse pas beaucoup de place aux imprévus jusqu’à ce qu’un de leur cousin arrive au manoir. C’est à partir de ce moment là que la routine des Blackwood va commencer à se briser et cela ne plaira pas du tout à Merricat. La relation entre Constance et Merricat est très affectueuse et fusionnelle bien qu’un peu surréelle vu que les deux sœurs ne se disputent jamais et Constance laisse Merricat faire un peu ce qu’elle veut mais on remarque vite qu’elles se protègent l’une l’autre, et c’est ça la force de leur relation de sœurs. Ce fut une bonne lecture, je m’attendais à mieux mais ça reste tout de même un très bon roman intriguant, bien mené et empli de mystère.
Et vous, quelles sont vos dernières lectures ?
Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?
Pretty in Pink, relations et cliques sociales
Pretty in Pink est un teen-movie assez profond. Contrairement à ce que j’avais pu en penser lors du premier visionnage il y a quelques années, ce n’est pas une simple histoire d’amour. Ce film traite d'un sujet intéressant qui est celui de la classe sociale. Andie vit avec son père qui est au chômage alors que sa mère les a abandonné trois ans plus tôt et mènent alors une vie plutôt modeste dans un coin de la ville tout aussi modeste tandis que Blane vient d’une famille très aisé et tout le long du film, les deux personnages se demandent si malgré leur classe sociale différente, ils peuvent être ensemble - très semblable aux thèmes de The Breakfast Club. Les amis de Blane n’acceptent pas Andie et le meilleur ami d’Andie, Duckie, n’accepte pas Blane même si ici, je pense qu’il est plus question de jalousie, Duckie étant amoureux d’Andie depuis son enfance.
“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie
Andie est un personnage très intéressant, elle est passionnée, elle est très mature pour son âge, elle s'occupe de son père, c'est une élève studieuse pourtant elle rêve d’aller au bal de promo, elle reste donc une adolescente digne de ce nom. Pourtant, selon moi, le personnage qui m'a le plus plu et intéressé est Duckie. Il est un peu dorky, marginal, il a son propre style, il a ce coté un peu efféminé, très caractéristique de l’acteur qui l’interprète, Jon Cryer, c'est donc au final un personnage plutôt unique et original. J’adore Ducky et c'est le genre de personnage auquel on peut vite s'attacher, de part sa façon d'être, son style vestimentaire et malgré son exubérance, c’est quelqu’un qui se révèle fragile et qui, concrètement, ne vit que pour aimer Andie. Selon moi, Duckie est le personnage emblématique de PRETTY IN PINK avec une performance surprenante et convaincante de Jon Cryer .
J’ai beaucoup aimé la relation entre Andie et son père Jack. J’ai aimé leur complicité et la façon dont est traité leur relation, les rôles étant un peu inversés, Andie est celle qui s’occupe de son père, lui préparant son petit déjeuner le matin, le secouant un peu pour qu’il trouve un job. L'amitié de Duckie et Andie est vraiment chouette mais il y a un coté particulier qui m'a assez dérangé. J'ai eu l'impression que pendant certains moments du film, Andie avait honte de Duckie et ne l'appréciait pas à sa juste valeur et elle a beau lui dit à un moment du film: “I hope I'm not the only one that knows how incredible you are.” un soupçon d'ironie pointe le bout de son nez, car justement, je trouve qu'Andie ne voit pas à quel point Duckie est incroyable. Elle va quand même dans un club où il n'arrive jamais à rentrer et elle le sait, sympa la meilleure amie... Mais on va dire que la fin rattrape le tout. Parlons de cette fin justement. J’aime la fin autant que je la déteste !
Je voulais à tout prix qu’Andie finisse avec Duckie, John Hughes et Howard Deutch voulaient qu’Andie finisse avec Duckie sauf qu’elle finit avec Blane, ce personnage si plat et sans saveur et qui est juste mignon. Mais, lors des tests de visionnage, le public n'a pas été accroché à cette fin et du coup, ils ont du refilmé la fin, une fin qui reste clichée. En soit, je voulais plus que Andie et Duckie finissent ensemble car c'est ce que veut Duckie tout le long du film. Cependant, j'aime tout de même cette fin où Andie et Duckie se réconcilie et affronte ensemble, main dans la main, ce passage important de l'adolescent que peut être le bal de promo et tout ce qui entoure cet événement social. C'est vraiment à ce moment là que j'ai trouvé que ces deux personnages avaient une superbe amitié et on montre alors que Duckie sera toujours là pour Andie alors qu'avec Blane, il y a ce coté éphémère et superficiel et j'ai vraiment eu l'impression en regardant le film que la romance entre Andie et Blane sortait vraiment de nulle part et n'était pas assez développé, ce qui coïncide avec la fin de départ pour montrer qu'il était plus juste qu'Andie finisse avec Duckie. Cette fin imposée à Hughes et Deutch fut à l’origine du film Some Kind of Wonderful.
La mode, un facteur de statut social ?
Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.Alors, on regarde ou pas ?
Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.BACK TO THE EIGHTIES • Pretty in Pink (1986).
Pretty in Pink (Rose Bonbon en V.F) est un teen-movie américain réalisé par Howard Deutch en 1986 et scénarisé et produit par John Hughes. Le film suit Andie Walsh - interprété par Molly Ringwald, une adolescente étudiant dans un lycée où les élèves sont divisé: les riches d'un coté et les plus modestes de l'autre. Andie est toujours accompagné de son meilleur ami, Phil "Duckie" Dale - interprété par Jon Cryer - qui soit-disant passant est fou amoureux d'elle et a pour confidente sa patronne déjantée Iona. Un jour, Blane, du camp des "riches" craque pour Andie et l'affection est réciproque mais parviendront-ils à vivre leur relation sans que la différence de classe sociale ne les rattrape ?
Pretty in Pink, relations et cliques sociales
Pretty in Pink est un teen-movie assez profond. Contrairement à ce que j’avais pu en penser lors du premier visionnage il y a quelques années, ce n’est pas une simple histoire d’amour. Ce film traite d'un sujet intéressant qui est celui de la classe sociale. Andie vit avec son père qui est au chômage alors que sa mère les a abandonné trois ans plus tôt et mènent alors une vie plutôt modeste dans un coin de la ville tout aussi modeste tandis que Blane vient d’une famille très aisé et tout le long du film, les deux personnages se demandent si malgré leur classe sociale différente, ils peuvent être ensemble - très semblable aux thèmes de The Breakfast Club. Les amis de Blane n’acceptent pas Andie et le meilleur ami d’Andie, Duckie, n’accepte pas Blane même si ici, je pense qu’il est plus question de jalousie, Duckie étant amoureux d’Andie depuis son enfance.
“It's called a sense of humor - you should get one - they're nice.” – Duckie
Andie est un personnage très intéressant, elle est passionnée, elle est très mature pour son âge, elle s'occupe de son père, c'est une élève studieuse pourtant elle rêve d’aller au bal de promo, elle reste donc une adolescente digne de ce nom. Pourtant, selon moi, le personnage qui m'a le plus plu et intéressé est Duckie. Il est un peu dorky, marginal, il a son propre style, il a ce coté un peu efféminé, très caractéristique de l’acteur qui l’interprète, Jon Cryer, c'est donc au final un personnage plutôt unique et original. J’adore Ducky et c'est le genre de personnage auquel on peut vite s'attacher, de part sa façon d'être, son style vestimentaire et malgré son exubérance, c’est quelqu’un qui se révèle fragile et qui, concrètement, ne vit que pour aimer Andie. Selon moi, Duckie est le personnage emblématique de PRETTY IN PINK avec une performance surprenante et convaincante de Jon Cryer .
J’ai beaucoup aimé la relation entre Andie et son père Jack. J’ai aimé leur complicité et la façon dont est traité leur relation, les rôles étant un peu inversés, Andie est celle qui s’occupe de son père, lui préparant son petit déjeuner le matin, le secouant un peu pour qu’il trouve un job. L'amitié de Duckie et Andie est vraiment chouette mais il y a un coté particulier qui m'a assez dérangé. J'ai eu l'impression que pendant certains moments du film, Andie avait honte de Duckie et ne l'appréciait pas à sa juste valeur et elle a beau lui dit à un moment du film: “I hope I'm not the only one that knows how incredible you are.” un soupçon d'ironie pointe le bout de son nez, car justement, je trouve qu'Andie ne voit pas à quel point Duckie est incroyable. Elle va quand même dans un club où il n'arrive jamais à rentrer et elle le sait, sympa la meilleure amie... Mais on va dire que la fin rattrape le tout. Parlons de cette fin justement. J’aime la fin autant que je la déteste !
Je voulais à tout prix qu’Andie finisse avec Duckie, John Hughes et Howard Deutch voulaient qu’Andie finisse avec Duckie sauf qu’elle finit avec Blane, ce personnage si plat et sans saveur et qui est juste mignon. Mais, lors des tests de visionnage, le public n'a pas été accroché à cette fin et du coup, ils ont du refilmé la fin, une fin qui reste clichée. En soit, je voulais plus que Andie et Duckie finissent ensemble car c'est ce que veut Duckie tout le long du film. Cependant, j'aime tout de même cette fin où Andie et Duckie se réconcilie et affronte ensemble, main dans la main, ce passage important de l'adolescent que peut être le bal de promo et tout ce qui entoure cet événement social. C'est vraiment à ce moment là que j'ai trouvé que ces deux personnages avaient une superbe amitié et on montre alors que Duckie sera toujours là pour Andie alors qu'avec Blane, il y a ce coté éphémère et superficiel et j'ai vraiment eu l'impression en regardant le film que la romance entre Andie et Blane sortait vraiment de nulle part et n'était pas assez développé, ce qui coïncide avec la fin de départ pour montrer qu'il était plus juste qu'Andie finisse avec Duckie. Cette fin imposée à Hughes et Deutch fut à l’origine du film Some Kind of Wonderful.
La mode, un facteur de statut social ?
Une chose que j'apprécie beaucoup dans PRETTY IN PINK, c’est la mode. La mode y a en effet une place importante. Premièrement, Andie fabrique ses propres vêtements, toujours dans les tons roses (d'où le titre du film). D'ailleurs, la mode représenté dans le film peut être retrouvé dans les tendances du moment, surtout dans cette tenue que porte Andie à un moment du film - ici - Ce bomber vert kaki en espèce de velours avec des broderies de style japonais, c'est une pièce très tendance qu'on peut actuellement trouver un peu partout. Mais ce qui est intéressant dans le film, c’est que, Andie, Duckie et Iona qui font partie d’une classe sociale modeste, ont un style qui sort de l’ordinaire, tout au long du film, ces trois personnages n’ont jamais la même tenue, ce qui contrebalance avec les personnages tels que Blane ou Steff qui ont quasiment la même tenue durant le film. Du coup, contrairement aux personnages riches qui se mettent en avant grâce à leur argent, les personnes plus modestes, eux, se mettent en avant grâce à leur style.Alors, on regarde ou pas ?
Alors, pour ma part, je trouve que PRETTY IN PINK reste un très bon film, mais un très bon film qu'on regarde pour ses personnages plutôt que pour l'histoire en elle-même, qui est tout de même très basique.
Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article.
CHUCK (2007-2012)
Je crois que la série CHUCK restera une de mes séries préférées de tout les temps et je me rappelle avoir été très déçue quand la série a pris fin, et encore plus vu que la dernière saison ne vaut pas les précédentes. Alors, CHUCK, c'est une série américaine créée par Josh Schwartz et Chris Fedak où on suit Chuck, un nerd travaillant au Buy More de Burbank, un magasin d'électroménager et d'électronique. Un matin, alors qu'il ouvre un email de son meilleur ami de Stanford, l’inconscient de Chuck télécharge l'Intersecret, des données top-secrètes de la CIA et de la NSA.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
MERLIN (2008-2012)
Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.
J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série à ma maman donc pourquoi pas vous?
VERONICA MARS (2004-2007/2019)
Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.
D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...
Et vous, des séries qui vous rendent nostalgiques quand vous les regardez à nouveau ?
Séries TV & Nostalgie • Chuck, Merlin et Veronica Mars.
Depuis le nombre d'années que je regarde des séries, j'en suis venue à en avoir certaines que j'adore et que je pourrais regarder encore et encore sans me lasser une seconde. Ce sont souvent des séries que je regardais quand j'étais un peu plus jeune et qui ont donc un petit coté nostalgique quand je les regarde à nouveau. Je me suis dit que ça serait intéressant de vous présenter une sélection de séries, qui sera du coup publié en plusieurs parties, car il y a en a beaucoup trop que pour cela tienne en un seul article.
CHUCK (2007-2012)
Je crois que la série CHUCK restera une de mes séries préférées de tout les temps et je me rappelle avoir été très déçue quand la série a pris fin, et encore plus vu que la dernière saison ne vaut pas les précédentes. Alors, CHUCK, c'est une série américaine créée par Josh Schwartz et Chris Fedak où on suit Chuck, un nerd travaillant au Buy More de Burbank, un magasin d'électroménager et d'électronique. Un matin, alors qu'il ouvre un email de son meilleur ami de Stanford, l’inconscient de Chuck télécharge l'Intersecret, des données top-secrètes de la CIA et de la NSA.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
J'adorais cette série pour son mélange d'action et de comédie. Je trouve que Chuck reste l'un des personnages les plus attachants que j'ai pu voir dans une série. J'adore aussi le personnage de Morgan, le meilleur ami de Chuck, la grosse touche humour de la série, c'est lui. Chaque personnage a une évolution au fur et à mesure des saisons, surtout Chuck et Morgan, qui sont un peu des adulescents au début de la série et qui deviennent donc plus adulte et confiant.
MERLIN (2008-2012)
Je me demande encore pourquoi je n'ai pas regardé Merlin plus tôt. En effet, j'ai commencé cette série alors que la dernière saison était diffusée. J'en entendais parler à longueur de journée par ma meilleure amie et une copine à nous et je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas laissé convaincre, surtout qu'il faut savoir que je m'intéresse aux légendes arthuriennes donc gros fail pour moi. Cette série, c'est tout simplement l'histoire d'Arthur et Merlin mais revisitée. En effet, Merlin est jeune et encore novice dans la pratique de la magie et au lieu d'être ce mage puissant qui conseille un jeune Arthur, ici, les deux protagonistes ont le même âge et Merlin est son serviteur personnel. Cette série britannique créé par Julian Jones, Jake Michie, Johnny Capps et Julian Murphy est un petit bijou, c'est une série d'aventure qui mèle magie, amour et humour.
J'adore l'amitié entre Arthur et Merlin et même si Arthur prends carrément Merlin pour son larbin, on voit qu'il l'apprécie et au fil des saisons, leur amitié est de plus en plus forte, Arthur bravant le danger quand Merlin se retrouve dans des situations délicates. Et quand c'est Arthur qui est en danger, Merlin est toujours là pour l'aider. Cette série est addictive, j'ai même réussi à faire aimer la série à ma maman donc pourquoi pas vous?
VERONICA MARS (2004-2007/2019)
Veronica Mars n'a beau avoir duré que 3 saisons (plus un film et une saison 4 en 2019 terriblement décevante), elle a gagné le statut de série culte. Veronica est un personnage principal féminin fort et c'est toujours agréable et surtout appréciable dans une série. Une adolescente qui mène des enquêtes, qui est intelligente, a de l'humour et qui a une répartie de fou, impossible de ne pas aimer ce personnage ainsi que la série. Je ne sais pas combien de fois j'ai pu voir cette série mais je ne m'en lasserai jamais et je peux dire que cette série est unique et rien n'a était fait dans le même genre depuis. J’aimais aussi beaucoup la relation qu'entretenait Veronica avec son père Keith, c'était le genre de relation père-fille qu'on pouvait envier. Ayant toujours été Team Logan, le bad-boy détestable au début de la série qui finit par se révéler être un personnage un peu plus profond, sensible et très protecteur, j’étais assez déçue de la fin de la série mais l'annonce du film a su me redonner de l'espoir pour ce couple.
D'ailleurs, si vous n'avez pas vu le film, il faut y remédier, il a vraiment répondu à mes attentes et c'est vraiment chouette de retrouver ces personnages neuf ans après. Et aussi, on a tous chanté ou essayer de chanter la chanson du générique qui est géniale: A long time ago, we used to be friend...
Et vous, des séries qui vous rendent nostalgiques quand vous les regardez à nouveau ?
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.
J'avais déjà entendu parler de Freaks and Geeks mais je me suis décidée à regarder la série que récemment (on sens le réabonnement à Netflix). J'ai tout de suite accroché à l'histoire et je n'ai regardé que ça pendant une semaine. J'ai adoré l'ambiance et les personnages. L'histoire se déroule dans les années 80 et tout ce qui va avec, la musique rock de Led Zeppelin, le déclin du disco, on y fait des références à Star Wars mais il est vrai que, personnellement, je n'ai pas autant ressenti the 80s vibe autant qu'avec Stranger Things par exemple, mais bon, ça n’enlève rien à la série qui reste excellente.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Bien que cette série ait été annulé il y a maintenant 17 ans, je vous conseille de la regarder, peut-être quand vous serez en période creuse niveau séries car je peux comprendre que regarder une série vieille de 18 ans et qui n'a qu'une seule saison ne soit pas votre priorité mais si cette série est culte, c'est pour une bonne raison donc foncez !
Freaks and Geeks, une série culte annulée trop tôt.
Freaks and Geeks est une série américaine diffusée entre 1999 et 2000, créée par Paul Feig et ayant Judd Apatow comme producteur délégué. La série est axée sur la vie de Lindsay Weir et de son petit frère Sam, tous deux scolarisés au lycée McKinley durant l'année scolaire 1980-1981. Lindsay fait partie des Freaks et Sam des Geeks.
J'avais déjà entendu parler de Freaks and Geeks mais je me suis décidée à regarder la série que récemment (on sens le réabonnement à Netflix). J'ai tout de suite accroché à l'histoire et je n'ai regardé que ça pendant une semaine. J'ai adoré l'ambiance et les personnages. L'histoire se déroule dans les années 80 et tout ce qui va avec, la musique rock de Led Zeppelin, le déclin du disco, on y fait des références à Star Wars mais il est vrai que, personnellement, je n'ai pas autant ressenti the 80s vibe autant qu'avec Stranger Things par exemple, mais bon, ça n’enlève rien à la série qui reste excellente.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Au niveau des acteurs, le fait de regarder cette série presque 18 ans après sa diffusion, permet de reconnaître beaucoup d'acteurs qui sont dans la majorité très présent au cinéma, notamment dans les films de Judd Apatow. En effet, cette série est sorti en 1999 et la plupart des acteurs étaient inconnus à l'époque: dans le groupe des Freaks, il y a James Franco dans le rôle du rebelle Daniel Desario, Jason Segel dans le rôle du gentil mais collant Nick Andopolis, Seth Rogen dans le rôle du sarcastique Ken Miller, Linda Cardellini dans le rôle de Lindsey Weir, qui vient juste d'intégrer la clique des Freaks et qui est aussi le personnage principale de la série ainsi que Busy Philipps dans le rôle de Kim Kelly, la petite amie de Daniel. Dans le groupe des Geeks, on a Sam Levine dans le rôle de Neal Schweiber, Martin Starr dans le rôle de Bill Haverchuck, le plus socially awkward mais le plus attachant de la bande et John Francis Daley dans le rôle de Sam Weir, le petit frère de Lindsay.
Tout au long de la série, on suit les péripéties des Freaks et des Geeks. Du coup, on est quand même un peu (beaucoup) dans le cliché américain des cliques sociales. Les Freaks sont des mauvais élèves qui sèchent souvent les cours et les Geeks sont impopulaires et fan de jeux vidéos, bons élèves sauf en sport. Mais, les personnages se révèlent de plus en plus profonds au fur et à mesure des épisodes. J'ai eu un énorme coup de cœur pour le personnage de Nick, j'ai trouvé Jason Segel particulièrement touchant dans cette série, son personnage est adorable et sincère bien qu'un peu collant. Le personnage de Lindsay est celui avec lequel on peut vraiment s'identifier en tant qu'adolescent. Elle vient de perdre sa grand-mère au début de la série, ce qui chamboule son existence. Elle quitte son groupe d'amis intellos pour commencer à traîner avec les Freaks et pourtant, elle ne sera jamais complètement comme eux, elle est différente et cherche sa place. Par contre, j'ai trouvé que les personnages des Geeks étaient peut-être un peu moins recherché que ceux des Freaks mais on s'attache tout de même à eux, surtout à Bill, qui est un personnage très drôle et touchant, un peu gênant dans le sens où c'est quelqu'un d'assez spécial, mais je ne serais pas comment vous expliquer, il faut regarder la série pour comprendre.
Les thèmes abordés tels que la recherche d'identité et la peur de l'avenir sont très présent dans la série et me font penser à la thématique présente dans The Breakfast Club. Tous les personnages se cherchent, sont un peu paumés. On a aussi le thème de la famille qui est très présent dans la série. En effet, les parents de Lindsay et Sam sont présent dans chaque épisode et le quatrième épisode de la série se concentre sur la famille dysfonctionnelle de Kim.
Je ne comprends pas pourquoi cette série a été annulée, n'étant constitué que d'une saison de dix-huit épisodes et ceci malgré les critiques élogieuses qu'elle a pu recevoir. Et le plus étrange, c'est qu'avec le temps, Freaks and Geeks a acquis le statut de série culte alors qu'elle a été diffusé à la télé pendant seulement dix mois. Ça montre à quel point cette série a pu touché et marqué une génération de personnes. J'ai été déçu par l'épisode final qui a été écrit dans le but de servir soit d'épisode final si la série venait à être annulée (ce qui est arrivé) soit d'épisode final de saison 1 si la série continuait pour une saison 2. Ce dernier épisode promet tellement de promesses pour une deuxième saison, une évolution des personnages qui aurait été tellement intéressante, et même si cet épisode clôt quand même plus ou mois bien la série, il m'a laissé sur ma faim.
Bien que cette série ait été annulé il y a maintenant 17 ans, je vous conseille de la regarder, peut-être quand vous serez en période creuse niveau séries car je peux comprendre que regarder une série vieille de 18 ans et qui n'a qu'une seule saison ne soit pas votre priorité mais si cette série est culte, c'est pour une bonne raison donc foncez !
Il me semble que ça fait pas mal de temps que je ne vous ai pas présenté une book wishlist - oui, en effet, ça fait un an et demi, oops. J’hésite en ce moment à me faire une petite commande de livres car si je me m’écoutais, je viderais probablement mon compte en banque en bouquins. Je vous présente donc six livres qui traînent dans mon panier Amazon depuis un petit moment déjà sans que je me décide à passer commande.
Kids of Appetite de David Arnold.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
Je l'avoue, ce qui m'a toute suite attirée avec ce livre, c'est la couverture que je la trouve très jolie. Ensuite, je me suis renseigné sur le synopsis et sur les avis des lecteurs et ce roman a l'air d'être une vraie pépite. D'ailleurs, il était dans ma wishlist de Noël mais ma maman ne l'avais pas choisi du coup. Si le roman et la plume de l'auteur me plaise, je me procurais ensuite le premier roman écrit par l'auteur, Mosquitoland.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
On ne juge peut-être pas un livre sur sa couverture mais soyons honnête, c'est souvent grâce à elle qu'on s'arrête sur un livre pour ensuite s’intéresser à son histoire. Et vous, votre book wishlist du moment ?
BOOK WISHLIST • Comme une envie de livres.
Il me semble que ça fait pas mal de temps que je ne vous ai pas présenté une book wishlist - oui, en effet, ça fait un an et demi, oops. J’hésite en ce moment à me faire une petite commande de livres car si je me m’écoutais, je viderais probablement mon compte en banque en bouquins. Je vous présente donc six livres qui traînent dans mon panier Amazon depuis un petit moment déjà sans que je me décide à passer commande.
Kids of Appetite de David Arnold.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
The bestselling author of Mosquitoland brings us another batch of unforgettable characters in this tragicomedy about first love and devastating loss. Victor Benucci and Madeline Falco have a story to tell. It begins with the death of Vic’s father. It ends with the murder of Mad’s uncle. The Hackensack Police Department would very much like to hear it. But in order to tell their story, Vic and Mad must focus on all the chapters in between.
Je l'avoue, ce qui m'a toute suite attirée avec ce livre, c'est la couverture que je la trouve très jolie. Ensuite, je me suis renseigné sur le synopsis et sur les avis des lecteurs et ce roman a l'air d'être une vraie pépite. D'ailleurs, il était dans ma wishlist de Noël mais ma maman ne l'avais pas choisi du coup. Si le roman et la plume de l'auteur me plaise, je me procurais ensuite le premier roman écrit par l'auteur, Mosquitoland.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
Furthermore de Tahereh Mafi.
There are only three things that matter to twelve-year-old Alice Alexis Queensmeadow: Mother, who wouldn’t miss her; magic and color, which seem to elude her; and Father, who always loved her. The day Father disappears from Ferenwood he takes nothing but a ruler with him. But it’s been almost three years since then, and Alice is determined to find him. She loves her father even more than she loves adventure, and she’s about to embark on one to find the other.
Je me demande combien de fois je suis tombé sur des photos sur Instagram ou des reviews sur YouTube de ce livre. Encore une fois, la couverture a joué son rôle et à réussi à m’envoûter. L'histoire a l'air tout aussi enchanteresse, remplie de fantaisie, ça promet donc d'être une lecture pleine d'aventure et de magie.
Madness de Roald Dahl.
Our greatest fear is of losing control - of our lives, but, most of all, of ourselves. In these ten unsettling tales of unexpected madness master storyteller Roald Dahl explores what happens when we let go our sanity. Among other stories, you'll meet the husband with a jealous fixation on the family cat, the landlady who wants her guests to stay forever, the man whose taste for pork leads him astray and the wife with a pathological fear of being late.
Dahl understood our deepest secrets, desires and fears and Madness is one of four books - the rest being Lust, Cruelty and Deception - that explore our hidden selves.
Je ne sais plus comment je suis tombée sur ce livre mais un recueil de nouvelle sur la folie, écrit par Roald Dalh, qui pour moi, n'avait écrit que des histoires pour enfants, ça m'a tout de suite intrigué. J'ai donc lu les quelques premières lignes de la première nouvelle dispo en preview sur Amazon et le style d'écriture m'a l'air assez simple et de ce que j'ai lu, cela à l'air intriguant, j'ai donc hâte de le commander. Ce recueil fait parti d'une série de quatre autres recueils de nouvelles qui traitent sur la déception, la cruauté et la luxure, et que je compte me procurer plus tard également.
A Thousand Pieces of You de Claudia Gray
Marguerite Caine grew up surrounded by cutting-edge scientific theories, thanks to her brilliant physicist parents. Yet nothing is more astounding than her mother's latest invention—a device called the Firebird, which allows people to leap into alternate dimensions. When Marguerite's father is murdered, all the evidence points to one person—Paul, her parents' enigmatic star student. Before the law can touch him, Paul escapes into another dimension, having committed what seems like the perfect crime. But he didn't count on Marguerite. She doesn't know if she can kill a man, but she's going to find out.
Ce roman me fait envie depuis pas mal de temps maintenant. La couverture est sublime, avec un effet aquarelle, j'aime beaucoup ! Sinon, l'histoire d'univers parallèles m'a carrément convaincu de mettre ce roman dans ma wishlist, j'ai toujours été friande de cette thématique, j'adorais la série Sliders donc pourquoi pas ce roman et la quatrième de couverture a l'air de nous promettre pas mal de rebondissements.
The Last Time We Say Goodbye de Cynthia Hand.
Since her brother, Tyler, committed suicide, Lex has been trying to keep her grief locked away, and to forget about what happened that night. But as she starts putting her life, her family, and her friendships back together, Lex is haunted by a secret she hasn't told anyone—a text Tyler sent, that could have changed everything.
Encore un livre repéré sur Instagram. J'ai trouvé la couverture super jolie et la trame du roman a l'air bouleversante et très émouvante. A mon avis, on sera loin d'une histoire joyeuse mais je pense que ça sera une histoire assez marquante car elle traite de thèmes sérieux tels que la mort et le deuil.
La Faim du Tigre de René Barjavel.
L'homme se trouve devant deux destins possibles : périr dans son berceau, de sa propre main, de son propre génie, de sa propre stupidité, ou s'élancer, pour l'éternité du temps, vers l'infini de l'espace, et y répandre la vie délivrée de la nécessité de l'assassinat. Le choix est pour demain. Il est peut-être déjà fait.
J'aime beaucoup le style d'écriture de Barjavel, que je trouve très poétique et j'admire aussi l'auteur, vu comme le précurseur de la science-fiction française et je trouve que ses romans d’anticipations sont intemporels. J'ai commencé a lire ce livre à Gibert Joseph, sans l'acheter, et le peu que j'en ai lu, j'ai adoré. Barjavel avait vraiment une très belle plume et je pense me procurer ce roman rapidement.
On ne juge peut-être pas un livre sur sa couverture mais soyons honnête, c'est souvent grâce à elle qu'on s'arrête sur un livre pour ensuite s’intéresser à son histoire. Et vous, votre book wishlist du moment ?
Je vous avais rapidement parlé dans mon article sur le duo suédois Forêt de Vin de la chaîne YouTube NewRetroWave mais je me suis dit qu'un article à part entière serait plus sympathique pour vous présenter ce petit paradis de musique et chansons synthwave.
NewRetroWave existe depuis Novembre 2011 et je vois leur chaîne comme une immense bibliothèque de musiques et chansons actuelles au son très 80s appartenant aux genres musicaux comprenant le retrowave, le dreamwave, la synthpop, etc. NewRetroWave m'a permis de découvrir cet univers musical qui m'était plutôt inconnu jusqu’à récemment. NewRetroWave, c'est aussi un site web où on trouve l'actualité musicale de groupe de synthwave, quelques reviews de films des années 80-90 mais également des t-shirts super beaux qui sont en vente.
❝Retrowave is a musical genre and growing culture that harnesses the sound, drive and sheer passion of the 80's-90's. It is one of the most refreshing sounds to hit the music scene and has been long overdue. Something amazing is building folks. A musical movement that brings back the retro passion and musicality to music we dearly missed. We are NewRetroWave.❞
Je trouve ça fascisant à quel point, culturellement, les années 80 inspirent et font encore rêver. Quand j'écoute des chansons sur NewRetroWave, je voyage, je suis transportée dans un autre univers, dans une autre décennie, celle des années 80 et il n'y a pas meilleure sensation. On est un peu dans l'idée de faire quelque chose de neuf avec du vieux et c'est tout simplement fabuleux. Celles que j'écoute le plus souvent sont celles de Forêt de Vin bien évidemment, mais aussi les chansons du groupe finlandais Freeweights et du groupe néerlandais Timecop1983 - vous aurez sans doute remarqué, ce sont surtout des groupes européens, ce que je trouve plutôt chouette.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
NewRetroWave, le paradis du synthwave.
Je vous avais rapidement parlé dans mon article sur le duo suédois Forêt de Vin de la chaîne YouTube NewRetroWave mais je me suis dit qu'un article à part entière serait plus sympathique pour vous présenter ce petit paradis de musique et chansons synthwave.
NewRetroWave existe depuis Novembre 2011 et je vois leur chaîne comme une immense bibliothèque de musiques et chansons actuelles au son très 80s appartenant aux genres musicaux comprenant le retrowave, le dreamwave, la synthpop, etc. NewRetroWave m'a permis de découvrir cet univers musical qui m'était plutôt inconnu jusqu’à récemment. NewRetroWave, c'est aussi un site web où on trouve l'actualité musicale de groupe de synthwave, quelques reviews de films des années 80-90 mais également des t-shirts super beaux qui sont en vente.
❝Retrowave is a musical genre and growing culture that harnesses the sound, drive and sheer passion of the 80's-90's. It is one of the most refreshing sounds to hit the music scene and has been long overdue. Something amazing is building folks. A musical movement that brings back the retro passion and musicality to music we dearly missed. We are NewRetroWave.❞
Je trouve ça fascisant à quel point, culturellement, les années 80 inspirent et font encore rêver. Quand j'écoute des chansons sur NewRetroWave, je voyage, je suis transportée dans un autre univers, dans une autre décennie, celle des années 80 et il n'y a pas meilleure sensation. On est un peu dans l'idée de faire quelque chose de neuf avec du vieux et c'est tout simplement fabuleux. Celles que j'écoute le plus souvent sont celles de Forêt de Vin bien évidemment, mais aussi les chansons du groupe finlandais Freeweights et du groupe néerlandais Timecop1983 - vous aurez sans doute remarqué, ce sont surtout des groupes européens, ce que je trouve plutôt chouette.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
Il m'arrive de tomber sur des chansons que j'aime moins mais en général, j'aime à peu près tous les sons présents sur la chaîne. En conclusion, je n'écoute pratiquement plus que ce genre de musique en ce moment et j'espère que ça sera une bonne découverte pour vous.
Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).
Pour cette dernière année de fac, j'avais décidé de prendre en option un cours d'audiovisuel qui consistait à écrire un synopsis et un scénario durant le premier semestre et de tourner le court-métrage durant le deuxième. Quand j'ai commencé le cours, je pensais qu'il n'y aurait pas de contrainte et qu'on aurait carte blanche. Mais notre professeur nous a alors dit que les années précédentes, les court-métrages des étudiants manquaient de quelque chose et elle a donc eu l'idée qu'on ferait quelque chose de différent cette année en adaptant un poème. Le film serait donc complètement muet à part pour le poème qui y serait récité en voix-off et ensuite ajouter en post-prod. Au début, j'étais un peu déçue, ayant peur que cela soit une énorme contrainte mais en fait, c'était vraiment une bonne idée. Premièrement, ça permet de faire un film plutôt expérimentale et artistique mais aussi une grande facilité concernant le choix des acteurs qui n'auraient donc pas à savoir parler anglais.
Nous sommes trois groupe de quatre dans ce cours. La prof avait sélectionné quelques poèmes que nous avions dû étudier pour ensuite faire un tirage au sort pour qu'il ne reste plus que trois poèmes et les trois poèmes choisis furent Her Kind d'Anne Sexton, Narcissus and Echo de Fred Chappell et Lonely Hearts de Wendy Cope. J'aimais beaucoup les trois poèmes et mes amies aimait moins Narcissus et Echo. La prof nous a d'abord demandé individuellement quel poème on préférait. On a donc eu Lonely Hearts. Lors de l'étude des poèmes, j'avais tout de suite eu l'idée d'un thriller pour Lonely Hearts où on suivrait alors un serial-killer cherchant ses victimes via des petites annonces ou via un site de rencontre. L'idée a plu à mes amies, on a donc choisi cette voie-là pour l'histoire.
Commença alors un long travail d'écriture. Je dirais qu'on a surtout eu des difficulté pour trouver la fin, la prof n'étant pas satisfaite du premier jet. Elle voulait alors que notre personnage principal, le serial killer donc, se suicide à la fin du film. J'étais absolument contre cette idée. Elle voulait une fin surprenante et pourtant, je trouve que ce genre de fin ne sort pas vraiment de l'ordinaire, le tueur se sent coupable et se tue, c'est "fade" quand même. Du coup, on a écrit une fin comme-ça, à contre cœur. Au final, la prof nous a ensuite suggéré l'idée qu'on devrait ajouter un autre personnage principal, pour rajouter un peu de contenu dans le film. Nous avons donc inclus le personnage d'Ashley, une étudiante qui s’inscrit sur un site de rencontre pour le fun. C'est en ajoutant Ashley à l'histoire qu'on est allé contre l'idée de la prof et qu'on a rechangé la fin, une fin qui nous convenait vraiment et qui a finalement plu à notre professeur. Je n'en dis pas plus pour ne pas vous spoiler.
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
Je partage avec vous le pitch de notre court-métrage Lonely Hearts:
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.
Je suis vraiment fière de l'histoire que nous avons créé et qu'elle fasse sens, car à la base, le poème Lonely Hearts est un poème qui parle de personnes qui ont des difficultés à trouver l'amour. Pas de serial killer en vue donc, pourtant, on a découvert qu'ils existent ce qu'on appelle des lonely hearts killers, une catégorie de tueurs qui trouvent leurs victimes via des petites annonces. On s'est d'ailleurs inspiré d'un lonely hearts killer pour le personnage d'Emile, en la personne d'Harvey Glatman, un tueur qui se faisait passer pour un photographe professionnel pour attirer ses victimes en leur promettant une carrière de mannequin.
A l'heure où je publie cet article, les auditions se tiennent demain, du coup vendredi 3 février, et neuf personnes, cinq hommes et quatre femmes nous ont déjà contacté pour incarner les deux personnages principaux. J'ai adoré être en contact avec eux, répondre à leurs questions et les renseigner. Franchement, avec les filles, on avait peur que personne ne participe au casting mais nous voilà rassurées. La suite au prochain épisode !
Court-métrage, la naissance du scénario.
Alors que je traversais une légère panne d'inspiration concernant le blog, Amandine m'a suggéré l'idée de vous parler de mon futur court-métrage. Cette catégorie Ça tourne! sera découpée en trois articles. Le deuxième article sera surement sur le déroulement du tournage et le troisième article sur tout ce qui concerne la post-production (le poème en voix-off, la musique et bien sûr, le montage).
Pour cette dernière année de fac, j'avais décidé de prendre en option un cours d'audiovisuel qui consistait à écrire un synopsis et un scénario durant le premier semestre et de tourner le court-métrage durant le deuxième. Quand j'ai commencé le cours, je pensais qu'il n'y aurait pas de contrainte et qu'on aurait carte blanche. Mais notre professeur nous a alors dit que les années précédentes, les court-métrages des étudiants manquaient de quelque chose et elle a donc eu l'idée qu'on ferait quelque chose de différent cette année en adaptant un poème. Le film serait donc complètement muet à part pour le poème qui y serait récité en voix-off et ensuite ajouter en post-prod. Au début, j'étais un peu déçue, ayant peur que cela soit une énorme contrainte mais en fait, c'était vraiment une bonne idée. Premièrement, ça permet de faire un film plutôt expérimentale et artistique mais aussi une grande facilité concernant le choix des acteurs qui n'auraient donc pas à savoir parler anglais.
Nous sommes trois groupe de quatre dans ce cours. La prof avait sélectionné quelques poèmes que nous avions dû étudier pour ensuite faire un tirage au sort pour qu'il ne reste plus que trois poèmes et les trois poèmes choisis furent Her Kind d'Anne Sexton, Narcissus and Echo de Fred Chappell et Lonely Hearts de Wendy Cope. J'aimais beaucoup les trois poèmes et mes amies aimait moins Narcissus et Echo. La prof nous a d'abord demandé individuellement quel poème on préférait. On a donc eu Lonely Hearts. Lors de l'étude des poèmes, j'avais tout de suite eu l'idée d'un thriller pour Lonely Hearts où on suivrait alors un serial-killer cherchant ses victimes via des petites annonces ou via un site de rencontre. L'idée a plu à mes amies, on a donc choisi cette voie-là pour l'histoire.
Commença alors un long travail d'écriture. Je dirais qu'on a surtout eu des difficulté pour trouver la fin, la prof n'étant pas satisfaite du premier jet. Elle voulait alors que notre personnage principal, le serial killer donc, se suicide à la fin du film. J'étais absolument contre cette idée. Elle voulait une fin surprenante et pourtant, je trouve que ce genre de fin ne sort pas vraiment de l'ordinaire, le tueur se sent coupable et se tue, c'est "fade" quand même. Du coup, on a écrit une fin comme-ça, à contre cœur. Au final, la prof nous a ensuite suggéré l'idée qu'on devrait ajouter un autre personnage principal, pour rajouter un peu de contenu dans le film. Nous avons donc inclus le personnage d'Ashley, une étudiante qui s’inscrit sur un site de rencontre pour le fun. C'est en ajoutant Ashley à l'histoire qu'on est allé contre l'idée de la prof et qu'on a rechangé la fin, une fin qui nous convenait vraiment et qui a finalement plu à notre professeur. Je n'en dis pas plus pour ne pas vous spoiler.
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
On a ensuite encore bien galéré quand on a dû écrire le scénario. En effet, un scénario est principalement composé des actions et des dialogues et quand on n'a pas de dialogue, on pourrait croire que c'est facile mais c'est tout de même assez compliqué car on n'avait pas de modèle précis. Mais on a fini par s'en sortir et notre précieux scénario était né.
Je partage avec vous le pitch de notre court-métrage Lonely Hearts:
Emile est un photographe qui vient de vivre une rupture douloureuse avec sa fiancée, qui est en manque d’inspiration et qui finit par emprunter un chemin qui le mènera vers les confins les plus sombres de son esprit tandis qu'en parallèle, on suivra Ashley, jeune étudiante indépendante et déterminée qui fréquente un site de rencontre pour pimenter son existence.
Je suis vraiment fière de l'histoire que nous avons créé et qu'elle fasse sens, car à la base, le poème Lonely Hearts est un poème qui parle de personnes qui ont des difficultés à trouver l'amour. Pas de serial killer en vue donc, pourtant, on a découvert qu'ils existent ce qu'on appelle des lonely hearts killers, une catégorie de tueurs qui trouvent leurs victimes via des petites annonces. On s'est d'ailleurs inspiré d'un lonely hearts killer pour le personnage d'Emile, en la personne d'Harvey Glatman, un tueur qui se faisait passer pour un photographe professionnel pour attirer ses victimes en leur promettant une carrière de mannequin.
A l'heure où je publie cet article, les auditions se tiennent demain, du coup vendredi 3 février, et neuf personnes, cinq hommes et quatre femmes nous ont déjà contacté pour incarner les deux personnages principaux. J'ai adoré être en contact avec eux, répondre à leurs questions et les renseigner. Franchement, avec les filles, on avait peur que personne ne participe au casting mais nous voilà rassurées. La suite au prochain épisode !
Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !
Crazyhead
Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.
On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.
Chewing Gum
Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.
Crazyhead et Chewing Gum, deux séries british déjantées.
Il me semble que la fin d'année 2016 a été la période où j'ai découvert et regardé beaucoup de séries grâce à Netflix et aujourd'hui, je vous parle de deux séries britanniques complètement WTF que j'ai tout de suite adoré. C'est parti !
Crazyhead
Creazyhead est une série britannique réalisée par le créateur de Misfits, Howard Overman (ça annonce déjà la couleur). Diffusée sur E4 à partir d'octobre 2016 et en décembre 2016 sur Netflix, j'ai un peu hésité au départ avant de me lancer dans cette série, car je pensais que ce serait peut-être trop effrayant pour moi. Pourtant, j'ai fini par adorer cette série. Crazyhead est une série sur deux jeunes femmes, Raquel (interprétée par Susan Wokoma) et Amy (interprétée par Cara Theobold). Amy rencontre Raquel un soir alors qu'Amy vient de se faire attaquer par un homme possédé par un démon. En effet, les deux jeunes femmes sont les seules à voir leur véritable nature, car elles sont des seers, des personnes capables de voir les démons se cachant parmi la société. Elles vont donc faire équipe pour débusquer les démons.
On retrouve bien l'humour de Misfits, une série que j'adore (enfin du moins jusqu’à la troisième saison). C'est aussi un véritable plaisir d'avoir une série avec deux personnages principaux féminins badass. Amy est un personnage très doux qui contraste avec la personnalité forte et sans gène de Raquel, elles se complètent donc parfaitement. En antagoniste, on retrouve Tony Cullan (qui pour moi restera à tout jamais Sean, le meilleur ami de Mickey dans Le Monde Magique des Leprechauns). Il incarne un démon, mais aussi le psy de Raquel et complote tout le long dans un projet maléfique dont Raquel est la clé. Je vous conseille cette série à 200% pour les personnages haut en couleur et en personnalité.
Chewing Gum
Chewing Gum est une série britannique créée par Michaela Coel (qui est aussi l'actrice principale), réalisée par Kelly McGolpin, Jon Rolph et Nana Hughes et diffusée à partir d'octobre 2015 sur la chaîne E4. Cette série raconte l'histoire de Tracey, une jeune femme vierge élevée dans une famille très religieuse, mais qui commence à avoir de plus en plus envie d'avoir des relations sexuelles.Michaela Coel est extraordinaire dans cette série. Tracey a une personnalité très forte, mais particulière. Elle est naïve, mais déjanté, car elle ne connait tout simplement pas la vie. Pourtant, elle entreprendra des choix très audacieux tout le long de la série après sa rencontre avec Connor, son voisin poète. Les situations dans lesquelles elle se retrouve sont drôles et surtout très gênantes, ce qui rend le tout extrêmement amusant et loufoque. J'adore aussi le personnage de sa petite sœur, Cynthia, interprétée par Susan Wokoma, (celle-là même qui joue Raquel dans) elle est aussi déjantée bien que dans un autre style. Un point que j'ai apprécié, c'est que Tracey casse souvent le quatrième mur, ce qui nous permet d’être inclus dans son histoire. J'aime aussi beaucoup le format de la série, un épisode dure environ 20 min, il n'y a donc pas de longueur et on n'a pas le temps de s'ennuyer tellement c'est drôle. Vous l'aurez compris, cette série est anti-déprime et je vous la conseille également.
Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.
Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.
Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.
Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.
INSTANT CINOCHE • Turbo Kid (2015).
Turbo Kid est un film post-apocalyptique gore canadien qui mêle aventure, action, et comédie et qui fut réalisé par François Simard, Anouk Whissell et Yoann-Karl Whissell en 2015. L'histoire se passe en 1997, dans un monde ravagé où l'eau et la nourriture se font rare. Le personnage principal est Kid, un jeune homme orphelin fan de comics qui tente de survivre dans cet environnement hostile. Il va faire la rencontre d'Apple, une jeune femme très enjouée. Il va lui apprendre la survie dans le Wasteland jusqu’à ce qu'elle se fasse enlever par les sbires de Zeus, le "chef" du Wastland. Kid fera tout son possible pour la secourir.
Ce film est déjanté et l'assume. On a du gore à outrance mais ce n'est pas le gore dégueulasse mais plutot le gore old school, on nous sert des giclés de sang tellement improbable que ça en devient marrant. J'ai bien aimé l'ambiance du film, il y a clairement un hommage aux années 80 avec l'utilisation de musique sythwave mais aussi pour le coté jeux-vidéos/comics ainsi que de certains films tels que Mad Max. L'intrigue est assez simple, un jeune homme qui va braver des méchants pour sauvez la fille dont il est tombé amoureux, mais c'est bien mené et le tout est très divertissant. On accompagne les personnages dans une aventure gore sans s'ennuyer une seconde car tout se passe relativement très vite.
Au niveau des personnages, Kid, le personnage principal, est pour ma part un peu plat et je pense que ceci est probablement dû au personnage de Apple qui, à coté, est juste extraordinaire. Apple est une jeune femme pleine de vie, ce qui dénote beaucoup avec l'environnement dans lequel elle vit, ce qui est assez rafraîchissant. Elle a un coté très enfantin et n'est pas effrayé par le monde qui l'entoure, son interprète, Laurence Leboeuf, est tout simplement incroyable et est une bonne découverte. En revenant sur Kid, je l'ai tout de même apprécié car il est interprété par Munro Chambers qui est connu pour ses rôles d'adolescents dans les séries canadiennes Buzz Mag (The Latest Buzz en VO) et Degrassi où dans cette dernière il joue Eli, un adolescent gothique qui découvre qu'il est bipolaire. Il joue donc un personnage très fort qui évolue superbement bien de saison de saison. Du coup, dans Turbo Kid, je trouve que Munro Chambers interprète Kid sans grande variation d'émotions. Mais c'est tout de même un personnage intéressant qui suit, à cause des circonstances, la même trace que son super héros préféré, Turbo Rider, c'est-à-dire, devenir un vrai héros en sauvant sa petite amie des bad guys.
Je sais, c'est une revue assez courte mais il n'y a pas grande analyse à faire pour ce film qui reste tout de même un film de divertissement assez loufoque. C'est gore, c'est fun, c'est divertissant. Cependant, c'est une bonne découverte et il est clair que ce film se démarque pour le coté vintage qu'il dégage. Il vaut donc le coup d’œil.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article sur des livres. Aujourd'hui, je vous parle de mes trois dernières lectures, une que j'ai lu fin 2016 et les deux autres début janvier. Pour info, mon objectif de cette année est de lire 20+ livres, souhaitez-moi bonne chance!
La Mort en Tête de Sire Cédric.
Le duo d’enquêteurs Eva Svärta / Alexandre Vauvert est en bien mauvaise posture... Ils traquent sans relâche les tueurs psychopathes, mais cette fois ce sont eux les proies d’un criminel sadique... Tout commence en banlieue parisienne, la séance d’exorcisme d’un enfant de huit ans a tourné au drame. Eva Svärta, policière à la Brigade criminelle, enceinte de quatre mois, se rend sur les lieux. Est-ce un accident ? Comment est vraiment mort cet enfant ? Sur place, la policière rencontre Dorian Barbarossa. Un journaliste à sensation qui vit depuis des années avec une balle de calibre 22 dans le crâne. Eva Svärta ne se doute pas encore de la descente aux enfers qui l’attend…
Sire Cédric est un de mes auteurs préférés (et en plus, il me suit sur Twitter héhé) et ces romans sont fabuleux. Un mélange parfait entre thriller, horreur et surnaturel. Malgré que tout ses romans tournent autour des 700 pages, la lecture est à chaque fois fluide et rapide. Il est tout simplement difficile de reposer ses romans une fois qu'on a commencé à les lire. Dans La Mort en Tête, on retrouve son duo de choc qu'on retrouve dans la majorité de ses romans, le commandant Alexandre Vauvert et la policière Eva Svarta. Malheureusement, je ne vais pas vraiment pouvoir vous en raconter trop sur les personnages de peur de vous spoiler les autres romans. Concernant l'intrigue, comme toujours, c'est puissant et ça vous donnera la chair du poule, c'est bien écrit et c'est palpitant, vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer. Je vous conseille vraiment les romans de Sire Cédric, il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé.
Paper Girls, vol. 1 de Brian K. Vaughan.
In the early hours after Halloween of 1988, four 12-year-old newspaper delivery girls uncover the most important story of all time. Suburban drama and otherworldly mysteries collide in this smash-hit series about nostalgia, first jobs, and the last days of childhood.
Difficile de vraiment juger en ayant seulement lu le premier volume mais j'ai quand même beaucoup aimé ce roman graphique. C'est un peu fouillis car tout se passe très vite dès le début mais c'est très prometteur et ça promet d'être intriguant. De plus, l'histoire se passe dans les années 80 et contient donc quelques références que j'ai apprécié. Le seul reproche que je pourrais faire est que, à mon avis, les filles ne sont pas vraiment dépeintes comme des ados de 12 ans, j'avais plutôt l'impression de suivre des adolescente de 15-16 ans de la manière dont elle sont dessiné mais aussi dans leur façon de parler mais rien de bien dérangeant. On reste un peu sur sa faim étant donné que c'est une lecture rapide mais j'ai vraiment hâte de lire le deuxième volume. J'ai beaucoup aimé les illustrations faites par Cliff Chiang ainsi que la palette de couleurs qui varie entre le rose, le bleu et le violet.
An Author's Odyssey de Chris Colfer
In the highly anticipated continuation of the Land of Stories series, Conner learns that the only place to fight the Masked Man's literary army is inside his own short stories! When the twins and their friends enter worlds crafted from Conner's imagination, finding allies no one else could have ever dreamed of, the race begins to put an end to the Masked Man's reign of terror. Can the twins finally restore peace in the fairy tale world?
J'aime beaucoup la saga The Land of Stories. A chaque fois que je me replonge dans cet univers, je ne peux m'empêcher de penser aux Disney ou à Once Upon a Time. J'avais adoré les 4 premiers tomes mais avec ce cinquième livre, j'ai été un peu déçue. Pourtant, l'histoire était prometteuse car cette fois-ci, Conner et Alex allaient voyager dans les propres nouvelles écrites par Conner. J'ai trouvé que certains passages traînaient en longueur et n'étaient pas forcement utile à l'intrigue, notamment une toute petite partie concernant le Book Huggers complètement inutile à l'histoire et une complète perte de temps. Le tout manque d'action, la preuve étant que j'ai mis une bonne semaine pour le finir contrairement aux autres tomes que je finissais en quelques jours. Seule la fin du roman rattrape le tout selon moi. J'ai quand même mis 4,5/5 au roman, surement par plaisir d'avoir retrouvé les jumeaux Bailey et leurs amis de The Land of Stories.
Et vous, quelles sont vos dernières lectures ? Que livre êtes-vous actuellement en train de lire ? Quel est votre objectif de livre à lire cette année ?
Mes dernières lectures.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un article sur des livres. Aujourd'hui, je vous parle de mes trois dernières lectures, une que j'ai lu fin 2016 et les deux autres début janvier. Pour info, mon objectif de cette année est de lire 20+ livres, souhaitez-moi bonne chance!
La Mort en Tête de Sire Cédric.
Le duo d’enquêteurs Eva Svärta / Alexandre Vauvert est en bien mauvaise posture... Ils traquent sans relâche les tueurs psychopathes, mais cette fois ce sont eux les proies d’un criminel sadique... Tout commence en banlieue parisienne, la séance d’exorcisme d’un enfant de huit ans a tourné au drame. Eva Svärta, policière à la Brigade criminelle, enceinte de quatre mois, se rend sur les lieux. Est-ce un accident ? Comment est vraiment mort cet enfant ? Sur place, la policière rencontre Dorian Barbarossa. Un journaliste à sensation qui vit depuis des années avec une balle de calibre 22 dans le crâne. Eva Svärta ne se doute pas encore de la descente aux enfers qui l’attend…
Sire Cédric est un de mes auteurs préférés (et en plus, il me suit sur Twitter héhé) et ces romans sont fabuleux. Un mélange parfait entre thriller, horreur et surnaturel. Malgré que tout ses romans tournent autour des 700 pages, la lecture est à chaque fois fluide et rapide. Il est tout simplement difficile de reposer ses romans une fois qu'on a commencé à les lire. Dans La Mort en Tête, on retrouve son duo de choc qu'on retrouve dans la majorité de ses romans, le commandant Alexandre Vauvert et la policière Eva Svarta. Malheureusement, je ne vais pas vraiment pouvoir vous en raconter trop sur les personnages de peur de vous spoiler les autres romans. Concernant l'intrigue, comme toujours, c'est puissant et ça vous donnera la chair du poule, c'est bien écrit et c'est palpitant, vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer. Je vous conseille vraiment les romans de Sire Cédric, il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé.
Paper Girls, vol. 1 de Brian K. Vaughan.
In the early hours after Halloween of 1988, four 12-year-old newspaper delivery girls uncover the most important story of all time. Suburban drama and otherworldly mysteries collide in this smash-hit series about nostalgia, first jobs, and the last days of childhood.
Difficile de vraiment juger en ayant seulement lu le premier volume mais j'ai quand même beaucoup aimé ce roman graphique. C'est un peu fouillis car tout se passe très vite dès le début mais c'est très prometteur et ça promet d'être intriguant. De plus, l'histoire se passe dans les années 80 et contient donc quelques références que j'ai apprécié. Le seul reproche que je pourrais faire est que, à mon avis, les filles ne sont pas vraiment dépeintes comme des ados de 12 ans, j'avais plutôt l'impression de suivre des adolescente de 15-16 ans de la manière dont elle sont dessiné mais aussi dans leur façon de parler mais rien de bien dérangeant. On reste un peu sur sa faim étant donné que c'est une lecture rapide mais j'ai vraiment hâte de lire le deuxième volume. J'ai beaucoup aimé les illustrations faites par Cliff Chiang ainsi que la palette de couleurs qui varie entre le rose, le bleu et le violet.
An Author's Odyssey de Chris Colfer
In the highly anticipated continuation of the Land of Stories series, Conner learns that the only place to fight the Masked Man's literary army is inside his own short stories! When the twins and their friends enter worlds crafted from Conner's imagination, finding allies no one else could have ever dreamed of, the race begins to put an end to the Masked Man's reign of terror. Can the twins finally restore peace in the fairy tale world?
J'aime beaucoup la saga The Land of Stories. A chaque fois que je me replonge dans cet univers, je ne peux m'empêcher de penser aux Disney ou à Once Upon a Time. J'avais adoré les 4 premiers tomes mais avec ce cinquième livre, j'ai été un peu déçue. Pourtant, l'histoire était prometteuse car cette fois-ci, Conner et Alex allaient voyager dans les propres nouvelles écrites par Conner. J'ai trouvé que certains passages traînaient en longueur et n'étaient pas forcement utile à l'intrigue, notamment une toute petite partie concernant le Book Huggers complètement inutile à l'histoire et une complète perte de temps. Le tout manque d'action, la preuve étant que j'ai mis une bonne semaine pour le finir contrairement aux autres tomes que je finissais en quelques jours. Seule la fin du roman rattrape le tout selon moi. J'ai quand même mis 4,5/5 au roman, surement par plaisir d'avoir retrouvé les jumeaux Bailey et leurs amis de The Land of Stories.
Et vous, quelles sont vos dernières lectures ? Que livre êtes-vous actuellement en train de lire ? Quel est votre objectif de livre à lire cette année ?
Forêt de Vin est un duo suédois de Stockholm dont les chansons ont une influence très 80s. C'est un duo assez mystérieux et je n'ai pas pu trouver beaucoup d'informations sur eux, je vais donc vous parler de leur musique. La première chanson que j'ai entendu d'eux était It's Christmas, que j'ai trouvée par hasard sur la merveilleuse chaîne YouTube de NewRetroWave qui est spécialisé dans la diffusion de chansons d’aujourd’hui avec un son de synthé très 80's, et je suis juste tombée amoureuse de cette chanson. On retrouve vraiment ce son distinctif du synthétiseur et à l'écoute, on a vraiment l'impression d'écouter une chanson de Noël qui aurait été produite durant les années 80 et je trouve ça vraiment époustouflant. A travers leurs chansons, on ressent vraiment leur passion pour cette musique typique des années 80 tellement le son est juste et je ne pouvais qu'adorer. En toute honnêteté, j'écoute Forêt de Vin depuis une semaine en boucle et je ne m'en lasse pas, coup de cœur également pour les chansons Another Dimension et Hold the Night. Pour le moment, le duo a en tout produit cinq chansons qui sont disponible sur leur Soundcloud et sur la chaîne de NewRetroWave. J'espère que cette découverte musicale vous aura plu autant qu'à moi.
❝It's supposed to sound like the songs the record company forgot to release 30 years ago.❞
MONTE LE SON • Forêt de Vin.
Forêt de Vin est un duo suédois de Stockholm dont les chansons ont une influence très 80s. C'est un duo assez mystérieux et je n'ai pas pu trouver beaucoup d'informations sur eux, je vais donc vous parler de leur musique. La première chanson que j'ai entendu d'eux était It's Christmas, que j'ai trouvée par hasard sur la merveilleuse chaîne YouTube de NewRetroWave qui est spécialisé dans la diffusion de chansons d’aujourd’hui avec un son de synthé très 80's, et je suis juste tombée amoureuse de cette chanson. On retrouve vraiment ce son distinctif du synthétiseur et à l'écoute, on a vraiment l'impression d'écouter une chanson de Noël qui aurait été produite durant les années 80 et je trouve ça vraiment époustouflant. A travers leurs chansons, on ressent vraiment leur passion pour cette musique typique des années 80 tellement le son est juste et je ne pouvais qu'adorer. En toute honnêteté, j'écoute Forêt de Vin depuis une semaine en boucle et je ne m'en lasse pas, coup de cœur également pour les chansons Another Dimension et Hold the Night. Pour le moment, le duo a en tout produit cinq chansons qui sont disponible sur leur Soundcloud et sur la chaîne de NewRetroWave. J'espère que cette découverte musicale vous aura plu autant qu'à moi.
❝It's supposed to sound like the songs the record company forgot to release 30 years ago.❞
THE KARATE KID (ou le Moment de Vérité en VF) est un film américain sorti en 1984, réalisé par John G. Avildsen et c'est le premier film d'une trilogie. Dans ce film, on suit Daniel LaRusso, adolescent de 16 ans qui vient juste d’emménager à Reseda en Californie avec sa mère. Un soir, il rencontre Ali pour qui il craque instantanément, mais arrivent une bande de jeunes motards, menée par Johnny, l'ex petit ami d'Ali, qui aborde brutalement cette dernière. Daniel tente de s'interposer mais reçoit raclé de la part de Johnny, qui fait du karaté. Se faisant tabasser de nombreuses fois, Daniel veut pouvoir se défendre et décide d'apprendre le karaté. Mr Miyagi, l'homme de la maintenance semble être un expert dans l'art du karaté et accepte donc de le lui enseigner, mais sa manière d'enseigner s'avère particulière.
Je tiens à commencer par dire que j'ai vu le remake de 2010, celui avec Jaden Smith et Jackie Chan avant ce film et du coup, ça m'a un peu "gâché" mon plaisir car la trame de l'histoire est quasi identique - même s'il est question de kung-fu dans ce remake et non de karaté - mais cela ne m'a pas empêché d’adorer ce film.
The Karate Kid, plus une histoire d'amitié qu'un film sur l'art du karaté ?
Parlons d'abord des personnages. Ralph Macchio interprète Daniel LaRusso, un adolescent de 16 ans (alors qu'il en avait 22 lors du tournage, je sais, impossible à croire avec ce minois de bébé). Il vient juste d’emménager avec sa mère et se fait des ennemis dès son premier jour, Johnny et sa bande, tout simplement car Daniel a craqué sur Ali, qui s'avère être l'ex de Johnny. Macchio fait du bon boulot dans ce film (et dans les autres, car je me suis regardé la trilogie en trois jours) et du coup, je peux vous dire que son personnage a une bonne évolution, il apprend et grandit au fur et à mesure des trois films. C'est un personnage sympathique et charmant. Le plus important est que son personnage reste crédible. Quand Daniel fait du karaté, pour ma part, je le trouve vraiment moyen, il n'est pas parfait mais le fait qu'il ne devienne pas ce super karatéka rend son personnage plus authentique. Mais je vous avouerai que j'ai vraiment vu le talent de Ralph Macchio en trouvant sur Youtube plusieurs vidéos mise en ligne par le réalisateur himself qui regroupe le rehearsal movie. Pratique peu répandu, le réalisateur à tout simplement filmé l'entière répétition du film et on peut voir cette répétition comme une première version du film avec des scènes ne se trouvant pas dans le montage final. et dans ce rehearsal movie, Ralph Macchio est encore plus convaincant quand dans le film itself. Si vous regardez le film et que vous l'avez bien aimé, je vous conseille de regarder ces vidéos - ici.
Ensuite il y a Mr Miyagi, interprété par Pat Morita qui a rendu son personnage incroyable, un homme très posé, qui pense avec philosophie mais qui se permet des blagues plutôt sympathique de temps en temps. Ce que j'ai beaucoup apprécié dans le film, c'est l'amitié entre Daniel et Mr Miyagi, qui me fait penser à l'amitié entre Marty et Doc de Retour vers le Futur. Comme le dis le personnage de Daniel dans le troisième film, Mr Miyagi est son mentor mais aussi son meilleur ami. Je trouve ce genre d'amitié très agréable et qu'on retrouve dans des films que j'aime beaucoup tel, comme je le disais, Retour vers le Futur ainsi que Coeurs Perdus en Atlandide. Mr Miyagi ne fait pas qu'apprendre le karaté à Daniel mais il l’éduque et le transforme. Les scènes d'entrainement sont le pilier de l'amitié naissante entre Daniel et Mr Miyagi. Je ne vous spoile pas car c'est prévisible, on sait d'avance que Daniel va gagné le tournoi de karaté et on pourrait penser que la fin est bâclé et c'est là qu'on se rend compte que Daniel apprenant le karaté pour gagner le tournoi n'est pas le sujet du film mais bien l'amitié entre le mentor et son élève ainsi que son histoire avec Ali.
❝Lesson not just karate only. Lesson for whole life. Whole life have a balance. Everything be better. Understand? ❞ - Mr. Miyagi
Une histoire d'amour qui ne convainc pas...
C'est là qu'il y a un hic pour moi. L'histoire d'amour dans THE KARATE KID entre Daniel et Ali est plutôt banale et peu profonde. Ali et Daniel craque l'un pour l'autre dès que leurs regards se croisent. C'est bien le genre d'histoire "d'amour" qui n'apporte rien à un film. Bien qu'on sente une alchimie entre les deux acteurs, ça ne fonctionne pas. Elisabeth Shue, qui interprète Ali, est dans la même ligné que son personnage de Jennifer dans Retour vers le Futur: inutile et sans aucun intérêt (bon, elle a quand même plus de caractère que Jennifer). Et ceci est renforcé par la suite, je ne vous spoile pas vraiment, car Elisabeth Shue n'ayant pas voulu ré-interrompre ses études pour le deuxième film, son personnage n’apparaît donc pas, et on apprend dès les premières minutes du second film qu'Ali a laissé tombé Daniel pour un joueur de foot de UCLA. Bref, preuve que c'était pas le grand amour.Alors, on regarde ou pas ?
Vous l'aurez compris, à part l'histoire d'amour, j'ai tout adoré dans ce film et je me demande pourquoi je n'ai pas regardé THE KARATE KID plus tôt (Merci Netflix). Concernant les suites, elles aussi disponibles sur Netflix, elles restent mois bien que le premier film mais regardables car elles reprennent le même pattern du premier film, il n'y a donc aucune surprise. Je pense que c'est le genre de film culte qui peut (doit?) plaire à tout le monde et malgré que le film dure quand même deux heures, vous passerez sûrement un agréable moment devant THE KARATE KID.
BACK TO THE EIGHTIES • The Karate Kid (1984).
THE KARATE KID (ou le Moment de Vérité en VF) est un film américain sorti en 1984, réalisé par John G. Avildsen et c'est le premier film d'une trilogie. Dans ce film, on suit Daniel LaRusso, adolescent de 16 ans qui vient juste d’emménager à Reseda en Californie avec sa mère. Un soir, il rencontre Ali pour qui il craque instantanément, mais arrivent une bande de jeunes motards, menée par Johnny, l'ex petit ami d'Ali, qui aborde brutalement cette dernière. Daniel tente de s'interposer mais reçoit raclé de la part de Johnny, qui fait du karaté. Se faisant tabasser de nombreuses fois, Daniel veut pouvoir se défendre et décide d'apprendre le karaté. Mr Miyagi, l'homme de la maintenance semble être un expert dans l'art du karaté et accepte donc de le lui enseigner, mais sa manière d'enseigner s'avère particulière.
Je tiens à commencer par dire que j'ai vu le remake de 2010, celui avec Jaden Smith et Jackie Chan avant ce film et du coup, ça m'a un peu "gâché" mon plaisir car la trame de l'histoire est quasi identique - même s'il est question de kung-fu dans ce remake et non de karaté - mais cela ne m'a pas empêché d’adorer ce film.
The Karate Kid, plus une histoire d'amitié qu'un film sur l'art du karaté ?
Parlons d'abord des personnages. Ralph Macchio interprète Daniel LaRusso, un adolescent de 16 ans (alors qu'il en avait 22 lors du tournage, je sais, impossible à croire avec ce minois de bébé). Il vient juste d’emménager avec sa mère et se fait des ennemis dès son premier jour, Johnny et sa bande, tout simplement car Daniel a craqué sur Ali, qui s'avère être l'ex de Johnny. Macchio fait du bon boulot dans ce film (et dans les autres, car je me suis regardé la trilogie en trois jours) et du coup, je peux vous dire que son personnage a une bonne évolution, il apprend et grandit au fur et à mesure des trois films. C'est un personnage sympathique et charmant. Le plus important est que son personnage reste crédible. Quand Daniel fait du karaté, pour ma part, je le trouve vraiment moyen, il n'est pas parfait mais le fait qu'il ne devienne pas ce super karatéka rend son personnage plus authentique. Mais je vous avouerai que j'ai vraiment vu le talent de Ralph Macchio en trouvant sur Youtube plusieurs vidéos mise en ligne par le réalisateur himself qui regroupe le rehearsal movie. Pratique peu répandu, le réalisateur à tout simplement filmé l'entière répétition du film et on peut voir cette répétition comme une première version du film avec des scènes ne se trouvant pas dans le montage final. et dans ce rehearsal movie, Ralph Macchio est encore plus convaincant quand dans le film itself. Si vous regardez le film et que vous l'avez bien aimé, je vous conseille de regarder ces vidéos - ici.
Ensuite il y a Mr Miyagi, interprété par Pat Morita qui a rendu son personnage incroyable, un homme très posé, qui pense avec philosophie mais qui se permet des blagues plutôt sympathique de temps en temps. Ce que j'ai beaucoup apprécié dans le film, c'est l'amitié entre Daniel et Mr Miyagi, qui me fait penser à l'amitié entre Marty et Doc de Retour vers le Futur. Comme le dis le personnage de Daniel dans le troisième film, Mr Miyagi est son mentor mais aussi son meilleur ami. Je trouve ce genre d'amitié très agréable et qu'on retrouve dans des films que j'aime beaucoup tel, comme je le disais, Retour vers le Futur ainsi que Coeurs Perdus en Atlandide. Mr Miyagi ne fait pas qu'apprendre le karaté à Daniel mais il l’éduque et le transforme. Les scènes d'entrainement sont le pilier de l'amitié naissante entre Daniel et Mr Miyagi. Je ne vous spoile pas car c'est prévisible, on sait d'avance que Daniel va gagné le tournoi de karaté et on pourrait penser que la fin est bâclé et c'est là qu'on se rend compte que Daniel apprenant le karaté pour gagner le tournoi n'est pas le sujet du film mais bien l'amitié entre le mentor et son élève ainsi que son histoire avec Ali.
❝Lesson not just karate only. Lesson for whole life. Whole life have a balance. Everything be better. Understand? ❞ - Mr. Miyagi
Une histoire d'amour qui ne convainc pas...
C'est là qu'il y a un hic pour moi. L'histoire d'amour dans THE KARATE KID entre Daniel et Ali est plutôt banale et peu profonde. Ali et Daniel craque l'un pour l'autre dès que leurs regards se croisent. C'est bien le genre d'histoire "d'amour" qui n'apporte rien à un film. Bien qu'on sente une alchimie entre les deux acteurs, ça ne fonctionne pas. Elisabeth Shue, qui interprète Ali, est dans la même ligné que son personnage de Jennifer dans Retour vers le Futur: inutile et sans aucun intérêt (bon, elle a quand même plus de caractère que Jennifer). Et ceci est renforcé par la suite, je ne vous spoile pas vraiment, car Elisabeth Shue n'ayant pas voulu ré-interrompre ses études pour le deuxième film, son personnage n’apparaît donc pas, et on apprend dès les premières minutes du second film qu'Ali a laissé tombé Daniel pour un joueur de foot de UCLA. Bref, preuve que c'était pas le grand amour.Alors, on regarde ou pas ?
Vous l'aurez compris, à part l'histoire d'amour, j'ai tout adoré dans ce film et je me demande pourquoi je n'ai pas regardé THE KARATE KID plus tôt (Merci Netflix). Concernant les suites, elles aussi disponibles sur Netflix, elles restent mois bien que le premier film mais regardables car elles reprennent le même pattern du premier film, il n'y a donc aucune surprise. Je pense que c'est le genre de film culte qui peut (doit?) plaire à tout le monde et malgré que le film dure quand même deux heures, vous passerez sûrement un agréable moment devant THE KARATE KID.
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